La nouvelle dictature

Dans l’hypermodernité mondialisée, tandis que s’affrontent la perversion du capitalisme paradoxant et la paranoïa des intégrismes dans l’égale barbarie de leurs complémentaires violences, d’assourdissants silences, d’inaudibles cris, d’improbables discours tentent de faire entendre ce que le bavardage médiatique et la cacophonie numérique recouvrent de leur bruyante nullité. L’insignifiance devient la norme d’un nouveau et très paradoxal sens commun pour lequel, au prix de multiples clivages, la juxtaposition de propositions oxymoriques ou paradoxales devient la règle et l’idéal. Ce n’est plus le bon sens mais la connerie qui est aujourd’hui la chose du monde la mieux partagée, au point de devenir un nouveau syndrome ethnique. 

https://shs.cairn.info/revue-connexions-2018-1-page-55?lang=fr

Pourquoi et comment ? Pourquoi cette normalisation et comment cet insidieux ''idéal'' prend en otage la liberté d'être et de penser...

il y a 29 minutes, Lowy a dit :

Dans l’hypermodernité mondialisée, tandis que s’affrontent la perversion du capitalisme paradoxant et la paranoïa des intégrismes dans l’égale barbarie de leurs complémentaires violences, d’assourdissants silences, d’inaudibles cris, d’improbables discours tentent de faire entendre ce que le bavardage médiatique et la cacophonie numérique recouvrent de leur bruyante nullité. L’insignifiance devient la norme d’un nouveau et très paradoxal sens commun pour lequel, au prix de multiples clivages, la juxtaposition de propositions oxymoriques ou paradoxales devient la règle et l’idéal. Ce n’est plus le bon sens mais la connerie qui est aujourd’hui la chose du monde la mieux partagée, au point de devenir un nouveau syndrome ethnique. 

https://shs.cairn.info/revue-connexions-2018-1-page-55?lang=fr

Pourquoi et comment ? Pourquoi cette normalisation et comment cet insidieux ''idéal'' prend en otage la liberté d'être et de penser...

Bâillonner les gens, quelque soit la manière et la méthode employée, est et reste l’un des principes fondamentaux d'une dictature en bon et due forme...

Moi, j'ai la flemme d'essayer de comprendre un discours pareil.

il y a 10 minutes, Phylou a dit :

Si tu le dis ...

Moi, j'ai la flemme d'essayer de comprendre un discours pareil.

Ben oui, c'est bien là tout le problème , c'est ça la paresse cognitive . Elle intervient dans les deux sens, flemme d'expliquer et flemme de chercher à comprendre .

Alors après, une erreur à ne pas faire, c'est perdre sont temps à essayer de faire comprendre à ceux qui ne veulent pas faire d'effort, on en arrive à dire : cherche pas à comprendre , paye  !  On ne peut pas vraiment dire que c'est une dictature en fait .

Par contre, pourquoi intervenir sur ce post ? Soit tu cherches  à comprendre, soit tu n'interviens pas, mais intervenir sans comprendre , quel est l'enjeu ? 

Il y a 3 heures, G6K972 a dit :

Bâillonner les gens, quelque soit la manière et la méthode employée, est et reste l’un des principes fondamentaux d'une dictature en bon et due forme...

Au nom du "politiquement correct", par exemple.

Il y a 12 heures, Passiflore a dit :

 

Au nom du "politiquement correct", par exemple.

Tous les arguments sont bons pour faciliter l’émergence de cette dictature en question. 

Ce sujet fait partie des sciences humaines et sociales .

Voici une version simplifiée du 1er paragraphe :

Dans le monde d'aujourd'hui, tout va très vite et il y a beaucoup de confusions. Il y a des gens qui font des choses mauvaises, comme certains qui veulent tout contrôler ou d'autres qui ont très peur et se battent entre eux. Pendant ce temps, il y a beaucoup de bruits, de discours qui ne veulent rien dire, et les médias parlent beaucoup sans vraiment dire l'essentiel.

Ce qui est important devient difficile à reconnaître, parce que tout est mélangé. On met ensemble des idées qui ne vont pas ensemble, comme des opposés, et cela devient la nouvelle façon de penser. Au lieu d'être sage ou réfléchi, beaucoup de gens deviennent insensés ou ne comprennent plus ce qui est vraiment important.

Quand quelqu’un demande comment on a pu devenir aussi bête, une autre personne explique que c’est parce qu’on a adopté des idées et des comportements qui viennent des États-Unis, mais c’est plus compliqué que ça.

