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Les fouteurs de merde ne s'intéressent qu'à leurs électeurs, lors des élections syndicales. Les métiers dont vous parlez ne les intéressent pas puisqu'ils concernent pour l'essentiel des salariés de petites entreprises hors du champ électif sur le plan syndicale. Martinez a une grande motivation. Il veut faire de la CGT de nouveau le 1er syndicat de France. Nos retraites il s'en tamponne, ce n'est qu'un moyen, et pas un but. Le but ce sont les prochaines échéances électorales syndicales. Les "sbires" étaient encore dans les testicules de leurs grands pères en 1945 et dans celles de leur père, en 1953. Le régime général était déjà menacé, et, ceci depuis sa mise en place.

Tous les professionnels de la retraite depuis 1945, prévoyait la fin du financement pour 2050 ! 2050, car le Baby Boom n'était pas encore là en 1945 ! La croissance était forte en cette période de reconstruction de l'après-guerre. A la fin des "30glorieuses" la montée du chômage a fait baisser le montant des cotisations. Une première réforme qui prévoyait entre autres solutions la fusion de tous les régimes a été tentée en 1953 et a échouée "grâce" à l'opposition des syndicats du secteur public. Georges Pompidou encore 1er Ministre de Charles De Gaulle fait remettre à CH. De Gaulle un rapport sur le sujet. De Gaulle avait d'autres chats à fouetter. Il a remis ça à plus tard. G. Pompidou a déclaré lors une allocution télévisée (Voir l'INA) : "il faudra bien qu'on s'en occupe un jour, car en 2050 ..." Etc., etc. !

Tous les métiers ne posent pas des problèmes physiques ! Expliquez en quoi une amie comptable à la SNCF a pris sa retraite à 55 ans,alors que moi comptable dans le privé, je l'ai prise à 60 ans ?

Ceux qui sont sourds et aveugles sont ceux qui refusent d'entendre et de voir que le monde a changé depuis 1945, date du naissance du régime général, date du refus des bénéficiaires des retraites déjà existantes de créer un régime universelle.

et j'ajouterai qu'il y a des paramètres nouveaux ou en plein développement qui vont venir perturber la donne : la robotisation, l'intelligence artificielle, et ce que nous ne pouvons pas encore imaginer. Certes, ces secteurs vont créer des emplois, mais des emplois nécessitant des compétences complexes. Que deviendront ceux qui n'ont pas ces compétences ? Les exemples ne manquent déjà pas : les caisses automatiques du supermarché, la caisse qui reçoit mes espèces et qui me rend la monnaie si nécessaire chez le boulanger, ...

céder aux conservateurs, réactionnaires, corporatistes, qui veulent sauver leurs privilèges.

ou ont bossé mais n'ont pas cotisé comme ils auraient dû. Total des cotisations sociales sur un salaire (patronales + salariales) : 65 à 70 % du salaire brut (avant la baise des cotisations 2019) Total des cotisations sociales des artisans, commerçants : 40% des revenus déclarés ! A montants égaux, les revenus des premiers ont contribué près de deux fois plus à la couverture sociale des intéressés que les revenus des seconds. C'est l'effet boomerang. Il fallait y penser avant, choisir un statut juridique différent (SARL égalitaire - bidon- ou en SASU) ou souscrire des retraites supplémentaires. A coût égal, un conseiller en assurance à la personne et à la retraite de mes relations professionnelles assurait pouvoir offrir une meilleure couverture sociale au statut indépendant qu'au statut salarié. Oui, mais ... à coût égal, tout à un prix ! Sans parler des femmes d'artisans, agriculteurs et commerçants qui ont travaillé toute leur vie sans être déclarées ou sous-déclarées. Comme on fait son lit, on se couche

