Faillite de la Silicon Valley Bank : Biden va « demander des comptes aux responsables de ce gâchis »

il y a 15 minutes, LAKLAS a dit :

Dans un tel système les crises économiques provoquées sont une planche de salut et tant pis pour ceux qui en font les frais

Dire que ces soubresauts son provoqués n'est pas très sérieux.

Il y a un vrai danger de crise financière. On le sait depuis tout temps, les taux peuvent provoquer un crack obligataire. Du coup un truc marrant, des bons du trésor c'est un truc sécure, garanti, bref un machin père de famille pour mettre des sous en sécurité contre un petit rendement.

Sauf que c'est vrai sur le marché primaire mais pas pour le marché secondaire, probablement le seul auquel avait accès ces banques.

Donc un placement peu risqué à bas rendement peut le devenir si les taux remontent trop vite. Rien à voir avec les subprimes où le risque était caché et la notation quasi mensongère, de plus rendu opaques par plusieurs couches de dérivés.

D'ailleurs on se demandait quand allait être sifflé la fin de la monté des taux, maintenant on en est sûr, et peu importe l'inflation.

Du coup les américains ont une raison de plus de vouloir voir la fin de la guerre en Ukraine et le début de négociations.

il y a 3 minutes, LAKLAS a dit :

ça ne s'appelle pas de l'impérialisme économique ?

Oui, et ?

il y a 5 minutes, VladB a dit :

Oui, et ?

Bin c'est peut être l'explication de la défiance et de l'inimitié que ressentent de plus en plus de peuples à leur égard sur la planète et ceux qui pensent que les Américains provoquent les conditions qui mènent à des conflits n'ont peut être pas tout à fait tort après tout !

il y a 8 minutes, LAKLAS a dit :

Bin c'est peut être l'explication de la défiance et de l'inimitié que ressentent de plus en plus de peuples à leur égard sur la planète et ceux qui pensent que les Américains provoquent les conditions qui mènent à des conflits n'ont peut être pas tout à fait tort après tout !

Je ne vois pas en quoi cet argument conforte ta théorie saugrenue selon laquelle la finance américains serait à la ramasse d'après son taux d'endettement.

il y a 3 minutes, VladB a dit :

Je ne vois pas en quoi cet argument conforte ta théorie saugrenue selon laquelle la finance américains serait à la ramasse d'après son taux d'endettement.

Non c'était juste pour souligner qu'autour de tout ça il y a une atmosphère globale qui pue !

il y a 25 minutes, LAKLAS a dit :

Non c'était juste pour souligner qu'autour de tout ça il y a une atmosphère globale qui pue !

Oui en effet.

C'est toute la planète qui est crispée.

Il y a 10 heures, LAKLAS a dit :

Grâce aux sanctions économiques occidentales la Russie devait être à genoux en 2 mois et c'est l'économie Américaine qui chie dans son froc !

C'est  pas gentil ...

Il y a 13 heures, LAKLAS a dit :

Grâce aux sanctions économiques occidentales la Russie devait être à genoux en 2 mois et c'est l'économie Américaine qui chie dans son froc !

Et l’économie européenne 

La Fed pourrait BAISSER les taux la semaine prochaine, selon Nomura

Investing.com -- La Réserve fédérale pourrait réduire ses taux lors de sa réunion de la semaine prochaine et suspendre son programme de resserrement quantitatif, car la chute des marchés suggère que la banque centrale doit faire plus pour restaurer la confiance dans le système financier, selon Nomura.

"En réaction aux risques imminents pour la stabilité financière, nous nous attendons maintenant à ce que la Fed réduise ses taux", a déclaré Nomura dans une note, selon Bloomberg.

La Fed devrait également "mettre un terme au resserrement quantitatif", a ajouté Nomura, soulignant que l'effondrement du S&P 500 est un signe que la Fed doit faire davantage pour restaurer la confiance dans le système bancaire.

Tout l'article.

Nouvelle déroute boursière des banques européennes, inquiétudes autour de Credit Suisse

ZURICH (Reuters) - Les valeurs bancaires chutent mercredi en Europe, le plongeon de Credit Suisse à son plus bas niveau historique accentuant les craintes des investisseurs pour l'ensemble du secteur après l'effondrement de Silicon Valley Bank (SVB).

