Cuisine française

La cuisine française fait référence à divers styles gastronomiques dérivés de la tradition française. Elle a évolué au cours des siècles, suivant ainsi les changements sociaux et politiques du pays. Le Moyen Âge a vu le développement de somptueux banquets qui ont porté la gastronomie française à un niveau supérieur, avec une nourriture décorée et fortement assaisonnée par des chefs tel Guillaume Tirel. Au XVIIe siècle, les habitudes ont changé, avec une utilisation moins systématique des épices et avec le développement de l'utilisation des herbes aromatiques et de techniques raffinées, initiées par François Pierre de La Varenne. Au XVIIIe siècle, de somptueux banquets avec des dizaines de plats sont servis à la Cour de France à Versailles. C'est également vers la fin de ce siècle que naît Marie-Antoine Carême, futur chef de renommée internationale. 

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cuisine_française

Il a commencé à travailler à l’âge de 13 ans chez le restaurant de un de ses oncles à Nice. Pendant les 62 ans de sa prestigieuse carrière, il a travaillé chez les restaurants les plus importants de Paris, de Monte Carle, de Suisse, de Rome, de Londres, avec César Ritz, il a apporté des changements révolutionnaires dans l’organisation des hôtels, de la cuisine et de l’art de préparer et cuire les aliments. 
Créatif et innovateur, Il a également développé le concept de brigade de cuisine, en rationalisant la répartition des tâches dans l'équipe et en veillant à l'image de marque du cuisinier, (Propre, méticuleux, non-buveur, non-fumeur, ne criant pas).

Auguste Escoffier a été l’auteur de recettes connues dans le monde entier, parmi lesquelles la très célèbre Pèche Melba, dédiée à la fameuse chanteuse lyrique australienne Nellie Melba.

Auteur de beaucoup de publications, traduites en plusieurs langues comme par exemple, le « Guide Culinaire » (1903), « Le Livre des Menus » (1912), « Ma Cuisine » (1934)….. 

L'Arôme cube Maggi
Il collabore avec la firme Julius MAGGI afin de mettre au point le célèbre Bouillon cube. 
Premier chef à collaborer avec l’agro-alimentaire.

La crêpe Suzette
Au café de Paris, à Monte-Carlo, le prince de Galles, futur roi d’Angleterre, Édouard VII, déjeune avec une ravissante jeune fille française. Au moment du dessert, le maître d’hôtel apporta des crêpes. Une erreur de manipulation et la liqueur d'orange s'enflamma. Le cuisinier eut la présence d'esprit de présenter son dessert comme une nouvelle création. Le Prince le trouva délicieux. Le maître d’hôtel qui venait “d’inventer” la recette, propose de lui donner le nom du futur roi. Celui-ci refusa et proposa alors, le nom de la jeune française Suzanne Reichenberg… Légende ou réalité ?
Dans la recette originelle les crêpes sont simplement fourrées avec un beurre travaillé au sucre, au curaçao et au suc de mandarines.

La pêche Melba
Le fameux dessert de la Pêche Melba a été inventé par le Grand Auguste Escoffier en l'honneur de la cantatrice australienne Nellie... Melba en 1893 !

Et pourquoi Nellie Melba - de son vrai nom "Helen Porter Mitchell" - s'appelait Nellie Melba ?
Parce que c'est à Melbourne qu'elle fit son premier concert.

Dans la recette originelle Auguste Escoffier ne prévoyait pas de chantilly: il fit pocher des pêches fraîches dans du sirop vanillé et les fit mettre sur une glace à la vanille nappée de coulis de framboise. L'ensemble était dans un bloc de glace à la forme d'un cygne.

Les poires Belle Hélène
Les poires Belle Hélène, ce grand classique des coupes glacées, aurait été créé à Paris, le 17 décembre 1864, à l’occasion de la première de l’opérette La Belle Hélène d'Offenbach, en hommage à la soprano Hortense Schneider. Cette coupe est composée de poires pochées au sirop nappées de crème au chocolat et servies avec de la glace à la vanille.

Les fraises Monte Carlo
Auguste Escoffier l'a créé à la fin du XIX° siècle, lors de la grande époque des desserts glacés qui plaisaient tant aux Dames. Composés de fruits et de divers autres ingrédients.

La reine Catherine de Médicis a introduit en France tout un art de la table : l'élégance des manières, la variété des mets, tout un tas d'objets précieux utilisés pendant les repas, dont la fourchette et les plats en faïence. C'était une gourmande qui aimait bien les sucreries, et qui rapporta d'Italie, avec sa dot, bien des nouveautés à manger, des cuisiniers et des bonnes recettes : les quenelles de volaille, les artichauts, les brocolis, les crépines de foie, les panettonnes, les massepains, les marrons glacés... 

