Du Genre

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

@QuatreEtCinq

@guernica

Merci pour vos avis.

Sans oublier, @system3, @brooder & @Annalevine

Et merci à tous ceux qui voudront bien donner le leur.

On joue le jeu avec les personnages quand ça arrange ici, mais bon, si tu te perds en chemin, c'est facile comme tout, y'a le petit bonhomme bleu pour les messieurs, y'a le petit bonhomme rose pour les dames, ça s'peut qu'il y ait leurs photos, aussi . 

Il y a 2 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

Pour moi la femme idéale avance dans la vie au même rythme, au même pas, que l’homme. "Shoulder to shoulder" comme on dit en anglais. Donc oui une femme est un homme comme un autre.

Il y a 4 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

Citation

Du Genre

Humain.

Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

Oui. C'est l'avènement du virtuel. Le corps n'est qu'un avatar. Un homme est une femme, une femme un homme, comme on veut. Et le monde un espace où la virtualité s'exprime. Aujourd'hui la réalité physique importe peu...

Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

@QuatreEtCinq

@guernica

Merci pour vos avis.

Sans oublier, @system3, @brooder & @Annalevine

Et merci à tous ceux qui voudront bien donner le leur.

Vous m’interpellez. Je vous réponds.

Je suis mal à l’aise avec ce type de question. 
Soit j’adopte la position du spectateur et dans ce cas il est possible de tout dire et son contraire, soit j’adopte la position de l’acteur, c’est à dire la position de celui qui agit, au quotidien, et je réponds alors : non à votre question, simplement en prenant la peine d’observer mon comportement : je n’aborde pas une femme comme j’aborde un homme.

Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

Tout est question de séparer et d'assembler.
Ainsi, dans le genre, comme dans la majorité des domaines sociaux,
Il est question de nuance et de tendance.

Aussi aimerais-je à dire que l'art c'est donner un visage à la nuance.
La science, c'est donner un nom à la tendance.

Ici, je n'ai qu'une prétention scientifique.
De ce fait je ne peindrais que la tendance.

Il n'y est point de meilleure allégorie que les organes génitaux.
Et si l'explication scientifique de la reproduction manque cruellement de charme.
Il est toujours possible de l'y trouver.
Ainsi, j'aime à parler d'une tendance masculine qui se déploie, et d'une tendance féminine qui rentre en elle.
C'est vrai, aussi, dans le comportement.

En somme, d'un homme qui dit "oui" ou "non".
Et d'une femme qui dit "peut-être" et "pourquoi"
Masculin étant dans l'affirmation, et féminin dans l’interrogation.

Et le jeu du désir reprend ces termes.
Posséder et consommer.

Masculin veut consommer le désir, le réduire jusqu’à l'incarner dans l'espace.
Féminin veut posséder le désir, l'augmenter, et l'étendre dans le temps.
Voilà le mécanisme qui permet l'entretien du désir. Dans les grandes tendances.
(Aussi est-il assez aisé de comprendre qu'une politique synthétique est par défaut, par définition, une politique matriarcale.)

De cette façon, le comportement masculin est concret, frontal, direct.
Le comportement féminin est abstrait, subtil, indirect.
Extraversion et introversion.

Il y a beaucoup de choses à en dire.
Pour moi, les grandes lignes tendancielles sont celles-là.
Encore une fois, il n'y est pas de meilleure allégorie que le sexe.

S'il fallait parler politique....
Je suis amusé de faire le constat du féminisme.

En effet, je vois des hommes culpabilisés d'en être.
Je vois des hommes qui s'efféminent, et qui s'abstiennent.
Et l'inégalité me semble le pouvoir sexuel et décisionnel absolu de la femme.
Aussi, l'inégalité salariale est un fait.
Qui me semble moindre comparé à l'existence masturbatoire des hommes de notre ère.
Je serais heureux de prendre le temps d'expliquer tout ça au premier féministe chevroné qui voudra me mentioner.

il y a 28 minutes, Annalevine a dit :

Vous m’interpellez. Je vous réponds.