le Smic aux USA : 1 097.50 € le SMIC en Russie : 163 € !!!!! POUR REVENIR AU SUJET : La retraite aux USA : Aux États-Unis, un travailleur peut prendre sa retraite à partir de 62 ans. Cependant, l'âge pour obtenir sa pension de retraite à taux plein est plus élevé. Il dépend de son année de naissance. En cas de départ anticipé, la pension subira une décote pouvant aller jusqu'à 32,5 %. Exemple : une personne née en 1955 percevra sa retraite à taux plein à l'âge de 66 ans et 2 mois. Si elle décide de partir en retraite à l'âge de 62 ans, elle ne bénéficiera que de 74 % de sa pension. Concernant les fonds de retraite par capitalisation, aucune condition d'âge pour en bénéficier ne s'applique. Cependant, des pénalités peuvent être appliquées si le pensionné décide de les toucher avant ses 70 ans. (Source la Retraite en clair) En Russie : Il (Poutine) a notamment proposé d'augmenter l'âge de départ à la retraite pour les femmes de 55 actuellement à 60 ans (contre 63 dans le texte initial), arguant qu'il serait "incorrect" de faire autrement. Le relèvement de l'âge de départ à la retraite pour les hommes reste à 65 ans, contre 60 ans aujourd'hui. (Source TV Monde). Qui est d'accord pour que nous adoptions les SMIC, les régimes chômage et retraite des ces merveilleux pays ? Petit complément pour la croissance : " Si le rythme se poursuivait au quatrième trimestre, la croissance 2019 atteindrait alors 1,3 %. C’est bien moins que le 1,7 % de 2018. C’est aussi un tout petit peu en dessous des prévisions du gouvernement, qui espère plutôt 1,4 %. Mais c’est mieux que beaucoup de pays voisins et notamment l’Allemagne qui pourrait terminer l’année avec une croissance atone de 0,5 % seulement. (La Croix). Merci aux syndicats corporatistes et réactionnaires qui vont couler nos régime de retraite pour préserver leurs privilèges.

"Les incertitudes liées au Brexit ont pesé sur l'activité outre Manche. Le PIB s'affiche en hausse de 1 % sur un an au troisième trimestre, son niveau trimestriel le plus bas depuis 2010. Par rapport, au trimestre précédent, il progresse de 0,3%. La Banque centrale pourrait procéder à une baisse des taux en 2020. "(La Tribune) https://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/l-economie-britannique-continue-de-ralentir-832778.htm

L'exemple britannique (source : La plateforme d’information internationale des Experts Comptables) http://www.expert-comptable-international.info/fr/pays/united-kingdom/economie-3 Sixième économie mondiale, l’économie britannique a ralenti depuis le référendum de 2016 sur le Brexit. En 2018, le PIB du Royaume-Uni a augmenté de 1,4%, ce qui est inférieur à la croissance de 2017 (1,7%). Selon les prévisions du FMI pour 2019 et 2020, la croissance devrait se stabiliser autour de 1,5%, sous réserve de la conclusion d'un vaste accord de libre-échange (ALE) avec l'UE et d'un bon déroulement du Brexit. L’économie du pays est affectée par les incertitudes entourant le processus de négociation en cours autour du Brexit et par les attentes d’une augmentation des coûts commerciaux futurs. La croissance potentielle s'est également ralentie en raison de la lente accumulation de capital, du recul de la migration nette en provenance de l'Union européenne (UE) et de la faiblesse persistante de la productivité. Selon le FMI, revenir aux règles commerciales de l'OMC, même de façon ordonnée, entraînerait des pertes de production à long terme pour le Royaume-Uni d'environ 5% à 8% du PIB par rapport à un scénario sans Brexit. ... L'économie britannique a ralenti en 2018 et devrait encore ralentir en 2019 en raison de l'incertitude persistante liée au Brexit. Depuis 2018, l'investissement des entreprises a diminué, la consommation a été freinée par la faible croissance du revenu réel et la dette publique est restée à un niveau élevé ... la création d'emplois a été caractérisée par la précarité, le gel des salaires et l'expansion du travail à temps partiel. Le chômage est toujours présent chez les jeunes demandeurs d'emploi. On estime qu'une personne de moins de 24 ans sur cinq est au chômage. ...

