Du Pacs au transgenrisme.

Il y a 4 heures, Saturne06 a dit :

Évidemment, ils font ce qu'ils veulent mais ce sont des malades qui ne reconnaissent pas l'être et qui coûtent cher à nos sociétés occidentales décadentes qui favorisent leurs transformations en les prenant en charge pécunièrement. Ils ne feraient pas de mal s'il n'y avait pas ce lobby 'trans' qui pousse des jeunes ados à se découvrir 'enfermés' avec un sexe de naissance 'assigné' ou des âneries de ce genre car ces dysphoriques disent cela sans rire. Tricher avec la nature (en dehors des quelques rares cas d'ambiguïté sexuelle genre Klinefelter), ce n'est pas bien. D'ailleurs, la plupart des études médicales qui suivent les 'libérés' confirment qu'ils se suicident autant après qu'avant et restent psychiatriquement très perturbés. Pour conclure, je ne leur veux aucun mal, évidemment, mais je n'aime pas qu'on les mettent en exergue (voire en exemple pour avoir eu le courage de se 'libérer' de leur corps) devant nos jeunes ados déjà fragilisés par cette société déjantée que nous leur donnons.

"malades" dis-tu, Saturne? cela me rappelle bien des choses... on disait de nous aussi que nous étions des malades (au mieux) qu' on devait soigner (au pire)... ne t'inquiète pas, Saturne, un adolescent mâle ou femelle sait fort bien en général ce qu'il est et ceci très tôt... je ne mets personne en exergue et je ne vois toujours pas la corrélation avec le post de paulau et ma réponse précitée plus haut. 

Il y a 4 heures, new caravage a dit :

Non!! 

  Et ce que tu écris est pénalement répréhensible en plus!

Non ? je veux bien mais explique pourquoi j'ai tort ! 

Par ailleurs, pénalement répréhensible ... Pourquoi donc ? Parce que j'écris qu'une dysphorie de genre est une maladie (ALD31) ? Parce que j'écris que les traitements psychiatriques, hormonaux chirurgicaux etc coûtent cher à la société car ce sont les contribuables qui paient ? Parce que j'ai écrit que je ne leur veux aucun mal mais je n'admets pas que les médias les mettent en exergue pour influencer nos ados déjà bien fragiles ?

Mais peut-être fais-tu partie de ces gens qui considèrent que les dysphoriques de genre représentent une sexualité (et c'est pourquoi vous avez eu l'insouciance d'inclure ces malades dans le sigle respectable des LGBH, sigle que je reconnaitrais volontiers (H étant l'hétérosexualité), si vous n'aviez pas ajouté ces lettres absconses t, a, i, p j'en passe et des meilleures qui déconsidèrent totalement le mouvement homosexuel (masculin et féminin) ?

il y a 8 minutes, jacky29 a dit :

"malades" dis-tu, Saturne? cela me rappelle bien des choses... on disait de nous aussi que nous étions des malades (au mieux) qu' on devait soigner (au pire)... ne t'inquiète pas, Saturne, un adolescent mâle ou femelle sait fort bien en général ce qu'il est et ceci très tôt... je ne mets personne en exergue et je ne vois toujours pas la corrélation avec le post de paulau et ma réponse précitée plus haut. 

S'ils ne sont pas malades, jacky29, peux-tu me dire pourquoi ces gens-là sont pris en charge à 100% par notre généreuse sécurité sociale sous réserve qu'ils puissent fournir un certificat médical d'un psychiatre confirmant la dysphorie de genre (Affection de Longue Durée n°31) ainsi qu'un certificat d'un endocrinologue et celui d'un urologie ou d'un gynécologue selon le sexe de départ de la personne qui veut se transformer pour se 'libérer' ? Tu écris 'un adolescent mâle ou femelle sait fort bien en général ce qu'il est et ceci très tôt...' mais tu sous-entends donc que ces dysphoriques savent s'ils sont hétéro homo ou bisexuels et 'très tôt' ?  ...

il y a 13 minutes, Saturne06 a dit :

