Aller au contenu

Doïna

Membre+
  • Compteur de contenus

    19 538
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    19

Tout ce qui a été posté par Doïna

  1. Doïna

    La virilité

    Personne ne me fera croire que le courage est un attribut masculin plutôt que féminin, d'autant plus que le courage n'est pas une affaire de force physique. Prétendre cela, c'est insulter les résistantes qui se sont battues pendant la Seconde Guerre mondiale, et ce n'est qu'un exemple, car l'Histoire fourmille de femmes courageuses, tout autant que d'hommes veules. Mais passons... Le courage peut se manifester de mille façons : tenir tête à toute une hiérarchie quand tout le monde ne sait que plier l'échine n'est pas affaire de muscles, pourtant c'est bien du courage. Savonarol nous dit que le courage se travaille. Le courage est normalement une qualité innée, mais je veux bien croire qu'un travail sur soi puisse aider un individu à gagner en courage. Cependant attention : chasser le naturel avec une fourche, il revient en courant. Un vrai lâche aura beau apprendre à avoir du courage, il se peut que par la suite il passe son temps à jouer à cache-cache avec cette lâcheté dont il est indécrottable. Enfin, on pourrait se poser la question : pourquoi l'homme dépourvu de courage ne mérite pas ce titre de "viril" ? "Viril" qui découle du latin "vir"= homme, qui a donné "virilis" = fort, vigoureux. Depuis la nuit des temps, les adolescents ont été confrontés à des épreuves de passage dans le monde des adultes. Des épreuves qui exigeaient du courage, de la ténacité, des aptitudes physiques, et qu'il ne fallait pas refuser sous peine d'être rejeté par les autres. Tantôt ces épreuves s'étendaient aux filles, parfois à toutes sans distinction, parfois seulement à celles aspirant à devenir guerrières (ainsi en était-il chez les Celtes). Concernant les filles, ce n'était pas systématique, et on ne le jugeait sans doute pas nécessaire en sachant qu'elles avaient déjà les épreuves des premières règles, puis du dépucelage durant leur nuit de noces, et enfin celle de l'accouchement (beaucoup n'y survivaient pas). En revanche, pour les garçons, il en allait autrement : il fallait les préparer à devenir de bons chasseurs, de grands guerriers pour défendre la tribu ou la cité, des travailleurs acharnés pour assurer la subsistance d'une famille. De tels rituels de passage dans le monde des adultes existent encore sur certains continents. Quant à nous, peut-être en avons-nous gardé le souvenir inconscient : à nos yeux, l'homme viril a certaines aptitudes (courage, vigueur, force, etc.) que l'homme de peu n'a pas. En somme, l'homme viril est l'homme accompli selon nos critères ancestraux.
  2. Doïna

    La virilité

    Pourtant, si tu savais combien il en faut du courage quand on est une femme, parce que justement les femmes sont globalement moins bien dotées pour passer par la confrontation physique. Une femme doit pourtant un jour ou l'autre se défendre, tantôt verbalement, tantôt physiquement. Souvent même, être une femme exige un courage de tout instant, l'existence féminine se révélant une lutte permanente contre une misogynie qui peut prendre milles visages et peut être très agressive, très humiliante. Cela dit, oui, quand les hommes sont lâches, qu'ils n'ont aucun courage, c'est moche, cela ne les honore pas. Maintenant, avancer que la manipulation soit un truc de bonnes femmes, ça c'est faux. Disons que tous les défauts et toutes les qualités se retrouvent en société, mais ne sont pas l'apanage de l'un ou l'autre sexe.Maintenant, penchons-nous sur ce mot -courage- : il vient du mot "cœur" considéré comme le siège des sentiments nobles, lui-même prenant source dans un vocable indo-européen signifiant les entrailles. Celui qui n'a pas de cœur n'a pas de sentiments, il est incapable d'aimer, de croire en une cause, d'avoir la foi, d'être généreux... Cela fait de lui un être vide de bonté... et de courage. Dans le monde médiéval, le vaillant chevalier combattait avec son cœur, tout comme de nos jours le pompier au grand cœur n'hésite pas à braver les flammes pour sauver des vies. Encore de nos jours, on n'est pas un homme si on agit lâchement. Disons qu'un homme lâche est un homme, mais qu'on aura tendance à le qualifier de "tapette", à lui balancer "qu'il a pas de couilles", etc. alors qu'on devrait lui reprocher de n'avoir pas de cœur, les testicules ne constituant pas le siège du courage. Maintenant, prétendre que notre société déconstruit la virilité et est en passe de devenir une société de lâches, c'est mal connaître les sociétés antérieures. A moins que ce ne soit "la bêtise de l'affrontement physique" contre "le bon sens de la diplomatie". Et puis, Machiavel était un mec après tout !
  3. Perso j'ai aussi tenté l'expatriation, ayant trouvé à mes heures la France détestable, choquée surtout, dans les boîtes où j'ai travaillé, par les attitudes exécrables de mes collègues et leurs intrigues débiles. Sans compter qu'on a tendance à croire l'herbe plus verte ailleurs quand on est jeune. J'ai donc joué les pierres qui roulent pendant quelques années, pour en arriver à cette conclusion que rien n'était parfait nulle part, que tous les pays avaient leurs côtés détestables. En Grande-Bretagne, pour ne citer qu'un exemple, j'ai trouvé qu'on faisait peu de cas des difficultés des gens en état de précarité, que leurs services sociaux pouvaient se montrer inhumains et que la pauvreté pouvait être bien pire qu'en France, ce que les touristes en voyage là-bas ne verront jamais parce qu'on prend bien soin de cacher tout ça loin des circuits touristiques. En fait, plutôt que de fuir la France en tant que pays détestable, pourquoi ne pas œuvrer chacun à son niveau pour en faire un pays adorable ? Il faut réapprendre à s'apprécier les uns les autres avec nos différences : hommes et femmes, jeunes et vieux, riches et pauvres, etc. réapprendre à s'unir, à s'entraider, à ne pas se rapprocher toujours de ceux pour qui tout va bien, à ne plus tourner le dos à celui qui a des ennuis, à être moins nombriliste, etc. Redonner, surtout, ses lettres de noblesse à l'amitié, respecter la parole donnée, ne pas considérer les autres sous l'angle du profit... Enfin, je suis en train de rêver je crois !
  4. Doïna

