Est-ce la fin des égéries ?

il y a 5 minutes, hanss a dit :

Il y en a. 

Rien que ces 10 là, on n'a pas envie de les faire chier

https://madame.lefigaro.fr/societe/ces-serial-killeuses-qui-ont-marque-lhistoire-140518-148668

il y a 5 minutes, Axo lotl a dit :

Rien que ces 10 là, on n'a pas envie de les faire chier

https://madame.lefigaro.fr/societe/ces-serial-killeuses-qui-ont-marque-lhistoire-140518-148668

Et au niveau politique je pense par ex à Tatcher ou à Albright aussi bourrine que leurs homologues masculins. 

il y a 4 minutes, hanss a dit :

Et au niveau politique je pense par ex à Tatcher ou à Albright aussi bourrine que leurs homologues masculins. 

Les politiques décident rarement seuls. Et c'est un monde d'hommes car les hommes sont conditionnés socialement à chercher le pouvoir, la domination.

Comme je l'ai dit, cela reste des généralités.

Les femmes sont également plus souvent homosexuelles, ou disons que le fait d'avoir des rapports sexuels avec une autre femmes les dégoûte moins que les hommes à l'idée d'avoir un rapport sexuel avec un autre homme. C'est social mais pas que, de même que les hommes changent beaucoup moins d'orientation sexuelle et restent fidèles à celle-ci dès qu'ils en prennent conscience contrairement aux femmes (comme dans gazon maudit).

C'est aussi une angoisse exprimée par certains hommes à l'époque actuelle : que les femmes n'aient plus besoin d'eux pour faire les enfants.

Ce n'est pas un hasard. Ils ressentent intuitivement que cela les rendrait obsolètes dans le processus créateur des femmes.

Tandis qu'eux, au contraire, ont besoin des femmes pour procréer et pour être créatifs.

Rendre l'homme obsolète dans la naissance des enfants, c'est mettre fin au patriarcat.

Parce que ce que veulent les femmes c'est peut-être l'enfant plutôt qu'eux.

Et cette compétition entre le père et ses enfants par rapport à l'amour de la femme est également un point sensible.

Mais si je ne m'abuse, dans les cas des femmes tueuses en série, il y a toujours un traumatisme avec un homme de façon sous jacente.

J'ai les bases de la criminalistique mais seulement les bases.

il y a 6 minutes, Quasi-Modo a dit :

Les politiques décident rarement seuls. Et c'est un monde d'hommes car les hommes sont conditionnés socialement à chercher le pouvoir, la domination.

C’est ce que je pense aussi, la politique a été  formatée par les hommes depuis longtemps et là on nous enfume avec de la parité de l’égalité mais je ne vois aucune féminité dans ce qu’elle a de meilleure chez les femmes politiques. 
 

Moi  mon égérie c'est Rachida!!

il y a 45 minutes, Axo lotl a dit :

Rien que ces 10 là, on n'a pas envie de les faire chier

https://madame.lefigaro.fr/societe/ces-serial-killeuses-qui-ont-marque-lhistoire-140518-148668

ben et la nôtre alors ???? La sérial killeuse bretonne la plus meurtrière du monde !

Hélène Jegado

https://www.nhu.bzh/helene-jegado-serial-killeuse-bretonne-la-plus-meurtriere-du-monde/

il y a 32 minutes, Quasi-Modo a dit :

 

Les femmes sont également plus souvent homosexuelles, ou disons que le fait d'avoir des rapports sexuels avec une autre femmes les dégoûte moins que les hommes à l'idée d'avoir un rapport sexuel avec un autre homme. C'est social mais pas que, de même que les hommes changent beaucoup moins d'orientation sexuelle et restent fidèles à celle-ci dès qu'ils en prennent conscience contrairement aux femmes (comme dans gazon maudit).

 

D"où vous viennent ces arguments ?

il y a 3 minutes, Axo lotl a dit :

D"où vous viennent ces arguments ?

Des chiffres.

Bonne recherche.

il y a 3 minutes, Quasi-Modo a dit :

Des chiffres.

Bonne recherche.

ah non, vos arguments, vos chiffres, vos sources.

De toute façon ce genre d'informations est censuré par les médias bien pensants, cela affole avec raison les militants woke et féministes voir LGBT depuis des années, parce que c'est réel et que personne n'arrive à démontrer le contraire. Même les chiffres, les vrais, sont devenus inaccessibles. Voilà la vérité.

Cela fait maintenant plusieurs décennies de lutte contre la réalité.

De politiques qui cherchent à changer des états de faits plus ou moins naturels (mais pas que naturels, certes).

Et des hommes sur des forums ou sur internet qui cherchent à tuer le père en contredisant les gens qui savent de quoi ils parlent, et en espérant peut-être ainsi secrètement séduire la gent féminine ici présente (ou uniquement de façon symbolique), ce n'est pas ce qui manque.

Demandez à @January combien de femmes et combien d'hommes elle a déjà censuré ou modérés.

On en parle du père des soeurs Williams, qui en a fait des joueuses redoutables sur le terrain ? 

D'ailleurs si la reine est la plus puissante des pièces aux échecs et qu'il se dit que perdre sa reine c'est perdre la partie (souvent les joueurs abandonnent lorsqu'ils la perdent en tournoi), c'est encore une fois un symbole du méchant patriarcat du mâle dominant. Parce que ça attise le désir du joueur adverse de la prendre (piquer la femme de son adversaire c'est un truc de gars).

La relation ternaire dans les couples naissants c'est le plus souvent une femme seule et deux gars qui tournent après et non l'inverse.

C'est juste la norme. Le monde réel quoi. Allo Nabilla ? Tu es d'accord ?

