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Le Wokisme dans les écoles

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Invité hell-spawn

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 30 minutes, Saturne06 a dit :

Oui, c'est vrai et faux pour les médecins. Il est vrai que la dysphorie de genre pris en charge par la sécurité sociale au titre d'une maladie de longue durée est protégée par l'interdiction d'effectuer une thérapie de conversion (et c'est heureux ! les thérapies de conversion ne sont pas efficaces pour 'traiter' l'homosexualité), mais il ne faut pas confondre dysphorie de genre et homosexualité. Un médecin qui voit en consultation un adolescent voulant changer de sexe peut très bien (et sans être le moins  du monde poursuivi) déconseillé au jeune et à sa famille d'effectuer un blocage de puberté (ou un traitement hormonal si la puberté est faite). Libre ensuite aux parents d'aller voir un autre praticien, il existe des listes de 'médecins' (je mets le mot entre guillemets car pour moi ce sont des profiteurs de notre société malade) qui se chargeront de déclencher le processus: certificat d'un psychiatre, d'un endocrinologue et d'un urologue ou gynécologue en fonction du sexe 'assigné' (!) ... Pour le moment, comme je l'ai dit plus haut, les vrais transitions, celles qui mutilent le corps sont pour le moment peu pratiquées en France si on compare notre pays avec ceux qui délirent complètement, toujours les mêmes, les plus décadents: les USA, la Grande Bretagne et la Canada. Comme par hasard, ce sont les trois pays  qui sont les plus concernés par cette immonde mode du wokisme ...

Pourtant il existe des études qui montrent que les enfants transgenre pris en charge très tôt avec une psychothérapie adaptée, c'est-à-dire avec un médecin qui leur apprend à accepter leur corps, cessent de souffrir à l'âge adulte de dysphorie de genre à 88%. J'ai déjà fourni un lien la dessus. Si la thérapie la plus efficace et la plus saine est interdite, ces enfants ne sont pas sauvés. Notre système tend vers la sauvagerie.

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Quasi-Modo a dit :

Pourtant il existe des études qui montrent que les enfants transgenre pris en charge très tôt avec une psychothérapie adaptée, c'est-à-dire avec un médecin qui leur apprend à accepter leur corps, cessent de souffrir à l'âge adulte de dysphorie de genre à 88%. J'ai déjà fourni un lien la dessus. Si la thérapie la plus efficace et la plus saine est interdite, ces enfants ne sont pas sauvés. Notre système tend vers la sauvagerie.

Tu fais allusion à un autre problème: la dysphorie de genre est une maladie psychiatrique du chapitre des 'troubles de la personnalité'. Mais le fait de 'se dire transgenre', n'est pas une maladie, c'est malheureusement une mode ! Nombreux sont les enfants dans les pays anglo-saxons qui ont eu le malheur d'avoir des parents complètement déjantés et débiles pour leur faire subir cette transition qui les modifient dans leurs corps par les hormones et les massacrent par les techniques dites de 'réassignation sexuelle' ... Je suis persuadé que parmi ces enfants sacrifiés sur l'autel de la bien-pensance, la tolérance et la modernité, il y a des adolescents qui se retrouvent à devoir gérer un corps qui n'est plus masculin ni féminin, un peu des deux à la fois dans une tête fragilisée par cette transition, quand on sait qu'à cet âge (adolescence, jeune adulte) l'esprit et la caractère est fragile, on ne peut qu'être inquiet sur le devenir de ces jeunes qui ont succombé à la mode actuelle.

  • Merci 1
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  • 2 semaines après...
  • 3 mois après...
Membre, Posté(e)
paulau Membre 1 849 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 13/09/2022 à 12:55, Quasi-Modo a dit :

Donc soyons déjà conscients que les transgenres, lorsqu'ils sont pris en charge de façon adéquate dès le plus jeune âge, et qu'ils ont un entourage qui a un esprit critique envers ce progressisme aveugle et débile, c'est-à-dire un entourage qui ne les encourage pas à transitionner, qui ne change pas son pronom quand il lui parle, qui ne lui donne pas des conseils sur sa transition, etc. guérissent à l'âge adulte pour la majorité d'entre eux.

