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Philosophons

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Invité chekhina

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 57ans Posté(e)
zenalpha Membre 23 602 messages
57ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 4 heures, Leverkuhn a dit :

Ta réponse me fait l’effet d’un chatbot qui manie constamment trois sujets sans que ça n'ait jamais le moindre rapport avec la conversation: bouddhisme, psychanalyse de bazar, et physique quantique. C’est le cocktail d'un enchevêtrement de banalités, avec des pseudo-réflexions sur la civilisation "judéo-chrétienne", la pleine conscience, etc. On dirait un gamin qui bricole des idées pour faire bien. 

Ne cite pas les gens si c'est pour répondre constamment à coté.

Par contre la tienne est passionnante...

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 6 107 messages
Maitre des forums‚
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il y a 8 minutes, Leric a dit :

C'est  ici  qu'on  raconte  n'importe  quoi ?

A mon grand regret (premier degré), c'est pas faux. Tout le monde s'improvise philosophe, mais pas plombier ou mécanicien automobile, etc., bizarre.

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Membre, 46ans Posté(e)
Leric Membre 2 396 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
à l’instant, Neopilina a dit :

A mon grand regret (premier degré), c'est pas faux. Tout le monde s'improvise philosophe, mais pas plombier ou mécanicien automobile, etc., bizarre.

Pour  moi, c'est  seulement  de  la  provoc. Pour  lancer  la  contradiction... Je  suis  un  vilain  garçon.

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 6 107 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Leric a dit :

Pour  moi, c'est  seulement  de  la  provoc. Pour  lancer  la  contradiction... Je  suis  un  vilain  garçon.

J'avais compris, mais j'en ai profité pour écouler un état d'âme ! Ça passera. Trouver des interlocuteurs dans cette matière a toujours été et est encore la première motivation pour expliquer ma présence sur les forums. Sur le forum d'où je me suis fait virer il y avait un bon niveau, mais quand un administrateur devient juge et partie, quand ça devient personnel, c'est moi qui me fait virer !! C'est pour ça qu'il faut une modération à plusieurs. Un exemple au hasard, nan, je déconne, si je me prends le chou avec January, c'est à Nephalion de prendre les choses en main, etc.  :sleep:

Modifié par Neopilina
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Membre, 45ans Posté(e)
Arkadis Membre 400 messages
Forumeur alchimiste ‚ 45ans‚
Posté(e)

Il est nettement plus facile d'écrire des essais ou des textes philosophiques, des recueils d'idées que d'écrire un roman. J'étais parti sur une autobiographie, sur la demande de mes descendants, mais ça tourne genre roman.

Ecrire un roman oblige à réellement aller au delà du mal et du bien, il est nécessaire de savoir incarner des personnages dont les actes ressortissent au "mal".

Pourtant il n'est pas possible en tant qu'auteur de prendre partie, sinon ça tourne essai moral ou philosophique. C'est ce qui est arrivé à Sartre et à sa compagne, leurs romans sont encore des essais philosophiques ou moraux. Encore qu'avec l'âge de Beauvoir  a écrit des autobiographies assez éprouvantes à lire. Il y a toujours eu chez Sartre et chez elle une vision sale (c'est un euphémisme) des rapports intimes. 

Mais consentir à incarner celle ou celui classé.e dans le mal par le sens commun est épuisant, vraiment épuisant.

Il est même impossible parfois d'écrire à la première personne "je" car dans ce cas il n' y a plus d'objectivité. Me voici obligé de créer des personnages grâce auxquels je peux dire ou faire ce que la morale réprouve ou dégrade. 

En définitive nous en apprenons plus sur l'être humain à travers le roman ou toute autre forme d'art qu'à travers la philosophie ou la religion. Justement parce que l'art permet de se dégager du mal et du bien pour atteindre l'authenticité, atteindre ce que chacune, chacun cache en elle ou en lui en raison de l'assujettissement à la morale ambiante. Cet assujettissement est encore plus intense chez les catholiques pratiquants ou zombis chez lesquel.les la pensée mauvaise est réprouvée au contraire de la culture judaïque qui permet l'expression de la pensée dite mauvaise.

