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ALSTOM, le bon plan.


PASCOU

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Membre, 107ans Posté(e)
LAKLAS Membre 15 013 messages
Maitre des forums‚ 107ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

 

Hallucinant.... !! Quand des guignols veulent jouer aux américains ce sont les contribuables Français qui sont pris pour des cons. 🤫

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, LAKLAS a dit :

Hallucinant.... !! Quand des guignols veulent jouer aux américains ce sont les contribuables Français qui sont pris pour des cons. 🤫

Et les mensonges...

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 258 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

Je n’ai pas compris d’où sort le prix de 1milliards deux cent millions de dollars pour le rachat d’arabelle .

https://amp.ouest-france.fr/environnement/nucleaire/nucleaire-edf-annonce-qu-il-va-racheter-les-turbines-arabelle-de-general-electric-steam-power-20618942-8a4e-11ec-b1a4-b42f8ae3c7af
 

Selon une source proche du dossier, EDF va débourser environ 200 millions de dollars pour cette transaction, une fois pris en compte les liquidités et dettes de l’activité rachetée. L’activité qui sera acquise par EDF est valorisée au total 1,2 milliard de dollars, du fait d’une trésorerie importante.

========
N’y a-t-il pas une confusion ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 35 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je n’ai pas compris d’où sort le prix de 1milliards deux cent millions de dollars pour le rachat d’arabelle .

https://amp.ouest-france.fr/environnement/nucleaire/nucleaire-edf-annonce-qu-il-va-racheter-les-turbines-arabelle-de-general-electric-steam-power-20618942-8a4e-11ec-b1a4-b42f8ae3c7af
 

Selon une source proche du dossier, EDF va débourser environ 200 millions de dollars pour cette transaction, une fois pris en compte les liquidités et dettes de l’activité rachetée. L’activité qui sera acquise par EDF est valorisée au total 1,2 milliard de dollars, du fait d’une trésorerie importante.

========
N’y a-t-il pas une confusion ?

Possible, je vérifierai mais je dois réécouter , déjà  pour vérifier  d' autres points.

Comme si c'est  bien macron qui a signé  la vente comme ministre etc.

 

 

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 258 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 36 minutes, PASCOU a dit :

Possible, je vérifierai mais je dois réécouter , déjà  pour vérifier  d' autres points.

Vérifiez il est question de débourser un milliards deux cents millions dans cette vidéo que vous nous proposez, là où EDF indique devoir débourser 200 millions . 
Encore des mensonges pour citer Pascou ?

Apres pour reprendre l’animateur ce ne sont peut être pas des mozarts de la finance ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Vérifiez il est question de débourser un milliards deux cents millions dans cette vidéo que vous nous proposez, là où EDF indique devoir débourser 200 millions . 
Encore des mensonges pour citer Pascou ?

Apres pour reprendre l’animateur ce ne sont peut être pas des mozarts de la finance ?

Je viens de dire que Je regarderai,  mais moi je parlais du fait que macron dit que le gouvernement  ne pouvait pas s' immiscer dans cette transaction et aussi qu' il n' était  pas au courant lui ou ses équivalents. 

Ce que conteste la vidéo. 

Donc je vérifierai si mensonges il y a mais ce ne serait pas le premier de: je suis socialiste, je ne suis pas socialiste  etc...

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 258 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Je viens de dire que Je regarderai,  mais moi je parlais du fait que macron dit que le gouvernement  ne pouvait pas s' immiscer dans cette transaction et aussi qu' il n' était  pas au courant lui ou ses équivalents. 

Ce que conteste la vidéo. 
 

Vidéo qui affirme que 1.2 milliards d’euros aurait été déboursé quand EDF dit devoir débourser 200 millions 

Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Donc je vérifierai si mensonges il y a mais ce ne serait pas le premier de: je suis socialiste, je ne suis pas socialiste  etc...

Du coup vérifier si EDF a bien dépensé 1.2 milliards sinon il faudra conclure que la vidéo est mensongère ?

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Membre, Posté(e)
garthriter Membre 6 878 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, DroitDeRéponse a dit :

Selon une source proche du dossier, EDF va débourser environ 200 millions de dollars pour cette transaction, une fois pris en compte les liquidités et dettes de l’activité rachetée. L’activité qui sera acquise par EDF est valorisée au total 1,2 milliard de dollars, du fait d’une trésorerie importante.

========
N’y a-t-il pas une confusion ?

C'est surtout très mal formulé...

