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Voir ce quiz Les Peintres de la Renaissance. Testez vos connaissances sur les mystères de l'Art de la Renaissance Créateur goods Type Mode classement Temps 5 minutes Nombre total de questions 10 Catégorie Divers Envoyé 01/31/21
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Les chercheurs ont examiné des peintures de l’âge d’or danois et ont trouvé des traces de levure et de céréales. Cela suggère que les peintres se tournaient vers les sous-produits des brasseries locales pour préparer des toiles. Les restes de brassage auraient été étalés sur les toiles sous forme de pâte, créant une surface lisse et empêchant la peinture de s’infiltrer. Aujourd’hui, on utilise généralement pour cela un mélange blanc connu sous le nom de gesso. SOURCE Tableau de Christoffer Wilhelm Eckersberg Tableau de Christen Købke
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J'ai demandé un devis à un artisan peindre pour repeindre différents éléments en bois dont des fenêtres à faux petits carreaux. Je suis étonné que pour ces dernières, il prenne comme superficie à peindre la totalité de la fenêtre alors que la majeure partie est en verre et n'est donc pas à peindre. Je suis conscient de la difficulté de calculer une telle surface à peindre, mais les artisans peintres n'ont-ils pas une formule permettant d'avoir une estimation précise de ce qui est à peindre, en appliquant éventuellement un coefficient de difficulté. Que ce soit un élément plein type volet ou une fenêtre, la superficie est calculée de la même manière. Quelqu'un du métier pourrait-il m'éclairer?
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Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez, est un artiste peintre et graveur français. Associé depuis la fin des années 1940 à l'art abstrait, il est particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur noire, qu'il appelle « noir-lumière » ou « outrenoir ». Il est l'un des principaux représentants de la peinture informelle. En 2014, François Hollande le décrit comme « le plus grand artiste vivant dans le monde ». 2019 : Grand prix du rayonnement français. Membre honoraire étranger de l'Académie américaine des arts et des lettres (1979) Grand-croix de l'ordre national du Mérite (1999) Austrian Decoration for Science and Art (en) (2005) Grand-croix de la Légion d'honneur (2015), grand-officier en 201159) Médaille d'or de la Renaissance française (15 mai 2019) Ordre du Soleil levant de quatrième classe, Ruban d'or et Rosette (2 novembre 2020) L’œuvre vit du regard qu’on lui porte. C'est ce que je fais qui m'apprend ce que je cherche. Elle ne se limite ni à ce qu’elle est ni à celui qui l’a produite, elle est faite aussi de celui qui la regarde. Ma peinture est un espace de questionnement et de méditation où les sens qu’on lui prête peuvent venir se faire et se défaire. Un jour je peignais, le noir avait envahi toute la surface de la toile, sans formes, sans contrastes, sans transparences. Dans cet extrême j'ai vu en quelque sorte la négation du noir. Les différences de texture réfléchissaient plus ou moins faiblement la lumière et du sombre émanait une clarté, une lumière picturale, dont le pouvoir émotionnel particulier animait mon désir de peindre. Mon instrument n'était plus le noir, mais cette lumière secrète venue du noir. Enfant, j'aimais peindre, dessiner. On me donnait des couleurs mais je préférais tremper mon pinceau dans l'encrier. "Que dessines-tu ?" m'avait demandé ma mère, en me voyant peindre à l'encre noire. J'avais répondu "De la neige." Tout le monde avait bien ri, mais j'avais saisi quelque chose, le contraste. L'artisan sait toujours où il va. L'artiste, pas forcément Il faut surtout se garder de répéter ce qui a réussi. On tombe très vite dans son propre académisme. Tous les académismes sont