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Noisettes

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Tout ce qui a été posté par Noisettes

  1. La réussite actuellement se fait surtout par le piston.
  2. Ce que je pense, c'est que si un enfant (et quelque soit son âge) choisis le chemin qu'il prend, c'est en partie à cause de ses parents. Ensuite, j'ignore qui est cette Nabilla , j'ignore qui est son père, j'ignore son passif. Mais ce que je sais, c'est que nous avons deux personnes qui lavent leurs linges sales en public au lieu de le faire par la voie privée. Chacun se renvoyant une pseudo-responsabilité. Si elle parvient à mener sa barque avec son buzz, personnellement, cela me laisse indifférente.
  3. Si je les brodes, les modèles, eux, viennent de kit.
  4. Coucou par ici, Voici le dernier marque-page que je viens de broder http://www.uploadfr.com/image/0Ph
  5. Pour moi, les deux parents sont responsables... Et ensuite, on a deux versions des choses.
  6. Noisettes

    Le clip d'Indochine

    J'ai grandis avec les chansons d'Indochine que je trouvais beaucoup moins niaises que 2be3 et consorts et plus en phase avec une certaines réalités que les contes de fées que chantaient les boys bands. Alors la manipulation, on repasse...
  7. Dans ma vie, qu'en ai croisés deux et cela me fait toujours le même effet.
  8. Noisettes

    Le clip d'Indochine

    Le répertoire d'Indochine traite essentiellement de la découverte de la sexualité et pas seulement de l'homosexualité.
  9. Noisettes

    Le clip d'Indochine

    Et dans les années 80, le clip Les Tzars a été interdit à la diffusion dans de nombreux pays à majorité catholique car le clip y montre le pape... Dont, ça ne sera pas le premier clip polémique du groupe, ni le dernier, je pense.
  10. Noisettes

    Le clip d'Indochine

    Quand l'album Nuits intimes est sorti en 1999, le clip de la chanson Steph II a été censuré par une grande chaîne télé française essentiellement musicale parce que dans ce clip, il y a avait deux filles qui s'embrassaient. Cette chanson parlait (déjà) d'homosexualité. Et ce n'est pas la seule dans la discographie d'Indochine. Je crois que leur première chanson traitant de la question est Canary Bay, sortie à la fin des années 80. Et Indochine se fout de faire ou pas aux médias qui les ont biens massacrés au début des années 90.
  11. Il faut apprendre à nos amis Américains que la laïcité à pour but de garantir la liberté religieuse individuelle de chaque individu sans que cette liberté empiète dans le domaine public et sur la liberté religieuse d'autres personnes qui n'a pas les mêmes convictions religieuses.
  12. Je suis toujours mal à l'aise quand je croise un SDF. Mais j'essaie toujours de leur faire un sourire quand je passe devant eux au lieu de faire semblant de ne pas les voir, ce qui est, à mon avis, la pire chose.
  13. Je ne sais pas si un distributeur de préservatifs dans les collèges est une bonne alternative ou pas.
  14. Tu es sympa toi. C'est grâce aux institutions que je me retrouve dans la situation matérielle et financière dans laquelle je me trouve, surtout quand la situation pouvait encore être sauvée. Car j'ai refusé de prendre le chemin qu'elles avaient décidés pour moi.
  15. Bon anniversaire à toi.

  16. Comme disait Pierre Desproges, " On peut rire de tous, mais pas avec n'importe qui " Sur un forum, on peut débattre de tous, mais pas avec n'importe qui.
  17. Il y a eu un conflit au début de la Seconde Guerre mondiale avec la Blitzkrieg, mais cela n'a pas duré longtemps et les armées françaises ont été battues à plat de couture. Mais les femmes ont eu un rôle actif dans la lutte contre l'ennemi...
  18. Disons que j'en ai un peu marre d'entendre partout que l'école est obligatoire, alors que c'est l'instruction qui l'est, et en aucun cas l'école.
  19. Des parents ne sont pas obligés d'inscrire leurs enfants à l'école, mais ils sont dans l'obligatoire de les instruire soit : *eux-mêmes *par des cours par correspondance *par des cours particuliers. Et tous les ans, il y a une inspection de la part des services du rectorat. Et si celle-ci n'est pas concluante, il a le pouvoir d'inscrire les enfants à l'école pour pallier une carence dans l'instruction.
  20. C'est l'instruction qui est obligatoire, et non l'école.
  21. Coucou par ici, Au lieu de faire à chaque fois un nouveau topic pour vous présenter les broderies que je réalise, je vais en ouvrir un dans lequel je rajouterai, au fur et à mesure, les broderies que je parviens à terminer. Et voici la dernière en date, un marque-page (qui est un peu ma marque de fabrique :p ) http://www.uploadfr.com/image/jhJ Bonne fin de journée à tous.
  22. Et bien, bienvenue à cette petite Inès qui s'est un peu fait désirer.
  23. Noisettes