    Télékinésie

    Bonjour, je me suis permise d'ajouter une de tes vidéos pour que les forumeurs découvrent :
  5. http://youtu.be/lWBG6rJ1Vg8?list=PLIf6SB6oKWP146ZdRPfbYSwz6X13ZjxnE
  6. C'est vrai qu'après lecture de ce sujet, je me demande moi aussi pourquoi on ne va pas se procurer du sable là où il est en excès : au Sahara donc ! Sans compter que ce serait une source de profits non négligeables pour des populations qui vivent dans une pauvreté extrême, comme au Mali par exemple.
  7. Doïna

    Joyeux anniversaire Neph

    Bon anniv' (mieux vaut tard que jamais).
  8. Doïna

    Bracelets Rainbow Loom

    On les appelle aussi les ludic bands, avec le "machin" on peut leur donner encore plus de formes...
  9. Doïna

    Où est Alésia ?

    Tu parles de la colline du Mont Bart, avec d'un côté l'Allan et le Doubs, et de l'autre le Rupt ?
  10. Des enfants, ça se fait à deux, donc ça doit s'élever à deux. De même, quand on vit en couple, un logement se partage à deux, donc logiquement ça doit s'entretenir à deux. D'où l'intérêt du féminisme pour rappeler que le ménage et l'éducation des enfants ne doit pas être qu'à la charge des femmes, et que les hommes doivent y mettre de leur personne aussi, entre autres mille choses à rappeler sans cesse pour que l'égalité soit enfin !Bon maintenant, les femmes en ont peut-être assez de s'entendre dire qu'elles payent cher leur liberté par des hommes qui n'ont jamais eu ce problème d'être privés de droits fondamentaux en raison de leur sexe. Sans compter qu'en partant sur ce principe qui voudrait que ce soit toujours mieux avant sans même se renseigner un minimum sur ce qu'il en était réellement, on n'avancerait plus.
  11. Merci ! Si tu as des renseignements sur Momo, n'hésite pas à les ajouter, ça complèterait.

