Passiflore

Ç'est mon cas. Si tel n'était pas le cas, j'arrêterais mon boulot.

Bonjour et bienvenue !

Donc vous avez écrit intentionnellement "cette" ainsi ?

"Cette" fois, vous êtes sûr ?

En tout cas "on" ne sait pas tirer de leçons du passé, de l'Histoire et la Révolution n'a pas révolutionné grand chose... la royauté est toujours d'actualité bien que les termes aient changé. Dit-elle, ravie et rieuse !

"Obrigada" si l'on est une femme.

"Croix de feu" ? Je ne connaissais que la version : "croix de bois, croix de fer..." !

Pareil, cela fait partie intégrante de ma façon d'être; c'est une part importante de qui je suis.

Non je ne déteste pas le lundi, même si je suis contente quand c'est vendredi.

D'accord avec ce que tu dis là ! Si un jour je devais ne plus aimer le boulot que je fais, j'arrêterais car hors de question que j'y aille avec un noeud à l'estomac.

Ah bon ?? Quelle est ta morale ? Peux-tu être plus précis ? D"après toi qu'est-ce qui est bon, bien et juste aux yeux de Dieu ? Que veux-tu dire par là ??

Ah non !! Hors de question que je présente mes excuses alors que je ne suis pas en tort !! Et puis quoi encore !! Je le fais volontiers mais uniquement si je suis en tort. Présenter mes excuses alors que je ne suis ni fautive ni coupable ? Hors de question !! Tout à fait d'accord !

Lorsque je vois un homme au crâne rasé, je ne me dis pas qu'il est forcément d'extrême droite.

Une succession d'épreuves existentielles de plus ou moins grande gravité et de moments de joie et de bonheur et... s'écoule inexorablement le sable dans le sablier. Moi aussi !

Et... s'il ne se calme pas et que ton exaspération va crescendo ? Que fais-tu quand la moutarde te monte au nez ? Tout à fait d'accord !

Bien que je n'apprécie guère être en tort (même pas du tout du tout, je le reconnais), si je le suis je présente mes sincères excuses.

Tout dépend de qui vient la critique et si celle-ci est constructive ou au contraire est intentionnellement désobligeante, voire blessante.

Je me retrouve dans ce que tu dis là. Cependant j'aime à pouvoir compter sur les autres pour me sentir bien mais... ce n'est hélas pas toujours le cas, tant pis, je fais alors sans eux. Lorsque je suis dans mon bon droit, il est important pour moi de me justifier mais lorsque je comprends que la personne me cherche clairement des crosses, qu'elle n'est pas du tout habitée par un esprit de conciliation et qu'elle est dénuée de bienveillance, je mets un terme à la discussion ne rimant à rien.

Il est certain que tant que le vatican se rendra complice en couvrant les innombrables abominations commises par des religieux de cette religion (actes de pédophilie, viols de religieuses, l'abbé Pierre, etc...), ces abominations continueront encore et encore...

Bien qu'il soit parfois utile de regarder en arrière (afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs, notamment) ou d'envisager le futur (afin de savoir quelle direction choisir pour l'avenir, quels projets nous tiennent à coeur), il faut avant tout veiller à bien vivre le temps présent.

Petiot ou petiote, pitchoune, p'tit bout, petitoune.

Je n'ai jamais entendu ce terme !

"Mieux vaut tard que jamais" dit-on. Oui, je trouve aussi que c'est honnête de sa part.

À Lyon, c'est gone.

Couillon d'la lune ! mais c'est un terme affectueux. "Gogol" par contre je n'aime pas du tout, c'est désobligeant.