    Cinéma

    Coucou chers amis lecteurs, Voilà mon problème résolu et je vais pouvoir vous présenter le film que je voulais vous présenter dans le dernier numéro. Notre séquence cinéma d'animation va nous conduire vers un film peu connu du public qui est une production franco-tchévosclovaque présentée au festival de Cannes de 1973, obtenant le Prix Spécial du Jury avant de sortir sur les écrans français en décembre 1973. Les dessins du film sont faits sur du papier Canson et chaque plan du film a été dessiné à la main. Nous allons suivre les aventures de Terre, le personnage principal de La planète sauvage, un film réalisé par René Laloux,dont le scénario est librement inspiré du roman de science-fiction de Stefan Wul, Oms en série. Le personnage principal est également le narrateur de l'histoire et pour ceux ayant connu Les mondes engloutis, la voix de l'un des personnages leur paraîtra familière. Le film s'ouvre sur une jeune femme Oms qui court avec son enfant dans les bras pour échapper à quelque chose dans un décor qui semble lunaire. Alors qu'elle monte une sorte de colline, elle est arrêtée par une main bleue. Cette main, par trois fois l'empêche de gravir la colline la faisant glisser. Mais au cours de la troisième tentative, la jeune femme tombe et sa tête heurte un rocher. Cette main joue avec elle. Elle tente d'échapper aux jeux pour le moins semés d'embûches que dresse la main sur son chemin. Mais arrivée sur une colline, la jeune femme pose son enfant à terre et la main la prend, la soulève avant de la faire tomber. La jeune femme lève encore la tête en direction de son enfant avant de la faire tomber sur le sol. Les mains bleues sont des mains de trois jeunes enfants Draags qui jouaient avec elle. Mais comme la jeune femme a l'air morte, ils ne peuvent plus jouer avec. Ils se cachent à l'approche du maître Sinh et de sa fille, Tiwa. La jeune fille voit la jeune femme sans vie et son enfant qui pleure. Elle demande alors à son père pourquoi le petit homme pleure et celui-ci explique à sa fille qu'il peut y avoir plusieurs raisons. Comme l'enfant est orphelin, elle demande l'autorisation à son père de le garder, ce à quoi il répond par l'affirmative. L'enfant, que la jeune Tiwa va appeler Terr, va vivre avec le grand Édile des Draags, et plus particulièrement avec sa fille qui va s'occuper de lui comme un animal de compagnie (dans le monde des Draags, les humains sont des animaux). Les Draags sont une espèce vivante qui pratique beaucoup la méditation et c'est au cours de la séance de méditation de sa mère que la jeune Tiwa va l'interrompre pour lui montrer sa trouvaille. Son père lui dit que non seulement elle a troublé la méditation de sa mère, mais qu'en plus, elle doit discipliner le petit homme afin qu'il lui obéisse. Elle le place dans une sorte de sas bruyant et lumineux et lui fabrique un collier magnétique qui est accompagné d'un bracelet que la petite fille contrôle et qui le ramène à sa place quand il tente de fuir. Mais le jeune enfant est gêné par cet objet alors que le père de la jeune Draag lui apprend à s'en servir. Mais l'enfant a l'air perdu dans ses mains. Au cours de ses années auprès des Draags, Terr, ce petit garçon Oms recueilli par la fille du grand Édile, va vivre une vie solitaire, loin des individus de son espèce, laissé de côté par des maîtres plus préoccupés à méditer qu'autre chose. Cependant, les Draags sont des espèces pragmatiques car ils s'inquiètent du retard qui prend la production de l'usine de Goham, sur leur planète Ygam à cause d'une usure des matériaux des machines utilisées dont ils ignorent la cause. Seule une machine avait connu ce problème, au retour d'une expédition spatiale. Mais le problème avait pu être identifié. En effet, lors de cette expédition ont été ramenés des animaux issus de la planète Terra qui ont des capacités intellectuelles reconnues par les Draags. En effet, ce sont des individus étant capables de s'organiser socialement et d'assurer leur survie, signe qu'ils sont une espèce plus avancée qu'ils peuvent le croire, bien qu'ils vivent beaucoup moins longtemps que les Draags et se reproduisent plus rapidement. Au cours de cette réunion, il est question de l'évolution des Oms dont les Draags ne connaissent pas tout. Cependant, il existe, sur Ygam, deux types d'Oms : les Oms de luxe qui sont dans une famille Draags dont on peut surveiller les faits et gestes, et les Oms sauvages qui vivent dans la nature et qui sont incontrôlables, bien qu'ils tentent de maîtriser leur démographie tous les trois cycles. Terr est le compagnon de jeu de Tiwa qu'elle chérit. Cependant, il lui arrive d'échapper à sa surveillance et d'assister à une séance de méditation de ses maîtres et de leurs invités. Un jour, Terr s'amuse à déplacer le poudrier de Tiwa au profit d'une poudre noire. Il a l'air content de son exploit, mais la jeune Draags lui souffle de cette poudre et il devient tout noir. Avec leur technologie avancée, ils peuvent créer des machines miniature à faire la pluie et le beau temps et Tiwa utilise la sienne pour jouer avec Terr. Le temps chez les Draags est lent et une semaine chez eux représente une année chez les Oms et Terr grandit vite. Terr dort avec Tiwa qui l'apprivoise, bien que celui-ci ose se révolter par moment. L'instruction des enfants Draags, comme Tiwa, se fait par le biais d'un écouteur qui