J'ai appris les bases de la psychologie sur les forums.

Cela fait de moi un fou vous croyez ?

Du coup, pour un homme interagir avec une femme c'est interagir symboliquement avec un autre homme, tandis que pour une femme c'est le cas également. Cela crée une dissymétrie dans le désir et dans les relations.

Toutes les relations sont ternaires. Même les plus simples et les plus anodines.

Certains parlent de la triade.

Il y a toujours un élément tiers. Y compris pour moi. Allo ?

Suis-je atteint de schizophrénie d'après vous ?

La plupart des triades comportent donc deux hommes et une femme.

Pas toutes certes. Mais la plupart.

D'où l'avantage des hommes.

Qui peut aussi être un désavantage par certains aspects minoritaires.

Il y a souvent aussi les catégories sauveur-bourreau-victime.

Souvent la victime est une femme dans la triade.

Le saveur est le nouveau petit ami.

Et le bourreau, parfois qualifié de pervers narcissique, est l'ancien petit ami.

Il y a une épidémie de perversion narcissique en France avec les réseaux sociaux.

Les pauvres, j'ai presque de la peine pour eux, sont même pas 1% de la population et souffrent le martyr au fond d'eux-mêmes sans en être conscients.

Pourtant ce sont des salops.

Mais c'est très intéressant ces histoires de pervers narcissiques, représentant l'ancien petit ami honni.

Cela en dit long sur la psychologie féminine et leur volonté d'atteindre à la réputation de l'ancien petit copain.

Elles ont besoin que le nouvel amant joue le rôle du sauveur donc elles racontent ça pour la plupart.

Elles en sont conscientes, et plus qu'à moitié, du jeu morbide de la triade.

Le fait que la victime soit habituellement une femme montre que les hommes ont tendance à vouloir prendre le rôle du sauveur, car il est valorisé à ce titre.

Mais lorsqu'un homme est victime, tout le monde se détourne, car aucune femme ne s'intéresse à lui. Elle n'est pas dans la triade le bourreau ni la victime. Donc cela ne l'intéresse pas.

Elles veulent un mâle un vrai. Pas une victime. Pas une chochotte. Façon de parler.

Ce qui les pousse d'ailleurs pour certaines à choisir de vrais pervers narcissiques qui sont dans les hautes sphères du pouvoir et qui jouent avec elles.

Très drôle quand on y pense.

La comédie humaine grandeur réelle.

Quant à celles qui choisissent de jouer le rôle du sauveur, elles ont ce que les féministes appellent le syndrome de l'infirmière, ce qui en dit long sur leur volonté d'anéantissement de l'homme en tant que tel.

Mais cela peut être une véritable vocation, comme celles qui sont dans les métiers du soin, dans lesquels elles se dirigent principalement en direction (bingo) des soins aux enfants, des maternités et secteurs néonats, en fuyant de préférence les hôpitaux pour personnes âgées.

Certaines d'ailleurs en ont les capacités, mais refusent de devenir médecin et deviennent infirmières parce qu'elles perdraient le contact avec leur patient qui est un contact plus franc, spontané et rieur, tandis qu'elles n'aiment pas forcément prendre des décisions managériales qui les exposent aux critiques.

Les établissements pour personnes âgées sont délaissées pour cette raison. C'est un symptôme bien enfoui du patriarcat. Ou plutôt de la psychologie humaine elle-même.

Les femmes les détestent parce qu'elles sont plus du côté de la vie que du côté de la mort. Elles préfèrent sage-femme, infirmière, médecin de campagne à la rigueur pour être plus proche des patients, mais surtout pas de poste à responsabilité qui les obligeraient à adopter une posture de saveur qui est plus masculine traditionnellement (cf. la chevalerie et même les contes de fées).

La question c'est pourquoi les femmes dans la norme détestent joueur les sauveurs ?

Et pourquoi les femmes qui, par opposition, le choisissent, le font par véritable vocation et s'engagent jusqu'à parfois y donner leur propre vie ?

Elles donnent symboliquement leur vie à leur père dans ce cas là.

Finalement les femmes créent, mais plus dans le cadre, pour protéger un homme qu'elles aiment ou un bébé.

Les hommes sont les vrais transgresseurs, ils sont moins dépendants du groupe pour leur survie, et donc tuent le père qui est l'incarnation de la Loi symbolique.

Les femmes ressentent cette différence et elles en ont des complexes pour beaucoup. Même certains hommes diminuent leurs capacités en leur présence, et se calment, se pacifient en présence d'une femme. C'est le cas de beaucoup de délinquants qui, une fois casés, se rangent et ne font plus parler d'eux.

Qui disait que la psychanalyse était dépassée ? Lol.

Michel Onfray.

Parlons-en de Michel.

Il a un complexe de castration très subtil.

Il surpasse son père en le tuant par ses idées/concepts parce qu'il a peur de devenir comme lui.

Et ses idées sont de droite, donc typiques d'un homme de son âge dans la norme, tout en se prétendant de gauche, et en fuyant le principe de réalité social (névrose).

Ce qui montre qu'il a un traumatisme lié à son père qui n'était pas très doué en philosophie et qu'il surpasse comme ça. Il cherche à tirer les bénéfices de rester un enfant, c'est pourquoi il s'entoure de plusieurs femmes qui l'ont dorloté et conforté dans sa névrose par une admiration sans bornes.

Il ressentait que sa propre analyse mettrait son œuvre en question donc il a fait ce qu'il pouvait faire de mieux : tuer papa Freud.

Je pense que son père s'en est pris à sa mère, et qu'il en a été témoin, un truc comme ça.