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Pourquoi on ne fait rien contre le dérèglement climatique.

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Gouderien

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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 594 messages
32ans‚ Troll Rural,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Gouderien a dit :

Ce n'est sûrement pas en rasant la forêt amazonienne qu'ils monteront en niveau de vie. En plus, ce sont des mauvaises terres - d'où l'obligation de continuer en permanence à défricher. 

Les énergies renouvelables sont une cause importante de déforestation , le Brésil et un des pays qui qui les a le plus développées

Plus on veut un niveau de vie élevé plus on a besoin de ressources et donc d'impacter l'environnement, les pays européens sont mal placer pour faire la leçon vu l'impact que l'on a sur l'environnement

 

 

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 707 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 24 minutes, doug1991 a dit :

Les énergies renouvelables sont une cause importante de déforestation , le Brésil et un des pays qui qui les a le plus développées

Plus on veut un niveau de vie élevé plus on a besoin de ressources et donc d'impacter l'environnement, les pays européens sont mal placer pour faire la leçon vu l'impact que l'on a sur l'environnement

 

 

Excuses à la con.

Le bilan de Bolsonaro, d'après la Wikipédia :

 

Sécurité et dictature[modifier | modifier le code]

Mettant l’accent sur l’importance de la sécurité publique, il se montre, avant son élection, partisan de la majorité pénale à 16 ans, du port d'armes, de la peine de mort et de l'utilisation de la torture contre les trafiquants de drogue163,164,165. En 2008, pour réduire la criminalité et la pauvreté, il se prononce pour un contrôle des naissances au moyen de la stérilisation forcée des individus pauvres n’ayant pas reçu d'éducation et des criminels166. Il exprime régulièrement sa nostalgie pour la dictature militaire, qualifiant le coup d’État de 1964 de « révolution démocratique »167. Il déclare dans un entretien radiophonique que l'« erreur de la dictature a été de torturer au lieu de tuer »168. Il proclame également son admiration pour le dictateur chilien Augusto Pinochet25. Lors de la campagne présidentielle de 2018, il affirme que son objectif est de faire que le Brésil « ressemble à ce qu'il était il y a 40 ou 50 ans »169.

Le 21 octobre 2018, il déclare que s'il est élu président, il lancera une purge « comme jamais le Brésil n'en a connu ». Il dit que les dirigeants du Parti des travailleurs « devront tous pourrir en prison », et déclare, à propos des mouvements de gauche : « Ils vont devoir se soumettre à la loi comme tout le monde. Ou ils s'en vont, ou ils vont en prison. »170,171,172. Peu après sa prise de fonction, il promet de destituer les fonctionnaires qui auraient des idées « communistes »173.

Après son élection à la présidence du Brésil, il s'oppose au rétablissement de la peine de mort, considérant qu'il s'agit d'« une clause immuable de la Constitution »174. Il encourage l'armement massif des Brésiliens : les permis de possession d'une arme à feu ont augmenté de 474 % de 2018 à 2022162.

En août 2019, il laisse entendre que le père de Felipe Santa Cruz, président de l'ordre des avocats du Brésil, a été tué par un groupe de gauche auquel il appartenait et non par la junte175. En septembre de la même année, il fait l'éloge de la dictature d'Augusto Pinochet, et s'en prend à Alberto Bachelet, père de l'ancienne présidente chilienne Michelle Bachelet, qui venait de dénoncer un « rétrécissement de l'espace démocratique » au Brésil, en écrivant : « Elle oublie que le Chili n'est pas devenu un nouveau Cuba grâce à ceux qui ont eu le courage de renverser la gauche en 1973 ; parmi ces communistes, son père »176.

Questions sociétales[modifier | modifier le code]

Hostile à la laïcité, il est opposé à l'avortement177,178. Cependant, tout en niant vouloir contrôler les naissances, il appelle à la mise en place d'un planning familial179.

Il tient plusieurs fois des propos homophobesb,c,180 et s'oppose à l'union civile entre deux personnes de même sexe alors que le Conseil national de justice a légalisé le mariage homosexuel au Brésil163,181. Lors de la campagne présidentielle de 2018, il se défend de toute homophobied,182. Après son élection, il se prononce pour des peines plus lourdes pour les agressions homophobes183. En avril 2019, il déclare « craindre que [le Brésil devienne] un paradis du tourisme gay »184, puis réussit avec succès à faire retirer un spot publicitaire de la banque du Brésil où apparaissent des Noirs et des transgenres185. En juin de la même année, il critique une décision du Tribunal suprême fédéral ayant criminalisé l'homophobie, estimant qu'une telle question relève du pouvoir législatif et que cette décision conduira les employeurs à « réfléchir à deux fois » avant d'embaucher des personnes homosexuelles par crainte de poursuites186.

