Le défi lecture 2023

defi « enquête » 3/5

pas le meilleur de la série. Se lit très bien, atmosphère toujours aussi sympa. Quant à l’enquête, bof! Je la trouve quasiment secondaire. C’est un peu bête pour un livre policier  

défi "littérature espagnole" 5/5

j'ai dévoré ce 3e opus de la série. Je n'ai qu'un regret : ne pas avoir pris conscience, lors de la lecture du 1er volume, qu'il s'agissait d'une série. Du coup, si le 2e pouvait se lire indépendamment, dans celui-ci, nous retrouvons tous les personnages des 2 premiers volumes. Or, il y a longtemps que j'ai lu le 1er. Certaines références aux personnages secondaires m'ont manqués.

Dans ce 3e livre, nous retrouvons Daniel Sempere, l'enfant du "cimetière des livres oubliés". Daniel a grandi. Il est marié et père de famille. Il aide son père dans la librairie. Mais c'est surtout Fermin qui est à l'honneur ici. Nous en apprenons plus sur sa vie, sa rencontre avec David Martin (personnage principal du "jeu de l'ange") et de la famille Sempere. Tous les rouages se mettent en place.

Carlos Ruiz Zafon arrive à créer un roman haletant tout en restant dans une atmosphère poétique. Pourtant le contexte ne s'y prête pas ! Une très belle écriture. J'ai hâte de lire le dernier livre de la série.

Après avoir achever Le bal des maudits d'Irving Shaw, à ajouter dans la catégorie "un roman pendant la guerre", je vais retourner dans les souvenirs d'Hervé Bazin avec Vipère au Poing, livre à ajouter dans la catégorie "un livre adapté en film ou en série"

Il y a 3 heures, koadeg a dit :

défi "littérature espagnole" 5/5

j'ai dévoré ce 3e opus de la série. Je n'ai qu'un regret : ne pas avoir pris conscience, lors de la lecture du 1er volume, qu'il s'agissait d'une série. Du coup, si le 2e pouvait se lire indépendamment, dans celui-ci, nous retrouvons tous les personnages des 2 premiers volumes. Or, il y a longtemps que j'ai lu le 1er. Certaines références aux personnages secondaires m'ont manqués.

Dans ce 3e livre, nous retrouvons Daniel Sempere, l'enfant du "cimetière des livres oubliés". Daniel a grandi. Il est marié et père de famille. Il aide son père dans la librairie. Mais c'est surtout Fermin qui est à l'honneur ici. Nous en apprenons plus sur sa vie, sa rencontre avec David Martin (personnage principal du "jeu de l'ange") et de la famille Sempere. Tous les rouages se mettent en place.

Carlos Ruiz Zafon arrive à créer un roman haletant tout en restant dans une atmosphère poétique. Pourtant le contexte ne s'y prête pas ! Une très belle écriture. J'ai hâte de lire le dernier livre de la série.

Oui très belle oeuvre que celle de Zafon .. 

A jour : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1jcKsQSV3PE8bOElGuuBw1MA2Umr-Ue2N-4KLFw8bQC8/edit#gid=0

normalement... 

@Gouderienl'était déjà complétée ta catégorie enquête.

Le 06/10/2023 à 18:47, koadeg a dit :

defi « enquête » 3/5

pas le meilleur de la série. Se lit très bien, atmosphère toujours aussi sympa. Quant à l’enquête, bof! Je la trouve quasiment secondaire. C’est un peu bête pour un livre policier  

Je n'ai pas encore attaqué "Hamish Macbeth", mais dans les "Agatha Raisin", c'est plus l'atmosphère qui compte que l'enquête. Malgré le nom, ça n'a rien à voir avec les romans d'Agatha Christie.

Il y a 10 heures, Gouderien a dit :

 

Je n'ai pas encore attaqué "Hamish Macbeth", mais dans les "Agatha Raisin", c'est plus l'atmosphère qui compte que l'enquête. Malgré le nom, ça n'a rien à voir avec les romans d'Agatha Christie.

De même dans cette série. Les villageois, récurrents font l’histoire. L’enquête est bien sûr la base mais c’est l’atmosphère qui prime. J’aime bien les interactions du héros avec ses voisins. Justement, dans cet épisode, il y en a peu. C’est surtout centré sur l’équipe de tournage. L’enquête est bâclée, enfin, surtout la résolution dont on a peine à y croire. Non, pas enthousiasmée par celui-ci. Cela ne m’empêchera pas de continuer à lire les aventures d’Hamish MacBeth, en espérant que cela ne soit qu’un incident de parcours et non l’essoufflement de la série. 

il y a 36 minutes, koadeg a dit :

De même dans cette série. Les villageois, récurrents font l’histoire. L’enquête est bien sûr la base mais c’est l’atmosphère qui prime. J’aime bien les interactions du héros avec ses voisins. Justement, dans cet épisode, il y en a peu. C’est surtout centré sur l’équipe de tournage. L’enquête est bâclée, enfin, surtout la résolution dont on a peine à y croire. Non, pas enthousiasmée par celui-ci. Cela ne m’empêchera pas de continuer à lire les aventures d’Hamish MacBeth, en espérant que cela ne soit qu’un incident de parcours et non l’essoufflement de la série. 