Trop nombreux sont ceux qui ne respectent pas ces règles spontanément. D'où la nécessité de passer par la contrainte .. pour tous.

"ça" a le courage de s'attaquer aux réformes nécessaires pour moderniser la France. "ça" a le courage de faire ce que le gouvernement de Léniel en 1953 a renoncé à faire :" "ça" a le courage de s'attaquer à une réforme des retraites proposée à De Gaulle qui renverra ça à plus tard. Ce qui fera dire à Pompidou dans un entretien télévisé "il faudra bien qu'on s'en occupe un jour car en 2050, les retraites ne seront plus finançables" (INA), mais qui n'en fera rien une fois Président. "ça" a le courage de vouloir corriger les décisions d'un président cynique qui pour être élu a promis, puis a fait voter, la retraite à 60 ans, brûlant ainsi la chandelle par les deux bouts : moins de cotisations, plus de bénéficiaires ! Cette grande décision prise alors que dans les autres pays comparables on faisait le contraire, est venue s'ajouter aux conséquences du baby boum, non prévu en 1945, et de la fin des " 30 glorieuses". "ça" a le courage de s'attaquer à un problème où d'autre s'étaient cassés les dents avant lui comme Louvel en 1953, Juppé en 1995. J'espère, pour nos retraites et celles de nos descendants que l'Histoire ne se répètera pas une fois de plus, une fois de trop !

On devrait les emmener sur une ile déserte pour y construire la civilisation de leur rêve, ... !

Vous avez parfaitement raison ! En fait dès le départ, les professionnels des retraites qui existaient déjà en 1945, prédisaient l'impossibilité de financer le régime général en 2050. Ils ont été "optimistes" pour toutes les raisons que j'ai déjà évoquées maintes fois sur ce forum, l'échéance est arrivée 60 ans plus tôt. Une première tentative pour réformer ce régime a eu lieu en 1953, 8 ans après sa mise en place. Les Syndicats du secteur public l'ont fait capotée.

HUMMMMM !

Parce que diriger un pays, préparer son avenir c'est obéir aux syndicats et à l'opposition qui s’opposent parce que "quand on est dans l’opposition, on s'oppose" quitte à hypothéquer l'avenir, comme cela a été fait DEPUIS 1945 pour le régime général des retraites, dont les spécialistes annonçaient la mort pour 2050 mais que le baby boum non prévu, l'allongement de la durée de vie sous-estimée, l'arrivée d'une période de croissance moindre conduisant à du chômage donc à moins de cotisations, l'arrivée d'un politicien cynique qui pour se faire élire promet la retraite à 60 et qui une fois élu tient parole pour être réélu, brûlant ainsi la chandelle par les deux bouts en réduisant de 5 ans le nombre de cotisants et en augmentant d'autant le nombre de bénéficiaires, la couardise et le souci électoraliste des gouvernements successifs, avanceraient l'échéance de 60 an !

Je suis un enculé du tertiaire. J'ai aidé à la création d'entreprises, à leur développement, à leur survie et aussi parfois je les ai accompagnées dans leur mort. Mais j'ai aidé à la création d'emplois ou pour le moins au maintien d'emplois, plus qu'à leur disparition. J'ai accompagné des salariés dans la reprise de leur entreprise sous forme de scop ou pas. J'ai accompagné des gens entreprenants qui ont pris le risque de l'entreprenariat. Aujourd'hui en retraite, je continue de le faire bénévolement; Et vous ?

mais il a des choses à dire et il les dit, relisez : "Lawfare !!! L'anglicisme LFI de Chirikou !! Nous avons de jolis mots français servez vous en!! De toute façon moi je suis franceinsoumisophobe et plus ça va plus je glisse des républicains vers Larem vu ce que les gauches sont devenues!! "

