En finir avec l'expression "faire un enfant dans le dos"

il y a 1 minute, Tequila Moor a dit :

Ah, j'avons pas bien compris... En lisant votre échange, je croyais qu'il y avait une méthode hormonale qui existait déjà dans l'Egypte Antique. 

entretemps j'ai lu cet article de wiki :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception_dans_l'Égypte_antique

Assez surprenant!

Il y a 4 heures, Passiflore a dit :

 

C'est affreusement frustrant et pour l'homme et pour la femme.

Vous l'avez tous deux assez bien vécu ? Cela n'a pas été trop dur de toujours procéder ainsi ?

Non, pas du tout; mais c'est sans doutes plus compliqué pour l'homme. Toutefois,  ça n'a jamais eu l'air de gêner mon mari.

Il y a 20 heures, chanou 34 a dit :

 

bah bien sûr que ça arrive! Vous croyez quoi?

Ce que je crois ? C'est qu'elles, n'ont aucun intérêt à faire un enfant dans le dos justement.

Le 25/04/2024 à 14:19, January a dit :

[...]    il est grand temps de faire un sort à cette formule absurde. C’est une expression qui peut être utilisée littéralement ou métaphoriquement.

Et qui est donc bruyamment apparue cette semaine à la faveur d’un témoignage publié sur X, ex-twitter et qui a généré plusieurs milliers de réponses. Ce témoignage vous est offert par un certain Charles qui pensait trouver réconfort et soutien en partageant ce qu’il décrit comme une sombre mésaventure. Et bien mal lui en a pris à Charles.

Le témoignage en question : 

Il y a un an et demi, Charles rencontre une fille sur Tinder avec laquelle il entame une relation. Après 10 mois de vie de couple, cette dernière lui fait part de son désir d’être mère. Charles lui rétorque que lui ne se sent pas prêt du tout, et lui fait promettre d’avorter si « par malheur » elle tombait enceinte. (L’élégance à la française…)

La jeune femme tombe enceinte, fait savoir à Charles son désir de ne pas interrompre sa grossesse et lui laisse le choix de faire ou non partie de la vie de cet enfant à venir. Charles se « demande comment se sortir de là » et ne décolère pas de, je cite encore, « s’être fait faire un enfant dans le dos » alors qu’il était certain d’avoir été clair en exprimant son non désir d’enfant.

C’est là l’histoire de Charles, mais ça pourrait être celles de beaucoup d‘autres hommes qui disent aussi ne pas avoir consenti à la paternité et s’en remettent parfois à la justice.

 

Suite : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/famille-co/famille-co-du-dimanche-21-avril-2024-9931632

 

TOUT autant que de la formule "FAIRE l'amour" dans laquelle il n"y a très souvent pas une once "d'amour" mais juste de la copulation, gesticulation sexuelle.

il y a 1 minute, kilitout a dit :

TOUT autant que de la formule "FAIRE l'amour" dans laquelle il n"y a très souvent pas une once "d'amour" mais juste de la copulation, gesticulation sexuelle.

je suis à moitié d'accord. j'utilise plus volontier baiser qui me semble plus proche de la réalité. Toutefois, il y a des fois, où faire l'amour définit bien ce qui se passe. Ce n'est pas le même acte, le même ressenti, le même besoin.

il y a 23 minutes, kilitout a dit :

TOUT autant que de la formule "FAIRE l'amour" (...)

J'aime cette expression puisque pour moi, elle a tout son sens car elle dit parfaitement ce qu'elle veut dire.

Il y a 16 heures, January a dit :

 

 

Bon c'est le soir, il est tard... On va dire ça.

Pardon pour la sincérité...!