Le "bon" romancier , l'artiste tel que je le conçois donne de sa personne, de son expérience, de ses engagements, là où le philosophe, le religieux ne donne rien de lui, rien de sa singularité, elle ou il se contente d'égrener des idées,  avec cette intention morale, dire le mal et le bien..

Quand je lis qu'être philosophe doit être un métier je me dis que nous atteignons le fond, nous creusons même plus bas que le fond. 

Mais je suis optimiste, la philosophie est actuellement saisie par de jeunes scientifiques qui ne font certes pas de la philosophie un métier ! mais une réflexion sur les questions essentielles  toujours les mêmes : quel peut être le sens de la vie, et s'il n'y  a pas de sens, comment vivre, quand même ?

Ces questions là doivent elles être traitées par des professionnels ? certes non, mais dès que sont posées des questions essentielles voici venir les prophètes, les vautours et les malades qui tentent de s'approprier la parole, pour exercer sur les autres leur magistère pernicieux. 

Chacune, chacun a la pleine liberté de traiter, comme elle ou il l'entend de questions qui engage chacune, chacun dans sa vie. 

Ceux qui veulent faire de l'exercice religieux ou philosophique un métier sont des prédateurs, des mauvais dont il est nécessaire de s'écarter.

Modifié par Arkadis
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 57ans Posté(e)
zenalpha Membre 23 602 messages
57ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Être philosophe est il un métier et est ce un gagne pain ?

Si philosopher, c'est s'étonner puis se questionner, il suffit de compter ses étonnements, ses interrogations, ses terrains propres en cours d'investigation.

Si philosopher, c'est chercher la sagesse derrière la raison, il suffit d'identifier les principes qui motivent et alimentent ses questions, l'état de sa quête d'équilibre et mesurer l'évolution de sa sérénité.

Si philosopher, c'est ce dialogue interne avec soi même et avec les autres, il suffit de compter le temps passé sur ses propres questionnements et sur ses interactions.

Si philosopher,  c'est faire de l'analyse des fondements et de l'analyse conceptuelle, il suffit de bien se demander combien on s'est intéressé aux fondements du langage, de la pensée, du comment nous savons ce que nous savons, des forces et limites de la Connaissance...et des siennes...

Si philosopher c'est se transformer pour mieux vivre sa liberté intérieure et forger une lucidité sur sa place dans le monde, il suffit de comptabiliser le nombre de ses vies, ses rôles multiples, le nombre de fois où ils ont révolutionné notre entendement et notre manière de nous comporter dans le monde.

Bref, si Philosopher, c'est exercer de manière active sa pensée critique sur les grandes questions de l'existence, chercher des réponses rationnelles en cernant les forces et limites de la raison, cultiver l'ouverture et l'interrogation permanente alors évidemment...

Cela consiste à ne pas confondre l'opinion avec la pensée, à ne pas substituer à l'humilité de ses questions la condescendance de ses réponses et à ne pas substituer aux savoirs le pré requis d'une disposition d'esprit.

La philosophie n'est certainement pas d'écrire ma vie mon oeuvre avec l'assurance d'une carpe vide fût elle une carpe aristocrate ou le pape lui-même....

Les connaissances n'interviennent qu'à ce dernier niveau.

Déjà parce que forger sa pensée est un exercice physique quotidien et que cet exercice n'est possible que dans l'altérité et dans le... travail.

Penser soi même...au travers de tous ceux qui auront pensé beaucoup plus profondément que soi.

Les philosophes par exemple, les scientifiques, les experts ou les professionnels parfois...

Ça passe par certains principes simples.

Ne pas faire du contre-sens de la pensée des philosophes, ne pas extraire une partir du discours sans trahir les conclusions de synthèse, avoir... un minimum... d'éthique personnelle.

Et la c'est spectaculaire car d'autres sont aptes à en juger et ça vaut évidemment pour chacun...

En ce sens oui, la philosophie se meurre assurément car l'opinion et le culte de son nombril a remplacé la pensée et l'humilité.

Pour gagner du pognon en revanche, mieux vaut faire de la plomberie et beaucoup ici n'y auront pas moins de potentiel je le leur souhaite.

Certains philosophes en vivent mais je connais peu de philosophes structurés en sociétés anonymes contrairement à ma promesse de tous nous destiner ici au plus profond anonymat.

D'ailleurs je m'appelle Zenalpha.