Je suis mal à l’aise avec ce type de question. 
Soit j’adopte la position du spectateur et dans ce cas il est possible de tout dire et son contraire, soit j’adopte la position de l’acteur, c’est à dire la position de celui qui agit, au quotidien, et je réponds alors : non à votre question, simplement en prenant la peine d’observer mon comportement : je n’aborde pas une femme comme j’aborde un homme.

N'aillez pas peur des lois morales.
Nous avons la chance de pouvoir nous exprimer, usons de cette liberté.
Et ces lois ne sont pas encore des lois légales.
Si quelqu'un vous cherche des noises, j'interviendrais en votre faveur.
Et les papas poule auront le bec cloué, je vous le garanti.

il y a 12 minutes, QuatreEtCinq a dit :

Tout est question de séparer et d'assembler.
Ainsi, dans le genre, comme dans la majorité des domaines sociaux,
Il est question de nuance et de tendance.

Aussi aimerais-je à dire que l'art c'est donner un visage à la nuance.
La science, c'est donner un nom à la tendance.

Ici, je n'ai qu'une prétention scientifique.
De ce fait je ne peindrais que la tendance.

Il n'y est point de meilleure allégorie que les organes génitaux.
Et si l'explication scientifique de la reproduction manque cruellement de charme.
Il est toujours possible de l'y trouver.
Ainsi, j'aime à parler d'une tendance masculine qui se déploie, et d'une tendance féminine qui rentre en elle.
C'est vrai, aussi, dans le comportement.

En somme, d'un homme qui dit "oui" ou "non".
Et d'une femme qui dit "peut-être" et "pourquoi"
Masculin étant dans l'affirmation, et féminin dans l’interrogation.

Et le jeu du désir reprend ces termes.
Posséder et consommer.

Masculin veut consommer le désir, le réduire jusqu’à l'incarner dans l'espace.
Féminin veut posséder le désir, l'augmenter, et l'étendre dans le temps.
Voilà le mécanisme qui permet l'entretien du désir. Dans les grandes tendances.
(Aussi est-il assez aisé de comprendre qu'une politique synthétique est par défaut, par définition, une politique matriarcale.)

De cette façon, le comportement masculin est concret, frontal, direct.
Le comportement féminin est abstrait, subtil, indirect.
Extraversion et introversion.

 

N'aillez pas peur des lois morales.
Nous avons la chance de pouvoir nous exprimer, usons de cette liberté.
Et ces lois ne sont pas encore des lois légales.
Si quelqu'un vous cherche des noises, j'interviendrais en votre faveur.
Et les papas poule auront le bec cloué, je vous le garanti.

C’est étonnant comme vous interprétez ma réponse au sujet. Votre réponse m’oblige à sortir du sujet pour tenter de figurer votre psychologie. 
Vous me paraissez compliqué.

il y a 5 minutes, Annalevine a dit :

C’est étonnant comme vous interprétez ma réponse au sujet. Votre réponse m’oblige à sortir du sujet pour tenter de figurer votre psychologie. 
Vous me paraissez compliqué.

C'est étonnant, commme, encore face à l'évidence, vous semblez retenir vos propos.

Vous n'êtes pas obligé de faire ma psychanalyse, nombre d'avis compétents en la matière on tenté l'experience avant vous, et tous se sont rétamés du haut de leur trottoir pour une chute cuisante.

En vérité, je suis très simple.
Tout ce que j'ai à dire, je le dis, et il n'est nul besoin de fouiller entre les lignes.
Encore en cherchant l'ascendant rhétorique, il n'est nul besoin de chercher la nuance contradictoire.
Car je n'en laisse aucune.
Je ne vous laisse de la place que pour votre discours.
Et ne vous laisse aucune place pour vous immiscer dans mon discours.
Tant il est entier.

