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Tout ce qui a été posté par January
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Dimanche soir, le nouveau numéro du magazine de M6 présenté par Ophélie Meunier s’intéresse avec efficacité à la «révolution des relations parents-enfants» des cinquante dernières années. « En 50 ans, l’éducation a changé du tout au tout. » En partant de ce constat dans le magazine « Zone interdite », la réalisatrice Laetitia Kretz détaille le contraste saisissant entre les usages des années 1970 et ceux d’aujourd’hui. Un simple repas de famille où trois générations se confrontent illustre la différence des vécus et des points de vue : les plus anciens se souviennent d’une éducation stricte où les gifles, les fessées voire les coups de martinets étaient d’usage et déplorent les méthodes trop permissives de leurs descendants. [...] https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/actu-tele/un-demi-siecle-d-evolution-de-l-education-des-enfants-decrypte-dans-zone-interdite-20250406
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Aux Pays-Bas, une quarantaine de villes ont trouvé l’astuce pour maintenir les séniors en forme et réduire les aides à domicile. L’idée fait grincer… Quitte à activer les biscoteaux, autant que cela serve à laver les carreaux ou faire son lit. Lancé en 2019 par l’entreprise Powerful Ageing, le programme « La force de l’âge » a conquis 42 villes, qui l’ont ouvert à 7 300 de leurs administrés âgés, aux Pays-Bas. Le concept respire la santé…ou le bon filon. Les avis sont partagés. Car chaque retraité qui sollicite une subvention municipale, pour financer une aide à domicile, doit avoir un minimum d'activité physique. https://www.ouest-france.fr/europe/pays-bas/aux-pays-bas-les-seniors-pries-de-remettre-au-sport-pour-faire-leur-menage-eux-memes-4d2cac40-1169-11f0-b5e4-7b411abafa66 Je suis désolée je ne suis pas parvenue à trouver une source qui ne soit pas une sources Abonnés.
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Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
mouais bof, hein.. -
Avez-vous un intérêt pour les "mandalas"?
January a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Actualités - Divers
Je n'aime pas les mandalas, en revanche dernièrement j'ai terminé et mis en couleurs des planches de botanique, j'aime bien. Je mets en couleurs aux crayons, il y a quantité de produits sur le marché et c'est assez personnel en fait la sensation (mines tendres ou autres) et le rendu souhaité. J'utilise du prisma color marié aux Faber Castell, un peu secs selon moi. J'ai beaucoup de boîtes différentes de façon à avoir toujours le bon mélange qui donne la couleur dont le crayon n'existe pas. J'ai aussi des rotring pour reprendre certaines lignes, des collections de monochromes et de sépia. Si elle a déjà peint ou dessiné, regarde le rendu qu'elle donne à ses créations, tu sauras alors vers quelle fourniture te tourner. Ah oui il y a quelque chose d'important : attention au papier. Ces dernières années beaucoup "d'albums" sont sortis sur un papier bien trop lisse, épais, limite glacé, et là dessus on ne fait rien du tout à part du coloriage "à plat", aux feutres à la limite. Touche le papier, il faut qu'il soit un peu rugueux pour que les pigments le pénètre, si elle souhaite mélanger, ombrer, etc. -
Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Et alors y a pas d'souris dans sa vie à Théophile ? Si.. Il y a Carlotta. Pourtant tiède dans ses premières critiques, il dira d'elle ensuite : « Elle rase le sol sans le toucher. On dirait une feuille de rose que la brise promène » ; il s’extasie sur ses pieds qui « feraient le désespoir d’une maja andalouse ». Il tombe amoureux, elle devient sa muse et il lui vouera toute sa vie une admiration et une fidélité sentimentale sans faille. Tout le séduit chez elle ; outre son talent, il vante ses autres qualités : « son teint est d'une fraîcheur si pure, qu'elle n'a jamais mis d'autre fard que son émotion ». Et alors attention mais ça, ça claque quand même : Février