S'ils ne sont pas malades, jacky29, peux-tu me dire pourquoi ces gens-là sont pris en charge à 100% par notre généreuse sécurité sociale sous réserve qu'ils puissent fournir un certificat médical d'un psychiatre confirmant la dysphorie de genre (Affection de Longue Durée n°31) ainsi qu'un certificat d'un endocrinologue et celui d'un urologie ou d'un gynécologue selon le sexe de départ de la personne qui veut se transformer pour se 'libérer' ? Tu écris 'un adolescent mâle ou femelle sait fort bien en général ce qu'il est et ceci très tôt...' mais tu sous-entends donc que ces dysphoriques savent s'ils sont hétéro homo ou bisexuels et 'très tôt' ?  ...

et dis-moi pourquoi on prend à 100% des chirurgies dites réparatrices... un sein, entre nous, n'est pas un organe essentiel... on peut très bien vivre sans.

je ne parlais pas des trans mais de nous, les gays et les bi... tu les traites de malades... pourquoi pas?... mais c'est ce qui fut dit à notre encontre, sur nous les gays et les bi. même mon père avait été contaminé par cet apriori, sa thèse se basait sur une "déviance" due à un manque ou à un trop plein d'amour ou de détestation maternelle sans oublier la fable magnifique due la figure paternelle ou du père absent... il lui a fallu quelques années pour se rendre compte que c'était un tissu d'âneries. surtout quand il a vu que l'une de ses filles était un tantinet bizarre au niveau de ses goûts. sourire...

à propos, qu'as-tu pensé de ce Siegfried?

je suis partie en poussant des cris d'épouvante.  

bon ce sont des sujets qui relèvent de l'intime et on n'a pas à mettre çà en scène en permanence partout. chacun son corps, ses désirs, et ses orientations, çà ne regarde personne.

Il y a 5 heures, Saturne06 a dit :

Évidemment, ils font ce qu'ils veulent mais ce sont des malades qui ne reconnaissent pas l'être et qui coûtent cher à nos sociétés occidentales décadentes qui favorisent leurs transformations en les prenant en charge pécunièrement. Ils ne feraient pas de mal s'il n'y avait pas ce lobby 'trans' qui pousse des jeunes ados à se découvrir 'enfermés' avec un sexe de naissance 'assigné' ou des âneries de ce genre car ces dysphoriques disent cela sans rire. Tricher avec la nature (en dehors des quelques rares cas d'ambiguïté sexuelle genre Klinefelter), ce n'est pas bien. D'ailleurs, la plupart des études médicales qui suivent les 'libérés' confirment qu'ils se suicident autant après qu'avant et restent psychiatriquement très perturbés. Pour conclure, je ne leur veux aucun mal, évidemment, mais je n'aime pas qu'on les mettent en exergue (voire en exemple pour avoir eu le courage de se 'libérer' de leur corps) devant nos jeunes ados déjà fragilisés par cette société déjantée que nous leur donnons.

Autant je ne suis pas pour qu'on subisse des opérations et des prises d'hormones avant d'être majeurs, parce que les ados sont les ados. Autant pour le reste tu as tout du vieux réac et les ados, tu ne dois pas en rencontrer beaucoup en plus

il y a une heure, guernica a dit :

Autant je ne suis pas pour qu'on subisse des opérations et des prises d'hormones avant d'être majeurs, parce que les ados sont les ados. Autant pour le reste tu as tout du vieux réac et les ados, tu ne dois pas en rencontrer beaucoup en plus

Voila et hop je suis rentré chez moi et le Saturne je le mat en ignoré ,si ça gagne pas ça débarasse!

Il y a 15 heures, jacky29 a dit :

je ne parlais pas des trans mais de nous, les gays et les bi... tu les traites de malades... pourquoi pas?... 

à propos, qu'as-tu pensé de ce Siegfried? je suis partie en poussant des cris d'épouvante.  

