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Tout ce qui a été posté par Jedino
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La poutre et la paille : une arme de destruction massive
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Je ne crois nullement en notre liberté. Et, je crois que je me suis mal fait comprendre sur les termes d'auto-destruction. Certes, nous dégradons, si l'on veut, notre habitat, mais ce que nous faisons avant tout, c'est poser un pistolet sur notre tempe. Donc oui, en cela, je crois que nous sommes d'accord : nous n'avons pas le pouvoir de détruire la vie à proprement parler sur Terre. Détruire la nôtre, par contre, je crois que c'est en grande partie dans nos moyens. Maintenant, oui, le rêve écologiste est assez utopique, une sorte de nourriture pour ceux qui passent leur temps à alarmer sur ce sujet. "Regardez, nous cherchons à changer, à faire évoluer, mais pas de trop non plus". Donc oui, ça n'a rien de simple. Mais, malgré tout le pessimisme, et un certain fatalisme, dont on pourrait suivre l'écoute, je reste, malgré moi, presque, un grand rêveur... :) -
Parce que par principe, je m'excuse de ne pas trouver de sincère intérêt à quelque chose. Et puis, j'aime bien apprendre, va-t-on dire, donc je me désolerais presque de n'avoir pas vraiment appris. Tu vois? :D
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T'es un Chuck Norris Le répète pas partout, j'vais finir par complexer :D
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Bah, suffit de mettre le lien, chez moi?
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J'ai regardé par curiosité, et globalement, je n'ai pas tant l'impression d'avoir appris beaucoup, donc je ne vais pas poursuivre, désolé...^^'
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La poutre et la paille : une arme de destruction massive
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Pourtant, la destruction de notre habitat le plus vaste, la Terre, n'est-ce pas quelque part de l'auto-destruction qu'on pourrait associer à une forme de suicide "différé"? C'est une de mes croyances, certes, mais cela, je trouve, ressemble beaucoup à l'image que j'ai pu rencontrer de ce genre de personnes là.. -
Chapitre 22 : Poursuivons la seconde etape de l'entrainement
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Ca va finir par fighter à nouveau avec les fameuses ombres, ou je me trompe? x) -
Il n'y a pas de grandes histoires. Ni de grands hommes. Et, encore moins de grands noms. Je ne sais pas pour vous, mais, moi, cela m'étonne. Voir cet immense voile se déposer ainsi, discrètement. Toute cette subjectivité couvrant ce qui nous entoure. Je me dis que, oui, il le faut : au moins, cela nous parle, nous semble familier. Nous en avons tant besoin, de ce sentiment de sécurité, d'apparente connaissance. Sinon, la paranoïa sème son blé. Sinon, nous n'y serions pas les maîtres, même objectés. C'est là ma petite pensée actuelle, celle qui englobe un peu de ma journée. Oh, non, elle ne changera pas le monde, ou que sais-je d'autre! Sa prétention se limite à exister. Par ailleurs, j'ai pu observer, aujourd'hui, ou plutôt expérimenter, car c'est là l'expérience d'un ressenti, aussi étrange soit-il, à quel point parfois, je nous trouve mécanique. Pas dans le fonctionnement corporel à proprement parler qui l'est somme toute déjà bien assez, et de façon très évidente. Dans nos attitudes, nos comportements, surtout. Nos habitudes ne les sont-elles pas? Nos réactions, sensiblement proches, ne le sont-elles pas? Mais, qu'importe, à présent. Car j'ai aussi remarqué à quel point nous avions ce besoin de classer les choses. Comme si l'ordre était la seule manière de contrôler. Les bonnes choses, les mauvaises. Les mal placées, et celles qui le sont biens. Tous ces détails infimes qui inondent nos vies, sans jamais chercher à être vu. Un amas de morceaux bien ficelés entre eux pour se sentir chez nous. C'est là que nous trouvons l'originalité, la personnalité, l'individu. Un ensemble de transformations à notre échelle pour façonner notre univers. La question est de savoir si cela fait de nous des êtres uniques. La question est véritablement de déterminer si nos actions font de nous ce que nous nommons par "quelqu'un". Pour ma part, je n'y crois pas. Mon opinion tourne de plus en plus vers cette impression de n'être que des machines, inassumées ou inconscientes. Des êtres qui, par possession de ce que nous appelons la conscience, consente à adapter le naturel par un besoin ancestral de protection, besoin devenu, par la suite, l'origine de la fausse unicité de chacun. Ces animaux doués de cet instinct voulant qu'on préfère la pierre sculptée que la pierre comme on pourrait la trouver partout. Nous, ces bêtes vivant d'une pulsion pour le changement. Notre évolution découle de là. Pour moi.
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Je doute que les modérateurs lisent tout ce qui se met. Mais, si c'est signalé, et que c'est justifié, oui.
