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Amazones

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Tout ce qui a été posté par Amazones

  1. Amazones

    Les suicides

    Bonjour, Il n'y a pas vraiment de solution apportée, il faudrait déjà qu'ils changent leur manière à entrevoir l'avenir et ne pas désespérer à ce qu'ils ont à subir. Certes, les combats sont périlleux et délicats mais c'est bien à eux à savoir s'ils ont la volonté à les trépasser. Il faut reconnaitre que les circonstances de la vie sont dure et que chaque contexte à un suicide lui en est propre, mais s'il était aussi facile d'en réduire, cela se serait. Le cerveau humain est bien complexe, sans omettre de se décourager sans pour autant avoir l'espoir d'arriver à y faire front .... une confiance totale en soit. Il n'a jamais été simple de se donner la mort, même du moyen apporté, on ne sait en rien ce qu'il se passe dans leur manière d'entrevoir la réalité ou dans leur tête pour en arriver là, même si suggestion soit. Il se pourrait qu'il soit déjà détruit en eux au point de mettre fin à leur cauchemar qui sont pour eux, une mort déjà bien entamée. Oui, ils laissent derrière eux, des êtres d'importance mais si ce geste a été franchi, c'est bien qu'ils ne les voyaient plus vraiment ou de trop. On serait étonné de les apercevoir rire le matin et se donner la mort peu de temps après. L'apport de la vie n'est pas choisi mais bien du moyen qu'il lui ai proposé d'en finir.
  2. Oh fichtre .... j'ai une petite tête, c'est normal ;)

    Je me doute bien que tu ne voulais l'écrire pour le mag mais si tu t'y connais, j'aimerais en savoir d'avantage car c'est un art qui m'intéresse et dont on ne peut l'abreuver uniquement par ces souhaits mais bien plus entre les mains de personnes qui en connaissent. A peluche

  3. Bonjour Loopy, je ne pense pas qu'il y ait une suite à mon article sur les échecs mais cela dit, si tu veux t'y lancer, je serais d'accord pour y découvrir les subtilités de ce jeu :p

    En tous les cas, moi, je m'arrête là lol

    Au plaisir et enchantée

    Ama

  4. Amazones

    Participation forumienne d'Amazones (2/2)

    Kikou mon papillon, si tu veux, tu peux jouer avec moi, vu mon niveau, il ne sera pas dure de me battre :D Bisous
  5. Amazones

    Participation forumienne d'Amazones (2/2)

    Merci de vos mots pour cette seconde partie qui a été un peu litigieuse à réaliser, vu tout ce qu'il peut se proposer à cet art. Bon cela dit, il n'y aura de suite, sinon mon sommeil risque d'en être restreint :p. Bisous et au plaisir :blush:
  6. Amazones

    Art (par Amazones)

    Cela est de même pour mon goût, j'adore ce concept de jumelage. Et surtout de détails impressionnants. :blush:
  7. Amazones

    Participation forumienne d'Amazones (1/2)

    Mais de rien, tout le plaisir fût pour moi et puis, j'ai beaucoup appris en le réalisant Bisous :blush:
  8. Amazones

    L'art au service des hommes, par Amazones.

