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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Jedino

    La Marche.

    Exprime-toi, cela n'est pas un mal
  2. Jedino

    La Marche.

    Cessez donc de vous chamailler pour savoir qui des deux souffrent le plus. Ne savez-vous pas que nos problèmes sont toujours les plus grands et les pires de tous? Je ne sais plus qui a dit quelque chose dans ce goût là. Bonne journée à vous, et regardez : au loin, bien caché, se trouve un nuage, un oiseau, un grain de pollen, faisant voyage vers un ailleurs qui lui appartiendra, quelque part. Ne vous fâchez donc pas pour des désaccords ayant si peu d'intérêts véritables. Certes, nous sommes humains, mais nous sommes humains aussi, avant tout. Où est la nuance? Je vous laisse la trouver.
  3. Jedino

    La Marche.

    Nous savons ce que nous voulons savoir, l'ami C'est-à-dire bien peu, trop peu. Mais, à quoi savoir si c'est pour tout perdre un jour, un jour qu'on voudrait tardif, lointain? Un jour qu'on voudrait ne jamais avoir à vivre?
  4. Jedino

    La Marche.

    Serais-tu las de ton travail? Bonne journée à toi. Et, jolie photo. Le Soleil apparait lentement. Qu'il dépose sur son passage quelques uns de ses rayons sur ton existence
  5. Jedino

    un jour = une histoire

    On appelle ça le romantisme, mon brave! ... (ou pas) :D Une question me vient à l'esprit. Pourquoi avons-nous, ou plutôt, aurions-nous, des capacités parfaitement différentes et innées dès la naissance? A quoi sert un petit homme sensible, un petit homme hargneux, un petit homme malade, à la nature? La complexité du génotype entrainerait donc une diversité à ce point importante que chacun naît avec des qualités qui descendraient, du coup, de nos parents? Sommes-nous vraiment qu'un mélange entre deux génotypes à notre naissance? Cela revient à introduire un peu de métaphysique : la destinée d'un côté, la métempsychose de l'autre. A vrai dire, il est impossible de trancher. Peut-être que notre présence a un rôle qui nous dépasse? En un sens, la métamorphose que l'on inflige à notre planète pourrait en être un, aussi mauvaise est-il. Mais, de ce fait, la destinée du monde serait des plus pessimistes, c'est-à-dire amené à disparaître. La métempsychose, elle, est un fait intéressant, si ce n'est parce qu'elle considère que tout est accessible à chacun du moment qu'il s'attèle sérieusement à la tâche. Un "simple" souvenir. L'idée est belle. Néanmoins, comment expliquer que certains aient une volonté plus grande de savoir, alors qu'une partie se tapit dans ce qu'elle sait déjà? Là encore, la destinée pourrait répondre à cela, en incluant une place à chacun, et donc une motivation unique pour tous en fonction de celle-ci. Au contraire, nous pourrions aussi en décider, quelque part. L'argument le plus réaliste serait donc que la souffrance a tendance à forcer le réalisme, la prise de conscience, et la connaissance. Cependant, il me paraît difficile de considérer que tous ceux qui étudient sont des êtres de souffrances ultimes (à moins d'être schopenhauerien et de penser que le fait d'exister est déjà une souffrance des plus atroces?) : il pourrait ainsi y avoir aussi la présence de la société dans la volonté (ou nécessité) d'apprendre (pour réussir, ce qui en soi, est une mauvaise raison selon moi). Il n'empêche que si la cohérence du réalisme tend à rendre son idée plus crédible, elle ne permet aucunement d'exclure l'argument d'une entité supérieure et d'un déterminisme suprahumain. Finalement, la question n'est pas tant de savoir où est la vérité, mais de savoir ce qu'est, pour vous, la réalité. Bien sûr, il serait préférable d'être dans le vrai, mais à défaut de pouvoir y accéder, contentons-nous de vivre avec une pensée qui nous rassure timidement : cela revient un peu à s'illusionner. Cela revient surtout à oublier un temps l'horreur de la vie.
  6. Jedino

    un jour = une histoire

    Cosette, tes manières me rappellent grandement celles, justement, de ma prof'... :D Et ceci est, à mon sens, un compliment, puisqu'elle a l'air d'apprécier la vie et ses petits plaisirs.
  7. Bon, ça dépendra du jour et de mon envie, mais, c'est tout à fait envisageable
  8. Moi, je pourrais possiblement :D
  9. Jedino

    un jour = une histoire

    Je vais te donner une idée à laquelle, et dont je ne peux revendiquer la paternité (mon professeur de philosophie l'étant) : il disait que contrairement au bonheur, la joie, elle, pouvait être féconde, et donner à l'autre sans se préoccuper de soi lorsqu'un "trop plein" de joie le permet. En gros, les excédents que nous possédons sont donnés bien gratuitement à l'autre sans l'attente d'un retour. Cela pourrait être pour la joie. Maintenant, peut-être pourrais-tu substituer cette pensée à l'altruisme? Comment, je l'ignore. Peut-on imaginer que la joie puisse mener à partager sans chercher un quelconque intérêt? Possible. Mais, on pourrait tout à fait tourner le fait de "donner" le trop plein comme un intérêt tout personnel pour se défaire d'un "poids" qui pourrait, s'il était gardé, faire un grand mal.
  10. Jedino

