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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Il s’agit bien d’une mère qui protège son enfant... et c’est difficilement blâmable. L’enfant est aujourd’hui pleinement sous la coupe du père, à des milliers de kilomètres, et sa mère ne pourra pas faire barrage si cet homme se permet d’user de la force avec l’enfant comme il l’a fait auparavant avec elle.
  2. Il semblerait que cette femme ait fui un homme violent et un pays hostile. C’est juste du bon sens.
  3. Elle est très jolie, en effet. Il y a quelque chose de Penelope Cruz. C'est une beauté ténébreuse. Ses robes sont superbes et le maquillage des yeux est canon (très facile à reproduire). C'est un RPG. Beaucoup de mobilité, de libertés. Je n'ai joué qu'au troisième volet. Les paysages sont somptueux et la BO du jeu fait voyager dans le temps et les Nordics. On retrouve bien cette atmosphère dans la série. La série m'a aidée a mieux comprendre comment et pourquoi Yennefer est liée au sorcelleur, une quête l'évoque, brièvement. Leur relation amoureuse est particulière. Il y a aussi une sombre histoire de licorne (^.^), à venir sûrement dans la saison 2 ou 3.
  4. Les anguilles sont vecteurs de pouvoir et il me semble qu'elles aident à conserver le pouvoir en ces lieux. La magie fonctionne selon un principe d'équilibre. Il doit y avoir plus d'explications dans le roman. Les sorciers, leur organisation, les complots, c'est ce que j'ai surtout retenu de cette première saison. Le personnage de Yennefer, dans la série, est très intéressant et attachant. Très bien interprété aussi. Oooh le sorcelleur ne dit pas que "merde", le jeu vidéo déboîte pas mal. Malgré cela, les cheveux blanc, ses yeux étranges, son petit air taciturne, le personnage reste charismatique. Seul regret, la sublime voix sourde de Géralt n'a pas été conservée pour la série : Le synopsis est bon. L'acteur... bon c'est physique, je ne le supportais déjà pas dans Gossip Girl alors qu'il incarnait Dan Humphrey. Beurk.
  5. Agoravox est un média participatif. N'importe qui peut s'y improviser polémiste. Rien n'est vérifié, rien n'est vérifiable. Aucune validité. Ce n'est pas bon pour ce que vous avez cela. Vous devriez arrêter. En effet, si c'est anxiogène, vous avez un tantinet tendance déjà à la paranoïa. La calomnie, la diffamation existent bien évidemment. Ces accusations sont très graves et le/la conjoint(e) qui y a recours s'expose à un retour de bâton monumental. Il ne faut pas être bien intelligent(e) ou vraiment très joueur. Jouer avec la garde de son enfant ? Hum. C'est davantage la fréquence que je conteste, tout comme une facilité à faire. Je n'aime pas trop ces affirmations et d'autant que le sophisme est monnaie courante. Pour les esprits les plus retors, les fausses victimes seraient ainsi en nombre. Les victimes sont déjà à peine audibles, elles dérangent, et le sujet est trop grave, ne croyez-vous pas ?
  6. Peut-être parce qu’on n’arrache pas un enfant à sa mère, tant qu’elle n’est pas maltraitante. Un petit enfant a souvent besoin de sa mère et il est sage de ne pas l’en priver. Jolie vision d’un monde apocalymerdique ! Il n’est pas courant, non, d’accuser faussement son ex de pédophilie, en France. Ni même facile.
  7. Ce petit bonhomme est donc arraché à sa mère et envoyé au Japon, afin que la justice japonaise, elle, puisse statuer quant au droit de garde... C’est complètement sidérant. Notre justice semble de plus en plus impuissante et en toutes choses. Il serait temps de se remuer là. Il devient aussi plus que urgent que nous entendions les intérêts de l’Enfant quel qu’en soit son âge (aujourd’hui l’audition d’un mineur se fait à partir de 13 ans, semblerait-il), que nous lui accordions véritablement des droits.
  8. Pareillement, de mon côté, il y en a quelques uns (je ne saurais chiffrer et d’autant que cela touche à l’intime, que l’on n’en parle pas avec tout le monde). Des femmes prennent aussi des libertés et quand leurs ex conjoints en parlent, c’est surtout sur le ton de l’humour. Ce qui n’enlève en rien au fait qu’ils n’ont pas apprécier, se sentant chosifiés. En l’heure actuelle, alors que la parole s’est libérée, nous allons vers des rapports homme/femme beaucoup plus égalitaires, respectueux et donc, sains. Nous observons paradoxalement une résistance -si je puis écrire- ou une défiance, chez les plus jeunes générations comme s’il y avait un impératif de virilité brute, très stéréotypée. Il faut (se) montrer. Les hommes, dans la fleur de l’âge, sont plus propices à l’écoute et à avancer. Le dialogue, il n’y a que ça de vrai.