  12. Bon, plus sérieusement, je refais monter ce sujet, il en vaut bien la peine après tout ! Et puis histoire de parler encore un peu du patriarcat, dont les vestiges font encore de l'ombre dans notre société... Le patriarcat que certains regrettent ouvertement ainsi qu'on peut le lire sur les forums parfois, les nostalgiques de ce régime étant vraisemblablement des hommes (et parfois même des femmes !) qui pensent que cela aurait été plus facile pour eux si c'était resté comme avant, ce qui est pour le moins égoïste. Donc le patriarcat, pour rappel, outre le territoire soumis à l'autorité d'un patriarche au même titre que la baronnie l'est au baron, la comté au comte et le duché au duc (sauf que le territoire du patriarche se limitera tout au plus à la clôture du potager, si ce n'est la porte d'entrée de l'appartement loué dans un immeuble), c'est le système familial et social fondé sur l'autorité du père et la descendance par les mâles. Le patriarcat implique par conséquent que tous les membres du foyer : l'épouse (ou les épouses), les enfants mineurs des deux sexes et les filles majeures non encore mariées, doivent remettre leur vie entre les mains d'un seul homme : le pater familias, et lui vouer bon gré mal gré une confiance sans bornes parce que c'est à lui que reviennent toutes les décisions. Voilà qui est bien lourd de conséquences ! En effet, en sachant que ce "pater familias" n'est rien de plus rien de moins qu'un être humain, alors que se passe-t-il quand il est défaillant, ou n'a pas l'intelligence nécessaire pour prendre de bonnes décisions ? Que se passe-t-il quand toute une société considère que tout ce qui vient des hommes constitue l'unique bon sens, et que l'on ne reconnait plus le bon sens de tous les autres individus au prétexte de leur genre féminin ? Logiquement, on aboutit à une société bancale, qui ne s'appuie que sur les hommes sans tenir compte des faiblesses, des défaillances que peut induire leur humanité. Une telle société ne peut que prendre des allures de dystopie, pour au final provoquer sa propre chute. C'est ce qui s'est passé avant la Seconde Guerre mondiale : on a voulu que les hommes répondent à telle représentation de l'homme : celle du guerrier, puis comme les hommes décidaient de tout, on a laissé galoper leur bellicisme avec bienveillance, on l'a flatté jusqu'à l'exacerber : un homme n'a pas peur de foncer au combat, un homme doit conquérir, un homme ne se retourne pas sur les vaincus, etc. pendant que les faibles femmes se dévouent à la cuisine et prient pour eux à l'église. Et ceci n'est qu'un exemple dans l'histoire ! Enfin, qu'implique le patriarcat au niveau individuel ? Les individus peuvent-ils s'épanouir réellement dans une société patriarcale ? Concernant les femmes, évidemment non, c'est impossible pour elles de s'épanouir dans une telle société, puisqu'on leur dénie tout libre-arbitre, donc leur humanité profonde, ne les prenant même plus au sérieux, les reléguant à telles tâches ou tels endroits dans un univers conçu par les hommes et pour les hommes. Cette vague d'hystérie constatée par Freud ne serait donc rien d'autre que la manifestation d'un mal-être purement humain dans un contexte où l'humanité n'est plus reconnue au motif du genre sexuel de l'individu. Et concernant les hommes ? Un homme peut-il s'épanouir dans une société qui lui impose tel comportement, telles attitudes, telle façon de penser pour prouver son genre masculin, allant jusqu'à le couper de l'expression de ses sentiments les plus profonds : un mec ne pleure pas, un mec ne recule devant rien, etc. ? Pourquoi un homme devrait retenir ses larmes quand il est triste ?
  13. La licorne rose n'est qu'une satire : elle a été inventée par les athées pour se moquer des croyants, mais personne ne croit en une licorne rose qui aurait un caractère divin.
  14. Traduction ? Après l'anchoïade et l'oursinade, la patriarcade :smile2:
  15. Effectivement il y en aura toujours pour reprocher aux femmes d'aller servir sous les drapeaux, mais ces gens qui reprochent aux femmes de risquer leur vie dans une carrière militaire oublient qu'une femme risque sa vie aussi en tombant enceinte, car même actuellement une parturiente peut périr lors d'un accouchement. C'est d'ailleurs une réalité courante dans certains pays, triste réalité que des féministes hommes et femmes s'emploient à mettre en recul par l'information, la création de plannings familiaux, la systématisation des suivis médicaux plus systématiques des femmes enceintes, etc.
  16. Alors il faut changer notre regard sur ce problème. D'ailleurs, on peut aussi se faire agresser dans la rue par des voyoutes (à moins que le féminin de voyou ne soit "voyelle" ?), ça arrive, il n'y a qu'à lire les journaux. Il va falloir trouver le féminin de "voyou" au nom de l'égalité des sexes. :D
  17. Quand un homme est maltraité par sa compagne, ne peut-il déposer plainte contre elle, faire constater les coups par un médecin légiste et la contraindre à des dommages et intérêts ?
