Defendre ses opinions

Bonjour, pouvez-vous me trouver 3 arguments sur cette these : est-il subtile de défendre nos opinions en supposant que celles-ci ne soient pas objectives ? 

Merci 

il y a 10 minutes, aliceee.lucas a dit :

Bonjour, pouvez-vous me trouver 3 arguments sur cette these : est-il subtile de défendre nos opinions en supposant que celles-ci ne soient pas objectives ? 

Merci 

Peux-tu déjà me donner tes trois arguments sur lesquels tu as dû réfléchir, je suppose ?

Merci ! 

Ne serait-ce qu'un seul argument définissant l'objectivité d'une opinion ?

il y a 5 minutes, sush'bar a dit :

Ne serait-ce qu'un seul argument définissant l'objectivité d'une opinion ?

Moi suis une vraie peau de vache ! 

il y a 17 minutes, aliceee.lucas a dit :

Bonjour, pouvez-vous me trouver 3 arguments sur cette these : est-il subtile de défendre nos opinions en supposant que celles-ci ne soient pas objectives ? 

Merci 

C'est pas une thèse, c'est une question.

il y a 6 minutes, Elisa* a dit :

Moi suis une vraie peau de vache ! 

Ça c'est pas une opinion, mais un constat objectif 

il y a 6 minutes, Gouderien a dit :

C'est pas une thèse, c'est une question.

Je dirais même plus c’est l’hypothèse de départ. 

il y a 1 minute, sush'bar a dit :

Ça c'est pas une opinion, mais un constat objectif 

il y a 6 minutes, Gouderien a dit :

C'est pas une thèse, c'est une question.

Uniquement parce qu'un point d'interrogation conclu l'enfilade de mots...

il y a 1 minute, Elisa* a dit :

Je dirais même plus c’est l’hypothèse de départ. 

Dont la subjectivité ne souffre aucun argument...

Il y a 2 heures, aliceee.lucas a dit :

Merci 

pas de quoi 

Il y a 2 heures, Elisa* a dit :

Moi suis une vraie peau de vache ! 

Ah bon l

Démontrer vrai ce qui est faux, c'est l'art de la sophistique.

Aristote distingue :

1. la logique ou analytique en tant que théorie ou méthode pour arriver aux conclusions exactes, dites apodictiques.

2. La dialectique ou méthode pour arriver aux conclusions considérées comme exactes et adoptées comme telles sans qu'il ait été démontré qu'elles soient fausses, mais pas non plus qu'elles soient vraies.

3. les conclusions éristiques (l'éristique) où la forme finale est corrects, mais les thèses mêmes, la matière, ne sont pas vraies mais paraissent l'être.

4. les conclusions sophistiques (la sophistique) où la forme finale est fausse mais paraît exacte.