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Les vieux démons sont les pires. Ils ont l'expérience et la patience de nous crever. On me demande pourquoi. Pourquoi je suis ainsi, alors que je n'ai rien, en réalité, pour l'être. N'est-ce pas drôle de constater que parfois, les autres ont l'air de s'imaginer qu'on aime et souhaite ça? Ca n'a rien d'un jeu. J'éprouve beaucoup de mal, et je consomme énormément de mon énergie,à me contrôler. Non, je ne suis pas dangereux. Si on me laisse en paix. Vous est-il arrivé d'avoir une sorte de pulsion de mort, tel un ordre délirant voulant détruire? Cela ne m'arrive que rarement. A ce point là, disons. Paradoxalement, c'est la vue de la violence, ou de la peine, qui me font cet effet-là. Personne ne me croirait, mais je me sens ultra-violent. Je crois même que je le suis. La tristesse d'un ou une autre peut me faire déprimer à mon tour. Sans que je ne connaisse la personne, ou ne connaisse ses raisons. Je n'ai rien d'un "combattant", d'un rebelle, d'un je ne sais quoi dont on cherche à associer notre prétendue identité. Mais, je sais qu'en moi se niche une bête que je peux maîtriser si personne ne vient à la provoquer. Je crains trop de sombrer dans la folie un jour. Voilà pourquoi même frappé, je préfère rester au maximum stoïque. Je n'ai de toute façon pas l'apparence de ce genre d'individus. Les apparences. Ce bas lieu me dégoûte parfois. Je me dégoûte souvent.
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La poutre et la paille : une arme de destruction massive
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Tu as l'air de pas mal t'intéresser à la religion. Je tends à penser, personnellement, que nous sommes tous des suicidaires. Plus ou moins consciemment. Tout comme nous sommes tous coupables, comme tu sembles un peu le dire, si j'ai un peu compris le truc? Mais, un sentiment de culpabilité fait-il de nous des coupables? -
La vie est ailleurs....
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Amazones dans Le domaine d'amazones
Un joli mélange en couleur! Sympathique :) -
Quelque chose m'échappe. Quelque chose qui fait comme un décalage. J'ai pourtant l'impression de tout comprendre. Non, je comprends tout. Dans ma tête, tout est clair, tout est simple. Pourquoi pas après l'avoir écris? Je crois savoir. Je ne trouve pas ça logique. Ce n'est pas logique. Bien sûr, on me dira que parce que je suis incapable de m'élever à cette tâche, je refoule ma frustration à travers la diabolisation de cette même tâche. Il n'en est rien. Depuis que j'ai remarqué à quel point c'était absurde, je n'y arrive plus. J'ai en moi une telle fracture avec les Mathématiques que je ne peux plus les voir. En fait, je trouve cela si évident que je n'arrive à résoudre les problèmes qui y résident que grâce à une résolution similaire auparavant. Du remodelage, en gros. Comment nous sommes parvenus à presque idolâtrer un monstre pareil, je ne le comprends pas. L'accumulation des faussetés, sans doute, qui donnent au tout un apparent visage de justesse. Vraiment, j'étais déçu, ce jour là. Constater qu'on ait choisi, et choisir est le terme, un détail de telle sorte que cela puisse être possible, ça m'a énormément déçu. Je vais lâcher l'affaire. Je ne fis que broyer du vide. Nous tenons trop à cette "science" pour oser nous en séparer. Mais, maintenant, je réfléchis. Beaucoup. Parce que, si la base est branlante, comment le reste parviendrai-il à rester stable? Et si la science n'était pas dans le vrai? Si, au fond, elle ne fait que paraître, et fonctionne par un heureux hasard? C'est qu'à force d'ajouter les mensonges et les erreurs, la bonne réponse finit par tomber malgré tout. Il suffit après de la garder, bien cachée. Sincèrement, croyez-vous qu'un gamin dans mon genre puisse avoir raison en remettant en doute un savoir millénaire, un savoir façonné par autant d'esprits brillants que je possède d'idées délirantes? Ca tiendrait du délire, là aussi, parce que rien, absolument rien, n'est en mesure de me permettre de l'affirmer. Rien, mis à part les axiomes, et quelques théorèmes narguant les démonstrateurs de la folie humaine. Car il faut l'être, fou, pour croire que la nature est mathématique. Nous ne faisons que déposer un voile qui nous rassure et nous assure la compréhension de la nature. Quitte à nous tromper.
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Une proposition pour le mois de Juillet
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Je vote pour, hahaha! -
En mode baroudeur!
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Chamm dans Chamm fait passer le temps...