J'ai oublié la meilleure ! Les britanniques ont voté le Brexit en 2016 pour échapper aux politiques de rigueur. Le budget 2017 présenté par Philip Hammond, pro-Brexit, Chancelier de l'Echiquier, Ministre des Finances et du Trésor de sa Majesté, était un budget de rigueur. Et, M. Hammond annonçait de tels budgets pour les 3 ou 4 années à venir !!! Mes sources : The Gardian, le Ministère des Finances britanniques, la Banque d'Angleterre (notamment pour les chiffres cités dans mon précédent texte que vous qualifiez de "propagande et de mensonge"). Je n'essaie pas de vous convaincre FranceLibre, je souhaite seulement éclairer le débat pour ceux qui nous lisent et qu'ils puissent juger de la pertinence de vos allégations "je m'en fout... propagande... mensonge", et de la qualité des sources des informations que je diffuse. Décidément j'ai des trous de mémoires ! Je vais aussi puiser mes informations sur le RU sur le site de l'agence de presse britannique Reuters. Les britanniques doivent être sado-maso pour publier autant de mauvaises nouvelles sur leur pays ! Quand à la réponse "bla, bla, bla" elle me laisse sans voix !Que répondre au poids d'un tel argument ? Quel pertinence dans le développement !

J'ai oublié la meilleure ! Les britanniques ont voté le Brexit en 2016 pour échapper aux politiques de rigueur. Le budget 2017 présenté par Philip Hammond, pro-Brexit, Chancelier de l'Echiquier, Ministre des Finances et du Trésor de sa Majesté, était un budget de rigueur. Et, M. Hammond annonçait de tels budgets pour les 3 ou 4 années à venir !!! Mes sources : The Gardian, le Ministère des Finances britanniques, la Banque d'Angleterre (notamment pour les chiffres cités dans mon précédent texte que vous qualifiez de "propagande et de mensonge"). Je n'essaie pas de vous convaincre FranceLibre, je souhaite seulement éclairer le débat pour ceux qui nous lisent et qu'ils puissent juger de la pertinence de vos allégations "je m'en fout... propagande... mensonge", et de la qualité des sources des informations que je diffuse.

Petit rappel des conséquences du Brexit en cours : " En trois ans l'économie britannique aurait perdu 70 milliards de livres, soit 80 milliards d'euros selon la dernière évaluation réalisée par le think tank Centre for European Reform. Son PIB s'est rétréci de 2,9%. Le signe le plus tangible de cette contraction c'est l'investissement étranger qui marque le pas. L'an dernier 15% des entreprises ont suspendu leur projet d'investir au Royaume-Uni d'après une enquête effectuée par le cabinet Ernst and Young. Depuis le début de cette année, il n'y a quasiment plus un penny investi dans l'automobile, une branche qui s'est pourtant développée essentiellement grâce aux marques étrangères. Autre symptôme de ce ralentissement, le chômage qui réapparait après neuf ans d'embellie continue du marché de l'emploi. " Le RU avait une croissance supérieure à la moyenne européenne, aujourd'hui elle devenue inférieure à la moyenne et même à celle de la France. L'inflation a été multipliée par 3, la livre s'est dépréciée de 15 % avec une pointe à 25%, etc. A cela s'ajoute la souveraineté britannique bafouée par les États Unis d'Amérique de Donald Trump qui lui dicte sa conduite sur la manière de gérer le Brexiit !

Ce qui oblige à emprunter, c'est le déficit !

La vérité c'est que tous savaient que le régime général des retraites n'était pas finançable à terme. Les professionnels de la retraite l'ont dit dès la mise en place de celui-ci. La vérité est que les syndicats corporatistes du public ont tout fait depuis 1945 pour empêcher qu'il en soit autrement. Si une réforme conduisant à un système pérenne et universel n'est pas mis en place, nous serons tous perdants, sauf ... les secteurs publics puisque le déficit de leurs caisses est payé par l’État, donc par les contribuables.

Merci Anatole de rappeler quelques vérités que d’aucuns oublient trop facilement "You are right Sir ! Je m'exprime en anglais pour être bien compris par les mélanchonistes !

Lesquels ?