leur transmet les leçons qui restent ainsi dans la mémoire de celui qui l'écoute. Et Tiwa écoute la leçon de géographie concernant la planète Ygam. Et comme Tiwa apprend ses leçons en compagnie de Terr, celui bénéficie de la science et de la connaissance des Draags, car son collier entre directement en contact avec les écouteurs de Tiwa. Des pierres, ressemblant à du cristal, se mettent à surgir du sol là où se trouve la maison de la famille de Tiwa, ce qui émerveille Terr. Mais il se trouve prisonnier d'un gisement qui émerge avant que Tiwa le sorte d'affaire en brisant le cristal par un son aigu. Il comprend rapidement comment les briser et il s'en donne à cœur joie. Pour les enfants Draags, les Oms sont des jouets avant tous et ils n'hésitent pas à leur faire faire des jeux violents, ce qui explique les réticences que Tiwa a quand ses amis lui proposent de jouer avec eux. Mais elle accepte leur invitation. Mais Terr refuse de participer à cette mascarade et il le fait comprendre en n'écoutant pas Tiwa. Cependant, un jour, il parvient discrètement aux écouteurs de Tiwa. Mais les parents de Tiwa s'inquiètent de la tendresse que leur fille porte à son animal de compagnie. De plus, son père va lui interdire la présence de Terr pendant ses leçons car il doit la déconcentrer. Alors qu'il interdit d'avoir l'Om pendant ses leçons, il la surprend un jour avec lui et il le renvoie dans ces quartiers. Tiwa ne comprend pas la réaction de son père et lui apprend que cela ne le dérange pas de la voir apprendre ses cours. Comme la méditation est quelque chose de très important pour les Draags, la première méditation est précédée d'une cérémonie d'initiation car c'est une étape importante vers le chemin de la connaissance. Au fil des temps, Tiwa, devenue une adolescente, se désintéresse de ses jouets et la complicité qu'elle entretenait jusqu'alors avec Terr se détériore et celui-ci ne peut plus profiter des leçons de la jeune fille. Et comme cela Terr ne peut le supporter, il décide de s'enfuir en emportant avec lui les écouteurs de la connaissance. Mais ayant encore un peu d'affection pour son Om, la jeune Tiwa est gênée par sa disparition. Elle va se confier à sa mère qui lui dit d'utiliser son bracelet pour ramener Terr, bien qu'elle ait des scrupules à l'utiliser. Alors qu'il se trouve dans un champ, une force invisible le pousse en arrière à une vitesse considérable. Mais il comprend vite que cette force émane du collier qu'il porte depuis qu'il est bébé et qui est contrôlé par le bracelet de la jeune Tiwa. Mais comme il a les écouteurs entre ses mains, ceux-ci se bloquent entre deux arbustes, qui l'empêche ainsi de continuer sa route. Une jeune Om vient à sa rencontre et le débarrasse du collier. Elle lui dit qu'il aurait du se débarrasser de son collier avant de prendre la fuite. Il lui fait remarquer qu'elle aussi a un collier, ce à quoi elle réplique qu'il est là pour tromper les Draags. Elle fait part de sa curiosité à la vue des écouteurs et Terr lui dit que c'est une machine Draag. Il la met en route devant elle, mais le bruit est tellement fort qu'elle va se cacher. Comme Terr s'est enfui et qu'il ignore où aller, la jeune Om l'invite à la suivre. Il parcours un désert peuplé d'étranges êtres vivants et la jeune Om l'aide à porter les écouteurs. Ils arrivent, après une très longue marche, dans un parc abandonné , sur un grand arbre où les Oms sauvages avaient trouvés refuge afin de fuir les Draags. Le premier contact qu'entretient Terr avec ses homologues Oms est à son désavantage, à cause de sa tenue pour le moins ridicule à leurs yeux. Mais les Draags qui connaissaient l'existence des Oms sauvage depuis longtemps, installent des pièges un peu partout sur la planète afin de les capturer. Et c'est ce qui se passe dans la cachette des Oms sauvages car l'un d'eux a été capturé car une sorte de bloc de pierre qui disparaît dans le sol. Et le premier ennemi que trouve Terr parmi ses nouveaux compagnons est le sorcier qui voit très mal la venue de cet Om, mais surtout le fait qu'il soit venu avec les écouteur de la connaissance. Cependant, bien qu'il soit un Om de luxe, Terr est parti en apportant l'un des machine puissante que sont les écouteurs de la connaissance, maîtrisant ainsi le savoir Draag, et sa nouvelle compagne prend sa défense devant le sorcier. Il est ensuite admis dans le groupe. Une nuit, alors qu'il a du mal à trouver le sommeil, il se dirige vers une fenêtre et il voit tout un groupe d'Om se réunir en haut d'un talus, qui a probablement été créé par eux à l'effigie d'un Draag, et rejoindre le sorcier. Ils prennent auprès de lui des boulettes qui rend lumineux. Ensuite, ce groupe se disperse, par groupe de deux personne, un homme et une femme. Accepté parmi les Oms sauvages, Tert leur fait bénéficier du savoir Draag par le biais des écouteurs de la connaissance. Mais tous les Oms sauvages ne sont pas d'accord avec cela et ils le font comprendre car le sorcier estime que le savoir Draag est une chose mauvaise et que les Oms sauvages doivent se battre. Et Terr doit se battre avec un animal de combat contre un autre Om qui est fidèle au sorcier. Il se montre brave au combat et le chef de clan lui demande de rester car il peut être utile dans la lutte contre les Draags et une expédition est décidée pour le lendemain pour se ravitailler chez l'ennemi. Au cours de