En Bourse de Zurich, le titre Credit Suisse a été suspendu sur une baisse de 21,88% à 1,75 franc, de la loin la plus forte baisse du Stoxx 600, et le coût de l'assurance contre un risque de défaut de la banque sur sa dette obligataire augmente.

Par ricochet, l'indice Stoxx des banques perdait 6,04% vers 11h25 GMT. À Paris, Société générale reculait de 10,5%, BNP Paribas de 10,47% et Crédit Agricole de 6,03%.

https://www.capital.fr/entreprises-marches/petrole-le-brent-accelere-sa-chute-svb-et-credit-suisse-inquietent-pour-leconomie-1463024

Marché : Comment les banques centrales volent à la rescousse du système financier.

La BNS est montée au chevet de Credit Suisse en lui accordant une facilité de prêt allant jusqu'à 50 milliards de francs suisses. Avant elle, la Réserve Fédérale avait pris des mesures d'urgence pour éviter que la faillite de Silicon Valley Bank se propage.

Alors que le système financier tremble, les banques centrales sortent la lance à incendie. Depuis la semaine dernière, les fragilités bancaires reviennent sur le devant de la scène, laissant craindre un risque de contagion et rappelant les mauvais souvenirs de la faillite de Lehman Brothers en 2008.

Si le système est plus robuste qu'à l'époque, les grandes banques centrales ont néanmoins agi pour tenter de couper court à la panique.

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Pour éviter une nouvelle faillite bancaire, onze banques américaines volent au secours de First Republic.

Onze grandes banques américaines ont choisi jeudi de venir ensemble à la rescousse de l'établissement en difficulté First Republic et éviter ainsi qu'il ne devienne le prochain domino à tomber après trois faillites d'affilée.

Le sauvetage des banques en difficulté continue. Après les faillites de SVB, Signature Bank et Silvergate la semaine dernière et la garantie des dépôts par l'Etat fédéral qui s'en est suivie, après les difficultés en Europe de Credit Suisse, bien aidé par un prêt de 50 milliards de francs suisses de la banque centrale helvétique, une alliance de onze grandes banques américaines (Bank of America, Citigroup, JPMorgan Chase et Wells Fargo, Goldman Sachs, Morgan Stanley, BNY Mellon, PNC Bank, State Street, Truist et U.S. Bank) a décidé ce jeudi de venir à la rescousse de First Republic, la 14e banque américaine par la taille des actifs, en lui versant 30 milliards de dollars de dépôts.

Objectif : rassurer les clients qui auraient pu être tentés préfère déplacer leur argent dans des établissements ne présentant a priori aucun risque de faillite, et éviter ainsi que cette banque, qui sert principalement une clientèle fortunée, ne devienne le prochain domino à tomber après trois faillites d'affilée.

Lire la suite...

Le BCE maintient l'augmentation prévue d'un demi point.

• Alors madame Lagarde vous ne vous rendez pas à l'opinion des pessimistes qui préconisent un arrête de la hausse des taux et vous demeurez sur vos positions ? Demande le journaliste.
• En effet, Lagarde demeure et ne se rend pas.

Etrange que ce fil de discussion ait si peu de succès.

D'autre banques sont tombées.

Des évènements qui possiblement annoncent une méchante crise qui pourrait cogner plus que COVID et guerre réunies.

il y a 5 minutes, VladB a dit :

Etrange que ce fil de discussion ait si peu de succès.

D'autre banques sont tombées.

Des évènements qui possiblement annoncent une méchante crise qui pourrait cogner plus que COVID et guerre réunies.

Est ce que c’est le moment pour les ménages de retirer l’argent qui dort sur leurs comptes épargnes au risque qu’il soit saisi par l’état ? 

il y a 21 minutes, hanss a dit :

Est ce que c’est le moment pour les ménages de retirer l’argent qui dort sur leurs comptes épargnes au risque qu’il soit saisi par l’état ? 

Non c'est pas encore l'implosion. De plus le compte épargne c'est le machin super garanti par l'état, le dernier bastion qui ne sera jamais floué.