Citation

Mais dans les faits, EDF renonce à mettre la main sur les 900 millions d'euros de pré-commandes qui sont déjà inscrites dans les comptes de l'ex-GE Steam Power.... "On fait un beau cadeau à GE", juge un proche du dossier.  

Et moi je suis étonné du prix...pourquoi GE nous le vendrait que "200 millions" de dollars ? Alors qu'on en a un besoin vital et que vraisemblablement l'activité engrange pas mal de commandes ? Et qu'en est-il des brevets ?

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Pierrot89 Membre 9 438 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

Je viens de dire que Je regarderai,  mais moi je parlais du fait que macron dit que le gouvernement  ne pouvait pas s' immiscer dans cette transaction et aussi qu' il n' était  pas au courant lui ou ses équivalents. 

Ce que conteste la vidéo. 

Donc je vérifierai si mensonges il y a mais ce ne serait pas le premier de: je suis socialiste, je ne suis pas socialiste  etc...

Il ne faut pas oublier que Alstom était une société privé dont l'état n'était pas aux commandes.

L'affaire d'un contrat raté l'Alstom en Indonésie a déclenché l'affaire car le cadre Alstom a été emprisonné plusieurs années et la société menacé de perdre toutes possibilité de commercialisation aux USA.

D'où l'obligation de vendre Alstom à GE.

 

C'est une affaire très complexe où la perversité américaine a été immense.

 

Le gouvernement français n'avait aucune possibilité sauf à vendre à Siemens tel que l'a proposé le ministre du développement industrielle. Mais Siemens n'a pas accepté de créer une grande société européenne leader dans le nucléaire et le gaz avec EDF, engie, Areva/orano.

Dommage, mais c'est ainsi que marche le capitalisme libéral.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

La liste de ceux qui ont croqué dans la vente d'Alstom à General Electric

Info Marianne

Par Étienne Girard

Publié le 27/09/2019 à 11:00

Des sociétés ont empoché plus de 100 millions d'euros dans la vente d'Alstom Energie à General Electric en 2015. La plainte d'Olivier Marleix évoquant un possible "pacte de corruption" pour avoir remarqué des similitudes dans la liste de dîners de levée de fonds d'En marche et des personnes intéressés dans la vente a été saisie par le PNF.

La scène se déroule à l'Assemblée nationale, fin 2017, loin des caméras. Arnaud Montebourg livre aux députés de la commission d'enquête sur la vente d'Alstom, réunis à huis clos, son sentiment sur le deal entre le fleuron français et le géant américain General Electric. « Tout Paris avait été loué », lâche l'ancien ministre de l’Économie. Si cette opération a déstabilisé l'entreprise leader de la vente de turbines à gaz, au point qu'un plan menace aujourd'hui de supprimer près de 800 emplois à Belfort, une poignée d'intermédiaires ont bel et bien profité de cette vente pour décrocher le gros lot. Il découle de documents exclusifs auxquels Marianne a eu accès qu'une quinzaine de grandes entreprises, conseillères d'Alstom, se sont partagé la bagatelle... de 105 millions d'euros.

 
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courrier-Alstom.jpg

Les chiffres ne concernent pas GE, mais Patrick Kron, l'ex-PDG d'Alstom, n'envisage pas qu'ils soient inférieurs. « Étant donné le nombre d'avocats que nous avions face à nous, sauf à avoir très bien négocié avec eux, ils ont payé encore plus cher », a-t-il déclaré devant la commission d'enquête, en avril 2018. Ces sommes-là ont, en tout cas, permis de s'attirer la bienveillance et la diligence d'une partie des réseaux de pouvoir parisiens.

Sur l'insistance de la commission d'enquête, Alstom s'est résolu à détailler ses dépenses liées à la transaction avec GE. Dans un courrier du 11 avril 2018 resté confidentiel, son PDG, Henri Poupart-Lafarge, livre le montant exact des « coûts directement liés à la transaction » avec GE. Ils s'élèvent à 262 millions d'euros, dont 97 de frais « fiscaux ». Restent 60 millions de coûts divers et, surtout, 105 millions d'euros de frais de « conseils et banques ».

AVOCATS ET BANQUIERS

Le premier prestataire d'Alstom dans ce dossier est un cabinet d'avocats américano-britannique, Hogan Lovells qui touche 21 millions d'euros. Les banquiers suivent de près, puisque le deuxième bénéficiaire se nomme Rothschild qui empoche 12 millions d'euros, tandis que Bank Of America en a obtenu 10. Cette dernière se signalera en embauchant en juillet 2014, soit en pleines négociations, David Azéma, directeur général de l'Agence des participations de l’État, chargée d'étudier l'entrée de la puissance publique au capital... d'Alstom. Le cabinet de droit des affaires Weil, Gotshal et Manges (9 millions) et les consultants du Boston Consulting Group (5 millions) complètent ce top 5 des plus gros bénéficiaires.