Faudra que je lise ça... quand j'aurai fini la série "Agatha Raisin". J'en suis au numéro 17. L'auteur est quand même très habile, une bonne partie de l'histoire repose sur les relations de l'héroïne avec ses voisins/voisines (et les hommes qu'elle courtise avec plus ou moins de réussite), mais de temps en temps arrive un événement brutal auquel on ne s'attend pas, et qui relance l'intérêt.

Il y a 4 heures, Gouderien a dit :

Faudra que je lise ça... quand j'aurai fini la série "Agatha Raisin". J'en suis au numéro 17. L'auteur est quand même très habile, une bonne partie de l'histoire repose sur les relations de l'héroïne avec ses voisins/voisines (et les hommes qu'elle courtise avec plus ou moins de réussite), mais de temps en temps arrive un événement brutal auquel on ne s'attend pas, et qui relance l'intérêt.

j'espère qu'il en sera de même avec la série "H. MacBeth !

4/5 défi "premier livre d'un auteur"

Très belle écriture qui m'a accroché au roman même si j'avais du mal à passer de l'une à l'autre de ces femmes à chaque chapitre. J'avais l'impression d'entrer dans leur vie pour qu'on me claque la porte au nez avant de la retrouver un peu plus loin. Et je ne voyais pas du tout où voulait en venir l'auteur.

Et puis progressivement, comme trois vies qu'on entrelacent, leur destin est devenu une tresse commune. Et pourtant quoi de commun entre une intouchable dans une Inde où la culture ancestrale n'est pas bannie ; une sicilienne, fille d'un artisan spécialisé dans le traitement et la recoloration des cheveux ; d'une avocate canadienne aux dents longues qui se découvre malade ? Trois destins difficiles et complètement différents, trois femmes qui se battent pour un avenir plus radieux, 3 mèches qui deviendront la tresse du destin. Sans jamais entrer dans le mélo. Très beau 1er livre.

J'ai beaucoup aimé ce bouquin. Ils en ont fait un film (pas vu).

je ne savais pas pour le film. Peut-être un jour, je le regarderai. Mais pour le moment, je préfère la magie des mots de L. Colombani.

4/5 "lecture commune"

Comment parler de la destruction des tribus indiennes sans donner la parole aux indiens ? Howard Fast l'a fait.

Ici, les blancs jugent les actes et agissent. Je ne vais pas dévoiler l'histoire pour ceux qui veulent lire ce livre mais perso, j'ai beaucoup aimé cette approche. J'attends vos commentaires avec impatience

Le 10/10/2023 à 08:11, January a dit :

A jour : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1jcKsQSV3PE8bOElGuuBw1MA2Umr-Ue2N-4KLFw8bQC8/edit#gid=0

normalement... 

@Gouderienl'était déjà complétée ta catégorie enquête.

Oui je sais. Par contre tu peux rajouter celui-ci, pour la ligne "Un livre dont le titre contient un nombre" : "Jamais deux sans trois", dans la série "Agatha Raisin".

A jour : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1jcKsQSV3PE8bOElGuuBw1MA2Umr-Ue2N-4KLFw8bQC8/edit#gid=0

Dans la catégorie livre qui parle de religion, j'ai pris beaucoup de plaisir à relire Tartuffe de Molière, une sacrée satire sur sur les dévots et leurs hypocrisies, une pièce écrite au XVIIe siècle mais qui est toujours d'actualité. Après cela, je suis retournée dans la Seconde Guerre Mondiale avec le premier tome des Mémoires de guerre du Général de Gaulle, qui s'intitule L'Appel. Livre à mettre dans la catégorie "un livre écrit par un politicien. Sur ce, je vous laisse car je vais regarder le match de rugby FRANCE/ AFRIQUE DU SUD.

Et voilà un bouquin qui pourra aller sur la ligne : "Un livre paru en 2023" : "La Dernière Odyssée", de James Rollins.