grelottait blanc de neige et de givre […] Tes yeux bleus sont encor les seules violettes, Et le printemps ne rit que sur ta joue en fleur ! (A une jeune italienne, c'était pour Carlotta Grisi) Bon sang jamais personne ne m'a écrit des trucs pareils ! Pourquoi ?? Bon, j'ai les yeux verts, d'accord Ce sentiment passionné de Gautier à l'égard de sa « chère âme » ne sera jamais démenti tout au long de sa vie et ce, jusqu'à sa mort, à travers des lettres qu'il signe souvent « votre esclave dévoué » : « quoique je ne puisse pas vous exprimer mes sentiments vous sentez que je vous aime, que je n’ai pas d’autre pensée que la vôtre, que vous êtes ma vie, mon âme, mon éternel désir, mon adoration que rien ne lasse et ne rebute et que vous tenez entre vos mains mon malheur et mon bonheur ». En 1861 Gautier voyage en Russie. À son retour, leur amitié se ravive et s'entretient par le biais d'une relation épistolaire nourrie et d'un long séjour annuel donnant lieu à des rassemblements d'admirateurs de Gautier dans la villa de Saint-Jean où Gautier se plaint de n'avoir pas assez de temps en tête-à-tête avec elle. Il lui rappelle les images du passé où elle triomphait sur scène « Fraîche comme une fleur, légère comme un papillon, gaie comme la jeunesse, lumineuse comme la gloire… ». Il lui écrira jusqu'à ses derniers jours en 1872, elle âgée de 53 ans et lui de 61 ans, toujours avec passion et admiration, quémandant encore un regard, un baiser. -
Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Voyages voyages En juillet 1836, Gautier et Nerval effectuent un voyage en Belgique et en Hollande. Trois ans après, Gautier propose un feuilleton au journal La Presse : La Toison d'Or, une belle histoire d'amour romantique. Un récit paraîtra également dans le volume de 1865 : Loin de Paris. Loin de Paris, La Traversée, extrait : Les poètes ont débité beaucoup de tirades et les prosateurs beurré beaucoup de tartines sur l’immensité de la mer, cette image de l’infini : la mer n’est pas grande ou du moins ne paraît pas telle ; quand vous avez perdu de vue toute terre et que vous êtes, comme on dit, entre le ciel et l’eau, il se fait autour de vous un horizon de six à sept lieues en tout sens qui se déplace à mesure que vous avancez ; vous marchez emprisonné dans un cercle qui vous suit. Les vagues, même lorsqu’elles sont hautes, se déroulent avec lenteur et régularité dans une espèce de rythme monotone, et ne ressemblent nullement aux vagues échevelées de la plupart des peintres de marine. Quelles que soient la force du vent et l’agitation du flot, le bord du ciel se termine toujours par un ourlet d’indigo sans la moindre dentelure. L'espagne, l'Algérie, l'Italie, la Grèce, la Turquie, la Russie et l'Egypte Chacun de ces voyages donne lieu à des publications : Espana, Italia, Constantinople, mais surtout ils nourrissent ses œuvres littéraires, romans, nouvelles ou poésies. S’il n’est plus guère lu de nos jours, Constantinople connut un grand succès à sa publication. Pour illustrer (ça fait beaucoup de lecture !) Turner, évidemment : Très intéressé par le récent média de la photographie, il devient membre en 1851 de la Société héliographique. Non mais vous avez déjà vu plus curieux que Théophile Gautier ? Moi j'dis c'est un super défaut ! Dans la revue L'Artiste du 8 mars 1857, Théophile Gautier, tout en donnant un aperçu de l’exposition photographique de Paris, expose ses idées sur cette récente découverte. D’après lui, elle ne fera pas concurrence à la peinture : « On a prétendu que la photographie nuisait à l’art et en abaisserait le niveau. Jamais allégation ne fut plus dénuée de fondement. La photographie est au contraire la très humble servante, l’esclave dévouée de l’art ; elle lui prend des notes, elle lui fait des études d’après nature ; pour lui, elle se charge de toutes les besognes ennuyeuses et pénibles ; sa boîte sur le dos, elle parcourt la vallée et la montagne, le désert et la cité, le vieux monde et le nouveau monde, encapuchonnant sa tête du voile de lustrine noire à chaque beau site, à chaque édifice