Passiflore

"Ce mode de vie s'appuie sur trois grands principes: réduction de la consommation: acheter moins mais mieux, en privilégiant la qualité à la quantité. Simplification du quotidien: désencombrer son espace de vie et ses activités pour gagner en clarté mentale". "Acheter moins mais mieux" et "privilégier la qualité à la quantité " oui, cela je le fais et même... dans le cadre de l'amitié, je privilégie la qualité à la quantité. "Désencombrer mon espace de vie": il est "encombré " juste ce qu'il faut, ce qui me convient car j'aime les meubles mais je n'en ai pas en excès, juste ceux dont j'ai besoin. Pareil en ce qui concerne les activités: je n'ai pas envie de me priver de celles que j'aime faire, de celles que j'ai choisies selon mes goûts et mes envies. Quant au "zéro déchet", j'avoue ne pas y parvenir mais je fais de mon mieux pour en limiter la quantité.

"(...) Si la plupart des plantes vénéneuses sont dangereuses, elles ont aussi des vertus curatives. Elles sont à la fois le remède et le poison, selon la dose" est-il écrit dans l'article.

Même Jésus le Christ pleura après la mort de son ami Lazare qu'Il ramena à la vie: "(...) lorsque Marie (l'une des soeurs de Lazare) fut arrivée là où était Jésus et qu'elle le vit, elle tomba à ses pieds et lui dit: Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Quand Jésus vit qu'elle pleurait et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, il frémit en son esprit et fut troublé. Il dit: où l'avez-vous mis ? Seigneur, lui répondirent-il, viens et vois. Jésus pleura. Les Juifs dirent donc: voyez comme il l'aimait ! (...)" (Jean 11; 1-44)

Lorsque l'âme s'échappe de son enveloppe charnelle à l'instant de la mort, elle accède alors dans la dimension spirituelle intemporelle de l'Au-Delà de la vie; elle ne s'endort et ne se réveille pas ensuite. Il y a continuité lors du passage d'un état (vivant) à un autre (mort charnelle); la séparation de l'âme d'avec son véhicule-corps.

Cette croyance n'est pas incompatible avec le chagrin ressenti après la mort d'une personne que l'on chérissait et la douleur due à l'absence de l'être aimé.

Je ne sais pas, n'en ayant jamais mis de ma vie.

Tout dépend de ce que l'on aime faire. Pour certains ce sera la marche (de préférence dans la nature), pour d'autres ce sera la lecture, la musique, une activité artistique ou sportive ou bien des cours de théâtre. À chacun de se choisir l'activité lui convenant et qui lui sera un dérivatif à l'anxiété.

Peut-être as-tu raison et que c'est calculé de la part de sa fille, je n'en sais fichtre rien et demeurant dans l'expectative (position que souvent j'adopte), j'aime à laisser le bénéfice du doute. De toute façon c'est Bayrou qui n'est vraiment pas clair dans cette histoire et qui devra répondre de ses manquements, de son inaction, de son silence.

@Anna2002tôt ou tard il serait vraisemblablement parti, n'étant apparemment pas attaché autant que toi à votre relation, alors mieux vaut qu'il parte au bout de 4 mois.

Il est impossible de duper l'Eternel Dieu de son vivant, lors de sa vie ici-bas et dans l'Au-Delà de la vie, on ne pourra changer d'avis. La notion de fayotage n'est pas de mise avec Dieu.

Peut-être a-t-elle tout simplement voulu joindre son témoignage aux nombreux autres.

A toutes fins utiles je rappelle que le Christ est né pauvre parmi les pauvres, humble parmi les humbles et c'est pourquoi la richesse vaticane ne peut que Lui être une offense.

Pas faux...

"Il ne sait pas que je suis victime et il ne sait pas que je vais témoigner comme victime », assure encore la fille du premier ministre. « Je suis restée trente ans dans le silence. En dehors de ça, pas une allusion, à personne. Mon père, j’ai peut-être voulu le protéger, inconsciemment, je pense, des coups politiques qu’il se prenait localement », relève Hélène Perlant. « Bétharram était organisé comme une secte ou un régime totalitaire exerçant une pression psychologique sur les élèves et les enseignants pour qu’ils se taisent », accuse aussi cette ancienne élève de l’établissement" est-il écrit dans le témoignage du 2ème lien proposé par @Anatole1949

Certaines le sont sans doute devenues car ayant eu trop souvent affaire à l'irrespect, voire la violence des hommes ayant jalonné leur chemin de vie, qu'il s'agisse d'hommes de leur entourage, de leur famille ou bien d'hommes croisés en diverses circonstances. En ce qui me concerne, je ne cautionne pas plus la misandrie que la misogynie mais dans certains cas de femmes en souffrance je la trouve compréhensible; le rejet qu'elles ont des hommes peut aisément se comprendre.

Bien que Bayrou ne soit pas clair (sa femme non plus d'ailleurs) dans cette histoire et savait ce qu'il se passait dans cet établissement, pas sûr qu'il savait de ce qu'y subissait sa fille.

Plus de problème avec les perruches ? Tu arrives à les garder hors d'atteinte de ton fripon de petit chien ?

On a constaté cet état de fait avec l'amiante, notamment mais aussi d'autres scandales.

Je n'ai parlé que de ce que je connaissais le mieux: ce qui me concerne moi. Certaines femmes mais aussi certains hommes sont plus embêtés-ées par les créneaux effectués du "mauvais" côté, selon qu'elles/ils soient gauchers-ères ou droitiers-ères, ce qui semble logique.

'ttention hein, de ne pas en faire un chien "roi" !

Je m'en contrefiche d'être "dans le vent de ce qui se dit " ou du "politiquement correct" (notion que je honnis, soit dit en passant), je dis ce qui fait partie de ma vérité à moi (mon côté foncièrement honnête, sincère), un point c'est tout.

Ce qui malheureusement est de plus en plus souvent le cas. Ceci dit, je partage ton point de vue. Qu'on ait le droit ou pas, je comprends les femmes ayant ce genre de chose dans la poche, au cas où et personnellement je n'hésiterais pas. N'aurait-on donc qu'un droit, celui de se faire agresser sans se défendre ???

Ben oui, fallait pas ?? désolée, ça vient de mon côté foncièrement sincère

Dis donc il se la coule douce !!

Ah d'accord mais comme tu as écrit: "JE ne veux plus prendre le bus avec les frotteurs" et aussi: "JE dois supporter d'être collée dans le bus", j'ai supposé que tu étais parfois confrontée toi-même à ce désagrément.