Marche Arrière !

Marche Arrière :

 

Il est des choses parfaitement impossibles. Et pourtant...

Quand vous y avez le nez dessus, force vous est de constater que c'est impossible et que pourtant c'est bel et bien la réalité !

Témoin l'anecdote suivante...

 

ELLE me demande :

--Tu peux m'y emmener en voiture ?

Et bien sûr, moi :

-- Mais oui ! Pas de problème !

....

 

 

STOP !

Non seulement je n'ai pas précisé où je devais emmener cette "elle" mais en outre je ne vous l'ai même pas présentée, "ELLE". C'est exact !

Mais je vous répondrait qu'on prend toujours toutes les histoires en cours de route ; qu'on prend toujours tous les trains en marche. Tenez, imaginez ce qui serait objectivement logique dans un récit parfaitement bien construit...

Il faudrait partir de rien, du néant, du vide spatial ! D'un vide spatial absolu !

Alors quand je dis "elle" puis "me"...

Nous avons là deux individus. Deux humains. Faut-il partir de leur naissance ? De leur conception ? De leurs parents copulant donc ?

(C'est un grand film de Copola !)

Et pourquoi pas des grands parents ou des arrières-arrières grand parents ?

Non : des premiers hommes !

Non ! Du premier mammifère !

Encore non : de la première cellule vivante...

Même pas ! De la première molécule d'acide aminée arrivée à bord d'une comète et qui s'est fracassée dans un océan encore à demi bouillonnant !

Voilà !

La vie donc l'histoire peuvent alors commencer !

Elle et Moi, ne deviennent plus qu'un petit moment particulier de cette IMMENSE fresque de la vie. Mais le cadre général est parfaitement posé.

Si l'on voulait vraiment tout dire, et la commencer à son vrai début, ma petite histoire insignifiante mériterait une grande mise en scène et... un très très "long métrage" ! Confer ci-dessus pour le metteur en scène.

Reprenons !

Je lui ai dit : "Bien sûr, "no problémo" ! " -autre film autre metteur en scène- je t'emmène où tu veux : j'aime conduire !

Il y a eu quelques préparatifs. J'ai mis ma chemise blanche... Et j'ai jeté un pull par dessus façon jeune député socialiste en goguette : pas enfilé, mais seulement jeté sur le dos avec les deux manches flasques qui pendent sur le devant de part et d'autre sur la poitrine. Ces manches vides m'interpellent. Comme si un député ça ne devait pas avoir de bras mais seulement des manches vides pour ne rien pouvoir faire !

Dans ma poche de pantalon gauche, j'ai senti un paquet de tabac alors que je ne fume plus...

J'avais donc décidé de jouer franc jeu...

On est alors montés dans la voiture.

 

[Pour ce qui est de la voiture, si l'on voulait partir du vrai commencement, du vide cosmique, jusqu'où devrait-on remonter ? A Denis Papin ? Et à sa chaudière comme un crapaud géant monté sur roues, ou aux premiers croquis de Léonard de Vinci ?...

Et la route ? Le bitume, l'asphalte ?

Qui bien que n'ayant rien à voir avec, me fait penser aux asphodèles !...

(Je m'autorise un petit peu de répit poétique !) ]

 

Je vais donc pour démarrer...

Et là, paf ! Un gendarme m'arrête !

--Vous n'avez pas de droit de rouler comme ça en marche arrière ! Qu'il me dit.

--Mais je n'ai pas roulé le moins du monde ! J'allais juste démarrer !

--Que vous dites ! Regardez donc !

Et en effet cela faisait un bon moment que je roulais en marche arrière. La preuve, c'est que j'étais garé au départ en haut d'une côte et ça faisait plusieurs minutes que... "j'avançais" à reculons !

Pire que ça, j'avais même pris correctement un virage tout en reculant et en suivant bien la route.

Ce qui est parfaitement impossible sans que je m'en sois rendu compte. Vous en conviendrez.

Comment cela se fesse-t-il ? Enquêtai-je sur le champ.