curieux, à chaque ruine racontant les secrets du passé ; au paysagiste, elle rapporte des groupes d’arbres, des entassements de roches bizarres, des lacs aux eaux diaphanes, des étangs endormis sous le manteau des plantes aquatiques, des chalets dans la montagne, des vagues déferlant sur la grève, et jusqu’à des archipels de nuages fixés avec leurs jeux de lumière ; à l’architecte et au décorateur, elle fournit des coupes, des élévations et des perspectives de monuments que ne saurait jamais égaler le lavis le plus habile et le plus poussé, des temples d’Égypte et de Grèce, des cathédrales romanes et gothiques… à l’érudit, elle apporte des panneaux hiéroglyphes copiés sans erreurs, des inscriptions d’une authenticité indiscutable ; car elle déchiffre tout couramment, cette photographie, accusée d’être stupide… pour le savant, elle représente, démesurément grossi et traversé de lumière électrique, l’infini de la petitesse que le microscope révèle comme le télescope l’infini de l’énorme… » -
Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Honoré de Balzac, qui apprécie ces jeunes talents, envoie Jules Sandeau leur proposer de contribuer au journal La Chronique de Paris en 1836. « Balzac, qui daignait me trouver du talent et le dire, m'envoya chercher par Jules Sandeau ». Gautier y publie des nouvelles comme La Morte amoureuse et La Chaîne d'or et des critiques d'art. Il sera fort impressionné par le « maître » et plus tard, il contribuera à sa légende avec des portraits biographiques d'Honoré de Balzac. Théophile Gautier : « J'ai travaillé à La Presse, au Figaro, à La Caricature, au Musée des Familles, à la Revue de Paris, à la Revue des Deux Mondes, partout où l'on écrivait alors. » Souvent pesante, cette besogne quotidienne ne l'empêche pas de faire du sport (de la boxe et du canotage) et de continuer à créer des œuvres poétiques et dramatiques. Ainsi en 1838 paraît La Comédie de la Mort, un recueil de poèmes assez différent des précédents où, sous l'influence de Shakespeare, Goethe et Dante, Gautier sculpte avec vigueur le spectre de la Mort. [...] Mes vers sont les tombeaux tout brodés de sculptures, Ils cachent un cadavre, et sous leurs fioritures Ils pleurent bien souvent en paraissant chanter. Chacun est le cercueil d'une illusion morte ; J'enterre là les corps que la houle m’apporte Quand un de mes vaisseaux a sombré dans la mer ; Beaux rêves avortés, ambitions déçues, Souterraines ardeurs, passions sans issues, Tout ce que l'existence a d'intime et d’amer. L'océan tous les jours me dévore un navire ; Un récif, près du bord, de sa pointe déchire Leurs flancs doublés de cuivre et leur quille de fer. Combien j’en ai lancé plein d’ivresse et de joie, Si beaux et si coquets sous leurs flammes de soie, Que jamais dans le port mes yeux ne reverront ! Quels passagers charmants, têtes fraiches et rondes, Désirs aux seins gonflés, espoirs, chimères blondes, Que d’enfants de mon cœur entassés sur le pont ! Le flot a tout couvert de son linceul verdâtre, Et les rougeurs de rose, et les pâleurs d’albâtre, Et l’étoile et la fleur éclose à chaque front. Le flux jette à la côte entre le corps du foc, Et les débris de mâts que la vague entre-choque, Mes rêves naufragés tout gonflés et tout verts ; Pour ces chercheurs d'un monde étrange et magnifique, Colombs qui n'ont pas su trouver leur Amérique, En funèbres caveaux creusez-vous, ô mes vers ! En 1839, Gautier cède à la tentation du théâtre qu'il admire depuis toujours et écrit Une larme du diable puis Le Tricorne Enchanté et Pierrot Posthume. Ce sont des fantaisies, des pastorales féeriques, un théâtre lyrique, impossible et imaginaire qu'il fait vivre encore dans les livrets de plusieurs ballets, dont le plus célèbre est celui de Giselle, dansé le jour de ses 22 ans par la ballerine Carlotta Grisi à l'Opéra le 28 juin 1841, avec un succès prodigieux. -
On est en plein fantasme là. Un trafiquant de drogue maintenant, ben voyons, tu vas bientôt nous sortir qu'il est le cerveau d'une nouvelle pizza connection non ? Je crois que c'est assez troller comme ça.