Depuis que j'ai découvert cet auteur il y a sept ou huit ans, je lis systématiquement ses romans au fur et à mesure qu'ils paraissent en France. Celui-ci n'est pas le meilleur. Comme d'habitude, il s'agit bien sûr des aventures des membres de l'agence "Sigma". L'auteur nous a habitués aux organisations terroristes toutes puissantes, mais alors là il se surpasse, au point de franchir les limites de la vraisemblance. Sans oublier les traîtres et autres agents doubles; c'est bien simple, on se croirait dans un roman de Robert Ludlum. En bref ça explose, ça tire dans tous les coins, nos héros ne sont à l'abri nulle part. Ils ont pourtant une mission essentielle à accomplir : en suivant les indications laissées par Homère ainsi que par un mystérieux voyageur arabe du Moyen Âge, retrouver les restes d'une ancienne civilisation, restes qui pourraient abriter des armes de destruction d'une puissance inouïe. Une secte internationale apocalyptique veut mettre la main sur ces engins de mort, il faut à tout prix l'empêcher d'y parvenir...

Je dois dire que le début du bouquin m'a paru tellement lourd, que j'ai lu un autre "Agatha Raisin" avant d'y revenir. Bon, la fin sauve un peu le roman. On pourrait en tirer un film très spectaculaire, style "Indiana Jones", je ne sais pas pourquoi les cinéastes ne se penchent pas plus sur les romans de James Rollins. Les récents attentats du hamas en Israël m'ont aussi fait réfléchir, et il est vrai que la réalité rejoint parfois la fiction. Ce n'est pas la première fois chez cet auteur qui, dans "la Sixième extinction", anticipait largement la pandémie de Covid 19. Comme d'habitude James Rollins, dans une postface, fait la part de la fiction et de la réalité, et nous rappelle en particulier à quel point les anciens Grecs s'étaient passionnés pour la robotique. 

Il y a 14 heures, Noisettes a dit :

Dans la catégorie livre qui parle de religion, j'ai pris beaucoup de plaisir à relire Tartuffe de Molière, une sacrée satire sur sur les dévots et leurs hypocrisies, une pièce écrite au XVIIe siècle mais qui est toujours d'actualité. Après cela, je suis retournée dans la Seconde Guerre Mondiale avec le premier tome des Mémoires de guerre du Général de Gaulle, qui s'intitule L'Appel. Livre à mettre dans la catégorie "un livre écrit par un politicien. Sur ce, je vous laisse car je vais regarder le match de rugby FRANCE/ AFRIQUE DU SUD.

Le général de Gaulle était non seulement un militaire et un homme d'État brillant, mais aussi un excellent écrivain. C'est un vrai plaisir de lire sa prose. Il faut lire les deux autres volumes de ses "Mémoires de Guerre", en sachant toutefois que, comme beaucoup de mémorialistes, de Gaulle raconte les choses à sa façon...

Je viens de réussir a terminer 

La citadelle de Sylvaine de Moulins .

l'histoire est plaisante mais le vocabulaire est plutôt pauve et c'est plein de faute d'accord, voir de conjugaison .. 

@January peux tu le mettre dans ''un livre fantastique '' si'il te plait ?

Dans ma bibliothèque, j'ai retrouvé une ancienne édition du premier tome des Mystères de Paris d'Eugène Sue et la couverture est bleue. Livre a ajouté dans la catégorie "Livre avec une couverture bleue".

défi "fantastique" 3/5

Avec Karim Berrouka, nous sommes dans la fantasy urbaine, c'est à dire un mélange de vie parisienne quotidienne et de personnages fantastiques. Ici, une fée vient demander de l'aide à un détective privé qui travaille beaucoup avec le secteur des crimes violents de la police nationale. S'en suit tout un tas d'aventures pour nos petits humains et beaucoup de sorts jetés de la part du monde des fées.

Le début est hilarant. La rencontre de Jaspucine, la fée, et Marc-Aurèle, le privé, les dialogues et les situations loufoques qui en découlent m'ont fait progresser rapidement dans le livre. Et puis les masques tombent. Jaspucine et ses copines sont des fées. Les mômes en pagne sont des nuitons. C'est un fait acquis pour tout le monde. Et là, l'histoire s'enlise. Ça part dans tous les sens et j'ai eu du mal à suivre la logique de l'auteur. L'écriture est toujours aussi acerbe. Il égratigne au passage la société de consommation la politique et autre. Mais, si je cherche un sens, une ligne conductrice de ce livre, je n'en trouve pas. Je ne vais pas dire une logique puisque là n'est pas le but. Mais au moins une linéarité minimum dans la narration. Et franchement... j'ai rien compris à la fin

Dommage. Sans être de la grande littérature, j'avais bien aimé "le jour où l'humanité a niqué la fantasy". Il y avait de bonnes idées. Ici aussi mais c'est trop brouillon, trop de directions pour qu'elles soient exploitées correctement.