Nous ne nous comprenons pas, jacky29 ... J'ai toujours été le premier dans les dîners en ville, les réunions etc à défendre les homosexuels homme ou femme (et les bisexuels) en disant qu'il s'agissait de sexualités 'normales' mais simplement différentes de la sexualité habituelle, l'hétérosexualité. Et on arrivait à les convaincre sur ce point. Ensuite, tu recevais en pleine figure les arguments des vrais homophobes (et c'est VOUS qui les leur avez fournis !) du genre : "Ha oui, des gens normaux ? et c'est normal de se maquiller en tortillant leurs culs sur les chars de la gaypride ? C'est normal de faire la promotion des mecs qui veulent devenir femmes en se coupant la bite, ou des femmes qui se prennent pour des hommes en se coupant les seins ? et c'est quoi toutes ces catégories de pansexuel, asexuel, intersexuel etc ? C'est normal pour vous ?" Et maintenant, dans ces conversations, je la ferme et leur laisse dire leurs méchancetés sur les homos les trans etc ... Vous vous êtes mis dans ce magma informe et délirant mélangeant les sexualités, les malades atteints de troubles de la personnalité en psychiatrie, et bien, assumez. Mais ne dis pas que je traite les homos qu'ils soit homme ou femme de malades car je ne le pense pas (ou alors, montre moi ou j'ai pu écrire ça). Par contre les transgenres que vous avez eu la bêtise d'associer à La défense de l'homosexualité, oui, je le dis, ce sont des gens plus qu'instables .

Le Siegfried, je ne l'ai pas vu car je suis en transit à Paris ... C'était où ? mauvais musicalement, les voix (ou comme d'hab la mise en scène ...) ?

Il y a 10 heures, Saturne06 a dit :

Nous ne nous comprenons pas, jacky29 ... J'ai toujours été le premier dans les dîners en ville, les réunions etc à défendre les homosexuels homme ou femme (et les bisexuels) en disant qu'il s'agissait de sexualités 'normales' mais simplement différentes de la sexualité habituelle, l'hétérosexualité. Et on arrivait à les convaincre sur ce point. Ensuite, tu recevais en pleine figure les arguments des vrais homophobes (et c'est VOUS qui les leur avez fournis !) du genre : "Ha oui, des gens normaux ? et c'est normal de se maquiller en tortillant leurs culs sur les chars de la gaypride ? C'est normal de faire la promotion des mecs qui veulent devenir femmes en se coupant la bite, ou des femmes qui se prennent pour des hommes en se coupant les seins ? et c'est quoi toutes ces catégories de pansexuel, asexuel, intersexuel etc ? C'est normal pour vous ?" Et maintenant, dans ces conversations, je la ferme et leur laisse dire leurs méchancetés sur les homos les trans etc ... Vous vous êtes mis dans ce magma informe et délirant mélangeant les sexualités, les malades atteints de troubles de la personnalité en psychiatrie, et bien, assumez. Mais ne dis pas que je traite les homos qu'ils soit homme ou femme de malades car je ne le pense pas (ou alors, montre moi ou j'ai pu écrire ça). Par contre les transgenres que vous avez eu la bêtise d'associer à La défense de l'homosexualité, oui, je le dis, ce sont des gens plus qu'instables .

Le Siegfried, je ne l'ai pas vu car je suis en transit à Paris ... C'était où ? mauvais musicalement, les voix (ou comme d'hab la mise en scène ...) ?

pour le Wagner, je dirai "TOUT"! je suis partie épouvantée! entre la mise en scène et les timbres de voix de certains chanteurs... je suis vraiment partie en poussant des cris! rires! 

pour le reste, il est évident que les trans sont instables... si ils ne l'étaient pas, ils seraient soit hétéro, soit homo... là, l'instabilité est flagrante, se ressentir autre que ce que la biologie a donné, c'est sûr! c'est tout ce que tu veux comme réelle instabilité dans leur ressenti. mais est-ce une maladie? alors là, je te le dis tout net, je n'en sais fichtrement rien... être schizo, oui, c'est une maladie, être bi polaire, oui, c'est une maladie, être homo, non et nous sommes d'accord, ce n'est pas une maladie... être trans, je ne saurais dire que c'est une maladie car pour être déclaré malade, il faut avoir une atteinte de son intégrité physique et ou mentale, comment les catégoriser alors qu'ils se vivent dans le sexe qui n'est pas présent en eux ou elles... et là, Saturne, je ne fais aucun diagnostique.  

