Passiflore

Je suis admirative face à une personne dotée de cette force-là, habitée et mue par cette sagesse-là.

Tu as raison, chacun doit garder à l'esprit que soi-même aussi on pourrait user de violence en certaines circonstances. La violence la plus fréquente est la violence des mots que parfois nous employons, laquelle violence verbale blessant la personne à qui les mots "assassins" (étant "coups de couteau en plein coeur") sont dits lorsque l'on est sous l'emprise de la colère.

Hormis ceux y ayant été confrontés, cela va sans dire.

Personne n'est à l'abri d'user de violence soi aussi selon les circonstances, certes.

Nul ne sait ce qu'il ferait face à un agresseur décidé à lui ôter violemment la vie. L'instinct de survie et l'effroi feront qu'on luttera vraisemblablement avec toute l'énergie du désespoir afin de rester en vie, quitte à user soi-même de violence, voire tuer son agresseur si l'on parvient à se saisir d'un objet pouvant servir d'arme...

Tout dépend de qui il s'agit. Ceux usant de violence auxquels je pensais méritent d'être qualifiés ainsi car ils ont cette faiblesse-là au niveau de l'esprit. Si un tel individu s'apprêtait à m'ôter violemment et cruellement la vie et que je le traitais de "faible d'esprit", je doute fort qu'il en serait blessé.

La violence est le moyen d'expression favori des faibles d'esprit, c'est également mon avis.

Je ne les aime pas trop, les "si". Je préfère et de beaucoup le réel, le tangible. Avec des "si" on peut réécrire l'Histoire mais à quoi bon bon puisqu'on ne pourra pas le modifier ? Ceci étant, certains "si" sont utiles dans le cadre d'un questionnement existentiel: "si je faisais cela, il m'arriverait sûrement ceci et cela serait bien" ou bien "si je faisais cela, voici ce qu'il pourrait arriver et je risquerais d'en éprouver du remords ou de souffrir".

Bonjour maïna, de toute façon la relation amoureuse que l'on vit après une séparation aura toujours (me semble-t-il) une fonction "pansement" (en tout cas au début de la relation et durant une période plus ou moins longue selon le temps de "réparation", de guérison dont on aura besoin) et ce n'est que par la suite que l'on parviendra à dépasser ce stade-là et qu'on arrivera à considérer pleinement cet autre à découvrir et à chérir en laissant de côté le passé (sans l'occulter pour autant). Vous en avez déjà parlé toi et lui ? Il aimerait du solide, du durable avec toi ou tu penses que tu es toi aussi pour lui une relation "pansement" ?

Le mariage n'est pas une "connerie" si pour les deux amoureux il représente quelque chose, s'il a du sens (l'engagement l'un envers l'autre) et en cela, il peut être considéré comme un "plus", comme une sorte de "cerise sur le gâteau" mais effectivement et c'est là où je te rejoins, ce sont les épreuves de la vie qui renforceront l'amour du couple (ou bien hélas le disloqueront...)

Et si ! Pour le meilleur ou pour le pire mais tu es de ce monde, que tu le veuilles ou non, que tu y trouves ta place ou non, que tu trouves un sens à ta vie ou pas mais quoi qu'il en soit, tu ES de ce monde. Ceci étant, tu peux t'en démarquer par certains choix existentiels afin de te protéger d'une société ne te convenant pas.

Ce n'est aucunement une question de honte mais juste d'instants propices - en compagnie de personnes intéressées par le sujet et questionnant le chrétien que l'on est - pour parler de sa foi et de l'Eglise chrétienne que l'on a choisie si tel est le cas. Ce n'est pas le terme que j'emploierai mais effectivement, c'est cela.

Certainement pas, je n'y vois aucun intérêt !

Ne surtout pas "se jeter" comme une meurt-de-faim sur le premier venu ou sur celui sur lequel on a jeté son dévolu, prendre son temps, agir sans précipitation et éviter de chouiner sur son triste sort.

Le but étant la rencontre, mieux vaut jouer franc-jeu en étant le plus sincère possible. Être soi, tout simplement soi, me semble la meilleure option.

Absolument !

Oui, les diverses actions que l'on peut faire afin d'améliorer les choses dans sa vie et auprès des personnes que l'on côtoie ou que l'on croise car effectivement, faire un monde meilleur relève de l'utopie.

Quelles que soient les actions que l'on fait ce ne sera jamais assez et de toute façon, ça n'éradiquera pas les problèmes. Que chacun à son niveau et dans sa vie s'emploie à être dispensateur de paix, soit bienveillant envers les autres et oeuvre dans le sens du Beau, du Bon, du Bien et ce, dans tous les domaines; faire de son mieux pour oeuvrer en ce sens car là on peut agir.

Ce qui est effarant, c'est que ça sera regardé...

S'il n'y avait pas une clientèle pour la télévision dite "poubelle", les émissions du même nom s'arrêteraient sitôt commencées mais hélas, l'incommensurable indigence télévisuelle est à l'image de celle de la clientèle qu'elle attire.

Absolument ! C'est ce que je m'apprêtais justement à dire ! Chez les forumeurs s'exprimant ici, on perçoit l'élégance ou... l'absence d'élégance, ce qui prouve bien que c'est un ressenti bien au-delà de la simple tenue vestimentaire; cela relève de sa propre perception de l'homme que l'on a face à soi ou que l'on lit sans connaître son apparence et son mode vestimentaire. Certains hommes auront beau s'habiller hyper classe on ne les percevra pas élégants, comme si... quelque chose clochait, une sorte de discordance entre l'apparence et la façon d'être et de s'exprimer.

Pour @crockettpolice, c'est effectivement la cata mais une sans "k" !

Certes mais il me l'a dit, que cela il ne savait pas le faire. Pas facile d'y parvenir quand on prend tout à coeur et que l'on a une grande sensibilité, comme cela semble être le cas pour @crockettpolice.

Consternant, hein ? Ils en arrivent même parfois aux mains !! Pourquoi cesserait-on toutes ces incitations à la consommation débridée puisque ça marche !!

Oupsssss sorry, j'avions oublié que certains regardent en replay ! N'ayant pas cette habitude il m'arrive d'oublier, re-sorry ! Ce soir ce sera : "je suis né à 17 ans" sur france.2: "un téléfilm tout en pudeur et délicatesse tiré du livre de Thierry Beccaro" qu'y disent sur le "télé poche".