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Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Quittant le domicile familial, place des Vosges, Théophile Gautier s'installe impasse du Doyenné, à côté de l'emplacement de l'actuelle place du Carrousel, dans un hôtel particulier en ruine, où il côtoie Camille Rogier, Arsène Houssaye, et Nerval. Il partage un appartement avec Eugène Piot. Victor Hugo en condottiere du mouvement Romantique Reproduction d'un dessin de Benjamin Roubaud, 1842. Le Grand Chemin de la postérité : monté sur le Pégase romantique, Victor Hugo , « roi des Hugolâtres, armé de sa bonne lame de Tolède et portant la bannière de Notre-Dame de Paris », emmène en croupe Théophile Gautier (sic), Cassagnac , Francis Wey et Paul Fouché. Eugène Sue fait effort pour se siffler à leur niveau et Alexandre Dumas presse le pas, tandis qu'Alphonse de Lamartine , dans les nuages, se «livre à ses méditations politiques, poétiques et religieuses». Suivent Honoré de Balzac et Alfred de Vigny . -
Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Bon, Théophile Gautier, je l'ai découvert avec une personne qui m'a marquée quand j'étais jeune adulte, une personne que j'ai croisée à peine 15 minutes, mais c'est une autre histoire. Pas du tout versée dans la poésie, que ce soit vers ou prose, j'ai lu alors certains poèmes avec une émotion telle qu'encore maintenant, quelques phrases me restent. Extrait de L'oiseau captif - premier recueil, Albertus Tous les deux cependant nous avons même sort, Mon âme est comme toi : de sa cage mortelle Elle s’ennuie, hélas ! et souffre, et bat de l’aile ; Elle voudrait planer dans l’océan du ciel, Ange elle-même, suivre un ange Ithuriel, S’enivrer d’infini, d’amour et de lumière, Et remonter enfin à la cause première. Mais, grand Dieu ! quelle main ouvrira sa prison, Quelle main à son vol livrera l’horizon ? Extrait de Point de Vue - premier recueil, Albertus Au premier plan, — un orme au tronc couvert de mousse, Dans la brume hochant sa tête chauve et rousse ; — Une mare d’eau sale, où plongent les canards Assourdissant l’écho de leurs cris nasillards ; — Quelques rares buissons où pendent des fruits aigres, Comme un pauvre la main, tendant leurs branches maigres ; — Une vieille maison, dont les murs mal fardés Bâillent de toutes parts, largement lézardés. Au second, — des moulins dressant leurs longues ailes, Et découpant en noir leurs linéaments frêles Comme un fil d’araignée à l’horizon brumeux ; Puis, — tout au fond, Paris, Paris sombre et fumeux, Où déjà, points brillants au front des maisons ternes, Luisent comme des yeux des milliers de lanternes, Paris avec ses toits déchiquetés, ses tours Qui ressemblent de loin à des cous de vautours, Et ses clochers aigus à flèche dentelée Comme un peigne mordant la nue échevelée. -
C'est toi qui écris des scénarii depuis tout à l'heure, je m'en tiens aux faits. La mère à l'hôpital, la famille dans l'incapacité d'accueillir le gamin et du coup : ASE. Le môme fait de la merde, se barre, on sait pas où il est, on lance même un avis national pour disparition inquiétante, mais pour toi c'est la faute de sa mère et de sa famille. Ok. Donc l'ASE et son joli bordel a encore de belles années devant elle puisqu'il reste des gens comme toi pour lui permette de s'affranchir de prendre soin et assurer la sécurité des enfants qu'ils prennent en charge. Tu fais partie d'une manne très précieuse pour les politiques.