Mais avec une forte inflation, tout placement de bas rendement te vole de plusieurs % par an.

D'ailleurs ce qu'on appelle l'euthanasie du rentier, c'est pas les banques qui volent les sous c'est la survenue d'une forte inflation.

Les assurances vies ne seront pas saisies ou bloquées, c'est juste qu'elles vont servir 1% de rendement avec 6% d'inflation. De fait, la dette qu'a l'état envers les français (60% de la dette) qui ont du pognon va fondre au soleil.

il y a 58 minutes, VladB a dit :

Etrange que ce fil de discussion ait si peu de succès.

D'autre banques sont tombées.

Des évènements qui possiblement annoncent une méchante crise qui pourrait cogner plus que COVID et guerre réunies.

Là où je ne comprends pas, c'est que le gars dit qu'on a cherché à sauver l'euro, qu'on forçait les banques à investir sur des obligations grecques... et finalement ce sont nos banques BNP, Crédit Agricole, Société Générale sont en pleine forme avec une année exceptionnelle... et que c'est une banque Suisse, avec (- de 10% de son capital, Droit Suisse oblige) de l'argent Saoudien qui disparait. Il n'ont pas l'euro. 

C'est qu'à la base, la banque Suisse devait avoir une gestion plus que douteuse... je ne vois pas d'autres explications.

Aujourd'hui les banques et Axa ont explosé le CAC 40, les actionnaires sont optimistes, peut être trop, mais ils estiment que c'est solide. 

Assez solide pour que Lagarde leur mette encore un point dans la vue. Après le FMI bosse normalement pour la stabilité des monnaies, donc plus pour les gens que pour les banques. Et il a estimé, à juste titre semble t'il, que les banques étaient assez solide pour se prendre ce point en plus. 

Il y a 14 heures, Crabe_fantome a dit :

Là où je ne comprends pas, c'est que le gars dit qu'on a cherché à sauver l'euro, qu'on forçait les banques à investir sur des obligations grecques... et finalement ce sont nos banques BNP, Crédit Agricole, Société Générale sont en pleine forme avec une année exceptionnelle... et que c'est une banque Suisse, avec (- de 10% de son capital, Droit Suisse oblige) de l'argent Saoudien qui disparait. Il n'ont pas l'euro. 

Le choix a été fait de sauver l'Euro et d'éviter que l'état grec fasse défaut ainsi que l'ensemble de son économie. S'il fait défaut il n'y a plus d'importation de pétrole par exemple. Car il n'y a plus de devises. Quand bien même l'Euro est une monnaie d'autres pays, si la Grèce n'as plus de dollar personne ne lui livre de pétrole. Le pays s'arrête. C'est beaucoup plus grave de nos jours qu'il y a un siècle. Il y a un siècle, la population majoritairement rurale continuait à labourer avec la traction animale et se nourrissait toujours. De nos jours c'est le collapse.

Sauver l'Euro, en fait la Grèce mais aussi les banques françaises et allemandes qui étaient au raz la gueule d'obligations grecques parce que le pays puant de plus en plus la contrepartie était que ces obligations risquées rapportaient beaucoup. Donc les banques en avaient plein - en cas de problème Bruxelles paiera. Une partie des obligations ont déclenché une perte sèche (la proportion a été finement ajustée afin que ça soit une tape sur les doigts mais pas une faillite des banques concernées). Une autre proportion a été reprise par la planche à billet de la BCE et bien sûr tout de même une certaine proportion a été honorée en faisant rendre gorge au peuple grec. Plus tard, dans ce grand coup d'éponge et divers prêts dont une partie issue du FMI, il y a eut des incitations à ce que les banques en prennent et en gardent, ce qui donnait du rendement et peu de risque (une fois l'intervention actée).

Charles Gave exagère et présente ça comme si les banques en ont pris sous contrainte alors que c'est une histoire de rendement au départ. Concernant la résolution de la crise il a peut être raison.

Les banques qui ont de gros résultats les tirent de leur activités spéculatives. Ce que Charles Gave appelle l'activité casino. L'activité compte à vue n'est pas spécialement juteuses. Les effectifs des agences diminuent et tout le monde aura remarqué la rationalisation : on reste debout à un guichet pour avoir envie que ça aille vite alors qu'avant on était invité à s'assoir. Ainsi que les banques en ligne.