    Bonjour et merci pour votre intérêt à cet article :) Au plaisir
  9. Amazones

    un jour... un poème

    Bonjour Poème de Victor Hugo - La statue, tiré du recueil Les Rayons et les ombres en 1840 --- Il semblait grelotter, car la bise était dure. C'était, sous un amas de rameaux sans verdure, Une pauvre statue, au dos noir, au pied vert, Un vieux faune isolé dans le vieux parc désert, Qui, de son front penché touchant aux branches d'arbre, Se perdait à mi−corps dans sa gaine de marbre. Il était là, pensif, à la terre lié, Et, comme toute chose immobile, oublié! Des arbres l'entouraient, fouettés d'un vent de glace, Et comme lui vieillis à cette même place ; Des marronniers géants, sans feuilles, sans oiseaux Sous leurs tailles brouillés en ténébreux réseaux, Pâle, il apparaissait, et la terre était brune. Une âpre nuit d'hiver, sans étoile et sans lune, Tombait à larges pans dans le brouillard diffus. D'autres arbres plus loin croisaient leurs sombres fûts ; Plus loin d'autre encore, estompés par l'espace, Poussaient dans le ciel gris où le vent du soir passe Mille petits rameaux noirs, tordus et mêlés, Et se posaient partout, l'un par l'autre voilés, Sur l'horizon, perdu dans les vapeurs informes, Comme un grand troupeau roux de hérissons énormes. Rien de plus. Ce vieux faune, un ciel morne, un bois noir. Peut−être dans la brume au loin pouvait−on voir Quelque longue terrasse aux verdâtres assises, Ou, près d'un grand bassin, des nymphes indécises, Honteuses à bon droit dans ce parc aboli, Autrefois des regards, maintenant de l'oubli. Le vieux faune riait. Dans leurs ombres douteuses Laissant le bassin triste et les nymphes honteuses, Le vieux faune riait, c'est à lui que je vins ; Ému, car sans pitié tous ces sculpteurs divins Condamnent pour jamais, contents qu'on les admire, Les nymphes à la honte et les faunes au rire. Moi, j'ai toujours pitié du pauvre marbre obscur. De l'homme moins souvent, parce qu'il est plus dur. Et, sans froisser d'un mot son oreille blessée, Car le marbre entend bien la voix de la pensée, Je lui dis : −− " Vous étiez du beau siècle amoureux. Sylvain, qu'avez−vous vu quand vous étiez heureux? Vous étiez de la cour? Vous assistiez aux fêtes? C'est pour vous divertir que ces nymphes sont faites. C'est pour vous, dans ces bois, que de savantes mains Ont mêlé les dieux grecs et les césars romains, Et, dans les claires eaux mirant les vases rares, Tordu tout ce jardin en dédales bizarres. Quand vous étiez heureux, qu'avez−vous vu, Sylvain? Contez−moi les secrets de ce passé trop vain, De ce passé charmant, plein de flammes discrètes, Où parmi les grands rois croissaient les grands poètes. Que de frais souvenirs dont encor vous riez! Parlez−moi, beau Sylvain, comme vous parleriez À l'arbre, au vent qui souffle, à l'herbe non foulée. D'un bout à l'autre bout de cette épaisse allée, Avez−vous quelquefois, moqueur antique et grec, Quand près de vous passait avec le beau Lautrec Marguerite aux yeux doux, la reine béarnaise, Lancé votre oeil oblique à l'Hercule Farnèse? Seul sous votre antre vert de feuillage mouillé, Ô Sylvain complaisant, avez−vous conseillé, Vous tournant vers chacun du côté qui l'attire, Racan comme berger, Regnier comme satyre? Avez−vous vu parfois, sur ce banc, vers midi, Suer Vincent de Paul à façonner Gondi? Faune! avez−vous suivi de ce regard étrange Anne avec Buckingham, Louis avec Fontange, Et se retournaient−ils, la rougeur sur le front, En vous entendant rire au coin du bois profond? Étiez−vous consulté sur le thyrse ou le lierre, Lorsqu'en un grand ballet de forme singulière La cour du dieu Phoebus ou la cour du dieu Pan Du nom d'Amaryllis enivraient Montespan? Fuyant des courtisans les oreilles de pierre, La Fontaine vint−il, les pleurs dans la paupière, De ses nymphes de Vaux vous conter les regrets? Que vous disait Boileau, que vous disait Segrais, À vous, faune lettré qui jadis dans l'églogue Aviez avec Virgile un charmant dialogue, Et qui faisiez sauter, sur le gazon naissant, Le lourd spondée au pas du dactyle dansant? Avez−vous vu jouer les beautés dans les herbes, Chevreuse aux yeux noyés, Thiange aux airs superbes? Vous ont−elles parfois de leur groupe vermeil Entouré follement, si bien que le soleil Découpait tout à coup, en perçant quelque nue, Votre profil lascif sur leur gorge ingénue? Votre arbre a−t−il reçu sous son abri serein L'écarlate linceul du pâle Mazarin? Avez−vous eu l'honneur de voir rêver Molière? Vous a−t−il quelquefois, d'une voix familière, Vous jetant brusquement un vers mélodieux, Tutoyé, comme on fait entre les demi−dieux? En revenant un soir du fond des avenues, Ce penseur, qui, voyant les âmes toutes nues, Ne pouvait avoir peur de votre nudité, À l'homme en son esprit vous a−t−il confronté? Et vous a−t−il trouvé, vous le spectre cynique, Moins triste, moins méchant, moins froid, moins ironique, Alors qu'il comparait, s'arrêtant en chemin, Votre rire de marbre à notre rire humain? " Ainsi je lui parlais sous l'épaisse ramure. Il ne répondit pas même par un murmure. J'écoutais, incliné sur le marbre glacé, Mais je n'entendis rien remuer du passé. La blafarde lueur du jour qui se retire Blanchissait vaguement l'immobile satyre, Muet à ma parole et sourd à ma pitié. À le voir là, sinistre, et sortant à moitié De son fourreau noirci par l'humide feuillée, On eût dit la poignée en torse ciselée D'un vieux glaive rouillé qu'on laisse dans l'étui. Je secouai la tête et m'éloignai de lui. Alors des buissons noirs, des branches desséchées Comme des soeurs en deuil sur sa tête penchées, Et des antres secrets dispersés dans les bois, Il me sembla soudain qu'il sortait une voix, Qui dans mon âme obscure et vaguement sonore Éveillait un écho comme au fond d'une amphore. −− " Ô poète imprudent, que fais−tu? laisse en paix Les faunes délaissés sous les arbres épais! Poète! ignores−tu qu'il est toujours impie D'aller, aux lieux déserts où dort l'ombre assoupie, Secouer, par l'amour fussiez−vous entraînés, Cette mousse qui pend aux siècles ruinés, Et troubler, du vain bruit de vos voix indiscrètes, Le souvenir des morts dans ses sombres retraites! " Alors dans les jardins sous la brume enfouis Je m'enfonçai, rêvant aux jours évanouis, Tandis que les rameaux s'emplissaient de mystère, Et que derrière moi le faune solitaire, Hiéroglyphe obscur d'un antique alphabet, Continuait de rire à la nuit qui tombait. J'allais, et contemplant d'un regard triste encore Tous ces doux souvenirs, beauté, printemps, aurore, Dans l'air et sous mes pieds épars, mêlés, flottants, Feuilles de l'autre été, femmes de l'autre temps, J'entrevoyais au loin, sous les branchages sombres, Des marbres dans le bois, dans le passé des ombres! J'eus toujours de l'amour pour les choses ailées. Lorsque j'étais enfant, j'allais sous les feuillées, J'y prenais dans les nids de tout petits oiseaux. D'abord je leur faisais des cages de roseaux Où je les élevais parmi des mousses vertes. Plus tard je leur laissais les fenêtres ouvertes. Ils ne s'envolaient point ; ou, s'ils fuyaient aux bois, Quand je les rappelais ils venaient à ma voix. Une colombe et moi longtemps nous nous aimâmes. Maintenant je sais l'art d'apprivoiser les âmes. --- Victor Hugo, Buste 1883 par Auguste Rodin On retrouve dans ce portrait tardif les traits de Victor Hugo tels que Rodin les avait saisis dans le buste du poète dit A l'illustre Maitre, réalisé en 1883 au domicile même de l'écrivain. ---
  10. Amazones