 

J'ai alors compris que le pullover socialiste que j'avais placé sur le siège du passager, avait été retiré par la personne assise à l'arrière (sans doute ELLE ? )... Et que ce faisant le frein à main avait pu être accroché et ôté ce qui avait permis à mon insu le plus total, le départ vers l'arrière du véhicule, Monsieur le Gendarme...

Je suis alors reparti en conduisant très lentement et en marche avant. Très très lentement. La tête rentrée dans les épaules, en attendant qu'il me siffle pour m’arrêter...

Mais il ne l'a pas fait !

Et j'ai pu donc filer, mon forfait fait.

 

J'ai alors pensé qu'il avait dû prendre mon numéro et que je risquais fort de recevoir un jour prochain une contredanse pour marche arrière impossible, ou interdite, ou illégale, ou illicite : c'est à vous de voir...

il y a 57 minutes, Blaquière a dit :

Et j'ai pu donc filer, mon forfait fait.

Là je reconnais que c’est un art, d’emmener ses lecteurs jusqu’à la dernière ligne, pour narrer une histoire pratiquement sans queue ni tête ! 

il y a 1 minute, Enchantant a dit :

Là je reconnais que c’est un art, d’emmener ses lecteurs jusqu’à la dernière ligne, pour narrer une histoire pratiquement sans queue ni tête ! 

Mince ! Je suis découvert ! 

bonjour,

ça ressemble à ces films qu'il "faut" avoir vu ... mais qui finalement ne sont pas si au "top" que ça ( du moins de par leur histoire ) .

prenez donc un Doliprane

et si cela vous reprend .....

ceci dit , je serai dans la totale incapacité de faire de même ....donc , je devrai plutôt la fermer ( enfin ne rien écrire dans ce sujet , moyen électronique de la fermer ).

... bon dimanche ou pour vous le souhaiter faudrait-il revenir jusqu'à la genèse du concept de dimanche, à la genèse de la semaine , de mois, d'année et finalement en poussant l'idée jusqu'à son paroxysme... de vie ! ( bon je pense que cela devrait suffire si l'on revenait aux premiers balbutiement de ce forum ( en quelle année au fait ? ).

 

 

il y a 7 minutes, pic et repic a dit :

bonjour,

ça ressemble à ces films qu'il "faut" avoir vu ... mais qui finalement ne sont pas si au "top" que ça ( du moins de par leur histoire ) .

prenez donc un Doliprane

et si cela vous reprend .....

ceci dit , je serai dans la totale incapacité de faire de même ....donc , je devrai plutôt la fermer ( enfin ne rien écrire dans ce sujet , moyen électronique de la fermer ).

... bon dimanche ou pour vous le souhaiter faudrait-il revenir jusqu'à la genèse du concept de dimanche, à la genèse de la semaine , de mois, d'année et finalement en poussant l'idée jusqu'à son paroxysme... de vie ! ( bon je pense que cela devrait suffire si l'on revenait aux premiers balbutiement de ce forum ( en quelle année au fait ? ).

 

 

Je vois que tu as chopé le virus !  

 

Bon et sinon, tu l'as emmenée où ELLE ?  

il y a 23 minutes, Passiflore a dit :

 

Bon et sinon, tu l'as emmenée où ELLE ?  

Non, mais de quoi je me mêle ? 

Je l'ai emmenée où je veux ! Et pour lui faire ce que je veux !

Marche avant, marche arrière ! 

(Non, là, d'accord, j'exagère un petit peu...)

il y a 14 minutes, Blaquière a dit :

Non, mais de quoi je me mêle ? 

Je l'ai emmenée où je veux ! Et pour lui faire ce que je veux !

Marche avant, marche arrière ! 

(Non, là, d'accord, j'exagère un petit peu...)

 

A peine !

ça m'apprendra à m'intéresser, tsssss ! 

il y a 8 minutes, Passiflore a dit :

 

A peine !

ça m'apprendra à m'intéresser, tsssss ! 

Mais je suis le plus heureux qu'on s'intéresse un peu à moi !

Mais ça ne peut pas se dire, ça !

Je DOIS rester froid, digne, hautain... INDIFFERENT !

Je tiens à donner une certaine image de ma dignité... 