On ne parle plus beaucoup d’humour, de réflexion ou de discussion intelligente. À la place, on préfère des phrases courtes et faciles, même si elles ne veulent rien dire. Les gens ne prennent plus le temps de réfléchir ou de faire des choix importants. Tout devient confus, et on ne sait plus ce qui est vrai ou faux, ce qui est bon ou mauvais.

Souhaites-tu une version encore plus simple ou avec des mots encore plus faciles ?

C'est un sujet sur la paresse cognitive, je comprends que tu l'ais placé dans " inclassable " .

A mon avis, il aurait sa place soit en science ,soit en philosophie .En science parce qu'il fait partie des sciences humaines ou en philosophie .

il y a 4 minutes, bouddean a dit :

A mon avis, il aurait sa place soit en science ,soit en philosophie .En science parce qu'il fait partie des sciences humaines ou en philosophie .

J'a pensé à Philosophie mais je sais que beaucoup n'aiment pas ''philosopher''.

C'est un sujet ''inclassable''  (société, philosophie, politique....)

Mais bref, il y'aura toujours des interventions telles que celles décrites par le sujet ... museler et normer...

Vous êtes une personne gentille @bouddean, j'ai appris à ne plus l'être avec certains .

Peut-on réellement s’extraire de "toute connerie", et toujours avoir le "bon sens" chevillé au corps ? Et quel serait le ratio de ces personnes "connes", par rapport aux "autres" ?

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

Peut-on réellement s’extraire de "toute connerie", et toujours avoir le "bon sens" chevillé au corps ? Et quel serait le ratio de ces personnes "connes", par rapport aux "autres" ?

 

Le sujet n'est pas les personnes ''connes'' et les autres.

Et l'article ne définit ni les unes , ni les autres. 

HS donc.

il y a 30 minutes, Lowy a dit :

Le sujet n'est pas les personnes ''connes'' et les autres.

Et l'article ne définit ni les unes , ni les autres. 

HS donc.

Purée, ce genre de réponse, ça donne pas trop envie d’essayer de communiquer. Je vais donc voir ailleurs. Bonne journée.

il y a une heure, Lowy a dit :

J'a pensé à Philosophie mais je sais que beaucoup n'aiment pas ''philosopher''.

C'est un sujet ''inclassable''  (société, philosophie, politique....)

il y a 27 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Purée, ce genre de réponse, ça donne pas trop envie d’essayer de communiquer. Je vais donc voir ailleurs. Bonne journée.

Alors dans un premier temps, je me suis particulièrement intéressée à l’auteur de cet article.

Et si j’ai bien suivi, il s’agit de : 

Emmanuel Diet

Agrégé de philosophie, psychologue, docteur en psychopathologie et psychopathologie clinique, psychanalyste (CIPA), analyste de groupe et d'institution, (, Arip,Transition et SFPPG), responsable de  formation initiale et continue des enseignants, notamment spécialisés dans le cadre de l'Education Nationale ( ENF de Rouen,CRFMAIS de l'ENF de Paris et IUFM de Paris), j'ai enseigné les sciences humaines cliniques(philosophie, psychopédagogie clinique et psychopathologie scolaire, anthropologie psychanalytique, théorie psychanalytique des groupes et des institutions , psychologie clinique et interculturelle) dans les universités de Rouen, Paris III, Paris V, Paris VII, Caen et Lyon II.

Ancien membre du C.A. du Collège de psychanalystes , et ancien président de l'ARIP, je suis aujourd'hui co-secrétaire général du CIPA, chercheur associé au CRPPC de l'université Lyon II,membre du comité de rédaction de la revue "Connexions" et travaille désormais  à plein temps à mon cabinet comme analyste et superviseur, tout en poursuivant mes recherches sur l'aliénation, les logiques de la perversion, l'acculturation et les problématiques de la transmission et l'articulation des espaces psychiques dans une perspective complémentariste.

ICI

Ce monsieur fait des ouvrages, des conférences et des formations. 
Ce texte serait plus adapté à une rubrique spécifique comme « Psychologie ».

J’ai bien lu l’article en question… vraiment long, fastidieux pour n’importe quelle personne lambda comme moi et tant d’autres personnes ici.

