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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. J'aimerais bien vous aider, vraiment, mais je n'en connais pas. C'est même quelque chose de complètement idiot, à mon sens. Mais je vois que mon humour n'a pas été compris. Tant pis pour moi :D
  2. Au nombre de gens respectables qu'il rassemble? :D Pardon, c'était trop tentant. Je repars aussi vite que je suis venu (et pourtant, c'est qu'à moitié faux : on se pense vraiment comme ça).
  3. Jedino

    un jour = une histoire

    Je n'ai pas le temps de suivre, mais je t'encourage à poursuivre :)
  4. Tout dépend chez qui tu commentes (non, ce n'est pas un moyen de savoir pour ma part). Mais c'est assez peu courant, surtout chez les "habitués", de ne pas laisser les commentaires directement, en effet.
  5. Jedino

    Lui, l'inconnu

    Ah, c'est gentil.
  6. Jedino

    Quizz

    Là, avant les vacances de Noël, ça va être très, très chaud... :(
  7. Jedino

    Quizz

    Ca ne m'aurait aucunement dérangé de prendre les clefs, mais je n'ai absolument pas le temps hors période de vacance, désolé...
  8. Apparemment, tous les t'chats ont un souci, ce matin, donc oui :)
  9. Jedino

    Mensonges et immigration

    La lecture de ce genre de sujet est toujours consternante. Vraiment. J'ai beau entendre tous les jours à quel point le progrès serait en marche, il y a toujours quelque chose pour noircir le tableau. On raconte que le débat fait avancer les choses, qu'il ouvre les esprits. Il n'est pourtant que stérile. Au point où même le gouvernement refuse de débattre. Faut pas se voiler la face : personne ne change d'avis. On se vante de notre capacité à discuter. Ah ça, on n'y manque pas. Mais on reste sourd, les uns comme les autres. A trop discuter, on ne discute plus. On ne s'écoute plus. Le problème n'est pas récent. Loin de là. Si je devais prendre position, et j'ai une position, je serais clairement classé parmi les extremistes de gauche. Seulement, catégoriser les choses est pour moi la première de nos erreurs. Elle est très humaine, mais elle est erreur quand même. Comment s'étonner des conflits lorsque nous créons des différences? Et où est-il, le problème? En vous lisant, tout à l'heure, je me suis progressivement demandé ce que penserait un aveugle de tout ceci. Les différences s'entendent, c'est vrai. Tout comme quelqu'un d'attentif est en mesure de voir à la façon d'écrire qui est la personne qui écrit en face de lui. Certains parlent de vécu. J'ai la chance d'évoluer dans une famille où je ne manque de rien, d'être depuis plus jeune préservé de ces lieux si terribles, ou montrés comme tels, en ville. Et, pourtant, j'ai eu droit à mes petites souffrances futiles, au collège, lieu de tous les maux. Ils n'étaient pas bronzés. Je me suis toujours bien entendu, au contraire, avec les bronzés. Parce que je ne les voyais pas ainsi. Ou alors je connaissais les "bons". Nous sommes si fiers d'être ces êtres pensants, et nous oublions, (trop) souvent, de penser. Mais il est tellement plus simple de mettre chacun chez soi et se montrer gentiment en public histoire de parfaire notre image, en oubliant nos petits soucis qui peuvent bien attendre. J'ai beau être vu comme une espèce d'asocial dépressif, j'ai la faiblesse de penser plus hautement la conversation. Délire d'un post-adolescent ignare? Possible. Chacun sa merde, comme on dit. Maintenant oui, il est difficile de nier que l'immigration a nécessairement des impacts sur une population donnée, ne serait-ce qu'en l'augmentant en terme de quantité. La diaboliser tient tout autant de l'ignorance. Les immigrés sont bels et biens des êtres humains, comme nous, Français. On ne peut pas appeler à venir ces personnes et les jeter le lendemain, sauf à l'indiquer dans le "contrat". Autrement dit, ces personnes-là resteront et vivront, c'est-à-dire feront, oui, des enfants. Ces choses-là ne sont pas si anciennes puisqu'elles étaient encore réelles après la deuxième Guerre mondiale. Et oui, il y a aussi des êtres "mauvais" qui viennent chez nous. Maintenant, j'attends qu'on m'explique en quoi ils le seraient plus que nous. L'Histoire aurait pourtant dû nous apprendre à être humble de ce côté-là. Mais, il semblerait que non. Alors oui, comme on me l'a déjà dit, ce n'est pas moi qui paye méchamment au niveau des impôts, et de toute façon, je n'y comprends pas grand chose. Il reste que mon jeune esprit niais croît encore, rien qu'un petit peu, à un monde qui cesserait de penser par "je" pour préférer, soyons fou, un "nous". Illusoire pensée que voici : l'égoïsme n'ayant pour limite que la vanité, comment tendre vers un idéal aussi absurde? Je me le demande toujours. Peu importe pour quoi je vais passer. Ce doit être une histoire de coup de blues. Et, effectivement, je n'apporte absolument rien au débat.
  10. C'est pas mal, mais tu as oublié un "a" au dernier vers :)
  11. Jedino

    Lui, l'inconnu

    Parce que cette différence est à ce point "classique" qu'elle ne m'intéresse pas au point d'y penser et, surtout, parce que je ne fais pas moi-même de réelle différence, ce qui m'empêche d'y penser. Maintenant oui, en effet, j'aurais pu. Oh, les raisons, sans doute! Mais les raisons, on les connaît aussi. Ou on le croît. Alors, à quoi bon les rappeler? Non mais là, pareil : j'aurais pu, mais ce n'est pas tout à fait mon "genre" d'expliquer les choses, faut croire.
  12. Faisait longtemps. J'ai profité de ton passage chez Tequila Moor pour refaire un tour. L'utilisation de l'histoire d'astérix avec l'actualité m'a pas mal plu. Puis, il y a toujours deux-trois choses qui m'intéressent, ne serait-ce que les chansons. Bonne journée!

  13. Jedino

    Lui, l'inconnu

    Pourquoi dommage?^^
  14. Paraît que les batteries de ces engins-là sont déjà mauvaises comme ça. J'imagine pas avec un jeu qui demande un minimum de puissance (même avec le double) :D
  15. C'est sympa, mais selon moi, tu as déjà fait mieux tout de même!
  16. Jedino

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    http://www.youtube.com/watch?v=GnKgZ0tZvfI
  17. Je regarde le mort, hagard : Il était sûrement trop tard, Son coeur en oubliait de battre. Que dois-je donc faire, maintenant? Puis-je fuir, là, en cet instant? Non, je ne devais pas m'abattre. Tout devient à présent si noir : Nous tombions, lentement, au soir, L'horreur devenait lancinante. Une colère m'envahit ; L'espoir s'érode, se finit. Sa sagesse, elle, était prenante. Inconnu, je ne sais que dire ; Désarmé en face du pire, Je me sentais presque trop bien. Je n'ai cependant su prédire, Ne sais davantage décrire. Ce corps restait malgré tout mien.
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