Karin Viard livre un témoignage glaçant dans « C à Vous »

il y a 1 minute, JacKK a dit :

Ouais les victimes qui se laissent faire deux fois sont donc responsables. C'est pourtant clairement ton propos.

Pas d'échange possible puisque tu détiens la vérité, désolé d'avoir froissé ta façon de penser.

il y a 2 minutes, querty a dit :

Pas d'échange possible puisque tu détiens la vérité, désolé d'avoir froissé ta façon de penser.

 

Une chance qu'il y ait des gens comme toi pour venir expliquer qu'elles, elles ne se laisseraient pas faire contrairement à ces victimes idiotes qui se font agresser deux fois. 

Le 27/02/2024 à 14:44, frunobulax a dit :

Les media sont actuellement principalement mobilisés sur les plaintes qui se multiplient dans le monde du cinéma.

Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Christophe Ruggia, Jean-Claude Brisseau, Nicolas Bedos, sont tous des réalisateurs "de gauche".

Il y a ceux dont les médias parlent beaucoup et ceux dont on parlent très peu.

Jacquot, Ruggia, Brisseau, je ne savais pas vous me l'apprenez.

Et quand une actrice interprète un role ou elle est violée  !  que doit elle faire ensuite  ?

il y a 6 minutes, Evaelle a dit :

Il y a ceux dont les médias parlent beaucoup et ceux dont on parlent très peu.

Jacquot, Ruggia, Brisseau, je ne savais pas vous me l'apprenez.

Oui, il y a des personnes plus coupables que d'autres, bon ce n'est pas nouveau et il y a des secteurs où c'est plus rependu, là aussi c'est une interrogation.

il y a 2 minutes, G2LLOQ a dit :

Et quand une actrice interprète un role ou elle est violée  !  que doit elle faire ensuite  ?

Porter plainte?

Il est certain que une mauvaise utilisation d'un sentiment de solidarité dans une profession devient pervers.

Les acteurs de cinémas hésitent de condamner un collège pervers, mais aussi dans les sports, les éducateurs, les églises, les parents et voisins ... qui n'osent pas dénoncer les comportements inadmissibles d'un collège ou ami.

C'est dommage le mot solidarité est un frein à la dénonciation.

il y a 18 minutes, querty a dit :

Oui, il y a des personnes plus coupables que d'autres

Décidément....

il y a 20 minutes, G2LLOQ a dit :

Et quand une actrice interprète un role ou elle est violée  !  que doit elle faire ensuite  ?

C'est a dire ?

il y a 11 minutes, Pierrot89 a dit :

Il est certain que une mauvaise utilisation d'un sentiment de solidarité dans une profession devient pervers.

Les acteurs de cinémas hésitent de condamner un collège pervers, mais aussi dans les sports, les éducateurs, les églises, les parents et voisins ... qui n'osent pas dénoncer les comportements inadmissibles d'un collège ou ami.

C'est dommage le mot solidarité est un frein à la dénonciation.

Je suis entièrement d'accord, et aussi par intérêt.

Sa carrière, son poste, il y a des tas de raisons de se taire et de fermer les yeux.

il y a 5 minutes, Pierrot89 a dit :

 

C'est dommage le mot solidarité est un frein à la dénonciation.

Solidarité, je ne crois pas. Mais ne pas oser, ne pas faire d'histoire, ne pas s'attirer des problèmes... ca beaucoup plus selon moi. Dans la solidarité, je vois une sorte d'approbation. Et je ne crois pas qu'il y en ait beaucoup malgre les silences. 

il y a 34 minutes, querty a dit :

Oui, il y a des personnes plus coupables que d'autres, bon ce n'est pas nouveau et il y a des secteurs où c'est plus rependu, là aussi c'est une interrogation.

Porter plainte?

Dans le film  ? ou pour de vrai  !!

il y a 1 minute, G2LLOQ a dit :

Dans le film  ? ou pour de vrai  !!

Je plaisantais. 

Si c'est un rôle, on ne pas mettre en prison le type qui en tue un autre non plus!

"Peut-on juger le passé à l’aune des valeurs du présent ?"

Vous avez 4 heures.

Il y a 1 heure, querty a dit :

Ce n'est pas ce que je dis.

C’est ce que j’ai compris aussi...

il y a 6 minutes, Mite_Railleuse a dit :

 

C’est ce que j’ai compris aussi...

Et bien faut peut etre bien relire ou me poser les bonnes questions

C'est un débat donc chacun n'a pas forcément la même vision.

il y a 25 minutes, Yann Begervil a dit :

"Peut-on juger le passé à l’aune des valeurs du présent ?"

Vous avez 4 heures.

Quelles seraient ces "valeurs" du passé", autorisant viols et agressions sexuelles ?

il y a 15 minutes, querty a dit :

Et bien faut peut etre bien relire ou me poser les bonnes questions

C'est un débat donc chacun n'a pas forcément la même vision.

J’ai bien relu. Ça, en l’occurrence : "Si je te mens deux fois, là ça devient de ta faute un homme averti en valant deux". Il me semble difficile de faire plus clair...

il y a 7 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Quelles seraient ces "valeurs" du passé", autorisant viols et agressions sexuelles ?

tu fais un contre-sens, il est question de passé et de valeurs du present .... 0/20 

il y a 20 minutes, querty a dit :

Et bien faut peut etre bien relire ou me poser les bonnes questions

C'est un débat donc chacun n'a pas forcément la même vision.

J'ai essayé de comprendre, mais quand on est aussi claire que tu l'as été, ça laisse peu de place à de l'interprétation.

il y a 1 minute, Yann Begervil a dit :

tu fais un contre-sens, il est question de passé et de valeurs du present .... 0/20 

Tu veux remonter à quand exactement ?

il y a 9 minutes, Mite_Railleuse a dit :

J’ai bien relu. Ça, en l’occurrence : "Si je te mens deux fois, là ça devient de ta faute un homme averti en valant deux". Il me semble difficile de faire plus clair...

Alors je dis aussi que c'est toute mon interrogation, ne pas l'omettre surtout que je condamne de façon les violences en générales et particulièrement celles faites aux femmes.

On peut se faire piéger par un pervers, je le conçois facilement, et cette personne doit être punie pour ceci, sans problème pour moi.

Ce qui m'étonne, c'est juste ces gens qui restent dans des milieux malsains malgré tout, j'ai du mal à comprendre, mais je n'accuse pas, je m'interroge et surtout n'allez pas croire que je soutiens les harceleurs.

Loin de moi cette vision.

il y a 4 minutes, JacKK a dit :

 

Tu veux remonter à quand exactement ?

la période post 68 ou les mœurs étaient très libérées ....