leur retour vers leur cachette, les Oms sont attaqués par les autres Oms, la bande du Buisson Creux, qui en veulent à leur butin.Le chef met en garde Terr contre eux qui ont sont des voleurs. La vie des Oms sauvage s'articulent autour de l'apprentissage du savoir Draag transmis par les écouteurs de la connaissance, mais ils doivent aussi faire face à de nombreux dangers comme celui d'échapper aux animaux sauvages qui attaquent l'arbre pour se nourrir de ces êtres vivants. Ils parviennent à chasser le dernier qui s'est attaqué à eux et en font leur festin. Un jour, ils apprennent que les Draags vont désominider le parc. Le plus ancien du clan raconte son expérience terrible de désomisation. Le clan décide de parer à la menace en installant des guetteurs. Le sorcier y voit un mauvais présage car ils se sont emparés du savoir Draag. Un nuit, Terr quitte l'arbre pour aller voir ce qui se passe dehors, mais il est assommé par un Om d'une autre tribu que le conduit, avec des compères, dans leur repère. Il explique à la doyenne de la tribue qu'il était venu les prévenir de la désomisation du parc prévue par les Draags, mais la femme est septique car elle a du mal à croire que les Oms du Grand Arbre sachent lire l'écriture Draag. Il est emprisonné et la doyenne demande à l'un d'eux d'aller voir les murs le lendemain. Et comme prévu, les Draags attaquent les Oms du parc abandonné à l'aide de gaz asphyxiant. L'attaque est terrible. Les survivants parviennent à prendre la fuite en passant le mur du parc. Terr retrouve sa compagne qui fuit avec les écouteurs. Alors que les survivants sont hors des murs du parc, une escorte composé de deux Draags passe et ressent leur présence et il voit la présence d'une colonie d'Oms qu'ils décident de massacrer. Mais ces derniers ne se rendent pas sans se défendre et parviennent à en capturer un. Ils prennent la fuite vers un endroit ou les Draags ne les trouveront pas. Après des jours de marche, ils parviennent à une route qui va les conduire directement dans un entrepôt de fusées abandonné par les Draags. Et la doyenne des Oms du Buisson Creux dit qu'ils seront en sécurité. Pendant ce temps, les Draags tiennent une réunion pour tenter de résoudre le problème des Oms et que pratiquer une désomisation tous les trois cycles est loin d'être une solution pertinente car ils se reproduisent vite et que l'épisode du Draag capturé et tué par les humains les laisse sans voix. Le maître Sinh, après l'opération, a observé que parmi les repères des Oms présents dans le parc, deux étaient très bien organisés. Suite à des découvertes, décision est prise de pratiquer une désomisation deux fois tous les deux cycles et d'encadrer encore plus sévèrement la vente d'Oms de luxe pour enrayer le problème. L'élimination des Oms sauvages est une priorité. Mais le maître Sinh essaye de faire comprendre à ses semblables qu'ils ne faut pas prendre les Oms pour des jouets sans conscience. Pendant ce temps, les Oms ayant réussi échapper au massacre organisent leur vie dans l'entrepôt de fusées abandonné. Et leur objectif est le suivant : atteindre la planète sauvage, qui est le satellite d'Ygam. Et pour cela, ils réparent les fusées qu'ils ont à disposition, compétences acquises grâce à leur connaissance du savoir Draag. Ils avancent rapidement dans leurs travaux, mais ils sont pris par le temps car une désomisation est prévue dans peu de temps et il n'est pas sûr que leur cachette ne soit pas découverte. Et Terr est le maître d’œuvre des préparatifs. Une nuit, cependant, des objets volants, probablement Draags, parviennent jusqu'à l'entrepôt et signent d'un liquide blanchâtre quelques installations présentes avant de repartir. Suite à cette reconnaissance, la décision est prise pour les Oms de faire partir les fusées de reconnaissance pour savoir si la vie est possible sur la planète sauvage. La doyenne, qui est trop faible et malade, sait qu'elle ne fera pas partie du voyage mais elle exprime à la compagne de Terr sa conviction à la réussite du projet pour bâtir un monde meilleur. Alors qu'une nouvelle désomisation est mise en route avec de nouveaux matériaux, les deux fusées partent en reconnaissance. Et en se posant sur la planète sauvage, les Oms que les Draags, par le biais de la méditation, rencontrent sur cette planète d'autres individus venant des quatre coins de la galaxie. De cette union, les Draags en retirent les énergies vitales dont ils ont besoin, ce qui permet la perpétuation de l'espèce. Face à cette situation, les Oms décident de regagner la planète Ygam. Mais sans le savoir, les Oms ont mis la main sur le point sensibles des Draags, ce qui stoppe net la désomisation qui est en cours avec la destruction des statues sur la planète interdite et qui étaient utiles aux Draags pour entrer en contact avec les autres espèces. Une réunion de crise par les Draags est organisée car ils voient un grand danger qui les menace. Le chef des Draags y voit la vengeance des Oms. Suite à cela, un allocution à des destination des Draags et des Oms est diffusé afin faire prendre conscience aux uns et aux autres qu'ils n'ont aucun intérêt à ce détruire mutuellement. Suite à cela, si la planète sauvage reste le lieu de la méditation des Draags, qui est le satellite naturel d'Ygam, et un satellite artificiel sur lequel vivent à présent les Oms et qui se nomme Terr.
  24. Noisettes