Ce vaste texte est divisé en sous-chapitre tels que « Le chaudron de la perversion », « Propaganda », « Le grand cirque et les petites phrases », « Déstabilisations », « L’arbre planté pour cacher la forêt », « Mises en scène et processus de défense », « Le cryptôme », « Apocalypse now… », « Épiphanies », et composé d’une bibliographie dense : à mon sens, il demande bcp d’attention et de décryptage de mots peu connus et usités par le commun des mortels.

Bref, il faut consulter un dico 2.0 pour arriver à mieux comprendre le sens des phrases. 

En toute objectivité, il s’adresse à un public confidentiel, d’initiés : il est peu accessible à grand monde sur le forum.

Après perso, pour le synthétiser, je trouve que c’est un pamphlet extrêmement critique, à charge, voire fort orienté contre la communication dans notre société. 

il y a une heure, bouddean a dit :

C'est un sujet sur la paresse cognitive, je comprends que tu l'ais placé dans " inclassable " .

Le « roi du sophisme » doit être grandement intéressé par le sujet puisqu’il y est fait référence à un moment. 

Ne me demande pas où précisément, je ne souhaite pas me replonger dans le texte, trop long à chercher. 

il y a 28 minutes, Elisa* a dit :

Après perso, pour le synthétiser, je trouve que c’est un pamphlet extrêmement critique, à charge, voire orienté contre la communication dans notre société. 

Merci Elisa d’avoir essayé de nous faire comprendre le charabia initial du sujet.

Toutes techniques nouvelles de communication transforment les rapports humains de la collectivité.

Lorsque le média dominant était seulement la presse, bien avant la radio, le grand art des politiques de l’époque était de faire de grands discours pompeux et alambiqués.

Au début de la radio, ces politiques de la presse papier, s’exprimaient comme à la chambre des députés avec des discours ronflants.  Le journaliste radio obligé de demandé aux politiques de faire bref et concis dans leurs réponses.

Puis la télévision est entré dans les foyers, nous avions le son, l’image, chacun ayant le souci de l’image, prioritairement sur le sens final du débat.

Les réseaux sociaux sont à mon sens, la quatrième nouvelle révolution du monde médiatique, tout le monde ramène sa fraise, peut importe la vérité ou le mensonge des uns ou des autres, le grand art c’est de conjuguer le verbe paraitre à tous les temps et justifier son existence.

Appeler ce phénomène une nouvelle dictature, c’est à mon sens excessif, mais comporte une part de vérité. A chacun de faire le tri dans ce fatras de nouvelles fausses et vraies.

L’élection de Trump aux USA a des effets collatéraux, de ce que d’aucun nomme la nouvelle dictature, ils n’ont sans doute pas complètement tort. (c'est ma façon de synthétiser et de comprendre le sujet)

Il y a 3 heures, Elisa* a dit :

Alors dans un premier temps, je me suis particulièrement intéressée à l’auteur de cet article.

Et si j’ai bien suivi, il s’agit de : 

Emmanuel Diet

Agrégé de philosophie, psychologue, docteur en psychopathologie et psychopathologie clinique, psychanalyste (CIPA), analyste de groupe et d'institution, (, Arip,Transition et SFPPG), responsable de  formation initiale et continue des enseignants, notamment spécialisés dans le cadre de l'Education Nationale ( ENF de Rouen,CRFMAIS de l'ENF de Paris et IUFM de Paris), j'ai enseigné les sciences humaines cliniques(philosophie, psychopédagogie clinique et psychopathologie scolaire, anthropologie psychanalytique, théorie psychanalytique des groupes et des institutions , psychologie clinique et interculturelle) dans les universités de Rouen, Paris III, Paris V, Paris VII, Caen et Lyon II.

Ancien membre du C.A. du Collège de psychanalystes , et ancien président de l'ARIP, je suis aujourd'hui co-secrétaire général du CIPA, chercheur associé au CRPPC de l'université Lyon II,membre du comité de rédaction de la revue "Connexions" et travaille désormais  à plein temps à mon cabinet comme analyste et superviseur, tout en poursuivant mes recherches sur l'aliénation, les logiques de la perversion, l'acculturation et les problématiques de la transmission et l'articulation des espaces psychiques dans une perspective complémentariste.

ICI

Ce monsieur fait des ouvrages, des conférences et des formations. 
Ce texte serait plus adapté à une rubrique spécifique comme « Psychologie ».

J’ai bien lu l’article en question… vraiment long, fastidieux pour n’importe quelle personne lambda comme moi et tant d’autres personnes ici.