À plusieurs reprises, il tient des propos misogynes187. À la députée fédérale Maria do Rosário, qui venait de le traiter de violeur, il lance en 2003 qu'il ne pourrait pas la violer, car elle « ne le mérite pas », puis déclare en 2014 que c'est parce qu'elle est mauvaise et laide188,189,190,191. En juin 2019, la justice le contraint à lui présenter des excuses publiques, à payer une amende et à la dédommager192. En 2017, il déclare qu'il faut en « finir avec cette histoire de féminicide »193. Il prône le port d'armes pour les femmes, l'alourdissement des peines pour les violeurs et la mise en place de la castration chimique pour ceux-ci194.

Les chercheurs en genre Laura Barros et Manuel Santos écrivent : « La victoire surprenante de Bolsonaro à la présidentielle brésilienne s'explique en partie par la manière dont la crise économique a interagi avec les normes de genre en vigueur. Dans les régions où les hommes connaissent des licenciements plus nombreux, on constate une augmentation de la part des votes en faveur de Bolsonaro. En revanche, dans les régions où les femmes subissent davantage de suppressions d'emplois, ses résultats électoraux sont proportionnellement plus faibles. Cela peut s'expliquer par le fait que les hommes se sentent plus poussés à voter pour un personnage qui incarne les stéréotypes masculins de sorte à compenser la baisse du statut économique et social »195.

Il est aussi accusé de tenir à plusieurs reprises des propos racistese,f, notamment envers les peuples indigènes et les Noirs, qu'il ne souhaite pas voir bénéficier des quotas ethniques dans les universitésg,196,197,25,177,198. Il est également hostile aux revendications des paysans sans-terre, qualifiant ses membres de « terroristes »h,53,172.

Ses propos polémiques à l'égard des femmes, des homosexuels, des Noirs et des peuples indigènes lui valent des poursuites judiciaires en 2018199.

En juin 2019, en évoquant son propre passé de planteur de maïs et de cueilleur de bananes à l'âge de huit ans, tout en étudiant en parallèle, il déclare : « Quand un enfant âgé de neuf ou dix ans travaille quelque part, il y a plein de monde pour dénoncer le travail forcé ou le travail des enfants. Mais s'il est en train de fumer du crack, personne ne dit rien ». Il ajoute que « le travail donne de la dignité aux hommes et aux femmes, peu importe l'âge » et que l'affirmer n'est pas « de la démagogie » mais « la vérité ». Ses propos suscitent alors une polémique dans un pays où le travail des enfants est interdit avant 16 ans, sauf pour les apprentis, qui peuvent commencer dès l'âge de 14 ans200.

Politique internationale[modifier | modifier le code]

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Jair Bolsonaro avec le président américain Donald Trump (mars 2019).
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Jair Bolsonaro avec Benjamin Netanyahu au Mur des Lamentations (avril 2019).

En 1999, alors qu'il est membre du Parti progressiste (droite conservatrice), il déclare dans le journal Estadão de S.Paulo qu'Hugo Chávez est un « espoir pour l'Amérique latine » et qu'il « espère que sa philosophie arrivera au Brésil ». Interrogé sur le soutien de la gauche vénézuélienne à Chavez, il répond : « Je ne suis pas anticommuniste et lui non plus. En fait, il n'y a rien de plus proche du communisme que le milieu militaire »201,202. Il s’oppose par la suite à Chávez, qu’il qualifie de « dictateur », au même titre qu’Evo Morales ou Fidel Castro203. En 2020, il apporte son soutien à l’idée suggérée par Donald Trump d’une intervention au Venezuela pour destituer Nicolás Maduro101.

Il exprime son admiration pour le président américain Donald Trump147, à qui il rend visite pour son premier déplacement à l’étranger et sa première rencontre bilatérale comme président du Brésil204. Il souhaite obtenir des États-Unis le statut d’« allié majeur non membre de l’OTAN » qui permettrait l’achat de matériel et de technologie militaire américains, ainsi qu'une ouverture des marchés nord-américains à l’industrie brésilienne204. L'AFP remarque qu'il « s'est totalement aligné sur l'administration Trump depuis sa prise de fonctions »205.