    Littérature

    Coucou chers amis lecteurs, Ce mois-ci, nous allons avancer dans les aventures de notre ami (pas encore) reporter Blèmia Borowicz, qui se fait appeler Boro. Et nous allons découvrir le secret que recèle la pellicule photographique qui attire tant d'ennuis à Maryika, sa cousine, qui vit en Allemagne depuis la fin de l'année 1931. Et en plus de découvrir le secret de la pellicule, nous allons également découvrir l'identité de l'homme aux gants de pécari (l'homme qui a fait trébucher Boro quand ce dernier s'est rendu au Select pour rencontrer Ettore Bugatti) et ses activités. Alors que sa cousine fait l'objet d'une surveillance accrue de la part des nazis, Boro, lui, doit rendre des comptes à sa propriétaire, Madame Merlu. Alors qu'il a mis en place des ruses pour éviter de croiser son chemin, il va, cependant, se retrouver nez à nez avec cette dernière. Mais cette rencontre a été possible parce que la concierge, Clémentine Frou, a prévenu Madame Merlu qui rentrait de la messe après être passée par la boulangerie. Madame Merlin demande à Boro de payer les loyers de retard qu'il a cumulés au cours des derniers mois. Boro tente de l'attendrir sur sa modeste condition, alors qu'il a été promu à l'agence depuis le reportage qu'il a fait en compagnie de son patron, Alphonse Tourpe, sur la mort de Paul Doumer. Et cela, madame Merlu le sait. Elle exige que son locataire récalcitrant paie ses dettes le jour suivant, sinon, elle met ses affaires dehors. Elle lui conseille également de ne pas déménager, pendant ce laps de temps, à la cloche de bois, car il ne reverra pas son courrier. En entendant cela, Boro demande à sa logeuse de quel courrier elle parle, ce à quoi elle réplique de trois lettres et un petit paquet en provenance d'Allemagne. Il comprend qu'elle fait référence aux lettres de sa cousine. Il comprend également qu'il doit payer ses mensualités de retard s'il veut revoir les lettres que Maryika lui a écrit. Madame Merlu est contente d'avoir enfin mis la main sur son locataire mauvais payeur du septième étage, mais en plus, elle tient un moyen de pression pour revoir l'argent qu'il lui doit. Elle le quitte ravie alors que Boro est pour le moins désappointé. Il doit trouver rapidement les huit cents quatre vingt francs que lui demande sa propriétaire. Et il sait où trouver cet argent. Il se dirige alors vers un taxi se trouvant dans la rue, en passant devant la concierge qu'il ignore. Cette dernière est outrée par la vue de cet étranger incapable de régler les dettes qu'il a cumulé dans l'immeuble, mais capable de se payer un chauffeur. Elle se prend les pieds dans un tapis en évitant la chute de justesse alors qu'elle jetait des anathèmes à l'encontre de Boro. Pour trouver de l'argent, Boro s'était souvenu de la conversation qu'il avait eu avec Albina d'Abrantès le jour de leur rencontre du côté du Palais-Bourbon et il décide de se rendre chez elle. Sur le trajet le conduisant Avenue Foch, il écoute le chauffeur, Féodor Alexeï Léontieff, ancien officier du Tzar, raconter sa vie tout en noyant son chagrin dans une bouteille de vodka car il est veuf depuis peu de temps. Alors qu'il l'écoute, Boro pense aux lettres de Maryika qui sont depuis longtemps chez sa logeuse, ainsi qu'au mystérieux petit paquet qui les accompagne. Les deux hommes arrivent devant un hôtel particulier, Avenue Foch. Et certain d'être devant celui qu'occupe madame d'Abrantès, Boro fait stopper le taxi. Le chauffeur lui demande le prix de la course avant de remettre le compteur à zéro et Boro lui annonce qu'il va encore le garder et qu'au bout de dix minutes, il lui fera amener une bouteille de vodka. Il se présente à la porte et il est accueilli par un majordome, qui lui demande l'objet de sa visite. Boro lui dit qu'il vient voir la maîtresse de maison et qu'il a une invitation illimitée. Le majordome comprend qu'il fait parti des nombreuses relations masculines que la comtesse d'Abrantès entretient. Il le conduit dans un salon avant de faire annoncer sa présence à la comtesse. Boro se trouve à patienter seul dans une pièce luxueuse avant l'entrée de la fille des propriétaires des lieux, Vanessa. C'est une jeune fille de treize ans dont les parents s'occupent peu. Son père préfère refaire le monde alors que sa mère préfère sortir. Elle est contente d'avoir trouvé Boro, car elle a quelqu'un avec qui discuter. Elle dit aussi à Boro que son père devrait vérifier sa chambre un peu plus souvent car les amants de sa mère ne sont jamais loin. Après ces déclarations, elle annonce vouloir lui faire des confidences