Du genre incorruptible, insensible à toute flagornerie !

Chanson :

"Flagornez-moi donc !

Et même tout de suite !

Et très vite !..."

il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Mais je suis le plus heureux qu'on s'intéresse un peu à moi !

Mais ça ne peut pas se dire, ça !

 

Eh bien si, tu aurais pu me dire: "content que mon histoire t'ait intéressée mais en fait, puisque apparemment tu ne l'as pas compris, le lecteur est censé s'en contreficher de là où ELLE est emmenée !"

T'as vu, j'te tends même le bâton pour me taper (pas trop fort, s'te plaît !) c'est tout moi, ça !  

 

il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Je DOIS rester froid, digne, hautain... INDIFFERENT !

Je tiens à donner une certaine image de ma dignité... 

 

N'importe quoi !

Tu ne DOIS surtout pas être indifférent à tes lecteurs, question de respect envers eux qui se sont donné la peine de te lire !

Il y a 6 heures, Blaquière a dit :

Marche Arrière :

 

Il est des choses parfaitement impossibles. Et pourtant...

Quand vous y avez le nez dessus, force vous est de constater que c'est impossible et que pourtant c'est bel et bien la réalité !

Témoin l'anecdote suivante...

 

ELLE me demande :

--Tu peux m'y emmener en voiture ?

Et bien sûr, moi :

-- Mais oui ! Pas de problème !

....

 

 

STOP !

Non seulement je n'ai pas précisé où je devais emmener cette "elle" mais en outre je ne vous l'ai même pas présentée, "ELLE". C'est exact !

Mais je vous répondrait qu'on prend toujours toutes les histoires en cours de route ; qu'on prend toujours tous les trains en marche. Tenez, imaginez ce qui serait objectivement logique dans un récit parfaitement bien construit...

Il faudrait partir de rien, du néant, du vide spatial ! D'un vide spatial absolu !

Alors quand je dis "elle" puis "me"...

Nous avons là deux individus. Deux humains. Faut-il partir de leur naissance ? De leur conception ? De leurs parents copulant donc ?

(C'est un grand film de Copola !)

Et pourquoi pas des grands parents ou des arrières-arrières grand parents ?

Non : des premiers hommes !

Non ! Du premier mammifère !

Encore non : de la première cellule vivante...

Même pas ! De la première molécule d'acide aminée arrivée à bord d'une comète et qui s'est fracassée dans un océan encore à demi bouillonnant !

Voilà !

La vie donc l'histoire peuvent alors commencer !

Elle et Moi, ne deviennent plus qu'un petit moment particulier de cette IMMENSE fresque de la vie. Mais le cadre général est parfaitement posé.

Si l'on voulait vraiment tout dire, et la commencer à son vrai début, ma petite histoire insignifiante mériterait une grande mise en scène et... un très très "long métrage" ! Confer ci-dessus pour le metteur en scène.

Reprenons !

Je lui ai dit : "Bien sûr, "no problémo" ! " -autre film autre metteur en scène- je t'emmène où tu veux : j'aime conduire !

Il y a eu quelques préparatifs. J'ai mis ma chemise blanche... Et j'ai jeté un pull par dessus façon jeune député socialiste en goguette : pas enfilé, mais seulement jeté sur le dos avec les deux manches flasques qui pendent sur le devant de part et d'autre sur la poitrine. Ces manches vides m'interpellent. Comme si un député ça ne devait pas avoir de bras mais seulement des manches vides pour ne rien pouvoir faire !

Dans ma poche de pantalon gauche, j'ai senti un paquet de tabac alors que je ne fume plus...

J'avais donc décidé de jouer franc jeu...

On est alors montés dans la voiture.

 

[Pour ce qui est de la voiture, si l'on voulait partir du vrai commencement, du vide cosmique, jusqu'où devrait-on remonter ? A Denis Papin ? Et à sa chaudière comme un crapaud géant monté sur roues, ou aux premiers croquis de Léonard de Vinci ?...

Et la route ? Le bitume, l'asphalte ?

Qui bien que n'ayant rien à voir avec, me fait penser aux asphodèles !...

