Toulouse : Une pédopsychiatre à nouveau suspendue après avoir fait un signalement

Depuis huit ans, Eugénie Izard fait l’objet de poursuites ordinales après avoir fait des signalements à la suite d’une suspicion de maltraitance envers une enfant de huit ans.

il y a 9 minutes, Plouj a dit :

 

Comment protéger les enfants ??

tu as le détail de la condamnation ? car si le conseil de l'ordre condamne cette personne, c'est qu'il y a une raison à ça. On ne condamne pas pour un simple signalement. 

Tiens ça existe encore l'ordre des médecins.

C'est ce truc qui avait organisé la pénurie de médecins (numerus closus), afin que les médecins deviennent une denrée rare et qu'ils puissent se faire plus de fric.

Au savant de Marseille, celui qui a flingué pour des décennies la réputation de la France en tant que nation avancée en biologie et en médecine, ils lui ont donné une tapette.

Ceci dit, l'ordre c'est le parangon des mandarins, les hautes instances, alors une petite femme médecin, si elle ne se prosterne pas, ils vont lui faire sa fête.

Cependant il manque en effet les attendus de la décision de l'ordre, peut être que ce n'est pas public et que l'affaire est plus compliquée qu'il n'y parait.

l' Ordre devrait étre dissous !!

on pourrait encourager les " parents " à tabasser leurs enfants  , .............

il y a une heure, soisig a dit :

tu as le détail de la condamnation ? car si le conseil de l'ordre condamne cette personne, c'est qu'il y a une raison à ça. On ne condamne pas pour un simple signalement. 

Voir dans le lien, ce qui en est dit !

il y a une heure, Plouj a dit :

Voir dans le lien, ce qui en est dit !

justement, il n'en est rien dit dans le lien, il est juste écrit ce que tu as copié collé. Mais comme tu as écrit : comment protéger les enfants ? j'en ai déduis que tu avais des informations confirmant que la pédopsychiatre est suspendue à tort. 

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• Il y a huit ans, le père avait saisi l’ordre professionnel et la justice. Depuis, la pédopsychiatre doit se défendre devant les instances ordinales. Elle avait été suspendue une première fois avant que le jugement soit cassé en mai dernier par le conseil d’Etat.

Eugénie Izard est aussi une ardente défenseure de l’amnésie traumatique, et de la mémoire traumatique retrouvée, un truc pas prouvé scientifiquement. Les mémoires de viol ou d’inceste seraient oubliées à cause du traumatisme causé, et remonteraient à la surface des années voir des décennies plus tard. Sauf que pour l’instant rien ne prouve que c’est  fiable. Le danger de la chose est qu’elle et beaucoup d’autres veulent que ce soit reconnu dans les tribunaux ! 

La pédopsychiatre Eugénie Izard, proposante de l'utilisation de la "mémoire traumatique refoulée" dans les tribunaux. Ce genre de mémoire offrirait une précision extraordinaire, genre de type photographique, et servirait à faire condamner les pédocriminels. Petit problème : sa fiabilité et même son existence n'est pas supportée scientifiquement.

Alors je me demande si le conseil de l'ordre des médecins ne l'a pas mise en touche pour cette raison.

parmi les juges, se peut il qu'ils y esr des véreux percevant du fric pour défendre et protéger des ordures ? Comment peut on encore nommer en ce nom, "Justice", puisque la dite justice, vis à vis de victimes innocentes, des défenseurs et protecteurs,  est bafouée ?

Le 28/01/2023 à 15:55, soisig a dit :

justement, il n'en est rien dit dans le lien, il est juste écrit ce que tu as copié collé. Mais comme tu as écrit : comment protéger les enfants ? j'en ai déduis que tu avais des informations confirmant que la pédopsychiatre est suspendue à tort. 

C’est ce que le conseil d’état a considéré en 2022 en tout cas 

https://www.midilibre.fr/2022/05/31/le-conseil-detat-donne-raison-a-la-pedopsychiatre-suspendue-pour-avoir-denonce-des-maltraitances-sur-une-fillette-10329432.php

Dans une décision rendue le 30 mai, le Conseil d'État annule la suspension de la pédopsychiatre toulousaine Eugénie Izard, condamnée à 3 mois d'interdiction d'exercer pour avoir dénoncé de possibles faits de maltraitances sur un enfant. L'affaire, qui remonte à 2015, n'est pas pour autant close, elle est renvoyée à la chambre disciplinaire nationale de l'ordre des médecins qui avait prononcé la suspension le 10 décembre 2020.