Le 13/08/2023 à 19:19, guernica a dit :

et toi, respecte les malades qui ont le VIH ou en sont morts. Merci pour eux

C'est bien parce que j'en ai connu qui n'était ni de très beaux hommes, ni des folles, que je réagissais ainsi à Jacky à l'époque... ca t'arrives souvent d'aller détérer des posts sans comprendre ou lire leur origine pour... passer tes nerfs ?

Le 13/08/2023 à 15:01, paulau a dit :

Arrêtons de propager l' idéologie selon laquelle il y a des différences entre hommes et femmes. Cela conduit en effet à des discriminations scandaleuses : les femmes ne se risquent pas gagner le Tour de France masculin, elles ne peuvent pas non plus soulever 250 kg à l’épaulé-jeté ! Elles n’osent pas courir sur 100 m plus vite que les hommes et, le pire de tout, on ne trouve pas de soutien-gorges ni de rouge à lèvres dans les rayons masculins des magasins. Pour les hommes en effet c' est pire, pas de règles, pas de droit à l' avortement.
Il faut rendre  obligatoire l’excision et le port de la burqa pour tous les hommes.

Continuons et nous aurons bientôt atteint  l’égalité.

Donc pour atteindre l'égalité, il faut maltraiter les hommes ? Mais lesquels d'ailleurs ? Car il y en a déjà qui sont maltraités puisque plus de 7 sdf sur 10 sont des hommes et qu'en Europe, entre 2 et 7 fois plus d'hommes se suicident que de femmes.

Il y a 15 heures, jacky29 a dit :

pour le Wagner, je dirai "TOUT"! je suis partie épouvantée! entre la mise en scène et les timbres de voix de certains chanteurs... je suis vraiment partie en poussant des cris! rires! 

pour le reste, il est évident que les trans sont instables... si ils ne l'étaient pas, ils seraient soit hétéro, soit homo... là, l'instabilité est flagrante, se ressentir autre que ce que la biologie a donné, c'est sûr! c'est tout ce que tu veux comme réelle instabilité dans leur ressenti. mais est-ce une maladie? alors là, je te le dis tout net, je n'en sais fichtrement rien... être schizo, oui, c'est une maladie, être bi polaire, oui, c'est une maladie, être homo, non et nous sommes d'accord, ce n'est pas une maladie... être trans, je ne saurais dire que c'est une maladie car pour être déclaré malade, il faut avoir une atteinte de son intégrité physique et ou mentale, comment les catégoriser alors qu'ils se vivent dans le sexe qui n'est pas présent en eux ou elles... et là, Saturne, je ne fais aucun diagnostique.  

Alors une maladie, c'est assez simple, c'est un état ou un ressenti pathologique. Si quelqu'un ressent le besoin ou a nécessité d'une intervention physique ou psychique urgente ou importante, c'est qu'il y a pathologie. Si tu as un kyste et que cela ne te gène pas (parfois tu l'ignores même), il n'y a pas de pathologie. Si cela t'obsede et que tu as besoin d'en être débarassé, c'est une pathologie (là psychique plus souvent que physiologique).

Il y a tout une littérature sur le sujet et, pour la dysphorie de genre cela est reconnue comme tel par la plupart des patients eux-mêmes ou elles-mêmes puisque c'est, en soi, un ressenti de détresse pathologique d'inadéquation entre corps et vision de soi.

il y a 22 minutes, Easle a dit :

 

Alors une maladie, c'est assez simple, c'est un état ou un ressenti pathologique. Si quelqu'un ressent le besoin ou a nécessité d'une intervention physique ou psychique urgente ou importante, c'est qu'il y a pathologie. Si tu as un kyste et que cela ne te gène pas (parfois tu l'ignores même), il n'y a pas de pathologie. Si cela t'obsede et que tu as besoin d'en être débarassé, c'est une pathologie (là psychique plus souvent que physiologique).