A noter que d'autres entreprises, dont le profit n'est pas détaillé dans ce courrier, ont participé aux négociations. Dans une précédente missive, datée du 12 février 2018, à laquelle nous avons eu accès, Alstom cite ainsi les toujours influents DGM et Publicis, dans la catégorie « structures de lobbying et de communication » . Du côté de GE « on comptait trois banques conseils (Lazard, Crédit suisse et Bank Of America), l'agence de communication Havas et de nombreux cabinets d'avocats », apprend-on dans le rapport de la commission d'enquête. Le président de cette dernière, Olivier Marleix (LR), a saisi le parquet de Paris en janvier dernier. 

La suite.

 

https://www.marianne.net/economie/la-liste-de-ceux-qui-ont-croque-dans-la-vente-d-alstom-general-electric

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Pourquoi la vente controversée d’Alstom à General Electric fait à nouveau parler d’elle....

.....

En 2014, la branche énergie du groupe Alstom est rachetée par l’américain General Electric. Cinq ans plus tard, cette cession continue

En 2014, la branche énergie du groupe Alstom est rachetée par l’américain General Electric. Cinq ans plus tard, cette cession continue de faire couler beaucoup d’encre. Le parquet national financier, notamment, a récemment indiqué s’être saisi de l’affaire après qu’un député a émis des soupçons quant à un potentiel «pacte de corruption» impliquant Emmanuel Macron.

Par Claudia Cohen

.

https://www.lefigaro.fr/societes/pourquoi-la-vente-controversee-d-alstom-a-general-electric-fait-a-nouveau-parler-d-elle-20190724

Rachat du nucléaire de General Electric par EDF : à Belfort, Macron face à ses décisions sur Alstom

En déplacement à Belfort, le président acte ce jeudi le rachat par EDF de la branche énergie de l’américain General Electric. Elle avait été achetée à Alstom en 2014... alors qu’il était ministre de

https://www.leparisien.fr/politique/rachat-du-nucleaire-de-general-electric-par-edf-a-belfort-macron-face-a-ses-decisions-sur-alstom-09-02-2022-WEZPFFWZXBH3ZJ7FHTYTEDSI4Q.php

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Quand macron dit que c'était  in vente privée,  cest vrai mais il oublie volontairement  un détail qui a son importance. 

Vente d'Alstom : l'Etat "protège les intérêts stratégiques de la France", défend Sapin

https://www.europe1.fr/economie/Vente-d-Alstom-l-Etat-protege-les-interets-strategiques-de-la-France-defend-Sapin-854272

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, Pierrot89 a dit :

Il ne faut pas oublier que Alstom était une société privé dont l'état n'était pas aux commandes.

L'affaire d'un contrat raté l'Alstom en Indonésie a déclenché l'affaire car le cadre Alstom a été emprisonné plusieurs années et la société menacé de perdre toutes possibilité de commercialisation aux USA.

D'où l'obligation de vendre Alstom à GE.

 

C'est une affaire très complexe où la perversité américaine a été immense.

 

Le gouvernement français n'avait aucune possibilité sauf à vendre à Siemens tel que l'a proposé le ministre du développement industrielle. Mais Siemens n'a pas accepté de créer une grande société européenne leader dans le nucléaire et le gaz avec EDF, engie, Areva/orano.

Dommage, mais c'est ainsi que marche le capitalisme libéral.

Rachat des turbines de GE par EDF : "La faute avouée ne sera pas totalement pardonnée", dénonce le député LR Olivier Marleix

Selon le député LR, la vente de la filière activités nucléaires à General Electric était une "mauvaise décision".

Il y a 12 heures, DroitDeRéponse a dit :

Vérifiez il est question de débourser un milliards deux cents millions dans cette vidéo que vous nous proposez, là où EDF indique devoir débourser 200 millions . 
Encore des mensonges pour citer Pascou ?

Apres pour reprendre l’animateur ce ne sont peut être pas des mozarts de la finance ?

Il veut faire croire qu'il n' a aucune responsabilité mais...

Olivier Marleix : On corrige le tir mais à quelles conditions ? Emmanuel Macron a reconnu la lourde erreur qu'il avait commise en signant cette vente en tant que ministre de l'Économie.

puis il n' a pas utilisé  le décret  cité  pouvant interdire la vente et ment sur le sujet. 

lire.