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Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Le romantique Théophile Gautier mène « toutes les grandes campagnes romantiques » contre les chiens de garde du classicisme, « toutes ces larves du passé et de la routine, tous ces ennemis de l’art, de l’idéal, de la liberté et de la poésie, qui cherchent de leurs débiles mains tremblotantes à tenir fermée la porte de l’avenir ». ('tain ah oui c'est imagé ce truc on dirait que ça parle de maintenant !) Dans le même temps, il écrit un premier recueil de vers, dont son père finance la publication chez Mary. L'œuvre sort en 1830 et passe totalement inaperçue. Ces premières poésies montrent pourtant un jeune poète fort habile, ayant déjà acquis la manière de ses illustres prédécesseurs. Gautier y fait cependant preuve d'une originalité réelle par un sens inné de la forme et une expression nette et précise. Ces premiers vers seront réimprimés dans un nouveau recueil, Albertus. C'est deux ans plus tard qu'il publie Mademoiselle de Maupin (1835), qui fait un véritable scandale (voir la critique de Balzac plus haut). Dans le roman, Gautier raconte la vie de Madeleine de Maupin qui, avant de succomber aux avances des hommes, désire se travestir afin de surprendre leurs secrets. Elle parcourt donc le monde, sous le nom de Théodore, en quête d’aventures galantes. D’Albert, le héros de la première partie du livre, qui soupçonne la vérité, tombe amoureux de Madeleine. Rosette, la précédente conquête de D’Albert, est trompée par le déguisement et elle est amoureuse de Théodore/Madeleine qui doit par ailleurs se battre en duel pour avoir refusé d’épouser une jeune fille. Un joyeux bazar hein ? Je ne peux rien vous en dire personnellement, je ne l'ai jamais lu -
Non, je ne fais pas autorité et puis j'ai quitté le milieu il y a quelques temps maintenant. Il y a ici bien des gens qui ont approché le système de près ou de loin, autant des professionnels que des adultes qui ont grandi avec l'ASE. Il y en a je le sais, mais c'est toujours pareil, stigmatisés par deux ou trois personnes, pourquoi ils s'exprimeraient ? Je peux comprendre. Et c'est vrai que je soutiendrai toujours les enfants, peu importe le vécu, d'où ils viennent, ce qu'ils ont fait ou non, je refuse qu'on trouve des excuses à cette organisation de malheur et tous les politiques qui regardent ailleurs depuis des années. Très bien, puisque tu prétends ceci, pourquoi pas une AEMO alors ? j'attends la réponse. mais à part répondre : parce-que l'ASE ne fait pas son boulot. ça va être compliqué pour toi. C'est bien si ça te fait rire mais pardonne moi tu es un peu ridicule là. Pour la majeure partie des gens le sujet n'est pas du tout risible...
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@Phylou Je n'abaisse pas l'interlocuteur mais son discours lié à son confort, son implication zéro c'est facile quand c'est comme ça et c'est à reconnaître. oui, son confort, là où la famille c'est encore une structure solide pour cause de culture différente. C'est facile, bien trop facile de critiquer de loin, de décrédibiliser mon discours aussi, alors que j'ai approché d'assez près tout ça. Quant à se défausser sur l'état, magnifique, j'ai perdu mes deux parents très jeune et je suis restée à la rue. Tu vois personne ne s'est défaussé sur l'état pour moi, c'est mieux comme ça n'est-ce pas ? 1 partout balle au centre je crois.
