Consumé

J'ai la tête alourdie de ces nuages sombres,

précédant la pluie des pensées de la pénombre.

Sur la terre ferme, l'eau s'écoule et suit son cours,

ne laissant aucun germe à ce qui fuit, toujours.

L'orage noir se déchaîne et inonde ici-bas

un torrent d'immondices qui se mêlent au trépas

de l'esprit immergé, noyé dans les abysses.

Le calcul égoïste émerge du calice.

L'orage passe et c'est en haut au ciel des âmes,

que scintille le cristal camouflé de pierres.

Je vogue à sa lumière et dresse l'oriflamme.

Le reflet de l'eau calme brille sur mes paupières.

Superbe poème en alexandrin ! Bravo ! 

C'est de vous où vous l'avez lâchement récupéré ?

Il y a 3 heures, JMECOMPRENDS_TT_SEUL a dit :

Superbe poème en alexandrin ! Bravo ! 

C'est quoi alexandrin , moi je connais que alexandre 

Il y a 1 heure, Gepetto a dit :

C'est quoi alexandrin , moi je connais que alexandre 

Il faut avoir douze pieds pour comprendre ce qu'est un alexandrin et savoir aussi compter sur ses douze doigts 

Il t'en faut bien, à toi, des mots pour dire que l'orage te déprime  et que l'accalmie te soulage!

à l’instant, querida13 a dit :

 

il y a une heure, JMECOMPRENDS_TT_SEUL a dit :

Il faut avoir douze pieds pour comprendre ce qu'est un alexandrin et savoir aussi compter sur ses douze doigts 

Et en plus, il ne faut pas compter sur ses douze doigts comme un pied!

Il y a 1 heure, JMECOMPRENDS_TT_SEUL a dit :

Il faut avoir douze pieds pour comprendre ce qu'est un alexandrin et savoir aussi compter sur ses douze doigts 

Tu peux nous faire un dessin s’il te plaît ! 

il y a 5 minutes, Elisa* a dit :

Tu peux nous faire un dessin s’il te plaît ! 

il y a 4 minutes, guernica a dit :

 

 On adore ! 

il y a 7 minutes, Elisa* a dit :

 On adore ! 

Ayé, on l’a perdue ! Elle parle d’elle en mode "on"...

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Ayé, on l’a perdue ! Elle parle d’elle en mode "on"...

Consumé, délivré,

En cendres je me suis envolé,

 Consumée, délivrée,

 Personne ne me cassera plus les pieds....

@al-flamel

Faudra-t-il que l'orage gronde pour que s’essorent

Les nuages trop lourds qui pèsent en mon âme?

Cette dure fatalité est-elle mon sort?

Beauté cruelle qui se dessine en la trame.

Le front penché sur la terre, trop lourd à porter,

Pour un meilleur appui au sol, mes jambes fléchissent.

Je touche la poussière, il faut se préparer

C'est un digne adversaire qui se présente en lice.

Il se déchaîne, gronde, hurle et frappe trop violemment

Il glisse sur moi telle l'eau ruisselant sur des plumes

Pourtant j'ose de la main l'apaiser calmement

Est-ce le souffre que je hume, le feu qui me consume?

J'ai fait face et me redresse, ruisselant, brillant.

Un combat sans mort est le pouvoir du guerrier.

Le calme silence a englouti le bruyant,

Je suis devenu l'alchimiste aventurier.