  9. Les monstres ne sont pas jojo, et les paysages sont parfois faits d'images de synthèse. Par contre, Henry Cavill incarne plutôt bien le "loup blanc", et un personnage comme Yennefer, par exemple, est bien plus intéressant et complexe dans la série, que dans le jeu. Jaskier est amusant sinon et Géralt sait être sarcastique.
  10. Je concède que Youtube, c'est cool pour la musique, ah et pour les tutos coiffure aussi parfois. Rendons à César...
  11. Auparavant, nous assimilions le viol essentiellement à la brutalité. Une brutalité commise par un inconnu. Dans une ruelle sombre. Nous entendons aujourd'hui, qu'il peut en être autrement, nous l'entendons néanmoins encore timidement. Les mouvements qui ont été à l'origine de crises d'angoisse chez les hommes les moins vertueux -tels #MeToo- ont apporté avec la libération de la parole des femmes. L'agression sexuelle peine encore à être reconnue autant auprès de la Justice, que du tribunal du peuple, alors le viol conjugal... Nous n'en sommes qu'aux prémisses et la route promet d'être longue. Il y a un manque d'empathie évident à l'endroit des victimes. Il faut écrire que nous étions habitués à leurs silences. Dans cette société hyper sexualisée qu'est la nôtre, il est plutôt peu rassurant qu'il y ait peu ou prou de dialogue. Comme si elle était aussi aphone. Ce qui touche à la sphère privée nous mène paradoxalement au moindre effort. Les adultes se sentent gauches et pudibonds, tant il faut sensibiliser leur progéniture. Pourtant il y aurait grandement besoin. Ce n'est pas évident d'être parents, soit. Filles et garçons doivent être avertis que le devoir conjugal est une ineptie pour exemple, que les uns et les autres n'ont à se soumettre aux pulsions animales. Nombre d'entre eux sont ignares. Des hommes ont pris leur conjointe dans leur sommeil notamment, ou l'ont forcée sans se dire, un instant, qu'il s'agissait tout de même bien d'un viol. D'autres n'en sont pas vraiment choqués. Cette question "J'ai été un violeur ?" raisonne comme une provocation chez les victimes. Nous serions dans le cadre de la polémique et non du dialogue. Puis, le hashtag, qui s'en est suivi #j'aiétéunvioleur, qui a suscité de vives réactions, est pour le moins inquiétant. Humainement parlant, les réactions des victimes sont compréhensibles. Que des hommes se questionnent quant à leur actes et leur virilité, également. Il est souvent ardu de considérer chaque vie dans son infinie complexité. De la maladresse peut-être pour les uns, et une course aux like sans doute, pour les autres. Youtube est un support détestable, tant il s'agit d'échanger au sujet du "sociétal". À l'image de Twitter. L'un comme l'autre ne se pressent pas pour avoir recours à la modération, ou bien elle est inexistante. Sans parler des vidéos pseudos scientifique (sans validité de la source, of course), qui y pullulent. C'est aussi le support préféré des adolescents, avec Snapchat. C'est sympa pour la musique, mais alors pour le reste... Les polémistes en herbe s'y déversent et cela ruisselle ensuite à travers d'autres réseaux sociaux. Parfois, jusqu'aux quotidiens. Les sujets qui y sont abordés sont très sensibles, il faut taper fort (Twitter, lui, est spécialisé dans la punchline, et d'ailleurs le nombre de caractères y est limité... en plus du reste). Le recours à la caricature y est trop fréquent. Des poubelles à ciel ouvert et plus grave encore : des nourrices 2.0. Il n'est pas rare de tomber sur des vidéos de jeunes youtubeurs totalement hallucinés, pour ne pas écrire complètement azimutés et au ton emprunté (ils ont tous le même). Nous assistons à des démonstrations lunaires entre exagérations et extrapolations et l'adolescent prend souvent tout au premier degré : "toutes les féministes sont des néo-féministes hystériques qui s'exhibent les seins à l'air", et "tous les végans sont membres VIP de L214". Le viol est un sujet sensible et le support ne convient pas forcément pour en parler, à mon sens... ou du moins pas comme ça. Il est toujours de coutume de faire passer les femmes pour des hystériques. C'est une étiquette pour faire taire. Parmi ces femmes certaines ont subi le viol, et ce n'est pas rien, non. Nos jeunes ont du mal avec la nuance et il convient absolument toujours de reprendre les vidéos de ces youtubeurs, point par point, et démystifier. C'est cela ou les laisser devenir aussi indigents que ces "stars" du net.