(Je m'autorise un petit peu de répit poétique !) ]

 

Je vais donc pour démarrer...

Et là, paf ! Un gendarme m'arrête !

--Vous n'avez pas de droit de rouler comme ça en marche arrière ! Qu'il me dit.

--Mais je n'ai pas roulé le moins du monde ! J'allais juste démarrer !

--Que vous dites ! Regardez donc !

Et en effet cela faisait un bon moment que je roulais en marche arrière. La preuve, c'est que j'étais garé au départ en haut d'une côte et ça faisait plusieurs minutes que... "j'avançais" à reculons !

Pire que ça, j'avais même pris correctement un virage tout en reculant et en suivant bien la route.

Ce qui est parfaitement impossible sans que je m'en sois rendu compte. Vous en conviendrez.

Comment cela se fesse-t-il ? Enquêtai-je sur le champ.

 

J'ai alors compris que le pullover socialiste que j'avais placé sur le siège du passager, avait été retiré par la personne assise à l'arrière (sans doute ELLE ? )... Et que ce faisant le frein à main avait pu être accroché et ôté ce qui avait permis à mon insu le plus total, le départ vers l'arrière du véhicule, Monsieur le Gendarme...

Je suis alors reparti en conduisant très lentement et en marche avant. Très très lentement. La tête rentrée dans les épaules, en attendant qu'il me siffle pour m’arrêter...

Mais il ne l'a pas fait !

Et j'ai pu donc filer, mon forfait fait.

 

J'ai alors pensé qu'il avait dû prendre mon numéro et que je risquais fort de recevoir un jour prochain une contredanse pour marche arrière impossible, ou interdite, ou illégale, ou illicite : c'est à vous de voir...

 

Il y a 5 heures, Enchantant a dit :

Là je reconnais que c’est un art, d’emmener ses lecteurs jusqu’à la dernière ligne, pour narrer une histoire pratiquement sans queue ni tête ! 

C'est une histoire à prendre avec recul

Il y a 6 heures, Blaquière a dit :

jusqu'où devrait-on remonter ? A Denis Papin ? Et à sa chaudière comme un crapaud géant monté sur roues, ou aux premiers croquis de Léonard de Vinci ?...

Ah mais non. Ce con de gendarme t'a empêché de reculer assez loin dans le temps. Il faut remonter au moins jusqu'à un sacré oiseau: un Héron

Mais non, pas lui

 

se pavanant tout ridicule

 

Mais un Héron Alexandrin on est en littérature quand même

qui a inventé ça:

 

la machine à vapeur et la propulsion à réaction dans la foulée

Héron

 

 

 

 

il y a une heure, hybridex a dit :

Ah mais non. Ce con de gendarme t'a empêché de reculer assez loin dans le temps. Il faut remonter au moins jusqu'à un sacré oiseau: un Héron

Mais non, pas lui

 

se pavanant tout ridicule

 

Mais un Héron Alexandrin on est en littérature quand même

qui a inventé ça:

 

la machine à vapeur et la propulsion à réaction dans la foulée

Héron

 

 

 

 

Outre temps outre mer, Héron l'Alexandrin

S'écriait : "Euréka ! J'invente le vérin !...

Il était bricoleur et martelait l'airain

Et fût-il boulanger, qu'il créât le pétrin !

"Mais retenez-moi donc ou j'invente le train !"

Quel génie méconnu ! En eut-il du chagrin ?

(Ils le tenaient pour fou tous ses contemporains.)

 

C'est dit en douze pieds : de purs Alexandrins !

Il y a 19 heures, Blaquière a dit :

Je vois que tu as chopé le virus !

bonjour,

effectivement , j'ai chopé un virus : ...... celui de la mauvaise humeur !!!!!! ( cela vous tombe dessus, comme ça, quand on se met à penser à tout ce qui va de travers actuellement et ce virus là, il est terrible tant il y a matière ! ) .

bon, je vais vite oublier ce que j'ai pu écrire pour ne conserver et le souvenir que de vos bon écrits , ceux qui m'ont fait quelques fois rire , et d'autres fois réfléchir ( je n'aime pas pleurer et d'ailleurs je pense en être difficilement capable ... ) .

finalement, dans cette histoire qui semble n'avoir ni queue ni tête , quel était le but recherché ?

bonne journée ( pour l'humeur, ça va mieux , non pas que la planète aille mieux ( loin de là ) mais j'ai décidé de ne plus y accorder autant d'importance ...merci ) .