mauvais. Mais le pire, c’est encore celui de soi-même. Outrenoir : le noir devient émetteur de clarté. Ce sont des différences de textures, lisses, fibreuses, calmes, tendues ou agitées qui captant ou refusant la lumière font naître les noirs gris ou les noirs profonds. Le reflet est pris en compte et devient partie intégrante de l'œuvre : il y intègre la lumière que reçoit la peinture et la restitue avec sa couleur transmutée par le noir. Ces relations entre les formes sont un transfert de relations de l'univers à une autre signification. Dans ce qu'elle a d'essentiel la peinture est une humanisation du monde. Dans ces peintures, les Outrenoirs, la toile se fait devant vous, en fonction de vous, au moment de votre regard et à l’endroit où vous la découvrez. Si vous faites un pas de côté, ou si l’éclairage change, que le soleil tourne ou que le soir tombe, la lumière et son espace s’en trouvent complètement transformés. Si l'on sait qu'on ne sait pas, si l'on est attentif à ce que l'on ne connait pas, si l'on guette ce qui apparaît comme inconnu, c'est alors qu'une découverte est possible. (...) je peins d'abord pour moi ; je ne crains pas de le dire, c'est pour que ma vie soit possible. Je peins parce que j'ai besoin de peindre. Mais je considère que ma peinture ne devient de l'art qu'à partir du moment où elle est vue, où elle est regardée par d'autres et où elle est comme une œuvre d'art c'est à dire comme une chose que d'autres regardent et vivent à leur manière. Il y a la raison qu'on invoque de se mettre à la portée d'un public. Je n'ai jamais cru à cette façon de traiter le spectateur en sous-développé, d'inventer un langage puéril, un langage de nourrices qui parlent à des enfants. S'il y a une éducation à faire, un culture à donner, ce n'est pas aux artistes que cela incombe. Ces peintures ont d'abord été appelées Noir-Lumière, désignant ainsi une lumière inséparable du noir qui la reflète. Pour ne pas les limiter à un phénomène optique, j'ai inventé le mot outrenoir, au-delà du noir, une lumière transmutée par le noir et, comme outre-Rhin et outre-Manche désignent un autre pays, outrenoir désigne aussi un autre pays, un autre champ mental que celui du simple noir. Soulages croit-il en Dieu ? Peu importe d'ailleurs. Homme de foi, qui en douterait, la foi, et donc la croyance, pour cet homme, c'est cette part de lui-même, sinon son être entier qui, depuis qu'il crée, aspire à la lumière et n’œuvre que pour elle ... à travers le noir ou, plutôt par le biais des éclairs lumineux que développe son noir bourrelé d'effets et de matière. J’aime l’autorité du noir. C’est une couleur qui ne transige pas. Une couleur violente mais qui incite pourtant à l’intériorisation. A la fois couleur et non-couleur. Quand la lumière s’y reflète, il la transforme, la transmute. Il ouvre un champ mental qui lui est propre Plus les moyens sont limités, plus l'expression est forte. Après tout un arbre noir en hiver c'est une sorte de sculpture abstraite. Ce qui m'intéressait était le tracé des branches, leur mouvement dans l'espace. clair-obscur. Transparence. La pratique est inséparable de l'art qui se fait jour avec elle. Autrement dit, le fond et la forme ne font qu'un. Je n'ai cessé d'inventer des instruments, le plus souvent dans l'urgence. N'arrivant plus à produire quelque chose, je m'empare de ce que j'ai sous la main. La matière avec laquelle je travaille n’est pas le noir, mais la lumière qu’il émet vers le regardeur. [...] Je crois à l’importance du regardeur. « La peinture est un ensemble de formes sur lequel viennent se faire et se défaire les sens qu’on leur prête ». À 16 ans, dans une revue, j’ai découvert le bison d’Altamira [...] ce qui m’a étonné, c’est de prendre conscience que les premières peintures de l’humanité ont été produites dans le noir absolu des grottes. De la craie, ces hommes