Ce vaste texte est divisé en sous-chapitre tels que « Le chaudron de la perversion », « Propaganda », « Le grand cirque et les petites phrases », « Déstabilisations », « L’arbre planté pour cacher la forêt », « Mises en scène et processus de défense », « Le cryptôme », « Apocalypse now… », « Épiphanies », et composé d’une bibliographie dense : à mon sens, il demande bcp d’attention et de décryptage de mots peu connus et usités par le commun des mortels.

Bref, il faut consulter un dico 2.0 pour arriver à mieux comprendre le sens des phrases. 

En toute objectivité, il s’adresse à un public confidentiel, d’initiés : il est peu accessible à grand monde sur le forum.

Après perso, pour le synthétiser, je trouve que c’est un pamphlet extrêmement critique, à charge, voire fort orienté contre la communication dans notre société. 

Vous n'êtes pas administrateur du forum et je poste ce que je veux sur ce forum.

Votre dissertation est incompréhensible .

Ce que j'en retiens de votre si longue dissertation sur l'auteur du lien, c'est qu'il ne dit pas n'importe quoi. S

Et si vous ne comprenez pas ce qu'il raconte, vous et le ''groupe'' , c'est que vous n'avez pas le niveau ^^

Il y'a assurément des gens qui comprennent ici, au delà - et je ne l'ai pas nié - des termes grandiloquents qu'il utilise. C'est le ''sujet'' qui est intéressant, ne vous en déplaise. Et si ça ne vous intéresse pas , il y'a assez de sujets à votre aise ailleurs.

Votre synthèse n'engage que vous Et votre pamphlet reste le vôtre. Je ne le critiquerais pas.

Il y a 3 heures, Mite_Railleuse a dit :

Purée, ce genre de réponse, ça donne pas trop envie d’essayer de communiquer. Je vais donc voir ailleurs. Bonne journée.

Ma réponse ayant été supprimé.

Ça serait bien de respecter ses dires^^

il y a 13 minutes, Lowy a dit :

Pourtant vous êtes encore là , à polluer le topic , pourquoi?

OK.

Tu es l’auteur du sujet. J’essaie de le comprendre et tu me renvoies dans mes cordes sous prétexte que je suis HS. C’est possible, mais au lieu de me prendre de haut, pourquoi ne pas m’expliquer ? C’etait une vraie question.

Tu es une intransigeante, tu ne supportes pas la contradiction. Tu n’alimentes pas ton sujet. Tu ne fais que reprendre, vertement, les interventions qui ne te ne conviennent pas. Tu n’apportes rien, tu n’expliques rien. Tu assènes.

Sois tranquille, j’exauce ton vœu...

il y a 16 minutes, Mite_Railleuse a dit :

OK.

Tu es l’auteur du sujet. J’essaie de le comprendre et tu me renvoies dans mes cordes sous prétexte que je suis HS. C’est possible, mais au lieu de me prendre de haut, pourquoi ne pas m’expliquer ? C’etait une vraie question.

Tu es une intransigeante, tu ne supportes pas la contradiction. Tu n’alimentes pas ton sujet. Tu ne fais que reprendre, vertement, les interventions qui ne te ne conviennent pas. Tu n’apportes rien, tu n’expliques rien. Tu assènes.

Sois tranquille, j’exauce ton vœu...

Je n'ai eu aucun voeu. Vous avez dis que ma réponse était nulle et que vous allez voir ailleurs , ...Que pourrais-je en comprendre

C'est fou ...et oui: le sujet n'était pas celui de la ''connerie''. Donc HS.

Oh que si le sujet m'intéressais et j'aurais aimé recevoir de ''vraies'' interventions ciblées sur le sujet , non pas sur le journaliste ou mon pseudo - comme ça devient de plus en plus fréquent-

J'ai commencé ce sujet , il avait tout son temps d'exister au lieu de l'ironie à deux balles, les ricanements et le procès de l'auteur du lien.

Prendre de haut? cela veut dire quoi? répondre et adouber un énième détournement de topic - ça oui, j'en ai raz le bol des destructeurs qui ne sont pas là pour discuter mais pour agresser, ironiser ou blablater entre eux..

Mes topics sont ouverts à tous ceux qui veulent discuter .

il y a 16 minutes, Mite_Railleuse a dit :

 

Tu es une intransigeante, tu ne supportes pas la contradiction. Tu n’alimentes pas ton sujet. Tu ne fais que reprendre, vertement, les interventions qui ne te ne conviennent pas. Tu n’apportes rien, tu n’expliques rien. Tu assènes.