La France n'était plus capable d'entretenir elle-même ses centrales nucléaires. Elle était sortie du club des pays capables de construire seuls des centrales nucléaires. Ces turbines équipent aussi nos sous-marins à propulsion nucléaire ou notre porte-avion donc, oui, c'était une perte de souveraineté énorme et une faute grave d'avoir laissé ce deal se faire sans plus de précaution.

...ce n'est  plus une erreur c'est  brader notre souveraineté de façon  volontaire non?

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

C'est l'état de choc complet" : arrestation par le FBI, détention dans une prison de haute sécurité… un ex-cadre victime collatérale de la vente d'Alstom raconte sa descente aux enfers dans "Affaires sensibles"

https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/rachat-d-alstom/video-un-ex-cadre-victime-collaterale-de-la-vente-d-alstom-raconte-sa-descente-aux-enfers-dans-affaires-sensibles_4821183.html

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 258 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 10 heures, garthriter a dit :

C'est surtout très mal formulé...

Et moi je suis étonné du prix...pourquoi GE nous le vendrait que "200 millions" de dollars ? Alors qu'on en a un besoin vital et que vraisemblablement l'activité engrange pas mal de commandes ? Et qu'en est-il des brevets ?

Étonnez vous de ce que vous voulez mais je suis étonné qu’il faille plus croire Sud radio qu’EDF quant à ce qu’il va falloir débourser .

Le besoin vital reste à prouver nous nous sommes passés pendant des annees d’arabelle sous pavillon français , par contre GE a un besoin vital de cash ça c’est sûr …. Et pour avoir du cash il faut un acheteur , qui s’est porté acquéreur à plus qu’EDF ?

il y a 53 minutes, PASCOU a dit :

La France n'était plus capable d'entretenir elle-même ses centrales nucléaires.

cet argument est vraiment à la petite semaine puisque la France n’est pas capable de faire tourner elle même les centrales nucléaires puisqu’elle ne produit pas d’uranium .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Étonnez vous de ce que vous voulez mais je suis étonné qu’il faille plus croire Sud radio qu’EDF quant à ce qu’il va falloir débourser .

Le besoin vital reste à prouver nous nous sommes passés pendant des annees d’arabelle sous pavillon français , par contre GE a un besoin vital de cash ça c’est sûr …. Et pour avoir du cash il faut un acheteur , qui s’est porté acquéreur à plus qu’EDF ?

cet argument est vraiment à la petite semaine puisque la France n’est pas capable de faire tourner elle même les centrales nucléaires puisqu’elle ne produit pas d’uranium .

Ah! La belle pirouette comme toujours.

 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 294 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)

Revenons a la genèse de l'affaire !

"Affaires sensibles". Quand le scandale Alstom éclate, le 23 avril 2014

Publié le 22/10/2021 16:15 Mis à jour le 22/10/2021 16:15
 
".....

Le 23 avril 2014, Patrick Kron se trouve à Chicago. Le PDG d'Alstom est en train de régler, avec Jeffrey Immelt, le patron de General Electric, les derniers détails d'une vente controversée. Un projet dont Bercy n'a pas été informé... Le gouvernement de Manuel Valls ignore tout des contacts secrets qui ont lieu depuis plusieurs mois à l'initiative du PDG, en vue d'une cession à son rival américain de la branche énergie d'Alstom – qui représente les deux tiers du groupe et une activité stratégique, puisqu'il s'agit de la fabrication des turbines qui équipent les centrales électriques et nucléaires.

Un fleuron national, vendu aux Américains… mais quelle mouche a donc piqué Patrick Kron ? C'est qu'Alstom est en difficulté suite à la crise économique des années 2010, et mal armée pour la transition vers les énergies renouvelables. D'où le projet du PDG de l'entreprise qui construit le TGV : abandonner la branche énergie pour se concentrer sur les transports. Patrick Kron assure que son silence servait à protéger Alstom de possibles fuites...

Mais la "fuite" finit par se produire… et l'affaire Alstom éclate. Mêlant politique et intérêts économiques, elle va voir s'affronter deux hommes : Patrick Kron et Arnaud Montebourg, alors ministre de l'Economie, du Redressement productif et du Numérique (lors de son interview pour "Affaires sensibles", il n'avait pas encore annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2022). Les journalistes ont recueilli leurs deux versions...

....