Modifié par zenalpha
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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 6 107 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Arkadis a dit :

Quand je lis qu'être philosophe doit être un métier je me dis que nous atteignons le fond, nous creusons même plus bas que le fond. 

Je n'ai pas dit " métier ", mais très exactement comme le plombier, le mécanicien automobile, etc., il faut de la rigueur, de la méthode, etc. En philosophie, je suis autodidacte : aucun cours, diplôme. Quand une agrégée, enseignante dans le supérieur, me dit que je maitrise tel et tel auteur, sujet, problème, mais pas tel ou tel, j'écoute, et je m'y colle. Sartre a dit qu'il n'aurait jamais véritablement compris Hegel sans Beauvoir, il n'y a pas de honte. On travaille. Mieux. Un jour j'ai dit à un garçon brillant qui faisait des études de philosophie pour l'enseigner de ne pas en faire son métier, d'enchainer sur un autre cursus pour enseigner autre chose, pour réserver un maximum d'énergie, de motivation, à la pratique de la philosophie. Depuis mes 21 ans, régulièrement je pratique jusqu'à l'ad nauseam, et puis j'arrête, mets tout de coté, fais autre chose, et ainsi de suite.

Il y a 4 heures, Arkadis a dit :

Mais je suis optimiste, la philosophie est actuellement saisie par de jeunes scientifiques ...

Il y a une différence épistémologique entre le sens (il pleut) et le Sens (JE n'aime pas, J'aime). Alors je vais leur souhaiter " bonne chance ", ils en auront vraiment besoin : le scientisme se frotte les mains. Je trouve " amusant " que cette différence ne saute pas à la figure des scientifiques (et je n'ai aucune autre formation), il y a pourtant, déjà, deux types de facs, etc. J'ai totalement le droit de revendiquer les deux " casquettes ", mais je ne commets jamais l'erreur de les porter en même temps. A un moment (sociobiologie, etc.), le biologiste va se mettre à ramer, terriblement, pourquoi ? Parce que du Sens, le Sujet, interfère dans ce qu'il observe. Et s'il n'en tient pas compte en tant que tel, il va sérieusement se mettre à délirer (psychologie évolutionniste, etc.). A un moment, il doit passer le flambeau, le " matos ", à l'éthologue, et dans le cas de notre espèce, aux sciences humaines et sociales. 

Modifié par Neopilina
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Membre, 45ans Posté(e)
Arkadis Membre 400 messages
Forumeur alchimiste ‚ 45ans‚
Posté(e)

Je continue d'affirmer que les grandes questions philosophiques, d'où venons nous, où allons nous, qui sommes nous, etc. intéressent chacun.e et que chacun.e a le droit d'y répondre avec sa sensibilité, son savoir, son origine etc. sans devoir passer par un "maitre" un sachant un spécialiste. Bon là je suis en train de refaire la révolution de Luther contre le Pape : lisez les écritures vous mêmes sans le secours d'un prêtre. Les catholiques zombis et autres n'aiment pas. 

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Membre, 42ans Posté(e)
Leverkuhn Membre 491 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)

Cerner les gens, est une préoccupation majeure pour tout le monde. Il y a cette impression dont on ne peut se défaire, l'accès vécu permet de mieux se fier, voire peut être d'avoir le contrôle sur la personne à qui on a affaire. Parler de son passé, c'est donner de sa personne. ça me fait penser aux premiers entretiens d'embauche, aux premiers flirts, aux premiers rencards. Il y a toujours une demande de l'autre de parler de son passé, et l'autre embraye toujours sur son propre passé. C'est ce que les gens normaux font pour se connaître. Pour la plupart, lors des premiers entretiens, premiers rencards, les gens racontent des histoires. Parce que pour la plupart, la vie est banale, et pour certains la vie est laide. Alors ils la subliment en racontant un récit. Personne n'aime faire mauvaise impression. Puis, à mesure que les dalles ont été posées sur le cadavre froid du passé, ils se mettent à parler du bien et du mal. Ils se sentent en mesure d'aller au delà. Aller au delà du bien et du mal est effectivement un luxe. C'est le luxe de ceux qui ont pu enterrer leur passé.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 57ans Posté(e)
zenalpha Membre 23 602 messages
57ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, Leverkuhn a dit :

Aller au delà du bien et du mal est effectivement un luxe. C'est le luxe de ceux qui ont pu enterrer leur passé.