 

Et ça veut dire quoi ça? 

Vous faites mon procès, vous faites une fixette stupide sur moi, et tout ceux qui ne correspondent pas au label de vos potes , ça ce n'est  pas normal . 

Pour ce qui est de vos ''interventions'' qui apportent et expliquent ...sans asséner que Mme et ses acolytes connaissent tout de l'univers , des gens, et font respecter la loi sur fr.

God!

il y a 6 minutes, Lowy a dit :

Vous n'êtes pas administrateur du forum et je poste ce que je veux sur ce forum.

Quel rapport ac ton sujet ? Je n’ai émis aucune objection : chacun.ne est totalement libre de poster ce qu’iel veut !

A quel moment, m’y suis-je opposée ?

Je m’y suis simplement exprimée dessus. 

il y a 7 minutes, Lowy a dit :

Votre dissertation est incompréhensible .

 Ah ben déjà je ne disserte absolument pas.

J’essaie juste d’éclaircir en précisant qui est l’auteur du pamphlet, et de quoi il parle.

il y a 12 minutes, Lowy a dit :

Et si vous ne comprenez pas ce qu'il raconte, vous et le ''groupe'' , c'est que vous n'avez pas le niveau ^^

Alors déjà il n’y aucun groupe, simplement des personnes qui interviennent sur ton sujet qui, à toute fin utile, est, je le rappelle : public.
Donc censément, non élitiste en fonction de réponses qui pourraient te convenir uniquement !

Le niveau mais quelle blague… Le texte est particulièrement long et complexe ac un vocabulaire spécifique, donc à la portée de peu de monde ici ou ailleurs. Rien de plus.

il y a 18 minutes, Lowy a dit :

C'est le ''sujet'' qui est intéressant, ne vous en déplaise. Et si ça ne vous intéresse pas , il y'a assez de sujets à votre aise ailleurs.

Je m’y suis justement intéressée et apparemment ça te dérange car cela ne va pas dans le sens que tu souhaiterais. 

il y a 22 minutes, Lowy a dit :

Votre synthèse n'engage que vous Et votre pamphlet reste le vôtre. Je ne le critiquerais pas.

C’est pourtant exactement ce tu as fait tout le long de ton post.

Mauvaise foi quand tu nous tiens… il en ressort systématiquement de ta part, une intransigeance absolue, une incommunicabilité flagrante envers toute personne n’étant pas en adéquation ac toi.

J’aurais essayé d’échanger… 

il y a 7 minutes, Elisa* a dit :

Quel rapport ac ton sujet ? Je n’ai émis aucune objection : chacun.ne est totalement libre de poster ce qu’iel veut !

A quel moment, m’y suis-je opposée ?

Je m’y suis simplement exprimée dessus. 

 Ah ben déjà je ne disserte absolument pas.

J’essaie juste d’éclaircir en précisant qui est l’auteur du pamphlet, et de quoi il parle.

Alors déjà il n’y aucun groupe, simplement des personnes qui interviennent sur ton sujet qui, à toute fin utile, est, je le rappelle : public.
Donc censément, non élitiste en fonction de réponses qui pourraient te convenir uniquement !

Le niveau mais quelle blague… Le texte est particulièrement long et complexe ac un vocabulaire spécifique, donc à la portée de peu de monde ici ou ailleurs. Rien de plus.

Je m’y suis justement intéressée et apparemment ça te dérange car cela ne va pas dans le sens que tu souhaiterais. 

C’est pourtant exactement ce tu as fait tout le long de ton post.

Mauvaise foi quand tu nous tiens… il en ressort systématiquement de ta part, une intransigeance absolue, une incommunicabilité flagrante envers toute personne n’étant pas en adéquation ac toi.

J’aurais essayé d’échanger… 

Le sujet (et la manière de l'exposer) me fait penser à Guy Debord et sa "Société du Spectacle" : très intéressant, novateur et enrichissant sur l'évolution de la société... Mais énoncé de façon tellement hermétique, pédante, "amphigourique" oserais-je dire..., que ça en perd tout pouvoir de vulgarisation.

Concernant Guy Debord, je me demande si ce n'était pas voulu : une façon (consciente ou pas) de mépriser la "plèbe", de se placer au-dessus.