Un scoop de l'agence Bloomberg qui fait l'effet d'une bombe

Ce même 23 avril 2014, les bandeaux des chaînes d'information américaines affichent ce scoop de l'agence Bloomberg : General Electric serait sur le point d'acheter Alstom pour environ 13 milliards de dollars. De l'autre côté de l'Atlantique, la dépêche arrive sur le portable d'Arnaud Montebourg vers 6 heures du matin. Le sang du ministre ne fait qu'un tour…

D'abord "incrédule", raconte-t-il dans cet extrait, il joint son directeur de cabinet pour organiser l'accueil de Patrick Kron dès son atterrissage au Bourget : "Vous m'envoyez les motards de la gendarmerie qui m'escortent habituellement, vous allez le chercher, vous me le ramenez par la peau du dos, et on va s'expliquer." Ce que dément l'intéressé, qui assure s'être rendu de lui-même à Bercy... après avoir découvert sur son téléphone "12 messages de M. Montebourg et de son cabinet".

Arnaud Montebourg relate une entrevue glaciale, offrant "le café du condamné" à celui dont "la duplicité était éclatante". Selon son récit, le PDG d'Alstom lui aurait dit "Si vous ne me suivez pas, je fais un plan social de 5 000 personnes", ce à quoi il aurait répondu que "le gouvernement est insensible à toute forme de menace". De son côté, Patrick Kron reconnaît avoir prévu "un plan qui se serait traduit par de nombreuses suppressions d'emploi – pas comme menace, mais comme réalité industrielle".

Quelques jours plus tard, en direct de l'Assemblée nationale, Arnaud Montebourg livre l'un des coups de gueule dont il a le secret. "M. Patrick Kron, alors que je l'ai interrogé dûment, solennellement et sérieusement, m'a toujours dit qu'il n'avait aucun projet d'alliance. Est-ce que le ministre de l'Economie doit aller installer un détecteur de mensonge dans son bureau, pour les présidents du CAC 40 qui n'ont pas le civisme élémentaire d'avertir leur gouvernement ?" tonne-t-il dans l'Hémicycle. L'affaire Alstom n'a pas fini de faire des remous... 

Extrait de "Affaire Alstom : la guerre secrète", une enquête de Sylvain Pak et Gaël Hubert à voir le 21 octobre 2021 dans "Affaires sensibles", magazine présenté par Fabrice Drouelle et coproduit par France Télévisions, France Inter et l’INA d'après l'émission originale de France Inter.

> Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile (iOS & Android),

rubrique "Magazines".

https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/alstom/video-affaires-sensibles-quand-le-scandale-alstom-eclate-le-23-avril-2014_4813755.html

Et comment on refait l'Histoire ...... Cynisme quand tu nous tiens !!!

.......

"Emmanuel Macron s’est longuement justifié ce jeudi 10 février 2022 au sujet de la vente en 2015 à l’américain General Electric de l’usine d’Alstom à Belfort produisant des turbines équipant les centrales nucléaires, évoquant aussi « le choix d’une entreprise privée ».

Alors que ce site stratégique va retrouver le pavillon français, avec le rachat par EDF officialisé jeudi, le chef de l’État est revenu devant des salariés de l’usine sur les conditions qui ont présidé à la cession des activités, enclenchée quand Emmanuel Macron était secrétaire général adjoint de l’Élysée (2012-2014) et parachevée lorsqu’il était ministre de l’Économie (2014-2016).

« Ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom »

« J’étais collaborateur (de François Hollande) à l’époque », a rappelé le président, « et ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom ».

« Compte tenu de son histoire, sa structure capitalistique, son emprise, l’État avait à en connaître, y compris aussi parce qu’il peut bloquer certains types d’investissements (jugés comme stratégiques). Mais d’abord, c’était le choix d’une entreprise privée », a martelé Emmanuel Macron.

Soulignant que le ministre de l’Économie de l’époque, Arnaud Montebourg, avait été mis au courant de la transaction « très tard », alors que « les documents étaient signés », M. Macron a insisté sur la volonté du gouvernement d’alors de trouver des « alternatives », sans succès.

Une opération qui s’est faite « avec une certaine amertume »

« À la fin des fins, malgré tout cela, avec une certaine amertume, l’opération s’est faite », a-t-il relevé.

« Quand je suis venu quand j’étais ministre », en 2015, « ce n’était pas une période facile », a encore fait valoir M. Macron. « C’était ça ou l’arrêt. J’ai défendu que c’était mieux que la suppression complète des activités ou le choix de désinvestir. C’est la vie industrielle », a-t-il poursuivi.