"Vers l'infini, et au delà".

Buzz l'éclair.

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Membre, 42ans Posté(e)
Leverkuhn Membre 491 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)

Explorer l'au delà du bien et du mal provoque un vertige. Un vertige de dégoût. En relisant la 2e dissertation de Nietzsche, je me rends compte que ce qui est important au delà du bien et du mal, c'est la mémoire. Une mémoire ancrée dans la douleur. C'est ça qui forme la morale dite du ressentiment, la morale d'esclave. L'oubli est le privilège du maître, mais qu'a t-il eu à oublier au juste ? Ce que Nietzsche décrit de cet oubli, c'est qu'il s'agit d'un oubli actif. Le maître veut oublier, mais l'esclave ne peut pas. Le souvenir est gravé, marqué constamment rappelé, chaque rappel devenant un catalyseur du ressentiment. C'est ce que Nietzsche reproche à l'esclave. Ce qu'il lui reproche, est aussi absurde que de reprocher au maître de vouloir oublier. Tous deux jouent le rôle qui les ont lié dans la douleur. La mémoire douloureuse et l’oubli actif sont les deux faces d’une même histoire de violence. Et c'est cette histoire de la violence qui est au fondement du bien et du mal, quel qu'en soit la signification qu'on donne à ces termes.

Modifié par Leverkuhn
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Membre, 42ans Posté(e)
Leverkuhn Membre 491 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)

Nietzsche pense résoudre la question par une transfiguration des valeurs, un renversement. Il pense pouvoir renverser la culpabilité vers l'esclave incapable d'oublier. Nietzsche est un idéaliste. Il n'a rien compris. Les esclaves se moquent des valeurs. Ce qui compte, ce n'est pas transfigurer les valeurs, transfigurer les représentations, les sublimer. Ce qui compte c'est transformer la réalité.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 57ans Posté(e)
zenalpha Membre 23 602 messages
57ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 7 minutes, Leverkuhn a dit :

Nietzsche pense résoudre la question par une transfiguration des valeurs, un renversement. Il pense pouvoir renverser la culpabilité vers l'esclave incapable d'oublier. Nietzsche est un idéaliste. Il n'a rien compris. Les esclaves se moquent des valeurs. Ce qui compte, ce n'est pas transfigurer les valeurs, transfigurer les représentations, les sublimer. Ce qui compte c'est transformer la réalité.

Tu es en train de lire Nietzsche ce que je salue d'autant qu'il a souvent été kidnappé ...

La volonté de puissance, l'éternel retour, le dépassement du nihilisme, la transvaluation des valeurs visant à dénoncer cette morale d'esclave...

Tout cela forme un tout dans lequel le concept de surhomme est un peu le barycentre de ses thèmes interconnectés.

De ma lorgnette, Nietzsche vise explicitement et radicalement à  transformer la réalité ...

Il diagnostique notre civilisation, transforme notre rapport a elle et prescrit a la fois l'objectif, le surhomme et les moyens

Sa révolution n'est pas politique il méprise pas mal de systèmes mais culturelle, individuelle et spirituelle 

Continue ta petite lecture c'est bon pour toi.

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 6 107 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 16 heures, zenalpha a dit :

"Vers l'infini, et au delà". Buzz l'éclair.

Je me contenterais du maximum que je peux (en m'en donnant les moyens) du premier. L'au delà, le prenne qui veut.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 57ans Posté(e)
zenalpha Membre 23 602 messages
57ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 16 minutes, Neopilina a dit :

Je me contenterais du maximum que je peux (en m'en donnant les moyens) du premier. L'au delà, le prenne qui veut.

C'est bien pour cela que lorsque Nietzsche propose une sortie au delà du bien et du mal, c'est dans la transvaluation des valeurs entre le maître et l'esclave qu'il appelle un surhomme au sens où il le définit

Ce n'est ni dans ses origines aristocratique ou nazi ni dans le luxe d'avoir enterré son passé et son histoire mais ici tu n'es pas visé lors des derniers échanges 

J'arrive à distinguer Philosophie et philosophie de comptoir, à moins d'une seconde tournée évidemment 

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