Il y a 1 heure, pic et repic a dit :

bonjour,

effectivement , j'ai chopé un virus : ...... celui de la mauvaise humeur !!!!!! ( cela vous tombe dessus, comme ça, quand on se met à penser à tout ce qui va de travers actuellement et ce virus là, il est terrible tant il y a matière ! ) .

bon, je vais vite oublier ce que j'ai pu écrire pour ne conserver et le souvenir que de vos bon écrits , ceux qui m'ont fait quelques fois rire , et d'autres fois réfléchir ( je n'aime pas pleurer et d'ailleurs je pense en être difficilement capable ... ) .

finalement, dans cette histoire qui semble n'avoir ni queue ni tête , quel était le but recherché ?

bonne journée ( pour l'humeur, ça va mieux , non pas que la planète aille mieux ( loin de là ) mais j'ai décidé de ne plus y accorder autant d'importance ...merci ) .

C'est aussi ce que je pense qu'il faudrait faire : quand les choses ne dépendent pas de nous, quand on ne peut rien y faire, autant passer à autre chose. Ce n'est pas une fuite ni la politique de l'autruche. Si on peut agir, on le fait, si non, il est inutile de se morfondre. Ca n'avance à rien...

Mais c'est difficile, je sais. Parce que tu dis vrai ; il y a matière !

 

Le but recherché ? Simplement témoigner, ou plutôt illustrer ce que symboliquement la marche arrière peut signifier ...

A partir d'un rêve très court, le récit en est assez exact mais banal, mais cette idée de marche arrière,   au delà d'une nostalgie courante pour le passé pourrait correspondre aussi à une remontée temporelle hypothétique du vrai temps...

Et je l'ai effectué sans m'en rendre compte comme s'il s'agissait d'une "inspiration" !

(On pourrait aussi imaginer ce que dignifie le gendarme qui m'arrête, qui stoppe ma marche arrière l)

C'est après coup que j'ai réalisé qu'une marche arrière dans l'espace, en voiture pouvait symboliser une marche arrière dans les temps. Qui m'était venue aussi sans le vouloir. Le temps réel ou scientifique avec l'origine du vivant et le temps passé nostalgique perso (mon père était profondément socialiste !), ainsi m'est venue l'image du "pullover socialiste" qui je suis sûr l'aurait amusé...

Une marche arrière inconsciente n'est-ce pas ça la définition de la mémoire ?

Je me souviens = je fais marche arrière ! 

 

@pic et repic Je continuais à réfléchir, et le gendarme qui stoppe la marche arrière peut être symboliquement interprété comme une alarme qui crie : "Casse coup ! Il n'est pas question de ne vivre que dans le passé ! Il faut repartir en marche avant !'

Bien sûr on s'invente toujours les symboles qui nous arrangent et qui font sens...

Ce gendarme ce sera mon père ! Le socialiste aux manches vides qui ne peut plus rien faire (il est mort depuis si longtemps), mais qui depuis son trou, depuis son néant, m'inciterait à aller de l'avant : Ce serait quand même couillon qu'on se trouve là grâce et au bout de 4 milliards d'années d'évolution, depuis le premier acide aminé tombé là par hasard, et pour un temps qui nous est compté mais qu'on n'en use pas au mieux... Pour ce qui nous incombe.

Bonjour,

faut-il voir dans "acide a minet" une explication, que les chats aient  sept vies ? , les chats bottés, les bottes de sept lieux...et toutti quanti...

il y a une heure, Good Venins a dit :

Bonjour,

faut-il voir dans "acide a minet" une explication, que les chats aient  sept vies ? , les chats bottés, les bottes de sept lieux...et toutti quanti...

Voilà ! Il faut ratisser large : chercher dans toutes les directions ! Rien n'est verrouillé !