Soyons également conscients du buisness des chirurgiens (bouchers) qui font les transitions sur des adolescents parfois même pas complètement formés, afin de leur couper seins ou testicules, et de l'industrie pharmaceutique qui veut pouvoir vendre plus de médicaments, de la manne financière que ce désespoir représente. De la stigmatisation également, sachant que biologiquement on naît homme ou femme mais qu'on ne peut jamais devenir de l'autre sexe.

C'est du buisness sur fond de dépravation décadente occidentale et d'idéologie déconstructiviste, de la part d'une population qui n'a plus de repères et n'est même pas consciente des enjeux pour les générations futures.

Mais aussi que le taux de suicide est similaire parmis ceux qui ont transitionné que parmi ceux qui n'ont pas transitionné. Un scandale. On vous prend votre fric et on vous laisse mourir après. Ce sont des voleurs.

Des gens qui détruisent des vies. Sciemment si on les laisse faire.

Comme tous les idéologues, mourir sera plus simple aux idéologues woke que de se remettre en question. Particulièrement les gauchistes.

Les partisans du " transgenrisme " qui veulent faciliter les changements de genre chez les adolescents, ont leurs entrées dans le ministère de l ' éducation nationale. J ' en veux pour preuves les deux liens ci-dessous :

1 )
«Une faute professionnelle grave»: quand un lycée change le genre d’une élève sans en avertir les parents.
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/une-faute-professionnelle-grave-quand-un-lycee-change-le-genre-d-une-eleve-sans-en-avertir-les-parents-20220530

2 )
Syndicat Sud éducation
Circulaire relative à l’accueil des élèves trans : un texte nécessaire mais insuffisant !
Ce communiqué a été publié le 02/10/2021
https://www.sudeducation.org/communiques/circulaire-relative-a-laccueil-des-eleves-trans-un-texte-necessaire-mais-insuffisant/

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  • 4 semaines après...
Membre, 41ans Posté(e)
NonoLeRobot Membre 387 messages
Forumeur accro‚ 41ans‚
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Le Wokisme, c'est le négationnisme du droit naturel . C'est le résultat d'un état psychotique, ou bien tu confonds le cannibalisme .

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  • 2 mois après...
  • 2 mois après...
Membre, Posté(e)
Golmore Membre 38 messages
Forumeur en herbe ‚
Posté(e)

L'éducation à la sexualité est fondamentale. Dès le primaire les enfants se posent des questions et certains sujets sont importants à enseigner d'autant plus que toutes les familles ne parlent pas forcément de ce sujet qui peut être très tabou selon les familles. Rien que la notion de consentement est très importante car oui, dès le primaire il y a des histoires, les enfants se posent des questions ou ont des comportements parfois inquiétants.

 

Le ressenti d'être de telle orientation sexuelle ou de se sentir plus fille ou garçon ne se conditionne pas. C'est un ressenti personnel. On sait qu'on est hétérosexuel, qu'on a du désir pour le sexe opposé, bah c'est pareil pour les autres orientations sexuelles ou encore pour le fait de se sentir plus fille ou garçon. Oui, il y a des personnes qui naissent avec des chromosomes différents de la norme par exemple, ou encore des personnes intersexes qui n'ont ni le sexe d'une fille ni celui d'un garçon. Ce ressenti peut apparaître très tôt. Rien que la conscience du genre (donc de l'existence des deux sexes) se fait de 18 à 24 mois, la prise de conscience de l'appartenance à un ou à l'autre des deux sexes se fait de 2 à 3 ans, la prise de conscience que le sexe anatomique est permanent est de 3 à 5 ans et le sentiment d'appartenance à un sexe est de 5 à 6 ans. Et à l'adolescence (à partir de 12-13 ans), il y a une remise en question du genre, de la sexualité, de l'orientation. 

 

Il y a eu des études et expériences scientifiques sur le sujet, les meilleurs endroits pour en trouver c'est les bases scientifiques utilisées par les professionnels : Scopus, Pubmed, Medline par exemple. 