en avaient partout dans leur environnement. Mais ils fabriquaient du noir en brûlant, en broyant les os. Ils mettaient cette poudre en bouche et faisaient du crachis : mâchaient et crachaient. J’en ai eu l’expérience à Pech Merle avec Michel Lorblanchet. Je me suis aussi introduit dans un trou de lapin où l’on se glisse pour trouver un dessin visible par une personne seule, dans le noir… Avec ma passion du noir depuis l’enfance, ça m’a beaucoup plu d’apprendre ça. On y trouve aussi des tracés digitaux appelés ironiquement « macaronis ». On sent bien que l’homme qui les a gravés s’est fait plaisir en caressant profondément du doigt la terre humide des parois de la grotte. Comme en caressant un ventre, mais de l’intérieur. Un jour de janvier 1979, je peignais et la couleur noire avait envahi la toile. Cela me paraissait sans issue, sans espoir. Depuis des heures, je peinais, je déposais une sorte de pâte noire, je la retirais, j’en ajoutais encore et je la retirais. J’étais perdu dans un marécage, j’y pataugeais. Cela s’organisait par moments et aussitôt m’échappait. Cela a duré des heures, mais puisque je continuais, je me suis dit qu’il devait y avoir là quelque chose de particulier qui se produisait dont je n’étais pas conscient [...]. Je suis allé dormir. Et quand, deux heures plus tard, je suis allé interroger ce que j’avais fait, j’ai vu un autre fonctionnement de la peinture : elle ne reposait plus sur des accords ou des contrastes fixes de couleurs, de clair et foncé, de noir et de couleur ou de noir et blanc. Mais plus que ce sentiment de nouveauté, ce que j’éprouvais touchait en moi des régions secrètes et essentielles. Le rapprochement d’un noir et d’un bleu a toujours quelque chose d’assez sensuel, on s’y livre avec une certaine volupté. La peinture est avant tout une expérience poétique. C'est une métaphore ; elle ne se laisse pas expliquer, elle ne se laisse pas entamer par l’explication. Le noir, pour moi, est une couleur intense, plus intense que le jaune. Je suis allergique au passéisme. L'art du passé me passionne, mais toutes les tentatives de retour en arrière ne sont que des simulations. Et toute simulation n'est qu'une tromperie. L'idée de progrès n'a rien à voir avec l'art, mais l'art change constamment, parce que le monde change et la situation de l'homme aussi. Les intentions d’un artiste, comme les explications du spectateur, sont toujours de fausses clés. Elles n’abordent qu’un côté d’une oeuvre, elles n’entament pas l’énigme qu’elle est. Peintre français vivant le plus cher Dès le début des années 1980, la cote de Soulages affiche des enchères supérieures à 100 000 francs et, en 1986, on enregistre un score à plus de 500 000 francs. C'est ensuite l'enchère historique de 264 000 livres (soit 2,65 millions de francs de l'époque), prononcée en novembre 1989 à Londres sur un grand format de 196145. Le 26 juin 2013, après que sa toile, Peinture, 21 novembre 1959, s'est vendue à 4,3 millions de livres (5,1 millions d'euros) à Londres, il devient l'artiste français vivant le plus cher aux enchères. Le 6 juin 2017, sa toile Peinture 162 × 130 cm, 14 avril 1962 s'est vendue à 6,1 millions d'euros à Paris, devenant ainsi son œuvre la plus chère aux enchères. Le 15 novembre 2018, après que sa toile, Peinture 186 × 143 cm, 23 décembre 1959 s'est vendue à 11 millions de dollars, soit 9,2 millions d'euros, (battant le record de l'année précédente) à New York, il devient le premier artiste français vivant à dépasser la barre symbolique des dix millions de dollars, intégrant ainsi un club très fermé48. Le 4 octobre 2019, sa toile, Peinture 146 × 114 cm, 6 mars 1960 s'est vendue à 5,5 millions de livres (6,48 millions d'euros) à Londres. Le 27 novembre 2019, sa toile, Peinture 200 × 162 cm, 14 mars 1960 s'est vendue à 9,6 millions d'euros à Paris, surpassant le précédent record.