  12. On peut surtout faire ce que l'on veut de son argent. Si vous avez une passion pour les cafés, les relents d'anisette, de cigarette, le PMU ; vous pourrez convenir que d'autres l'ont pour l'automobile et quel que soit l'âge, d'ailleurs. Cette vieille jalousie. Brrr.
  13. La foire aux vanités, adaptée du roman de William Thackeray (Vanityfair) et diffusée sur Arte. Les 3 premiers épisodes sont disponibles en replay. Becky Sharp y est incarnée par Olivia Cook (Bates Motel), avec beaucoup de panache, et on finit par sourire des sorties de cette petite effrontée et arriviste.
  14. Le souci c'est qu'ils ne chassent pas toujours sur leur territoire, ces zones où les voitures sont rabaissées, tunées, et où le chant régional c'est la compil' de "Jaunie".
  15. Vous racolez monsieur-madame. Vous radotez aussi. Si vous ne vous exprimez qu'à l'imparfait du subjonctif, vous donnez à votre langue un style ampoulé qui n'entraîne personne. Vous manquez autant de créativité, que de vigueur. Quant aux idées... Veuillez cesser de faire des rififis. Je ne suis pas intéressée.
  16. Les sifflements sont communs. Il n'y a pas une seule femme qui ne se soit pas faite siffler, héler, klaxonner et même suivre dans la rue. Les cris de loup, ça peut encore arriver, en effet. La première fois, ça fait sursauter. Ce qui est aussi inquiétant, c'est que nous avons droit à ce genre de manifestations animalières, très jeunes, ou certains hommes en rut visiblement, sont largement en âge d'être de bons petits pères de famille. Cela se voit moins à la campagne, en effet puisque tout le monde se connaît, et dès lors il n'y a pas de laisser faire. Si le fils de Jean-Michel s'est montré rustaud, il suffit d'aller en toucher deux mots au paternel qui réglera rapidement l'affaire. Pour réagir à l'article, les hommes sont en effet des territoriaux et l'espace public est leur domaine. Difficile de le nier. Dans la rue, en effet, nous ne sommes pas disposées à être traquée (ça tient plus à cela qu'à de la drague). Ni au-dehors d'ailleurs, il y a toujours une idée bien installée d'un homme conquérant et d'une femme à domestiquer. Cela fait aussi partie d'une tradition. Bannir la drague est peut-être un peu fort. D'autant que certaines s'y adonnent aussi. Il suffirait d'en redéfinir les codes. D'aller vers plus de respect, simplement. Ou bien. Les beaufs le sont. Les hommes, non. Nombre d'hommes considèrent le féminisme comme des histoires de bonnes femmes. Ils restent plutôt désintéressés. S'ils ne sont pas solidaires (il y a aussi peu de sororité, finalement) c'est encore préférable aux masculinistes, à l'article de la mort, puisque selon eux, les femmes auraient déjà trop de pouvoir. Alors non, étant donné que la majorité est hétérosexuelle, les femmes préfèrent toujours avoir affaire aux hommes éduqués. Une femme qui drague une femme n'est pas toujours douce et élégante, il y a d'ailleurs un certain mimétisme chez celles-ci, voire une surenchère : drague façon Dédé le routier. Ou devant la terrasse d'un café où une bande d'amis est confortablement installé afin d'observer les passantes. Il y a un effet de groupe.
  17. Quand nous n’aimons pas la drague, nous pouvons aussi entendre que d’autres peuvent aimer cela et tant que nous n’avons à subir des sifflements et des cris de loup pour exemples (que certains assimilent à de la drague lourde alors qu’il s’agit de la plus franche manifestation d’une éducation crasse).
  18. @libredeparler Dites donc coquin, votre titre ne correspond pas à celui de l’article.
  19. Chouette, il y a encore de la vie sur ce sujet ! @Elsa, tu dois avoir raison. L'hiver, la crème Polaar et les produits Vichy en parapharmacie, me sauvent. La peau est agressée par le froid et nous pouvons mettre des années à trouver des crèmes qui conviennent, d'autant quand elle est sensible. Oui, les crackers sont très en vogue, il y a aussi des petits coffrets cadeaux à suspendre dans le sapin. Polaar en propose un justement. Chez Rituals aussi ou encore Kat Von D. Un pierre précieuse de massage gua-sha ? Alors, ça, ça m'intéresse.
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