Faisons simple 

Une autre figure de la cuisine française

https://www.youtube.com/watch?v=8-lCVMAZBhM

Pour Socrate, la cuisine est l'art de la flatterie.

Je préfère la cuisine réunionnaise hautement relevée et la cuisine chinoise, bien sûr.

La cuisine française m'est trop fade.

les  cuisines asiatiques sont , pour la plupart , excellentes !!

je regrette , par contre qu'à la demande des client , elles soient francisées    !

ça perd tout intérét , pas de saveur ni d'épices , bref , c'est lamentable !

pour la cuisine française actuelle , je suis réservé !

je me demande si les chefs cuisiniers que l'on voit à la télévision , seraient capable de faire de la véritable cuisine française traditionnelle !

j'ai un doute !

il y a 7 minutes, boeingue a dit :

la véritable cuisine française traditionnelle !

Comme Maïté 

en fait , il existe deux cuisines Françaises , l'une , familiale et traditionnelle est immuable , elle ne souffre pas d'entorses , ex : jamais de fromage dans le gratin Dauphinois ni dans la quiche Lorraine  ; l'autre festive et créative où les grands chefs peuvent s'en donner à coeur-joie ( parfois à l'excès ) entre les 2 mon coeur balance !

il y a une heure, jeremie974 a dit :

Je préfère la cuisine réunionnaise hautement relevée et la cuisine chinoise, bien sûr.

La cuisine française m'est trop fade.

Rougail lé bon ?

Surtout la saucisse.

il y a 35 minutes, Ximène a dit :

en fait , il existe deux cuisines Françaises , l'une , familiale et traditionnelle est immuable , elle ne souffre pas d'entorses , ex : jamais de fromage dans le gratin Dauphinois ni dans la quiche Lorraine  ; l'autre festive et créative où les grands chefs peuvent s'en donner à coeur-joie ( parfois à l'excès ) entre les 2 mon coeur balance !

La 2e pour moi,il est toujours interessant d'expérimenter,surtout en cuisine ! Même si...La cuisine moléculaire m'effraie un peu

il y a 5 minutes, Kid_Ordinn a dit :

La 2e pour moi,il est toujours interessant d'expérimenter,surtout en cuisine ! Même si...La cuisine moléculaire m'effraie un peu

La tendance étant de revisiter un plat en le déstructurant… ça peut être sympa, même délicieux mais je vais faire ma réac : le tradi, c’est quand même pas mal.
Y a un moment où trop d’élaboration casse la spécificité d’un plat tout simple à la base. 

il y a 1 minute, Elisa* a dit :

le tradi, c’est quand même pas mal.

Oui,c'est celle que j'ai apprise...Mais c'est (pour moi) lassant et j'aimais bien tester d'autres associations,comme du camembert/confiture lol  

il y a 3 minutes, Kid_Ordinn a dit :

Oui,c'est celle que j'ai apprise...Mais c'est (pour moi) lassant et j'aimais bien tester d'autres associations,comme du camembert/confiture lol  

Tu as des tas de recettes ici :

https://recettes.de/camembert/confiture

il y a 1 minute, jeremie974 a dit :

Tu as des tas de recettes ici :

https://recettes.de/camembert/confiture

Merci mais ce n'était qu'un exemple

Pour moi,rien ne devrait être immuable en cuisine...C'est aussi en changeant de région que l'on apprend d'autres plats

à l’instant, Kid_Ordinn a dit :

Oui,c'est celle que j'ai apprise...Mais c'est (pour moi) lassant et j'aimais bien tester d'autres associations,comme du camembert/confiture lol  

Mais je ne dis pas qu’il faut rester cantonné au tradi : c’est chouette la création, l’impro. 
Ce qui peut m’irriter… c’est une salade de tomates-mozza revisitée en un granité de tomates ac un jus de mozza et du basilic déshydraté par ex. Le tout à déguster ac une paille.
La texture n’y est pas/plus même si on y retrouve la quintessence.

à l’instant, Elisa* a dit :

Mais je ne dis pas qu’il faut rester cantonné au tradi : c’est chouette la création, l’impro. 
Ce qui peut m’irriter… c’est une salade de tomates-mozza revisitée en un granité de tomates ac un jus de mozza et du basilic déshydraté par ex. Le tout à déguster ac une paille.
La texture n’y est pas/plus même si on y retrouve la quintessence.

Pareil,ce genre de truc ne passe pas même si le goût y est

J'adore mettre du beurre d'arachide dans mes sauces.