Une manière de sauver Alstom

Le chef de l’État a aussi argué que la vente de la branche énergie avait « évité » à Alstom « de s’effondrer », et avait même permis au groupe de « devenir un grand champion du transport ».

 

« Cette aventure n’aurait pas été possible s’il n’y avait pas eu à ce moment-là ce qui était quasiment un sauvetage », a mis en avant Emmanuel Macron, affirmant que « la viabilité » du groupe français était à l’époque mise en péril."..... ..... Bin voyons c'était une oeuvre de bienfaisance ... et les mises a pied des employés juste une amertume ???

https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/emmanuel-macron-se-justifie-sur-la-vente-des-turbines-d-alstom-a-general-electric-en-2015-4ffe5a88-8a83-11ec-ae31-1f5ffe08b8d2

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 91 258 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

Ah! La belle pirouette comme toujours.

 

La pirouette ne serait-elle pas du côté du gars qui doit vérifier que EDF doit débourser 200 millions et non pas 1.2 milliards contrairement à ce qu’affirme sa radio de Mozart de la finance ?

il y a une heure, ouest35 a dit :

Revenons a la genèse de l'affaire !

"Affaires sensibles". Quand le scandale Alstom éclate, le 23 avril 2014

Publié le 22/10/2021 16:15 Mis à jour le 22/10/2021 16:15
 
".....

Le 23 avril 2014, Patrick Kron se trouve à Chicago. Le PDG d'Alstom est en train de régler, avec Jeffrey Immelt, le patron de General Electric, les derniers détails d'une vente controversée. Un projet dont Bercy n'a pas été informé... Le gouvernement de Manuel Valls ignore tout des contacts secrets qui ont lieu depuis plusieurs mois à l'initiative du PDG, en vue d'une cession à son rival américain de la branche énergie d'Alstom – qui représente les deux tiers du groupe et une activité stratégique, puisqu'il s'agit de la fabrication des turbines qui équipent les centrales électriques et nucléaires.

Un fleuron national, vendu aux Américains… mais quelle mouche a donc piqué Patrick Kron ? C'est qu'Alstom est en difficulté suite à la crise économique des années 2010, et mal armée pour la transition vers les énergies renouvelables. D'où le projet du PDG de l'entreprise qui construit le TGV : abandonner la branche énergie pour se concentrer sur les transports. Patrick Kron assure que son silence servait à protéger Alstom de possibles fuites...

Mais la "fuite" finit par se produire… et l'affaire Alstom éclate. Mêlant politique et intérêts économiques, elle va voir s'affronter deux hommes : Patrick Kron et Arnaud Montebourg, alors ministre de l'Economie, du Redressement productif et du Numérique (lors de son interview pour "Affaires sensibles", il n'avait pas encore annoncé sa candidature à l'élection présidentielle de 2022). Les journalistes ont recueilli leurs deux versions...

....

Un scoop de l'agence Bloomberg qui fait l'effet d'une bombe

Ce même 23 avril 2014, les bandeaux des chaînes d'information américaines affichent ce scoop de l'agence Bloomberg : General Electric serait sur le point d'acheter Alstom pour environ 13 milliards de dollars. De l'autre côté de l'Atlantique, la dépêche arrive sur le portable d'Arnaud Montebourg vers 6 heures du matin. Le sang du ministre ne fait qu'un tour…

D'abord "incrédule", raconte-t-il dans cet extrait, il joint son directeur de cabinet pour organiser l'accueil de Patrick Kron dès son atterrissage au Bourget : "Vous m'envoyez les motards de la gendarmerie qui m'escortent habituellement, vous allez le chercher, vous me le ramenez par la peau du dos, et on va s'expliquer." Ce que dément l'intéressé, qui assure s'être rendu de lui-même à Bercy... après avoir découvert sur son téléphone "12 messages de M. Montebourg et de son cabinet".

Arnaud Montebourg relate une entrevue glaciale, offrant "le café du condamné" à celui dont "la duplicité était éclatante". Selon son récit, le PDG d'Alstom lui aurait dit "Si vous ne me suivez pas, je fais un plan social de 5 000 personnes", ce à quoi il aurait répondu que "le gouvernement est insensible à toute forme de menace". De son côté, Patrick Kron reconnaît avoir prévu "un plan qui se serait traduit par de nombreuses suppressions d'emploi – pas comme menace, mais comme réalité industrielle".