Pro-Israël, il appelle au transfert à Jérusalem de l’ambassade brésilienne en Israël, et à la fermeture de l'ambassade de Palestine au Brésil206,207. L'universitaire Raphaël Gutmann relève en 2019 que cette prise de position, qui vise à séduire les évangéliques, n'a pas été mise en œuvre « sous la pression de l’agronégoce très actif dans les pays musulmans », et considère que « ce changement de cap illustre l’essence populiste du bolsonarisme »22. En avril 2019, il devient le premier chef d'État étranger à se rendre au Mur des Lamentations à Jérusalem en compagnie d'un Premier ministre israélien, en l'occurrence Benjamin Netanyahu, alors en campagne électorale205. Selon l'AFP, « il cherche à flatter son électorat évangélique, très attaché à Israël et qui a fortement contribué à sa victoire aux élections »205.

En juillet 2019, après que Jean-Yves Le Drian a rencontré des membres d'ONG environnementales, Jair Bolsonaro annule l'entretien prévu avec celui-ci208. Sa mauvaise relation avec Emmanuel Macron est avancée pour justifier cette décision209. En août-septembre 2019, s'ensuit une polémique entre les deux hommes, Jair Bolsonaro et deux de ses ministres, dénonçant une ingérence de Macron et critiquant la première dame Brigitte Macron210.

Environnement[modifier | modifier le code]

Affichant un déni du changement climatique, il se prononce pour le retrait du Brésil de l'accord de Paris sur le climat et pour la fusion du ministère de l'Environnement brésilien avec celui de l'Agriculture (qui promeut l'élevage et la culture industrielle du soja transgénique) ; il renonce finalement à cette fusion lors de la formation de son gouvernement211. Il veut aussi construire une autoroute traversant la forêt amazonienne. Il entend répondre au lobby agroalimentaire en ouvrant de nouveaux droits à la culture du soja et à l'élevage, et en ouvrant les territoires des communautés indigènes aux entreprises minières, tout en assouplissant les lois relatives à la protection de l'environnement. Il dit vouloir interdire des ONG écologistes212,213. En 2019, en réaction aux prises de positions de Jair Bolsonaro, les deux plus gros contributeurs au Fonds Amazonie, la Norvège et l'Allemagne, suspendent leurs subventions à ce fonds notamment destiné à étudier et à préserver la forêt214.

En juillet 2019, L'Express indique que « de tous les domaines où la politique du président d'extrême droite suscitait des inquiétudes — droits humains et sociaux, éducation, privatisations —, l'environnement apparaît celui où son action est la plus implacable »215. Huit anciens ministres brésiliens de l'Environnement (tous ceux encore en vie depuis la transition) se réunissent en mai 2019 à São Paulo afin de dénoncer le « démantèlement systématique, constant et délibéré des politiques environnementales »215. En août 2019, après avoir minimisé les chiffres de la déforestation, Jair Bolsonaro limoge Ricardo Galvao, directeur de l'Institut national de recherches spatiales, chargée de mesurer la déforestation de l'Amazonie, après avoir accusé celle-ci de publier des données « mensongères, au service des ONG »216.

En 2019, à un journaliste lui demandant comment combiner « croissance et préservation de l'environnement » avant de rappeler que « la population mondiale augmente de plus de 70 millions par an » ce qui justifie un planning familial, il répond de façon ironique : « Il suffit de manger un peu moins. Vous me parlez de pollution environnementale. Il suffit de faire caca un jour sur deux, ce sera mieux pour tout le monde217. »

Le 21 août 2019, alors que l'Institut national de recherches spatiales du Brésil (INPE) venait d'alerter sur le fait que la déforestation en juillet 2019 a été près de quatre fois plus importante qu'en juillet 2018 (bien que l'année soit moins sèche), et alors que des incendies la dévastent depuis des mois, Jair Bolsonaro insinue que les ONG environnementales sont responsables des feux de forêt et même qu'elles en auraient provoqué214. Le 23 août, il fait appel à l'armée pour éteindre ces incendies218. Dans le même temps, sa cote de popularité chute219.