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Topic consacré à la peinture et à l'art en général
Sérénity 49 a posté un sujet dans Arts et Artistes
Bonjour à tous et toutes. Ne me sentant plus réellement à ma place dans le topic où j'allais déposer autrefois mes découvertes en matière de peinture, je me décide enfin ce jour à venir ouvrir à mon tour un endroit convivial (je l'espère et le souhaite), où chacun et chacune pourra librement venir déposer de la peinture, des dessins, de la poésie où même pourquoi pas de la musique. Bref, chacun sera libre de partager ses envies et ses passions avec moi, du moment que cela reste non seulement dans la bonne humeur et surtout dans le respect de l'autre, tout ira bien. Voici une série de créations intitulées "créations fantastiques" -
Hello Nous allons certainement bientôt déménager pour avoir une pièce en plus pour bébé Le plus gros soucis qu'on va avoir en partant de l'appart actuel, c'est la salle de bain Elle n'est pas aux normes : ya aucune aération, ya une fenêtre mais on ne pet pas l'ouvrir. Donc, forcément, avec la condensation, la peinture s'écaille, s'humidifie ect... Evidemment, quand nous sommes arrivés, la peinture était refaite entièrement vu que les anciens locataires devaient avoir le même soucis Donc, quand nous partirons, nous voudrions refaire la peinture, seulement on y connait que dalle en peinture. J'aimerais donc savoir : - Déjà comment retirer la vieille peinture - Quelle peinture utilisé, si ya un type spécifique à prendre - comment obtenir un beau résultat parce que moi et M Pandore on est des quiches en peinture - ya-t-il une astuce ou autre pour bien peindre au plafond. voilà :smile2:
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Alfred Stevens, (11 mai 1823 ¿ 29 août 1906) D'origine belge, il se fixe à Paris en 1852 (tandis que Victor Hugo s'exile en Belgique d'où il sera chassé). On est donc sous le gouvernement de Napoléon III et voici une petite grande histoire : En 1855, Alfred Stevens met en scène la répression dans ce qu'on appelle le vagabondage : à Vincennes, une mendiante est conduite en prison par des gendarmes avec ses enfants en bas âge. Une bourgeoise, charitable, lui tend une bourse ; le gendarme lui reproche son geste. Sur le mur, à droite, deux affiches annoncent un " bal " et un " terrain à vendre ", rappel ironique de l'omniprésence de l'argent dans la société impériale. Napoléon III ne s'y est pas trompé : choqué que ses gardes soient représentés si crûment, il fit en sorte que les vagabonds soient désormais emmenés en prison avec discrétion, en voiture close. A partir de 1860, il change de sujet et il connaît un énorme succès grâce à ses tableaux de jeunes femmes habillées à la dernière mode posant dans des intérieurs élégants. Le portrait permettrait de bien vivre dans la mesure où les sujets évoluaient dans des milieux aisés. 1859, femme à la fenêtre nourrissant les oiseaux 1867, dans la campagne Il fait un triomphe à l'Exposition universelle de Paris de 1867 où il reçoit la Légion d'honneur. 1872, méditation 1874, les quatre saisons, commande de Léopold II de Belgique 1874, après le bal l'anti-couleur 1878, Yamatori 1880-90, jeune Femme à la plage 1885, après-midi au parc Il est autant à l'aise à la cour impériale de Napoléon III et dans la haute société que dans les milieux artistiques et bohèmes de la capitale. C'est un ami intime de Manet. 1886, La Baronne de Bonhome 1888, dans le studio 1893, la fillette au canard suite demain...
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Salut a tous, Voila je souhaiterais savoir où trouver de la peinture ou aérosol qui fasse un effet miroir de qualités pour pas trop chère car je voudrais réaliser cette vidéo mais j'ai pas l'appareil utilisée ? Vidéo: Merci à vous ! Je prends évidemment tous conseil pour avoir un effet miroir au maximum sur cet partit de la replique.