Quelques jours plus tard, en direct de l'Assemblée nationale, Arnaud Montebourg livre l'un des coups de gueule dont il a le secret. "M. Patrick Kron, alors que je l'ai interrogé dûment, solennellement et sérieusement, m'a toujours dit qu'il n'avait aucun projet d'alliance. Est-ce que le ministre de l'Economie doit aller installer un détecteur de mensonge dans son bureau, pour les présidents du CAC 40 qui n'ont pas le civisme élémentaire d'avertir leur gouvernement ?" tonne-t-il dans l'Hémicycle. L'affaire Alstom n'a pas fini de faire des remous... 

Extrait de "Affaire Alstom : la guerre secrète", une enquête de Sylvain Pak et Gaël Hubert à voir le 21 octobre 2021 dans "Affaires sensibles", magazine présenté par Fabrice Drouelle et coproduit par France Télévisions, France Inter et l’INA d'après l'émission originale de France Inter.

> Les replays des magazines d'info de France Télévisions sont disponibles sur le site de Franceinfo et son application mobile (iOS & Android),

rubrique "Magazines".

https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/alstom/video-affaires-sensibles-quand-le-scandale-alstom-eclate-le-23-avril-2014_4813755.html

Et comment on refait l'Histoire ...... Cynisme quand tu nous tiens !!!

.......

"Emmanuel Macron s’est longuement justifié ce jeudi 10 février 2022 au sujet de la vente en 2015 à l’américain General Electric de l’usine d’Alstom à Belfort produisant des turbines équipant les centrales nucléaires, évoquant aussi « le choix d’une entreprise privée ».

Alors que ce site stratégique va retrouver le pavillon français, avec le rachat par EDF officialisé jeudi, le chef de l’État est revenu devant des salariés de l’usine sur les conditions qui ont présidé à la cession des activités, enclenchée quand Emmanuel Macron était secrétaire général adjoint de l’Élysée (2012-2014) et parachevée lorsqu’il était ministre de l’Économie (2014-2016).

« Ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom »

« J’étais collaborateur (de François Hollande) à l’époque », a rappelé le président, « et ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom ».

« Compte tenu de son histoire, sa structure capitalistique, son emprise, l’État avait à en connaître, y compris aussi parce qu’il peut bloquer certains types d’investissements (jugés comme stratégiques). Mais d’abord, c’était le choix d’une entreprise privée », a martelé Emmanuel Macron.

Soulignant que le ministre de l’Économie de l’époque, Arnaud Montebourg, avait été mis au courant de la transaction « très tard », alors que « les documents étaient signés », M. Macron a insisté sur la volonté du gouvernement d’alors de trouver des « alternatives », sans succès.

Une opération qui s’est faite « avec une certaine amertume »

« À la fin des fins, malgré tout cela, avec une certaine amertume, l’opération s’est faite », a-t-il relevé.

« Quand je suis venu quand j’étais ministre », en 2015, « ce n’était pas une période facile », a encore fait valoir M. Macron. « C’était ça ou l’arrêt. J’ai défendu que c’était mieux que la suppression complète des activités ou le choix de désinvestir. C’est la vie industrielle », a-t-il poursuivi.

Une manière de sauver Alstom

Le chef de l’État a aussi argué que la vente de la branche énergie avait « évité » à Alstom « de s’effondrer », et avait même permis au groupe de « devenir un grand champion du transport ».

 

« Cette aventure n’aurait pas été possible s’il n’y avait pas eu à ce moment-là ce qui était quasiment un sauvetage », a mis en avant Emmanuel Macron, affirmant que « la viabilité » du groupe français était à l’époque mise en péril."..... ..... Bin voyons c'était une oeuvre de bienfaisance ... et les mises a pied des employés juste une amertume ???

https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/emmanuel-macron-se-justifie-sur-la-vente-des-turbines-d-alstom-a-general-electric-en-2015-4ffe5a88-8a83-11ec-ae31-1f5ffe08b8d2

 

A l’époque Alstom n’était effectivement pas en mesure de payer ses employés bien longtemps sans cash , à tél point que Monsieur Montebourg je crois avait prévu de faire rouler des TGVs sur des rames RER . Ceci étant ils ne sont pas sortis du bois , avec les engagements EPR d’EDF notamment en UK ,et le refus qui gouvernement qu’EDF augmente le prix de l’électricité, il va manquer du cash à l’appel .

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Pierrot89 Membre 9 438 messages
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Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

La liste de ceux qui ont croqué dans la vente d'Alstom à General Electric

Info Marianne

Par Étienne Girard

Publié le 27/09/2019 à 11:00

Des sociétés ont empoché plus de 100 millions d'euros dans la vente d'Alstom Energie à General Electric en 2015. La plainte d'Olivier Marleix évoquant un possible "pacte de corruption" pour avoir remarqué des similitudes dans la liste de dîners de levée de fonds d'En marche et des personnes intéressés dans la vente a été saisie par le PNF.