En janvier 2021, le cacique Raoni Metuktire, défenseur emblématique de la forêt amazonienne, demande à la Cour pénale internationale d'enquêter pour « crimes contre l'humanité » contre Jair Bolsonaro, accusé de « persécuter » les peuples autochtones en détruisant leur habitat et en bafouant leurs droits fondamentaux220. En octobre 2021, l'ONG autrichienne AllRise dépose, elle aussi, une plainte à la CPI pour « crimes contre l'humanité » contre le président brésilien, mettant en cause son rôle dans la déforestation et ses impacts attendus sur la vie et la santé humaine à travers le monde105.

En octobre 2021, la Cour Pénale Internationale reçoit une nouvelle plainte visant le Président Bolsonaro. Émanant de l’ONG autrichienne AllRise [archive], elle pointe la responsabilité de Jair Bolsonaro dans la déforestation et ses répercussions sanitaires sur la planète 221. Des études attestent que la déforestation au Brésil (10 500 kilomètres carrés pendant le mandat de Jair Bolsonaro contre 6 500 kilomètres carrés entre 2009 et 2018) a fait de l’Amazonie, puits de carbone vital, un émetteur net de CO₂ en 2020. Les experts évaluent à 180 000 le nombre de décès supplémentaires dans le monde imputables à la déforestation sous le mandat de Jair Bolsonaro, d’ici la fin du XXIᵉ siècle.

Peuples autochtones[modifier | modifier le code]

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Jair Bolsonaro à la rencontre de dirigeants indigènes, en août 2021.

En novembre 2019, un collectif d’avocats et juristes brésiliens (parmi lesquels figurent deux anciens ministres de la Justice brésiliens José Carlos Dias et José Gregori, l’avocate française Amélie Robine…), dépose une plainte contre Jair Bolsonaro pour incitation au génocide des peuples indigènes devant la Cour Pénale Internationale (CPI) 222. D’après les juristes, le discours de Jair Bolsonaro  « sape l’application des lois qui protègent l’environnement et méprise les peuples indigènes, cause la violence contre ces peuples, et contre les militants des droits sociaux et environnementaux ». Parmi les accusations visant Jair Bolsonaro : tentative de démantèlement de la Fondation nationale de l’Indien (FUNAI), baisse des budgets du ministère de l’Environnement, licenciement des salariés des départements sociaux et environnementaux opposés à ces politiques de démantèlement… Selon le Collectif de défense des droits de l’Homme (Cadhu) [archive], le choix d’un procureur général aligné sur le programme anti-droits de Jair Bolsonaro et certaines des tentatives d’ingérence du président brésilien indiquent que les enquêtes liées à ces crimes ne figurent pas parmi les objectifs de Jair Bolsonaro.

En août 2021, c’est au tour de l'Articulaçao dos Povos Indígenas Brasil (Apib) [archive] d’accuser Jair Bolsonaro pour crime de génocide et écocide devant la Cour Pénale Internationale 223. Une première pour une représentation de peuples indigènes avec à sa tête, l’avocat Luiz Henrique Eloy Amado [archive], originaire du peuple Terena. D’après l’avocat, Jair Bolsonaro a mené une politique « anti-indigène explicite, systématique et intentionnelle » qui a transformé « des organismes publics et des politiques auparavant dédiés à la protection des peuples indigènes en outils de persécution » de cette minorité dans l'intention de « créer une nation sans peuple indigène ».

Culture[modifier | modifier le code]

En mars 2018, il propose, en cas de victoire à la présidentielle, de nommer comme ministre de la Culture l'ancien acteur Alexandre Frota (pt)224. Il indique ensuite vouloir supprimer le ministère de la Culture225 ; cette suppression était déjà envisagée en 2016 par le gouvernement Temer226.

En conflit avec les médias, qu'il accuse de le calomnier, il signe un décret dispensant provisoirement les entreprises de publier leurs résultats sur les pages des journaux227.

Nazisme et Shoah[modifier | modifier le code]

En avril 2019, il suscite deux polémiques en affirmant que le nazisme est de gauche, puisqu’il peut « pardonner » sans oublier la Shoah228.

Modifié par Gouderien
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Membre, Troll Rural, 32ans Posté(e)
doug1991 Membre 6 594 messages
32ans‚ Troll Rural,
Posté(e)

Je ne vois pas le rapport

Cette obsession du Brésil sur l'environnent est purement idéologique la déforestation concerne tous les continents, surtout que c'est loin d'être le pire pays au monde même avec Bosolnaro

 

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