Enchantant

La sensibilité des uns et des autres, c’est le cerveau en lien direct avec le cœur symbolique, qui est le siège de nos sentiments ? En toutes circonstances, nous classons toutes les informations qui nous parviennent par : j’aime, je n’aime pas…qui est l’expression même d’un sentiment. Or, depuis des siècles déjà, nous savons bien que le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. Pour résumer, dans la décision qui oriente notre raison, nous ignorons toujours qu’elle est la part de nos sentiments qui entre en jeux dans nos choix. Intuitivement nous savons très bien que nos sentiments ont une part importante dans l’élaboration logique de nos raisonnements. Est il besoin d'en faire des tonnes sur ce sujet ?

En 1995 j’assistais à la première du film UNDERGROUND de Emir Kusturica. Le groupe qui finançait ce film nous avais invité aux champs Elysée pour sabler l’évènement. Je garde un excellent souvenir de ce film, très touchant, complètement décalé et très poétique à la fois, du pot qui a suivit avec la présence d’Emir Kusturica.

Le lien entre la libido, ce levier de la reproduction de l’espèce des êtres vivants et la philosophie, me rappel une blague de l’époque coloniale. L’instituteur français en Algérie demande aux enfants de sa classe qui peut citer de mémoire le nom d’un grand philosophe ? Le petit Mohamed lève le doigt et s’écrit : Moi missié je sais, c’est la poule qui f’ lis œufs ! Entre philosophie et reproduction il y a bien un lien logique avec cette petite blague ? N’est-ce-pas ?

Les éleveurs aiment leurs animaux et s'y attachent, faire une stricte distinction entre animaux d'élevage ou de compagnie, la frontière est à mon sens très mince pour ceux qui s'en occupent tous les jours. Même si la fonction d'un éleveur, c'est finalement de vivre de la vente de leurs animaux, ou de leur production de lait ou de laine.

Que l’on aime les animaux, que l’on soit particulièrement proche d’un animal de compagnie, cela je le comprends parfaitement, mais ces écolos qui font du sentimentalisme à bon marché et du tapage pour n’importe quel prétexte pour montrer qu'ils existent, nous emmerdent. Je rejoins Phylou, pas de maltraitance mais du stress pour les animaux au cours d'un salon, sans doute ?

Même si l'oreiller est très moelleux et se repli sur nos oreilles ?

Bonjour Blaquière, Philosopher est un exercice naturel que l’humanité n’a cessé de faire au cours des âges. Les questions qui surgissent chez l’individu qui philosophe, gravitent toujours autour du sens de son existence, celui auquel nos congénères croient ou pas, ce que nous en pensons ou croyons nous-mêmes. Convenir que l’existence n’a aucun sens, c’est aussi philosopher ! Vous me direz à juste titre, avec des remarques de cette nature là ont est bien avancé, et vous auriez raison. Considérer qu’il y a beaucoup de chose qui nous échappent personnellement, le pourquoi de la vie plutôt que rien, cela reste mystérieux ? Néanmoins cela serait vraiment dommage que la vie et sa transmission n’ait absolument aucun sens, à chacun la liberté de se forger ses propres convictions, c’est cela mon point de vue sur la philosophie. je n'ai aucune honte de ne pas savoir répondre !

Un petit pas de côté de ma part... Après avoir vu le film « la vingt cinquième heure » avec Anthony Queen, qui m’a bouleversé, alors que j’avais une quinzaine d’année, dans cette prise de conscience aigüe de la fragilité de notre existence, confrontée aux bourrasque des évènements de l’histoire, par analogie au fétu de paille que représente l’existence humaine dans les flots en furie. J’ai acheté ce livre écrit par l'écrivain roumain Virgil Gheorghiu, bizarrement j’ai trouvé que sa lecture trainait en longueur et n’en finissait pas des descriptions que j’avais déjà en tête et que j'attendais inconsciemment . Ce qui me fait dire que lorsque l’on est sur le coup d’une émotion intense, via un roman ou un film, c’est la première mouture que l’on reçoit et qui vous émeut et vous touche qui est la bonne. Je crois que si j’avais lu ce roman écrit avant d’aller voir le film, j’aurais sans doute trouver la version cinéma trop simpliste ?