Le FMI ne bosse pas pour la stabilité des monnaies. Il bosse pour la solvabilité des pays en difficultés. Cela a certes un effet sur la monnaie du dit pays.

Largarde leur met un point dans la vue Je ne sais pas de quel point tu parles. Le différentiel avec les taux outre Atlantique ou le fait de monter encore d'un point les taux ? Elle vient de monter comme prévu d'un demi point. Si la crise est grave le demi point suivant ne viendra pas.

Comme je disais, marrant que les gens ne s'intéressent pas à ce fil de discussion, alors que ça dégoise ad nauseam sur la réforme des retraites. A propos le plus gros trou créé par l'administration grecque c'était des retraites prises trop tôt et trop grassement payées. Comme avec l'Euro l'argent semblait venir du ciel et que désormais une gestion catastrophique ne causait plus la dévaluation de la monnaie, une activité nationale débridée consistait notamment à bien grossir les dernières années de salaire afin que le gentil senior touche un max. De plus c'est un argent qui ruisselait effectivement pour le coup, la consommation des retraités créait une demande intérieure. Les grecs me font penser aux français : Puisse qu'une majorité de français n'en veut pas c'est que la réforme est mauvaise et on devrait faire un référendum. Cette aspiration du peuple français a s'en inspirer... 

Je ne connais pas la situation de Crédit Suisse. C'est juste que la déclaration de l'actionnaire saoudien est sidérante : On n'y mettra pas un sou de plus. A croire qu'il veut provoquer la faillite de la banque, provoquer un crise, quitte à perdre la valeur de son investissement. Sous les conseils chinois ?

Il y a 2 heures, VladB a dit :

Le choix a été fait de sauver l'Euro et d'éviter que l'état grec fasse défaut ainsi que l'ensemble de son économie. S'il fait défaut il n'y a plus d'importation de pétrole par exemple. Car il n'y a plus de devises. Quand bien même l'Euro est une monnaie d'autres pays, si la Grèce n'as plus de dollar personne ne lui livre de pétrole. Le pays s'arrête. C'est beaucoup plus grave de nos jours qu'il y a un siècle. Il y a un siècle, la population majoritairement rurale continuait à labourer avec la traction animale et se nourrissait toujours. De nos jours c'est le collapse.

Sauver l'Euro, en fait la Grèce mais aussi les banques françaises et allemandes qui étaient au raz la gueule d'obligations grecques parce que le pays puant de plus en plus la contrepartie était que ces obligations risquées rapportaient beaucoup. Donc les banques en avaient plein - en cas de problème Bruxelles paiera. Une partie des obligations ont déclenché une perte sèche (la proportion a été finement ajustée afin que ça soit une tape sur les doigts mais pas une faillite des banques concernées). Une autre proportion a été reprise par la planche à billet de la BCE et bien sûr tout de même une certaine proportion a été honorée en faisant rendre gorge au peuple grec. Plus tard, dans ce grand coup d'éponge et divers prêts dont une partie issue du FMI, il y a eut des incitations à ce que les banques en prennent et en gardent, ce qui donnait du rendement et peu de risque (une fois l'intervention actée).

Charles Gave exagère et présente ça comme si les banques en ont pris sous contrainte alors que c'est une histoire de rendement au départ. Concernant la résolution de la crise il a peut être raison.

Les banques qui ont de gros résultats les tirent de leur activités spéculatives. Ce que Charles Gave appelle l'activité casino. L'activité compte à vue n'est pas spécialement juteuses. Les effectifs des agences diminuent et tout le monde aura remarqué la rationalisation : on reste debout à un guichet pour avoir envie que ça aille vite alors qu'avant on était invité à s'assoir. Ainsi que les banques en ligne.

Le FMI ne bosse pas pour la stabilité des monnaies. Il bosse pour la solvabilité des pays en difficultés. Cela a certes un effet sur la monnaie du dit pays.

Largarde leur met un point dans la vue Je ne sais pas de quel point tu parles. Le différentiel avec les taux outre Atlantique ou le fait de monter encore d'un point les taux ? Elle vient de monter comme prévu d'un demi point. Si la crise est grave le demi point suivant ne viendra pas.

