La fleur orangé du grenadier , au pied duquel je me retrouvais assoupi ,me fit sursauter ,atteignant mon visage .
La garrigue environnante bruissait sous le vent marin, mélangeant
les fragrances de sa flore endémique, entêtantes et prégnantes.
La terre couleur d’ocres variés, saturée de soleil ,faisait vibrer l’air
ambiant ,et déformait les choses et leurs perceptions.
Un bruit sec et mat , vint frapper le feuillage ,
L'Invisible vagabond , maître des rêves ,passeur du temps !
Aujourd'hui! ,jour de chance!! J'ai la grande cheminée pour moi tout seul ; Profonde cinq bonnes enjambées, large d’autant, de part et d’autre du foyer deux bancs maçonnés de pierres et de cayroux(1 ), comportant pour sièges ,des plaques de marbre rouge et blanc du Conflent, brillantes , lustrées par le frottement de nombreux fondements.
Ce lieu est habituellement le domaine de la maîtresse de maison.
Au fond sous le
Plaidoyer ! pour la réincarnation !!et l'Amour des petites bêtes!!
Pour aborder de façon pragmatique et consensuelle ce délicat, problème!
Suite a un sondage , très pointu , auprès des tenants de la réincarnation; organisé par moi-même , je dù me rendre à l’évidence( et à pied , bien sur ), la faune animale, sauvage ou domestique occupait la tête de liste.
De l’éléphant ,au lion , zèbre des félins, des canins, ( qui ?a dit des bourrins ! c’est malin ça !!) etc (la liste étant non exhau
Important ! Ce récit est authentique , vécu par l’auteur de ces quelques lignes .
Permettez moi de planter le décor de ce malheureux accident,
sans parti pris !les faits uniquement les faits!!.
Comme les années précédentes , les employés de la municipalité vinrent déposés , sur le parking du lotissement, les tréteaux les planches et les sièges qui allaient servir pour la , désormais classique et incontournable, fête des voisins .
Le rassemblement fut prévu ,entre 19 et 20 heures .
Le lie
IL mesurait à vue de nez et sans les lunettes , une vingtaine de centimètres , il avait l'air ,que l'on respire par ici , (on s'en fout de l'air ,il ressemblait à quoi hein ?) Désolé! excuser moi! l'émotion bien sur ,c’est du live ! J'hésite car la chose est complexe et la description guère aisée , et pour ce faire je vais devoir rechaussé les bésicles .
Un genre ,ou une espèce ? -les savants décideront- ,de bloc parallélépipédique,(preuve que j'ai bien retenues ,mes leçons de géomé
Mise en garde ! l'auteur de ce texte décline toutes responsabilités , car ce dernier ( le texte ! pas l'auteur voyons!!) serait a même !,de provoquer , insomnies , doute existentiel, hilarité intempestive , incontrôlée sans oublier les effets secondaires , inconnus, bien sur ,à l'heure ou nous publions !
Sur la chaise longue confortablement installé , sous l'ombre rafraîchissante du mûrier-platane , je siestais béatement , à chacun son style . Dans un ciel d'un bleu cobalt uniforme
Aux lectrices et lecteurs ,qui ont parcourus , mon blog , et mon dernier billet , l a Complice! je présente mes excuses , pour ce doublon , fausse manip! le retour en arrière s'avèrant complexe , un petit mot fera a n'en pas douter ! aussi bien l'affaire!! en vous remerciant , pour votre indulgence. Salutations amicales et ensoleillées du Roussillon !Ben
Elle était là, invisible masquée par des nuages noirs, frangés de sa lumière diffuse,
Signalant sa présence froide , et menaçante .
La rue est sombre, seuls quelques lampadaires dispensent une chiche clarté .
De vieilles façades décrépites, des volets aux couleurs de misères.
La rouille des gonds, pleurent sur le murs, leurs longues larmes, couleurs de sang.
Sur le trottoir humide, sale ; se découpe un rond de lumière ,que projete un ancien réverbère. Un chien sans pedigree ,ni maîtr
Depuis , un certain temps et sans ménagements , , je cherche ! et ce n'est pas,faute de chercher ! Devant l'absence de résultats ,j'en suis rendu a faire le siége du net , Qui sait?
Avant les fêtes de fin d'année j'avais entrevu , un espoir , avec la tenue de la foire de la St Martin à Perpignan . Espérant parmi ses nombreux exposants , y dénicher , mon bonheur . Alors que je parcourais les allées, parfois à contre-sens , affrontant les chalands et leurs remarques souvent , peu amènes .Une
Pas question de faire une halte ,la côte Balagué, que je grimpe d'habitude rapidement et plusieurs fois par jour aujourd'hui , je peine,un point de coté me coupe le souffle et me fait souffrir. Je dois passer la porte du même nom. Vestiges incontournables des anciennes murailles de la ville , porte de marbre blanc et bleu pour accéder à la ville haute qui protégeait la ville d’Elne et sa cathédrale romane . Mais j’ais encore à parcourir une grande partie, de la rue de la Paix dé