Sec. Nerveux. Puissant.

+

Poignant.

Du grand Konvict

Sans le troisième, ç'aurait été limite une description de l'absurde de la vie.

Avec le troisième, la chose devient plus complexe.

la belle affaire: efficace et réaliste.

Merci pour vos commentaires, les gars et Jedino. :)

Sans le troisième, ç'aurait été limite une description de l'absurde de la vie.

Avec le troisième, la chose devient plus complexe.

Oui, d'ailleurs à la base, ce poème était censé être purement absurde. Je suis parti, comme souvent d'ailleurs, de l'idée du paradoxe de balancer un tas de détails inutiles tout en prétendant qu'ils ne valent pas la peine d'en parler. Puis, je me suis dit que ce serait sympa d'ajouter des faits majeurs en les noyant dans ces bricoles. Finalement, j'ai eu l'idée - brillante, n'est-elle pas ? - de remplacer l'absurde par le sarcasme grâce à cette fameuse troisième strophe.

Voilà, c'était l'anecdote inutile du jour.

Merci pour tes éclaircissements qui sont, et c'en devient lourd de le rappeler après "éclaircissements", lumineux.

Cela dit, ne te sens pas obligé de me nommer en particulier. Je sais que tu m'aimes, mais tout de même, j'ai une certaine réputation de modestie à tenir!

Si tu changes une lettre ou deux à "modestie", ça fait "connerie".

Le JE, je vois bien qui c'est, mais le TU, c'est qui ?

Ça pourrait être le chat prodigue, pour l'absurde, mais je pensais plutôt à un géniteur mâle qui aurait abandonné son fils avant ou peu après sa naissance (la naissance du fils, évidemment, pas du père).

konvicted : allons allons, ne fais donc pas ton condescendant! Ma pédanterie n'a d'égale que mon ignorance, tu le sais très bien! En cela, je suis nécessairement modeste, ne serait-ce que dans le fond!

Déjà que mes dents de sagesse peinent à trouver de la place, je n'ai pas la bouche assez vaste pour être un con ascendant...

(Tiens, je l'aime bien ce calembour, vous étonnez pas si je le recycle prochainement.)

Tu déformes mon propos! J'te dis descendant, pas ascendant! Et de mauvaise foi, en plus! Et je compatis! Quoi que j'en ai pas tellement souffert, perso'!

(Quel génie tu fais!)

Tu déformes les intentions de mon propos. Je te dis justement que c'est parce que je ne peux pas être un con ascendant que je suis un condescendant. Pour une fois que je te donne raison, tu ne veux pas l'admettre ; voilà ce que ça fait d'être modeste à l'extrême !

(J'apprécie mal ton ironie, jeune impertinent ! Par j'apprécie, comprendre j'évalue.)

Tatata! La modestie est la compensation des médiocres, l'ami, tu le sais très bien! Et que tu me donnes raison sent le coup-fourré, alors comment l'accepter?

(C'est l'ironie de paysan, forcément lourd et mauvais! Quel philosophe!)

Je donnerais raison à n'importe qui pour placer un calembour.

Autant pour moi!