  18. Pour en finir avec les idées reçues concernant cette idée qui voudrait que la justice favorise les mères par rapport aux pères : s’agissant des dossiers de divorce, pour ce qui concerne la résidence des enfants, dans environ 50% des affaires le divorce est un « consentement mutuel », ce qui signifie que ce sont les deux parents qui, eux-mêmes et ensemble, décident chez qui leur enfant va vivre. Il n’y a donc aucun conflit sur ce point et aucun des deux ne peut prétendre être désavantagé par rapport à l’autre ; dans les autres divorces, qualifiés de « contentieux » (les 50% restants), le désaccord porte principalement sur la raison d’être du divorce et éventuellement ses conséquences matérielles et financières. En effet, même dans ces dossiers hors consentement mutuel, les parents sont d’accord sur le lieu de résidence de leur enfant dans environ 87% des cas, et majoritairement l’accord entre eux deux aboutit à une résidence au domicile de la mère. Il n’y a donc un véritable conflit entre les deux parents à propos du lieu de vie de l’enfant que dans 6,5% des divorces ; (...) Cela signifie que les réels conflits entre père et mère autour du lieu de vie de l’enfant n’apparaissent que dans environ 22% des dossiers ; dans ces 22% de dossiers conflictuels, la résidence des enfants a été fixée dans 47% des cas chez la mère, dans 26,5% des cas chez le père, et dans 26,5% des cas en alternance chez les deux parents ; enfin, l’analyse des dossiers montre que quand les droits de rencontre d’un parent ont été réduits, c’est à chaque fois pour des difficultés liées à son comportement (violence, alcool, stupéfiants, agressions sexuelles...) ou à cause d’une absence de logement adapté. (...) Par ailleurs, il est également écrit que « l’exercice du droit de visite et d’hébergement ne peut être refusé à l’autre parent que pour des motifs graves ». (Cf lien pour lire l'article dans sa totalité). **************************************************************************************************** Cette analyse (qui date de 2013) nous montre que ce n'est pas le fait que vous soyez un homme qui va vous défavoriser devant le juge aux affaires familiales (hormis peut-être quand l'enfant est en bas âge et allaité, ce qui semble évident), que dans la plupart des cas ce sont les pères qui préfèrent que les enfants soient plus souvent auprès de leurs mères, car, du même coup, cela devient plus facile pour eux de refaire leur vie et se consacrer à leur emploi. Aussi, la systématisation d'une garde à 50/50 ne les arrangera pas tous. J'ajoute à ce post quelques liens vers des cas d'enfants confiés à leur père, alors que la mère n'était pas défaillante, ni SDF, donc en mesure d'avoir la charge d'un mineur : Un lien Un autre Un dernier Au sujet de mr Charnay (le papa sur la grue jaune) il faut savoir aussi qu'il n'est pas si innocent...
  19. Oui, c'est vrai, il n'y a qu'à voir les discriminations et humiliations des femmes militaires dans l'armée.
  20. Il serait bon d'ouvrir un topic pour parler de cet autre sujet, ou mieux : investir ceux en parlant déjà, parce que là on est sérieusement à côté de la question initiale qui a rapport au féminisme.
  21. C'est vrai, les masculinistes, les soral et autres anti-féministes forment une nébuleuse totalement victimaire (voir mon lien, qui vous fera découvrir un condensé de ces idées nauséabondes qu'ils véhiculent).
  22. La société est toujours structurée, plus comme sous le maréchal Pétain évidemment, mais structurée elle l'est, il ne faut pas avoir peur.
  23. Le lien droit/devoir était un des principes de la féodalité : le paysan a le devoir de nourrir son seigneur et d'assurer les corvées, mais a le droit d'être défendu par son seigneur, qui pour sa part a le droit de percevoir certains impôts et est exempt de travail, mais en revanche a le devoir de combattre pour protéger ses terres et d'abriter ses habitants au sein de son château fort en cas d'attaque. Maintenant, ça ne marche plus comme ça, il y a une certaine asymétrie entre droits et devoirs. Des droits et devoirs qui, du reste, ont changé du tout au tout depuis le Moyen-âge ; néanmoins notre société est plus juste que la société médiévale.
  24. Inutile d'aller me chercher des inepties du style "réclamer le droit de pêcher dans le ciel" comme exemples, c'est toi qui ne comprends pas la société dans laquelle tu vis. C'est une société qui s'est conformée à la Charte universelle des droits de l'Homme (pour toi je précise que par "Homme" il est entendu le genre humain, donc cela inclut les femmes) : "Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits." ; "Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. " ; "Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude" ; "Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique. " ; "Toute personne a droit au travail (...) Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. " ; etc etc. Je pourrais également te rappeler dans quelles conditions les femmes ont enfin été admises à voter, donc petite leçon d'histoire : Le 23 juin 1942, le général De Gaulle, très admiratif des très courageuses résistantes, a déclaré "une fois l'ennemi chassé du territoire, tous les hommes et toutes les femmes de chez nous éliront l'Assemblée nationale". Sauf que dans notre société, de nos jours, le mariage n'est plus seulement un droit, c'est aussi un choix, mais ce n'est en aucun cas un devoir : nul n'est contraint de se marier, de même que ceux qui se marient n'ont pas l'obligation de fonder une famille. Faire des enfants est donc un droit, mais non pas un devoir, c'est un choix. Dans un couple, si la femme ne veut pas avoir d'enfants, le mari n'a pas à l'y contraindre. Voilà pourquoi les couples homosexuels peuvent se marier.
×