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Sinon, on va voir la semaine prochaine, le 8 avril. Qu'est ce qui se passe le 8 Avril ? Un rapport d'enquête parlementaire sur le système de protection de l'enfance va sortir.
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@January est fixée sur l'ASE et excuse la famille. Je n'adhère pas à ses pseudo-solutions et son "les bonnes personnes" n'est qu'une généralisation, ne repose sur rien de concret et son du domaine du Faut-qu'on-Yakas dans lequel je ne veux tomber. C'est une plaisanterie ? J'ai été sur le terrain pendant 25 ans. Même si je ne fais pas autorité, tu as mieux à m'opposer ? L'ASE c'est une merde sans nom, tout le monde le sait dans le paysage et vous êtes dans le déni. C'est quand même une sacrée lâcheté de charger un môme de 13 ans et sa famille quand on est citoyen d'un pays où l'on vote. Ah, oh @Phylou toutes mes excuses !! Tu ne vis même pas ici en France, bien tranquille tu peux regarder ailleurs, tu ne connais probablement rien à ce système, mince, c'est encore plus lâche de s'exprimer de cette façon du coup.
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Je dirais 220 000 enfants placés en foyer ou en famille d'accueil. Le problème pour partie d'entre eux (attention c'est moi qui le dis), s'ils sont là, c'est parce-que le travail n'a pas été fait en amont. Ils ne devraient pas être là. Comme je disais plus tôt, il y a des mesures avant le placement. Et avant et encore avant. Seulement voilà, on est dans le tout curatif alors qu'il faudrait vraiment augmenter (mais c'est colossal, la façon dont il faut augmenter hein), le préventif. Le deuxième point, c'est collégial. L'ASE toute seule elle ne va rien faire (d'ailleurs elle ne fait rien, déjà sans les assos, la protection de l'enfance salut). Pour te réponde plouj, Lorsque je voulais attirer l'attention sur une situation locale : 1. Mairie 2. Département 3. Presse 4. Député 5. Région L'ordre est important et bien connaître ses interlocuteurs, leurs entourages et fonctions, aussi.
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De quoi parles-tu ? Amjad n'est pas un mineur non accompagné.
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Bien pire que ça. Frapper fort mais surtout juste, les bonnes personnes. Non mais sérieusement, je suis consternée de voir qu'il y a des gens qui accusent encore et encore, sans savoir, alors que l'équation est simple. Le gamin est confié à l'ASE qui en devient strictement responsable. Et l'ASE ne fait pas son travail. Il n'y a vraiment rien d'autre à dire. Que la famille ait été défaillante ? Et alors ? La mère est à l'hôpital bah, elle ne peut pas élever son fils, c'est pas de sa faute elle est malade (j'en vois venir : c'est de sa faute quand même). Les grands parents les oncles les cousines et les cousins germains au 250ème degré ? Tous responsables, ils n'ont qu'à prendre le gamin ! Non mais c'est lunaire. J'espère qu'ils vont retrouver le gamin et sutout, lui trouver une famille d'accueil solide jusqu'à ce qu'il puisse retourner vivre avec sa mère.
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Mais il n'a pas sombré ce gamin ! Il a été corrompu par l'ASE c'est pas la même chose. Sa mère est à l'hôpital, personne ne peut le prendre en charge sauf l'ASE. C'est après que les problèmes arrivent. Non mais pourquoi vous voulez absolument rendre sa mère responsable ? Et me parlez pas du père il est mort ou y en a pas y en a plus alors quoi qui reste responsable ? L'ASE. tu les connais ? Tu les connais ces gens pour dire : vous êtes des vous voulez pas vous occuper du môme !! Est-ce que tu connais la situation ? oui ? non ? Si c'est non ben y a plus qu'à se taire, parce que l'ASE n'accueille pas un gamin qui a une belle famille en bon état hein, si des fois ça t'a échappé.... Il y a des mesures avant la prise en charge totale si jamais.
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Tes propos sont d'une débilité championne hein ? Et s'il est mort ? En fait tu éructes ta haine n'importe comment en racontant n'importe quoi. Next. sans intérêt.