Connais pas, nop. -
Dieu n'est pas qu'un concept métaphysique
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Existence, oui, je crois avoir bien compris la chose. En fait, j'ai souvent du mal à m'exprimer clairement... :D Bref. Disons que la conception de Spinoza me convainc pas mal. Si ce n'est sa conception-même de Dieu. D'où peut-être ma difficulté à croire en la "liberté spirituelle", vu que la liberté n'est tout simplement pas... Autrement dit, je comprends ta position d'athée et en soi, elle m'intéresse. Il est toujours intéressant de s'enrichir de nos divergences, je trouve. Mais, je crois que notre entente se termine ici. J'hésite sur le terme de ma propre croyance. Je doute néanmoins de l'inexistence d'un "dieu". Sa nature n'est peut-être simplement pas celle dont on est incapable d'imaginer. Je m'éloigne. Tout ça pour dire que je suis d'accord sur l'influence psychologique de ton billet, sur la manipulation, positive ou négative (n'existe-t-il pas un terme autre pour la "manipulation positive"? Je ne sais pas, là). Et, ne pas te positionner est un grand mérite. En tout cas, dans ton discours, car oui, je ne doute pas que tu aies ton opinion sur la question^^ Bonne soirée! -
Le rêve. Je crois qu'il brûle, en cet instant. Il se consume. Je le pensais pourtant immuable. Il semblerait qu'il ne soit rien, rien de plus qu'un morceau de papier. Comment ne pas être déçu? La désillusion est difficile. Pas tant à avaler. Je n'y ai jamais réellement cru. Plutôt, à devoir l'avaler. J'aurais voulu y croire. Au fond, ce n'est pas avoir tort qui pose problème au moment où cela nous arrive. Et ça nous arrive. C'est simplement le fait de l'admettre, comme si reconnaître son erreur, ou la velléité de nos intentions, sont autant de choses que l'on ne peut faire sans en souffrir. Alors, forcément, au début, j'ai cherché à comprendre. Puis, à le retrouver. Trop tard. C'était déjà finis. Peut-être n'était-ce qu'un mirage? L'ultime espoir face au désespoir?
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une idée de titre?
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Chamm dans Chamm fait passer le temps...
C'est pas mal du tout -
Dieu n'est pas qu'un concept métaphysique
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Parlerais-tu, en gros, de la manipulation en des termes, disons, plus "élogieux"? Parlerais-tu de mes cours de philosophie où l'on entend parler de "l'opium du peuple" et de "l'asile de l'ignorance" pour désigner la religion et Dieu? Pour ma part, je préfère éviter de penser cela de cette manière. Au fond, nous n'en savons que trop peu. -
Je pense bien que ça peut être difficile à comprendre. De toute façon, la haine, quelle qu'elle est, me paraît plus être une protection contre quelque chose qu'un sentiment purement destructeur. En fait, c'est la question de l'identité, l'éternelle question du "qui suis-je"! Mais, nous verrons bien. Difficile de savoir. Surtout que pas mal de choses seront différentes, l'année scolaire suivante. Néanmoins, parfois je me dis que je suis trop peu moi-même, pour reprendre le "tu es pour moi trop peu toi-même" d'Hermann Hesse. Toute la question réside dans le fait de savoir qui l'on est. En plus des "pourquoi l'on est", et "comment serons-nous", ou "devons-nous être". Peut-être y a-t-il un peu trop d'exigences, et de questions. M'enfin merci^^
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On m'a dit que j'avais perdu de ma haine. Dans mes textes. Et c'est vrai. Je me sens plus en paix. Pas en paix, mais davantage, oui. Et, je trouve, comme on me l'a dit, que pour cette raison, cela sonne creux, vide. Du bof, en gros. Une belle parlote inutile. Comme si écrire se légitime par la provocation et la violence qu'on ressent au moment de le lire. Bien sûr, ceci est loin d'être vrai. Combien on pu composer de magnifiques choses sans pour autant partir tout de suite dans la noirceur! Seulement, cela ne me correspond pas, à moi. Et, au fond, je ne suis pas certain que tout ait changé à ce point, c'est-à-dire presque radicalement. Mes idées restent sensiblement proches, mes mots ne changent pas tellement. Peut-être que l'impression donnée est différente? Car, en effet, je préfère garder les textes les plus sombres dans mon tiroir, à présent. Voilà pourquoi il n'y a pas la connaissance de ce personnage très récent dans ma tête, et déjà inachevé, à la fois naïf et haineux contre le monde, contre lui. Non, ce sentiment n'est pas mort, en moi. Il devient juste docile à l'arrivée de l'été. Sa froideur n'apprécie pas la chaleur. Sûrement reviendra-t-il à l'occasion du prochain automne. Qui sait?
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Ah oui, possible! Faut dire que je suis fatigué, là.. :D Autant pour moi!
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Cette aliénation. Mais peut-être en existent-ils d'autres qui finalement n'infirment pas le fait que nous le soyons tous?
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A peine la bataille finie, ils s 'entrainent déjà? Et bah!!
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En effet! Pourquoi pas tous?