Apparemment, je ne suis pas la seule personne qui ne comprend pas exactement ce que vous écrivez ? Je suppose que votre crédo est toujours plus, que le gouvernement n’en fait pas assez, c’est bien cela qu’il faut devinez ?

Complètement absurde de faire le lien de la personne qui se présente aux urgences et son âge ! L’afflux aux urgences et la gratuité totale d’accès aux soins font le succès de ce service et en même temps favorise son embouteillage, par l'afflux de toute la misère du monde. Bref, que les responsables médicaux aux urgences fassent le tri en fonction de la gravité des blessures ou bien des cas, est une logique élémentaire d’organisation et de bon sens. Toute arrivée aux urgences n’est pas systématiquement synonyme d’urgence, tout le problème est là. Je félicite et j’admire le personnel qui assure ce service, vivre au contact permanent des drames ou des épisodes de fin de vie qui surviennent, cela n’est sans doute pas sans conséquence sur la façon d'exercer son métier.

Il ne faut pas oublier que l’organisme humain est bien fait, la sexualité pour les femmes, comme pour les hommes décline avec l’âge, n’est plus le critère principal entrainant la stabilité d'un couple sur le long terme. L’histoire commune du couple sur sa durée, les enfants, les petits enfants, les réussites, les épreuves communes, le respect, la tendresse, l’amitié et l’admiration de l’un envers l’autre, la prise de conscience d’une vulnérabilité croissante avec l’âge pour chacun, sont le liant de substitution à la sexualité torride d’autrefois. Ce n’est pas une fiction, c’est une réalité !

L’effet d’aubaine pour inciter les comoriens environnants à venir encore plus clandestinement plus que jamais sur Mayotte. C’est la lecture que j’en ai !

Tout à fait… « Tapette » évoque trop le piège à souris alors que «Jaquette », la petite veste ou bien la couverture d’un document !

Sexe à pile à ce qu'il parait ?

Entièrement d'accord avec vous Ximène, je ne me prive pas de le faire également, ce sont les ressorts du comique bienveillant !

Tout à fait... L’obésité chez certains jeunes et l’anorexie par opposition, est un phénomène psychologique analogue à mon sens, correspondant je crois, à une peur viscéral de l’avenir chez ces adolescents. Une angoisse profonde chez eux, de ne pas entrer dans le moule conventionnel et les attentes que les adultes espèrent d’eux, ou l’imaginaire qu’ils s’en font ? J’ai connu une famille ou une des filles était anorexique, beaucoup d’analogie je trouve avec cette jeune obèse. Si c’est un calvaire pour ces enfants, s’en est un aussi pour les parents et toute la famille.

J'aime bien cette description, d'un seul coup je comprends tout !

J'aime bien ton humour et ton point de vue décalé, là j'ai essayé de comprendre je n'y suis pas arrivé ! Mais cela provient peut-être de mes limites intellectuelles, c'est for probable !

Rebonjour Plouj, cela faisait un bail qu'ont ne vous lisait plus ! Effectivement, on est jamais trop aidé, mais j'avoue que je suis totalement étanche à cette mode absurde du genre qui nous viens des USA ? Il est vrai aussi qu'une femme chef d'état en fonction, ressemble étrangement à un homme d'état en fonction. Bref, que l'on soit, homme ou femme ou de sensibilité intermédiaire, les uns comme les autres restent définitivement des êtres humains.

C'est ben vrai ça !

J'avoue que j'ai du mal à comprendre l'allusion, que des homo homme caricaturent des femmes homo soit, mais pour les hétéros, qui sont la grande majorité des genres, caricaturer une femme pour un homme ou l'inverse, cela ne s'observe qu'au théâtre avec des comédies !

Vous avez raison, mais je voulais exclusivement évoquer le sujet sous son aspect le plus léger...

Effectivement... Commercial, le père de famille voyage beaucoup pour son travail. Il va également monter plusieurs sociétés : Carte Crystal (2004), la Route des Commerciaux et la SELREF (2003). Malheureusement, le succès n'est pas au rendez-vous et ses sociétés ne sont pas très florissantes.

K-Sos n'est pas communiste, un bon point pour lui ! (accessoirement il ne traduit pas l'anglais, mais c'est moins grave!)

Complétement enfantin de considérer la guerre comme un jeu avec des gagnants et des perdants, la guerre c'est tous perdant, l'agresseur comme l'agressé.