Le défi écriture du mois de juin 2024

Bonjour tous toutes  

Je vous propose pour ce défi d'écrire une quatrième de couverture.  Tout est entièrement libre, le thème du livre, la longueur de votre texte. 

Est-ce qu'on aura envie de lire votre livre ? 

Faites nous envie ! 

Réécrire une quatrième sur un livre existant, qu'on aurait lu ?

 Ou inventer une quatrième d'un roman qui n'existe pas mais que nous n'envisageons pas même d'écrire ?

il y a 3 minutes, Sittelle a dit :

 Ou inventer une quatrième d'un roman qui n'existe pas mais que nous n'envisageons pas même d'écrire ?

oui, inventer  

il y a 1 minute, January a dit :

oui, inventer  

Oui cela me fait envie d'y participer.

on publie ici ? 

Super idée !!!

Et si on donne envie, on va être obligé de l’écrire, ce livre tentateur ?

@sphynxxxix oui oui directement  

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Et si on donne envie, on va être obligé de l’écrire, ce livre tentateur ?

 

On pourrait même l'écrire à plusieurs   

il y a 4 minutes, January a dit :

@sphynxxxix oui oui directement  

On pourrait même l'écrire à plusieurs   

Oh pitain, tu veux une troisième guerre mondiale !

il y a 5 minutes, January a dit :

@sphynxxxix oui oui directement  

 

j'ai déjà bientot fini,je vais ouvrir le bal  

Je n’ai pas besoin d’être malheureux (ou encore mâle heureux ), pas besoin d’être blessé ,ni même de mélancolie pour trouver l’inspiration .

Cette inspiration si volatile , mais nécessaire pour noircir une page blanche , de caresses et de douceurs  rédigées qui font tant de bien à l’âme .

J’ai juste besoin de ton regard , de ta sollicitude, à me lire ,à y trouver plaisir ,partage et gratitude .

Dès lors j’ai la sensation que nous pouvons aller plus loin ,plus haut, explorer des parties de nous qui ne demandent qu’à s’élever ,se révéler ,s’exprimer .que nous pourrons nous épanouir ensemble ,parce qu’il est permis d’oser ,d’aimer ce que l’on ne fait pas forcément tous les jours ,ne pensant généralement qu’à doser, à freiner ,à s’effacer et se replier sur soi même ,laissant le temps s’écouler et nos cœur vieillir sans leur laisser l’espace de jouissance nécessaire au bien être .

J’ai longtemps gardé cette envie de parler d’amour à la cave ,

Amour multiple, amour pluriel , décomposable en une multitude de nuances ,

non pas de Monsieur Grey *, mais plutôt d’une cinquantaine d’inclinations subtilement graduées et teintées distinctement , au gré du temps, au gré des vents de notre chemin de vie .

Alors c'est une énigme. Et le titre ce serait quoi ? @sphynxxxix ? 

il y a 4 minutes, January a dit :

Alors c'est une énigme. Et le titre ce serait quoi ? @sphynxxxix ? 

euhh je n y avais pas songé ,

" amour interdit  "

ça donne envie mais..... je manque tellement de temps en ce moment

J'ai mis le sujet en "suivi". Je ne pense pas pouvoir le faire mais au cas où, je retrouverai facilement le chemin...

Un exercice intéressant qui me semble difficile . Il faut une histoire déjà esquissée pour faire la quatrième page . je vais voir .

mais non mais non : la quatrième, c'est un petit résumé du début du bouquin, un texte qui explique de quoi va traiter le récit, ou encore un extrait, ou encore une critique, c'est assez vaste en fait !  

voici la mienne :

Sous les fougères 

Mais qu'est ce qui m'a pris de vouloir trouver d'où venait ce son !
Une obsession , oui , ça l'est devenu . 
J'ai 15 ans , tout un été à remplir et une guibolle à réparer .
Et si ils me menaient en bateau . Si , dès que j'ai le dos tourné , ils se marraient .Si tout est faux . 
Tant pis . Je vais chercher , y aller , fouiner , ramper  , gravir ses versants , traverser ses champs , observer ses courbes et surtout , surtout ECOUTER .

C'est pas interdit d'en écrire plusieurs !   

IL

Mais pourquoi portait-IL donc une montre puisque celle-ci n'avait pas de cadran ? C'était sa façon à lui de dire que le temps n'existait pas, que le temps infini s'étirait toute la journée, le laissant seul avec sa solitude et que, ne faisanr rien de sa journée, il désirait qu'elle se terminât au plus vite. Pour tromper les heures, il se levait tard... En guise de café, il faisait chauffer une casserole d'eau et préparait son matériel. Alors commençait sa mise à mort.

Ça avait commencé dans le sud-ouest du sud-ouest, à Itxassou, petit village du pays basque. Un dimanche. Le curé était mort, foudroyé sur sa chaire en plein prêche. Le lendemain, le boucher s’écroula dans sa chambre froide. Puis ce fut au tour de la crémière, du jardinier, du buraliste, et de la quasi totalité des habitants d’Itxassou. Des autopsies furent ordonnées. Elles révélerent que toutes les victimes avaient mangé une chocolatine avant leur mort...

il y a une heure, Mite_Railleuse a dit :

toutes les victimes avaient mangé une chocolatine avant leur mort...

Je veux bien la suite, tu as piqué ma curiosité