La scène se déroule à l'Assemblée nationale, fin 2017, loin des caméras. Arnaud Montebourg livre aux députés de la commission d'enquête sur la vente d'Alstom, réunis à huis clos, son sentiment sur le deal entre le fleuron français et le géant américain General Electric. « Tout Paris avait été loué », lâche l'ancien ministre de l’Économie. Si cette opération a déstabilisé l'entreprise leader de la vente de turbines à gaz, au point qu'un plan menace aujourd'hui de supprimer près de 800 emplois à Belfort, une poignée d'intermédiaires ont bel et bien profité de cette vente pour décrocher le gros lot. Il découle de documents exclusifs auxquels Marianne a eu accès qu'une quinzaine de grandes entreprises, conseillères d'Alstom, se sont partagé la bagatelle... de 105 millions d'euros.

 
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courrier-Alstom.jpg

Les chiffres ne concernent pas GE, mais Patrick Kron, l'ex-PDG d'Alstom, n'envisage pas qu'ils soient inférieurs. « Étant donné le nombre d'avocats que nous avions face à nous, sauf à avoir très bien négocié avec eux, ils ont payé encore plus cher », a-t-il déclaré devant la commission d'enquête, en avril 2018. Ces sommes-là ont, en tout cas, permis de s'attirer la bienveillance et la diligence d'une partie des réseaux de pouvoir parisiens.

Sur l'insistance de la commission d'enquête, Alstom s'est résolu à détailler ses dépenses liées à la transaction avec GE. Dans un courrier du 11 avril 2018 resté confidentiel, son PDG, Henri Poupart-Lafarge, livre le montant exact des « coûts directement liés à la transaction » avec GE. Ils s'élèvent à 262 millions d'euros, dont 97 de frais « fiscaux ». Restent 60 millions de coûts divers et, surtout, 105 millions d'euros de frais de « conseils et banques ».

AVOCATS ET BANQUIERS

Le premier prestataire d'Alstom dans ce dossier est un cabinet d'avocats américano-britannique, Hogan Lovells qui touche 21 millions d'euros. Les banquiers suivent de près, puisque le deuxième bénéficiaire se nomme Rothschild qui empoche 12 millions d'euros, tandis que Bank Of America en a obtenu 10. Cette dernière se signalera en embauchant en juillet 2014, soit en pleines négociations, David Azéma, directeur général de l'Agence des participations de l’État, chargée d'étudier l'entrée de la puissance publique au capital... d'Alstom. Le cabinet de droit des affaires Weil, Gotshal et Manges (9 millions) et les consultants du Boston Consulting Group (5 millions) complètent ce top 5 des plus gros bénéficiaires.

A noter que d'autres entreprises, dont le profit n'est pas détaillé dans ce courrier, ont participé aux négociations. Dans une précédente missive, datée du 12 février 2018, à laquelle nous avons eu accès, Alstom cite ainsi les toujours influents DGM et Publicis, dans la catégorie « structures de lobbying et de communication » . Du côté de GE « on comptait trois banques conseils (Lazard, Crédit suisse et Bank Of America), l'agence de communication Havas et de nombreux cabinets d'avocats », apprend-on dans le rapport de la commission d'enquête. Le président de cette dernière, Olivier Marleix (LR), a saisi le parquet de Paris en janvier dernier. 

La suite.

 

https://www.marianne.net/economie/la-liste-de-ceux-qui-ont-croque-dans-la-vente-d-alstom-general-electric

Il est certain que Patrick Kron et le mari de Valéry Petresse ont profité de la vente.

C'est inadmissible mais sur le fond la vente était insurmountable.

il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

La pirouette ne serait-elle pas du côté du gars qui doit vérifier que EDF doit débourser 200 millions et non pas 1.2 milliards contrairement à ce qu’affirme sa radio de Mozart de la finance ?

A l’époque Alstom n’était effectivement pas en mesure de payer ses employés bien longtemps sans cash , à tél point que Monsieur Montebourg je crois avait prévu de faire rouler des TGVs sur des rames RER 

Peut être mais le fond de l'affaire concerne le contrat quasi frauduleux avec l'Indonésie et les USA se sont précipité dans la brèche , tenant ainsi Alstom par les c.o.u.i.l.l.es.

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