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Du bruit, beaucoup beaucoup de bruit ! Je sais que ma réponse va paraître simpliste mais j'ai fait du bruit pendant des années et ça a marché parfois. Les pouvoirs publics locaux ont baissé les bras, les acteurs de terrain ont baissé les bras, les politiques, tout le monde a baissé les bras et se cache derrière "pas de bras, pas d'argent" mais on n'a pas le droit de baisser les bras quand on parle de protéger la génération qui vient, pas le droit.
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Je vous parle d'un auteur ? Théophile Gautier
January a répondu à un(e) sujet de January dans Littérature
Le jeune Théophile Gautier est tout d'abord intéressé par la peinture. Il est en première lorsqu'il commence à fréquenter l'atelier du peintre Louis-Édouard Rioult (1790-1855). Ca ressemble à quoi, une toile de Louis-Edouard Rioult ? Roger délivrant Angélique Puis il rencontre Victor Hugo, en 1829, qu'il reconnaît pour son maître. Il participe activement au mouvement romantique et prend parti dans la bataille d'Hernani, le 25 février 1830. Un petit stop. La Bataille d'Hernani, qu'est ce que c'est ? La bataille d'Hernani est le nom donné à la polémique et aux chahuts qui entourèrent en 1830 les représentations de la pièce Hernani, drame romantique de Victor Hugo. Critique de Balzac : Plus pour ceux qui veulent: https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d'Hernani Les premières poésies de Théophile Gautier, publiées en 1831-1832, passent inaperçues. Mais il se distingue de ses amis romantiques par ses préoccupations formalistes fustigeant les visions moralistes ou utilitaires de la littérature dans la célèbre préface à son roman épistolaire Mademoiselle de Maupin (1835). Il écrit aussi ses premières nouvelles. Critique d'Art, de spectacle, rédacteur de presse, poète, auteur de théâtre, de romans, de nouvelles, biographe de Balzac, voyageur, Théophile Gautier s'intéresse aux musiciens, Berlioz, Gounod, Wagner, écrit le ballet de Giselle, et s'intéresse aux peintres, Eugène Delacroix, Édouard Manet, Gustave Doré, Théodore Chassériau. Auguste de Châtillon, Portrait de Théophile Gautier (1839), Paris, musée Carnavalet. Il meurt en 1872, laissant l'image d'un témoin de la vie littéraire et artistique de son temps dont les conceptions artistiques ont compté et dont l'œuvre diverse est toujours reconnue. Nous allons voir tout ça -
Mais si l'enfant a été accueilli il s'agit de ne pas se poser de telles questions... C'est que ça n'était tout simplement pas possible. Oui, tu l'as fait et c'est très bien mais peut être tu en avais les moyens et la santé. Ce qui me paraît dingue c'est que tout de suite on dise : Sale gamin, sale famille. C'est fou ça. Je vais faire un parallèle avec tous ces établissements dont on parle assez en ce moment et d'où les mômes sont sortis cassés, brisés par la violence et violents à leur tour. C'est leur faute, la faute de leurs parents ? La maman confie son fils aux services de l'ASE. Et voilà ce qui se passe. Je ne sais pas pourquoi rechercher la responsabilité 1. du gamin (alors pour le coup lui il n'y est vraiment pour rien hein) 2. de la mère et 3. de sa famille. Les potentiels responsables pouvant être incriminés sur la situation présente : le MECS perce neige de Gap, l'ASE, le Conseil Départemental.
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Un référent qui bosse pour qui ? L'ASE. Et oui les pères se cassent et ? On va en faire le sujet pour dire certains hommes sont des crevards qui abandonnent leur famille ? Ben je veux bien ouvrir un truc du genre mais ici, c'est pas vraiment le sujet ? Le départ de l'histoire c'est : le gamin est confié à l'ASE parce-que la maman est hospitalisée. il y a une forme de déni là.