concernant son père et ses activités pour le moins secrètes, car un jour, elle l'a surprise avec une cagoule noire sur la tête et que celui-ci, après l'avoir giflée, lui a demandé de ne parler à personne de sa découverte. Et une nuit, après avoir été attirée par une lumière en provenance de la cave, elle a assisté à une sorte de réunion secrète. Elle n'a pas le temps de lui en dire plus car le majordome vient la chercher pour lui dire de se préparer pour aller aux manèges. Elle quitte la compagnie du reporter à contrecœur mais lui rappelle que leur conversation est loin d'être achevée. Et le majordome, dans la foulée, annonce à Boro que madame d'Abrantès est prête à le recevoir. Ce dernier conduit Boro dans les appartements, et plus particulièrement dans le fumoir, de la comtesse d'Abrantès. Cette dernière est étendue sur un canapé en lisant un article de presse féminine qu'elle qualifie d'idiotie. Elle est ravie de voir Boro, mais lui demande cependant la raison de sa visite, ce à quoi ce dernier répond à la demande qu'elle avait fait lors de leur dernière rencontre et lui annonce la couleur de sa venue : huit cents quatre-vingt huit francs. C'est une somme que madame d'Abrantès trouve exorbitante et Boro est mal à l'aise face à cette situation, lui qui, d'habitude, ne manque pas d'audace. Après que madame d'Abrantès lui ait expliqué sa philosophie sur une relation empreinte à la tendresse, Boro s'excuse auprès d'elle pour son attitude pour le moins cavalière qui est acceptée. Alors qu'ils commencent à discuter, le majordome fait irruption dans la pièce en disant à la maîtresse de maison qu'un individu pour le moins louche exige d'avoir l'argent qu'on lui avait promis. Dans cette histoire, Boro a un peu oublié le chauffeur de taxi. Madame d'Abrantès dit au majordome de prendre seize francs dans son sac, alors que la course s'élève à huit francs, et de les remettre à l'homme. Le majordome s'exécute avec la plus mauvaise volonté du monde et marmonnant que monsieur d'Abrantès n'aurait jamais accepté cela, ce à quoi la comtesse répond qu'il n'aura jamais à l'apprendre. Après le départ du majordome, elle se retourne vers Boro en lui demandant de vider ses poches. Mais ces dernières sont vides. Elle lui demande alors pourquoi il veut la somme qu'il demande et il répond que c'est pour régler son loyer. Mais madame d'Abrantès pense qu'il y a une femme là dessous, et Boro ne peux pas nier. Mais au cours de la discussion, le charme du jeune homme fait son effet sur la comtesse. Madame d'Abrantès et Boro sont pris dans le piège d'une passion charnelle. Boro se réveille le lendemain, mais la comtesse avait quitté les lieux au petit matin afin de se refaire une beauté. Dans une enveloppe contenant mille francs, elle lui laisse un mot pour lui dire qu'un petit-déjeuner l'attend dans le fumoir. Et il s'y dirige. Pendant cette nuit d'amour pour le moins torride entre les deux amants, Albina d'Abrantès a fait des confidences à Boro sur les activités de son mari qui fait parti d'une organisation secrète : l'Ordre de Parsifal. Boro se souvient de la conversation qu'il a eue quelques heures auparavant avec Vanessa, la fille de la comtesse, sur les drôles activités de son père. Après avoir pris un copieux petit-déjeuner, Boro s'apprête à quitter les lieux quand sa curiosité ne tenant plus, il décide de faire un tour dans les appartements de monsieur d'Abrantès. Alors qu'il explore les lieux, son attention est tenue par une photographie sur laquelle, en plus de reconnaître Albina, il reconnaît celui qui l'avait fait chuter lors de son passage au Select : l'homme aux gants de pécari. En explorant plus profondément les lieux, tout en oubliant de faire preuve d'un minimum de prudence, il découvre que le maître des lieux n'a pas passé la nuit chez lui, mais qu'en plus d'avoir une douzaine de gants en pécari entreposés dans un placard, il a également un revolver posé sur ses gants. Alors qu'il referme le placard, une lourde main se pose sur son épaule et le retourne, au point d'en perdre l'équilibre. Et il tombe nez-à-nez avec Gaston-Émile, le majordome qui est accompagné de monsieur Paul, le chauffeur de la maison, et qui a été champion d'Europe de boxe en 1929, dans la catégorie poids lourds. Ils lui rappellent qu'ils n'aiment pas les indiscrets. Les deux hommes le conduisent de façon musclée vers la sortie. Cependant, Boro est récupéré par Féodor Alexeï Léontieff qui le reconduit chez lui en lui racontant de nouveau ses histoires. Mais Boro est plus intéressé par les lettres de Maryika qu'il va enfin pouvoir lire. La