Comme je disais, marrant que les gens ne s'intéressent pas à ce fil de discussion, alors que ça dégoise ad nauseam sur la réforme des retraites. A propos le plus gros trou créé par l'administration grecque c'était des retraites prises trop tôt et trop grassement payées. Comme avec l'Euro l'argent semblait venir du ciel et que désormais une gestion catastrophique ne causait plus la dévaluation de la monnaie, une activité nationale débridée consistait notamment à bien grossir les dernières années de salaire afin que le gentil senior touche un max. De plus c'est un argent qui ruisselait effectivement pour le coup, la consommation des retraités créait une demande intérieure. Les grecs me font penser aux français : Puisse qu'une majorité de français n'en veut pas c'est que la réforme est mauvaise et on devrait faire un référendum. Cette aspiration du peuple français a s'en inspirer... 

Je ne connais pas la situation de Crédit Suisse. C'est juste que la déclaration de l'actionnaire saoudien est sidérante : On n'y mettra pas un sou de plus. A croire qu'il veut provoquer la faillite de la banque, provoquer un crise, quitte à perdre la valeur de son investissement. Sous les conseils chinois ?

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• Tu te plains que les gens ne s'intéressent pas à ce fil de discussion, mais tu crois qu'ils vont lire ton pavé ?
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Je crois que c'était une bonne chose de sauver l'euro, mais ce que je crois ne vaut pas grand chose. Reste que les pays de la zone euro ont estimé que c'était une bonne chose de sauver l'euro, la Grèce en paye encore le prix fort... 

De mémoire la planche à billet à bien tourné après qu'on ait demander aux américains de se calmer avec leur dollar ultra faible qui nous nique nos exportations. Ce qui fait qu'on une meilleure parité aujourd'hui qu'en 2008 où 1€ valati 1.60$US.

La pression dans les banques, ainsi que dans les assurances (y compris les mutuelles) fait que les conseillés deviennent des commerciaux. Ainsi quand tu viens faire un bilan à Maaf ou la Macif, on va demandé à ton conseillé de te proposer une assurance vie. Les banques et assurances embauchent, il y a pas mal d'annonces vers chez moi, des commerciaux. Deux amis dans la banque réfléchissent à profiter de leur compte formation pour quitter la banque tellement le quotidien est devenue difficile, et pourtant les primes sont très très bonnes. 

Si on regarde la bourse sur les 25 dernières années on a 4 crises: 2 majeures (bulle internet -50% et 2008 -60% ) et 2 mineurs (covid -30% et la hausse des taux -26% pour l'heure). Reste à savoir si on revient à de l'argent pas cher ou si on endigue l'inflation en décourageant la consommation avec un taux haut. 

Sur la SVB les causes de la faillite sont complexes, j'en ai écouté les raisons et je t'avoue que je me suis perdu dans des acronymes qu'elle avait de trop ou de pas assez. C'est une des raisons du non succès du post, paradoxalement l'économie devrait être maitrisé par chaque citoyen (et je tente de faire de mon mieux pour pouvoir décider en tant que citoyen éclairé) mais ce n'est pas un domaine qui intéresse. 

Enfin sur le Crédit Suisse on se rejoint, le saoudien est soit complètement con, soit il était prêt à sacrifier son investissement pour couler la banque. La Suisse est pourtant neutre, y compris dans ce conflit ukrainien puisque la Suisse a détruit du matériel militaire plutôt que de le renvoyer aux anglais, lesquels auraient retourné le matériel en Ukraine. Indirectement la Suisse aurait pu être accusé d'avoir pris par au conflit... Sauf si la Chine veut jouer le rôle de Suisse, mais il faudrait que l'Ukraine la reconnaissance comme neutre, ce qui n'est pas le cas pour le moment. 

Nouvelle faillite bancaire Republic First:

https://www.lecho.be/entreprises/banques/une-nouvelle-banque-regionale-americaine-saisie-et-vendue/10543076.html

Ça sent pas bon. Difficile de trouver des chiffres actualisés sur l'état des liquidités des banques, mais il y a fort à parier qu'elles se sont encore détériorées cette année.