 

Tout dépend de comment c'est abordé et cela doit être bien évidemment adapté. Le but n'est pas de convertir comme on impose une religion ou une façon de penser ou encore de donner du porno aux enfants loin de là mais surtout de sensibiliser, d'informer (le nombre de gens peu informés et bourrés de fausses croyances est quand même assez élevé) et d'être dans la prévention. Et c'est important d'en parler, si ça peut permettre à des enfants d'être écoutés surtout si il y a des réelles souffrances. 

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, Golmore a dit :

L'éducation à la sexualité est fondamentale. Dès le primaire les enfants se posent des questions et certains sujets sont importants à enseigner d'autant plus que toutes les familles ne parlent pas forcément de ce sujet qui peut être très tabou selon les familles. Rien que la notion de consentement est très importante car oui, dès le primaire il y a des histoires, les enfants se posent des questions ou ont des comportements parfois inquiétants.

 

Le ressenti d'être de telle orientation sexuelle ou de se sentir plus fille ou garçon ne se conditionne pas. C'est un ressenti personnel. On sait qu'on est hétérosexuel, qu'on a du désir pour le sexe opposé, bah c'est pareil pour les autres orientations sexuelles ou encore pour le fait de se sentir plus fille ou garçon. Oui, il y a des personnes qui naissent avec des chromosomes différents de la norme par exemple, ou encore des personnes intersexes qui n'ont ni le sexe d'une fille ni celui d'un garçon. Ce ressenti peut apparaître très tôt. Rien que la conscience du genre (donc de l'existence des deux sexes) se fait de 18 à 24 mois, la prise de conscience de l'appartenance à un ou à l'autre des deux sexes se fait de 2 à 3 ans, la prise de conscience que le sexe anatomique est permanent est de 3 à 5 ans et le sentiment d'appartenance à un sexe est de 5 à 6 ans. Et à l'adolescence (à partir de 12-13 ans), il y a une remise en question du genre, de la sexualité, de l'orientation. 

 

Il y a eu des études et expériences scientifiques sur le sujet, les meilleurs endroits pour en trouver c'est les bases scientifiques utilisées par les professionnels : Scopus, Pubmed, Medline par exemple. 

 

Tout dépend de comment c'est abordé et cela doit être bien évidemment adapté. Le but n'est pas de convertir comme on impose une religion ou une façon de penser ou encore de donner du porno aux enfants loin de là mais surtout de sensibiliser, d'informer (le nombre de gens peu informés et bourrés de fausses croyances est quand même assez élevé) et d'être dans la prévention. Et c'est important d'en parler, si ça peut permettre à des enfants d'être écoutés surtout si il y a des réelles souffrances. 

"Oui, il y a des personnes qui naissent avec des chromosomes différents de la norme"

Ne confondons pas les ambiguïtés sexuelles (genre syndrome de Klinefelter ou autres) avec des chromosomes qui vous feraient renier votre sexe de naissance avec 'l'impression' de n'avoir pas le sexe qu'il faudrait pour s'épanouir dans son corps et sa tête. On n'a jamais autant parlé d'identité de genre, enfin dans nos sociétés occidentales américano-européennes qui aiment se déconstruire), on se crée des dysphories de genre dans nos sociétés déjantées croyant 'libérer' ces gens emprisonnés dans des corps qu'ils rejettent. Fort bien, pourquoi pas. 

Je sais par contre que ces gens qui sont très instables et perturbés dans l'immense majorité des cas vont rester instables et perturbés après leur 'guérison'. Les garçons manqués et les hommes maniérés d'antan étaient une forme d'expression d'une probable homosexualité, sexualité qui a toujours existé. Mais là, on franchit un cap qui est celui de tricher avec la nature et surtout avec soi-même. Mais je suis d'accord que les genres masculin et féminin (je ne parle pas des rares anomalies des organes génitaux) sont parfois difficiles à vivre ou à accepter, mais je ne suis pas certain que de tenter de passer 'de l'autre côté' sur plan identitaire soit la solution à ce mal-être. Sujet difficile dont les médias se sont emparés gloutonnement en présentant les transitions comme 'la' solution ... Nous voyons en médecine les résultats de ces transitions, tout n'est pas si simple qu'on le dit dans les milieux non spécialisés qui ne voient pas les résultats mais seulement le fait qu'il pourrait s'agir d'un progrès. 

Modifié par Saturne06
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