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Bonjour je me presente , je m'appelle alexia et j'ai 14 ans , j'ai commencé un cours de dessin depuis cette année mais deja avant de commencer a parler et marcher je dessinai deja ,:p c'est pour vous dire combien jaime dessiner :) ce que je voudrais c'est que vous donniez votre avis sur mes differents dessins et que vous me disiez ce que vous n'aimez pas, ce que vous aimez ou ce que je pourrais ameliorer , donc voila ! n'ayez pas peur je suis ouverte a toute critique positive ou negative ! merci beaucoup , je precise que les dessins ci joint je les ai fait totalement seule
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Pour ceux qui se demandent ce que j' peux bien fabriquer, à part sortir des conneries sur le forum et cracher la haine raciale par tous les orifices.....:) Voilà à quoi j 'ai passé la semaine.... Ma gonz' aime les chaussures repetto..... Moi, j 'adore leurs boîtes parce qu'elles sont chouettes à peindre. Un exemple: vue d'ensemble derrière devant dessus dedans zizicoptère, zizicoptère.....Euh.....pardon! Donc, voila, la peinture est pas spécialement d"une "extrême finesse" Mais, ca fait aussi partie du truc, l' aspect un peu brut....C'est peint à main levée....Je commence à avoir une belle p 'tite collection, et j 'ai une bonne réserve de boîtes vierges (ah , les gonzesses, et les chaussures, hein......) Voila, voila..... :)
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Comment aborder, voire apprécier une toile sans être un spécialiste ?
Invité a posté un sujet dans Arts et Artistes
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Vlaminck Samedi 21 Juin - 13:57 [Arts - Peinture & Arts graphiques] Vlaminck [Arts - Peinture & Arts graphiques] Lieu : Musée du Luxembourg - Paris Dates : du 20 Février 2008 au 20 Juillet 2008 Présentation Le Sénat propose encore une grande rétrospective monographique au musée du Luxembourg, consacrée à 'l' instinct fauve' de Vlaminck. L'exposition rassemble des oeuvres de 1900 à 1915, c'est-à-dire depuis les premières peintures de jeunesse que nous connaissions (les réalisations antérieures, peintes dès l'âge de 17 ans, ont disparu) et qui affirment déjà la violence d'une expression caractéristique du peintre, jusqu'à celles réalisées au début de la Première Guerre, témoignant des recherches de restitution de l'espace qui l'animaient alors. Un regard d'ensemble sur la production de Vlaminck à cette époque met en évidence la part essentielle qu'il prit au renouvellement de la peinture initié au début du siècle, l'inventivité des recherches qu'il mena avec Derain et qui firent de Chatou l'un des foyers les plus actifs de ce renouveau. Informations complémentaires De 8 à 10 euros - Du lundi au jeudi de 11h à 19h, le vendredi jusqu'à 22h, samedi, dimanche et jours fériés de 9h à 19h Musée du Luxembourg, 19 rue de Vaugirard, 75006 Paris Renseignements : 01.45.44.12.90 Suite de l'article... Source: evene.fr Les Transphotographiques Samedi 21 Juin - 14:02 [Arts - Photo & vidéo] Les Transphotographiques [Arts - Photo & vidéo] Lieu : Lille et sa région Dates : du 15 Mai 2008 au 25 Juin 2008 Présentation Les Transphotographiques ouvrent en 2008 un premier volet de propositions artistiques sur le thème 'Mode et Photographie', qui s'inscrit dans l'histoire de ce territoire. Parce que la Mode a depuis toujours choisi la Photographie comme un de ses principaux vecteurs d'expression, et en résonance à son environnement, les Transphotographiques proposent d'explorer les liens qui unissent la mode et la photographie, de soutenir et de diffuser la création régionale ¿ tant celle des jeunes photographes que celle des stylistes. La programmation du festival offre ainsi une sélection d'expositions et d'événements où le public sera aussi au 'contact du tissu' et placera la ville de Lille et sa région comme l'un des pôles européens de l'expression de la mode. Informations complémentaires Transphotographiques, 18 rue Frémy, 59800 Lille - Renseignements : 03.20.05.29.29 Suite de l'article... Source: evene.fr