Il y a tout une littérature sur le sujet et, pour la dysphorie de genre cela est reconnue comme tel par la plupart des patients eux-mêmes ou elles-mêmes puisque c'est, en soi, un ressenti de détresse pathologique d'inadéquation entre corps et vision de soi.

 

merci mais pour moi, ce n'est pas une maladie. c'est la triste réalité d'un individu qui n'est pas celui qu'il devrait être. 

il y a 9 minutes, jacky29 a dit :

merci mais pour moi, ce n'est pas une maladie. c'est la triste réalité d'un individu qui n'est pas celui qu'il devrait être. 

Mais justement, c'est bien ce qu'est une pathologie : une réalité douloureuse pour celui ou celle qui en souffre...

Pourquoi faire une fixation sur ce mot ? Nous ne sommes plus dans une société qui voit la maladie comme une perversion indiquant un rapport au diable (ce qui était peu ou prou le cas de la vision de l'homosexualité durant quelques siècles).

Etre malade n'est plus un état moral mais seulement un état involontaire, ou inconscient, à traiter.

Bon, je ne vais pas faire comme si ce type de jugement n'existait plus du tout mais il est de plus en plus rare, du moins dans les pays occidentaux. Il est d'ailleurs souvent réimplémenté de nos jours par des migrants qui viennent eux de cultures dans lesquelles le jugement moral est encore vivace et même dominant (mais dire ça est difficile, donc il faut faire comme si cela n'existait pas...)

Il y a 5 heures, Easle a dit :

 

Mais justement, c'est bien ce qu'est une pathologie : une réalité douloureuse pour celui ou celle qui en souffre...

Pourquoi faire une fixation sur ce mot ? Nous ne sommes plus dans une société qui voit la maladie comme une perversion indiquant un rapport au diable (ce qui était peu ou prou le cas de la vision de l'homosexualité durant quelques siècles).

Etre malade n'est plus un état moral mais seulement un état involontaire, ou inconscient, à traiter.

Bon, je ne vais pas faire comme si ce type de jugement n'existait plus du tout mais il est de plus en plus rare, du moins dans les pays occidentaux. Il est d'ailleurs souvent réimplémenté de nos jours par des migrants qui viennent eux de cultures dans lesquelles le jugement moral est encore vivace et même dominant (mais dire ça est difficile, donc il faut faire comme si cela n'existait pas...)

 

"nous ne sommes plus", écris-tu, easle?

que dire du traitement des cas de sida au niveau de la société?

que dire encore de nos jours, de ce que le cancer peut impliquer dans cette même société?

quel regard la société pose sur les handicapés?

et dis-moi pourquoi des associations telles que le refuge existent encore de nos jours? 

chut! passez, braves gens, il n'y a rien à voir!

j'ai eu un copain aux beaux arts qui a été interné deux ans en HP parce qu'il était gay, cela faisait désordre dans sa famille... hop là! il dégageait, les parents disaient qu'il était à l'étranger et paf, comme une lettre à la poste.    

il y a 35 minutes, jacky29 a dit :

j'ai eu un copain aux beaux arts qui a été interné deux ans en HP parce qu'il était gay, cela faisait désordre dans sa famille... hop là! il dégageait, les parents disaient qu'il était à l'étranger et paf, comme une lettre à la poste.    