    Dr Jekyll, Mr Hyde

    Les passages sur certaines syllabes est, disons, assez modernes et originales. En tout cas, j'apprécie ta poésie. Bonne soirée.
  11. Y'a rien à expliquer (a)

  12. Ce n'est pas grave x)

  13. Sans doute, oui. Mais au pire, hein!

  14. Faire dans la quantité ne m'intéresse pas... :D

  15. Jedino

    un jour = une histoire

    Sommes-nous les esclaves de nos cerveaux? C'est la question qui m'est venue, presque naturellement, en songeant à toutes ces choses qui remplissent la vie quotidienne. Je crois que nous pourrions étendre la question à tout le corps tant nos besoins dirigent nos actes, notre rythme, bref, toute notre vie. Nous mangeons, buvons, dormons lorsque notre corps en manifeste d'une quelconque manière l'envie. Certes, notre force réside en la possibilité d'y résister. Mais, cette décision a une limite : la tolérance de notre cerveau. Vous pourriez courir le risque le plus grave, être le plus juste des hommes, votre cerveau vous convaincrait de voler un honnête marchand pour survivre, ou même pourrait vous faire dormir malgré vous. La démonstration de l'importance de notre encéphale réside, je trouve, dans son comportement qui rappelle, étrangement, le nôtre : lors d'une mort lente par carence, le cerveau suivra un ordre logique cherchant à le préserver lui, et l'essentiel qui lui est utile pour rester en état. Cela mène à un sacrifice des graisses, des muscles, puis des organes "secondaires", avant de perdre les organes plus "vitaux". Le centre de décision est finalement le seul qui dirige, qui souhaite vivre, qui peut de part sa "volonté", et qui le fait. Se pose le problème de savoir si nous sommes une illusion de notre organe le plus complexe, ou si nous sommes une entité à l'image d'un esprit ou d'une âme. Mon matérialisme me penche vers un déterminisme rationnel. Tout m'y mène, d'ailleurs, puisque j'en déduis surtout un esclavage de la conscience, non conscient, qui plus est, par le seul véritable maître de nous-mêmes. Vous jugez cela trop simple, trop erroné? Alors, réfléchissez, rien que deux minutes, et demandez-vous : que faites-vous qui altère directement un besoin vital par pure envie jusqu'à en approcher la mort? Rien. Vous pouvez cesser de dormir, manger, boire, mais à moins d'avoir un désespoir tel qu'il vous est possible d’affaiblir votre cerveau, vous ne pourrez jamais aller contre votre gré qui, au final, n'est pas vraiment le vôtre. Bien entendu, l'objection est si facile et si importante que je crois en mon délire actuel. Mais, j'y tiens, songez sincèrement à ce que vous permet de penser avoir le contrôle de vous-mêmes, à cet amour, ce bonheur, ce tout très humain qui n'est que très secondaire : pourquoi croyez-vous que l'arrêt de tout désir mène à un tel état de plénitude, aussi douloureux peut-il être?
  16. Bonne soirée et nuit à toi aussi, Frodon ;)

  17. Jedino

    un jour = une histoire

    Je pense que vous l'avez déjà remarqué, et de ce fait, je ne vous apprendrai rien. Dès l'adolescence, on nous parle partout, pour tout, de l'avenir : 'il faut travailler pour ton avenir', etc, etc. Autrement dit, on nous conseilles fortement, voir plus, de délaisser le présent pour préparer un éventuel futur qui ne saura pas trop mauvais, du coup. N'est-ce pas complètement idiot? Certes, sans cela, nous sommes bons pour la misère pour le reste de notre vie. 'Il faut sacrifier votre jeunesse pour sauver votre vie' : voilà un slogan qui correspondrait parfaitement à la pensée actuelle. Si ce n'est pas malheureux, tout de même! Mais le plus inquiétant, dans l'histoire, c'est que cela marche et plaît. Ce fait ne démontre qu'une fois encore l'essence même de l'homme qu'est fuir la peine, et non être heureux. C'est d'autant plus comique lorsqu'on sait que le but ancré dans les esprits est tout à fait contraire à notre démarche quotidienne. Comment veut-on aller vers le bonheur si nous prenons tous les détours qui nous y mèneraient apparemment? Pourquoi s'éloigner à chaque fois plutôt que de courir naïvement jusqu'à lui? Par lucidité? Par crainte? La conclusion est on ne peut plus simple : si vous désirez réellement parvenir à un bonheur véritable, ne vous abandonnez pas à un après hypothétique, et pour l'heure, inexistant : contentez-vous de fleurir et chérir l'instant présent pour en extirper chaque once de joie.
  18. Exigent, c'est tout!

  19. Jedino

    Chapitre 13 : Une mission dangereuse

    Je vois bien quelque chose autour du volcan, oui. Ca pourrait être intéressant (ou pas, sinon, cela, je ne le sais pas). La question reste de savoir si les bandits vont se lancer ou chercher du monde. Mais, ça, nous le saurons par la suite, oui
  20. Jedino

    J'ai rêvé

    Morphee, tu as l'air d'avoir une vision assez "freudienne" des femmes :D Echoo, je ne la connaissais, mais effectivement, elle est pas mal, ta citation. En même temps, ça reste du Coluche! Bonne journée à vous.
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