première chose que Boro fait en arrivant devant l'immeuble dans lequel se trouve sa chambre de bonne, c'est de se rendre chez sa propriétaire, madame Merlu, afin de solder son loyer pour pouvoir récupérer les lettres de sa cousine. Il se présente chez elle. Surprise dans un premier temps de l'entrée pour le moins cavalière du jeune homme, elle savoure son triomphe en mettant un temps fou à rédiger le reçu de solde de tout compte et à chercher le courrier de son locataire indélicat. Mais comme la patience de Boro est arrivée à bout, en voyant les meubles bretons de sa logeuse, qui sont le résultat d'un héritage, il commence à s'énerver dessus. Prise de peur, madame Merlu lui remet son courrier avant de lui annoncer qu'il n'aurait jamais du s'acquitter entièrement de sa dette car elle n'aurait pas pu le mettre à la porte. Ce à quoi il répond que la seule chose qu'il lui manquera, c'est la présence de Marinette, chose que madame Merlu n'admet pas. Il quitte les lieux et tout en épongeant son lait qui a débordé de la casserole, elle dit que Boro, malgré tous ses travers, va créer un vide dans l'immeuble. Boro relit par deux fois ses lettre entre les stations de métro Porte de Charenton et Bonne Nouvelle, la station la plus proche de son lieu de travail. À travers ses lettres, il comprend la détresse de sa cousine qui vit très mal la surveillance dont elle fait l'objet de la part des nazis. Elle demande à ce qu'il publie les photos qui se trouve sur la pellicule si celles-ci ont une importance pour qu'il puisse démarrer sa carrière de reporter. Elle de son côté, elle envisage de s'expatrier en Amérique avec Wilhelm Speer pour continuer sa carrière à Hoolywood. Boro se présente à l'agence qui est en pleine activité. Il se dirige discrètement vers la chambre noire afin de pouvoir y développer les photographies présentes sur la pellicule. Mais il est arrêté dans son élan par Germaine Fiffre, la fidèle secrétaire de l'agence, qui lui apprend qu'il est renvoyé car il a utilisé le matériel de l'agence à des fins personnelles. Et que ce renvoi est officiel car Alphonse Tourpe l'a annoncé à l'ensemble du personnel. Boro, qui souhaitait se rendre dans la chambre noire, dont l'accès est gardé par la fidèle secrétaire, doit l'amadouer pour avoir un accès d'une heure. Pendant cette heure de liberté, Boro développe chaque photo de la pellicule et en fait un tirage. Il se remémore alors la séance photo chez le photographe Hoffman, à Munich quelques deux années auparavant et le drame qu'elle avait suscité avec l'ami de la vendeuse. Mais il est dérangé par un individu qui lui demande d'ouvrir la porte. Mais comme le jeune homme ne s'exécute pas, l'individu défonce la porte, se prend dans le rideau noir alors que la dernière photo se trouve dans le révélateur. L'individu en question n'est qu'autre que le directeur de l'agence, Alphonse Tourpe, qui lance des anathèmes en direction de son ex-employé indélicat. Mais sa colère prend fin à la vue de la photo dans le révélateur. En effet, il y voit le nouvel homme fort de l'Allemagne, Adolf Hitler, en train de mettre la main aux fesses de sa maîtresse. L'agence tient un scoop grâce à Blèmia qui rentre dans ses bonnes grâce. Il lui demande de faire d'autres tirages qu'il se chargera de vendre au plus offrant. Mais pour Boro, le cliché recèle un autre secret qu'il n'a pas encore percé. Cependant, devant la vitrine de la boutique, il y a la silhouette d'un homme et en le voyant, Boro repense à la prédiction des trois gitanes et pense que la balle qui doit le tuer viendra de cet homme. Avec la nomination d'Adolf Hitler au poste de chancelier de l'Allemagne, Maryika vient de comprendre le pourquoi de sa surveillance accrue de la part des nazis. Elle se souvenait de la séance photo chez Hoffman, et elle s'était focalisée sur la personne d'Hoffman pour tenter de trouver une explication à sa situation. Elle songe alors aux efforts qu'il a du faire pour essayer de remettre la main sur la pellicule afin que les photos soient détruites avant leur éventuelle publication. Cependant, l'enthousiasme des Allemands est tel suite à cette nomination à la tête des affaires de l'État que pour la première fois depuis deux ans, elle peut marcher dans la rue sans être interpellée. Maryika Vremler est une personne anonyme. Mais cela ne dure pas longtemps car Leni Riefenstahl la croise dans la rue et l'interpelle. Elle est accompagnée de Friedrich von Riegenburg qu'elle tient à présenter à Maryika, mais cette dernière l'arrête en disant qu'ils se connaissent déjà. Ils discutent de la situation