Tu peux être gay et avoir un problème psychiatrique justifiant une hospitalisation ! Ou alors, c'était il y a bien longtemps car je t'assure qu'aucun psychiatre (surtout hospitalier) n'internerait un homme pour ce motif ! Mais jadis, dans certaines familles de 'la haute', on mettait au couvent ou à l'hôpital les jeunes filles qui n'acceptaient pas le parti que les parents proposaient, c'est vrai ... 

il y a 6 minutes, Saturne06 a dit :

Tu peux être gay et avoir un problème psychiatrique justifiant une hospitalisation ! Ou alors, c'était il y a bien longtemps car je t'assure qu'aucun psychiatre (surtout hospitalier) n'internerait un homme pour ce motif ! Mais jadis, dans certaines familles de 'la haute', on mettait au couvent ou à l'hôpital les jeunes filles qui n'acceptaient pas le parti que les parents proposaient, c'est vrai ... 

tu as raison, Saturne mais là je te prie de croire que c'était selon la famille pour son bien car il était MALADE pour préférer coucher avec des hommes, c'est ce que ses parents et proches disaient... il n'était atteint d'aucune pathologie mentale... il était avec moi aux beaux arts et j'ai eu l'heur de me rendre compte de la chose... eh oui, c'était il y a 50 ans.

ps: chose amusante en diable! un de ses oncles s'est remarié après un court veuvage avec une jeunette de 20 ans, lui qui en avait 30 de plus... mais là, personne n'était choqué! 

Le 14/02/2023 à 09:23, paulau a dit :

Du Pacs au transgenrisme.

Il serait un poil judicieux pour certains d'arrêter les délires grotesques de militants de la droite de la droite, PACS = HOMOS = TRANSGENRES.
(Ceci dit, il existe aussi la "version" PACS = HOMOS = PEDOPHILES, rires!) 

Il suffit JUSTE de consulter les études factuelles existantes plutôt que de "se faire plaisir" en faisant des affirmations totalement péremptoires.

1-
sur les 15 millions de couples en France, 8 % sont pacsés, 72 % sont mariés et 20 % de couples vivent en union libre

2-
93% des couples pacsés sont hétéros.

3-
Selon une étude de l'INSEE, la "problématique" du transgenrisme concernerait ... 0.73% de la "population" la plus "concernée" (les 12/17ans) en France.

En fonction des éléments (factuels ...) que je vous fourni, je vous laisse faire le calcul du pourcentage de pacsés "concernés" par le transgenrisme ..?

L' idée de l' uniformité des sexes a reçu une validation juridique avec le pacs ( un homme peut se pacser avec un homme, une femme avec une femme ). Ce fait juridique n' a pu que renforcer l' idée qu' il n' y a pas de différence sexuelle entre l' homme et la femme puisque un homme peut se pacser avec un homme ou une femme.  Il n' y a plus de différence net entre l' homme et la femme. De ce fait on peut passer de homme à  femme - le transgenrisme- sans que cela pose problème, du moins le croit-on. Cela a été renforcé par le mariage gay.

Il y a continuité entre le Pacs, le mariage gay, et le transgenrisme.

il y a 24 minutes, paulau a dit :

L' idée de l' uniformité des sexes a reçu une validation juridique avec le pacs ( un homme peut se pacser avec un homme, une femme avec une femme ). Ce fait juridique n' a pu que renforcer l' idée qu' il n' y a pas de différence sexuelle entre l' homme et la femme puisque un homme peut se pacser avec un homme ou une femme.  Il n' y a plus de différence net entre l' homme et la femme. De ce fait on peut passer de homme à  femme - le transgenrisme- sans que cela pose problème, du moins le croit-on. Cela a été renforcé par le mariage gay.

Il y a continuité entre le Pacs, le mariage gay, et le transgenrisme.

la majorité des pacsés sont des hétérosexuels, paulau! ta démonstration n'en est pas une. désolée pour toi.

il y a une heure, jacky29 a dit :

la majorité des pacsés sont des hétérosexuels, paulau! ta démonstration n'en est pas une. désolée pour toi.

Je pensais que le PACS avait été fait pour les homos initialement. Mais c'est vrai que de nombreux couples hétérosexuels préfèrent le pacs qui peut se 'casser' beaucoup plus facilement que le mariage (avocat, etc). Ceci dit certains homos sont mariés ... La plupart des homos pacsés ne le sont que pour des raisons administratives (je crois).