    Les reprises des chansons...

    Bonsoir Eveil et à tous du Requiem de Wolfgang Amadeus Mozart --- Doux songes :blush:
  11. Pour une amie en qui je serais là http://www.youtube.com/watch?v=3TNWXuKurrI
  12. Amazones

    un jour... un poème

    Quand .... Quand je n'aurai plus L'âge d'aimer avec passion, Quand j'aurai l'âge De trop de raisons, Quand je n'aurai plus L'âge de croire en demain, Quand j'aurai l'âge De m'habituer à aujourd'hui, Quand je n'aurai plus L'âge de me fier à mon corps, Quand j'aurai l'âge De ne même plus remarquer ton corps, Quand je n'aurai plus L'âge de chanter mes pensées, Quand j'aurai l'âge De taire mes obsessions, Quand je n'aurai plus L'âge de rêver d'avenir, Quand j'aurai l'âge De revivre mon passé, Quand je n'aurai plus l'âge d'aujourd'hui, Quand j'aurai L'âge de demain : Je serai vieux. Mais, dis, t'aimerais-je autant Que je t'aime ? Jacques Bergeron, Montréal
  13. Tu as vu comment je mets le bazar dans ton jeu mdrrrr

    Bisous mon Astrono et à très bientôt ;)

  14. Mdrrr, tu m'as bien fait rire avec l'harcèlement.

    J'imagine le pauvre que même si c'est négatif, il relance lol. Ce qui me parait, cela dit, de toute logique. Bisous et à peluche

  15. Bonjour Kili, très jolie signature, superbe choix.

    Bon après-midi, Ama

  16. Amazones

    Quels sont vos mangas préférés ?

    En ce moment, je regarde On piece en qui certains de mes éclats s'entendent fort bien :p C'est pas mal du tout dirais-je et mes fistons sont contents que je partage cela avec eux. Néanmoins, ce qu'il correspondrait à ma génération, serait les chevaliers du zodiaque. J'ai toujours accroché. Cela dit, je ne m'en souviens plus avec grande exactitude mais je sais que les combats n'étaient de cesse.
  17. Bonjour Tic-Tac, bon courage pour les recherches sur le travail et espère que tu trouveras ce qu'il pourra te convenir. Bisous et au plaisir.

  18. Bonjour eclipse et espère que cela ne sera que temporaire.

    De tout coeur avec ce que tu traverses.

    Bon courage et bisous

  19. Bonjour Frédi et bonne journée.

    Heureuse pour toi, kissouille ;)

  20. Bonjour Loargan, joyeux anniversaire et très bonne journée ;)

  21. Joyeux anniversaire ma kinouille, bisous tout plein ;) <3

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