politique du pays qui va prendre un nouveau tournant avec Hitler. Alors que Leni propose à la jeune femme de les accompagner à la Chancellerie, celle-ci décline l'offre en se disant fatiguée. De plus, elle précise qu'elle a déjà rencontré le nouvel homme fort du pays. Et Friedrich von Riegenburg confirme se fait avec l'épisode des photos prises dans la boutique d'Hoffman et des photos pour le moins compromettantes du nouveau chef qui seront publiées sous peu. La conversation devient un peu animée entre le Prussien et la jeune actrice que la réalisatrice stoppe pour essayer de les conduire à la Chancellerie. Avant de quitter Maryika, le Prussien la met en garde contre un éventuel voyage de son cousin en Allemagne. Entre les mois de janvier et de février, les nazis ont pris possession de l'Allemagne et de Berlin. Les arrestations deviennent des choses courantes, les putschs et les autodafés également. La ville devient peu à peu une zone de non-droit dans laquelle les nazis dictent leur lois et le climat délétère car les voisins s'espionnent les uns les autres. Dans ce climat, frau Spitz est aux anges et montre à Maryika sa satisfaction et sa supériorité et Maryika la soupçonne de mettre des barrages entre elle et certaines de ses relations. Elle met de la mauvaise volonté quand Maryika lui demande de joindre son cousin et quand elle parvient à avoir une réponse de Paris, elle jubile car le correspondant est injoignable, chose que refuse de croire la jeune femme. Elle tente de joindre elle-même son cousin et a une fin de non-recevoir, ce qui ravit la domestique, idem pour des lettres qui lui reviennent avec la mention « Inconnu à l'adresse indiquée ». Quelques jours plus tard, Boro passe un coup de fil à sa cousine. Et au cours de la conversation, Maryika comprend que frau Spitz l'espionne, ce qui l'empêche de demander à son cousin ses coordonnées et lui demande expressément de ne pas venir en Allemagne, se souvenant des paroles de Friedrich von Riegenburg. Un matin, frau Spitz entre en trombe dans la chambre de la jeune femme en ayant à la main le journal du parti nazi, le Völkischer Beobachter, informant la population que le Reichtag a été brûlé dans la nuit du 28 février par les communistes. Maryika lui demande non seulement de quitter sa chambre, mais plus tard, de quitter les lieux pour la journée. Après son départ, elle tente de joindre Wilhelm Speer, mais sans succès. Au cours de la journée, quelqu'un vient sonner à sa porte. C'est un jeune communiste du nom de Dimitri,que son cousin avait aidé lors de la bagarre au café Luipold à Munich, qui se présente. Il vient vers elle lui demander son aide afin échapper au nazis qui poursuivent tous les communistes depuis l'incendie du Reichtag. Il prend place dans sa chambre et écoute les dernières nouvelles concernant la situation. Un homme a été arrêté pour ce crime, un communiste hollandais du nom de Marinus Von der Lubbe, le parti communiste interdit et plus rien interdit aux nazis, suite à un décret signé de la main du Président de la République, Paul von Hinderburg, de lire le courrier personnel des citoyens, d'arrêter et d'exproprier des gens soupçonnés de crime envers l'État. Dimitri explique à Maryika que se sont les nazis eux-mêmes qui ont incendié le Reichtag pour mettre hors état de nuire le parti communiste allemand et que l'homme soupçonné de cet acte a quitté le parti depuis longtemps. Alors que Wilhelm Speer téléphone à Maryika et lui propose de passer la voir, elle lui dit que cela n'est pas la peine mais lui demande s'il pouvait engager comme accessoiriste l'une de ses relations. Si Maryika refuse de cacher le jeune fugitif, elle lui offre la possibilité d'avoir un emploi avant de se donner à lui, chose qu'elle fait pour la première fois. Le mois de mars est celui où les nazis n'hésitent pas à utiliser la force par un décret les autorisant à fouiller les moyens de transports pour trouver des preuves de complots communistes depuis l'incendie du Reichtag. La terreur règne dans le pays, menée par les nazis à causes des prochaines élections. Des slogans du parti se font entendre dans toutes la ville. Cependant, Maryika est surprise de lire que la thèse que défend Dimitri est également défendue par d'autres. Alors que les élections se déroulent dans un climat tendu, et suite à diverses alliances, le parti-national-socialiste est majoritaire au Parlement et il vote les pleins pouvoirs au chancelier pour la défense de la nation.
  25. Bon anniversaire Cricket.

    A plus tard sur le tchat.

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