Aussi est-ce encore une belle contextualisation de la tendance masculine et féminine.
Saurez vous en faire la fine analyse psycho-logique ?
Je ne vous oblige pas à vous ouvrir.
Vous êtes totalement libre de vous abstenir, et même de vous refermer sur vous-même en prétendant la complexité de l'évidence.
Tout comme je suis libre de trouver ça dommage.

Il y a 1 heure, Henri. a dit :

Oui. C'est l'avènement du virtuel. Le corps n'est qu'un avatar. Un homme est une femme, une femme un homme, comme on veut. Et le monde un espace où la virtualité s'exprime. Aujourd'hui la réalité physique importe peu...

Et l'approche sentimentale? Du virtuel?

A en croire Simone DeBeauvoir "on ne nait pas femme", le genre Féminin serait à construire et le genre masculin donné. Ce qui me ferais penser que les femmes sont multiples et donc polymorphes. On n'en fini jamais de les découvrir ...

il y a 6 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Et l'approche sentimentale? Du virtuel?

Je le pense. Les schémas de comportement sentimentaux ne sont plus gravés dans le marbre. Aujourd'hui, la révolution LGBT est obsolète. On en est à LGBTQIA, et il n'y a aucune raison, au train où ça va, que l'alphabet y suffise. La révolution virtuelle est en place. Pour le meilleur et pour le pire...

il y a 35 minutes, QuatreEtCinq a dit :

C'est étonnant, commme, encore face à l'évidence, vous semblez retenir vos propos.

Vous n'êtes pas obligé de faire ma psychanalyse, nombre d'avis compétents en la matière on tenté l'experience avant vous, et tous se sont rétamés du haut de leur trottoir pour une chute cuisante.

En vérité, je suis très simple.
Tout ce que j'ai à dire, je le dis, et il n'est nul besoin de fouiller entre les lignes.
Encore en cherchant l'ascendant rhétorique, il n'est nul besoin de chercher la nuance contradictoire.
Car je n'en laisse aucune.
Je ne vous laisse de la place que pour votre discours.
Et ne vous laisse aucune place pour vous immiscer dans mon discours.
Tant il est entier.

Aussi est-ce encore une belle contextualisation de la tendance masculine et féminine.
Saurez vous en faire la fine analyse psycho-logique ?
Je ne vous oblige pas à vous ouvrir.
Vous êtes totalement libre de vous abstenir, et même de vous refermer sur vous-même en prétendant la complexité de l'évidence.
Tout comme je suis libre de trouver ça dommage.

J’ai l’impression que vous me cherchez. Mais je ne sais pas si j’ai la générosité de vous laisser me trouver.

il y a une heure, Henri. a dit :

Je le pense. Les schémas de comportement sentimentaux ne sont plus gravés dans le marbre. Aujourd'hui, la révolution LGBT est obsolète. On en est à LGBTQIA, et il n'y a aucune raison, au train où ça va, que l'alphabet y suffise. La révolution virtuelle est en place. Pour le meilleur et pour le pire...

Diriez-vous alors que le sentiment peut être un programme informatique?

Ici, l'on semble confondre la libido, et l'énergie sexuelle, le tout réduit au sexisme, caractérisé par des notions comportementales, une sorte d'anima animus low-cost d'un nouveau type . Que le genre soit exclusivement perçu dans le contexte de la sexualité, soit, mais ici, la libido est évoquée, pour négationner au point de parler de virtualité, contradictoire, parce que je ne compte plus les images suggestives de la femme présentées sur le forum, si l'apparence physique était anecdotique, si le genre était anecdotique, Pourquoi préciser ces informations, je comprends donc qu'au vu des propos tenus, c'est juste dans l'intérêt de faire saliver le lecteur de sexe masculin, le sexe féminin, n'étant qu'un objet sexuel, parce que les images présentent des femmes désirables, moins de trente ans, donc toujours en âge de procréer, alors que cela impliquerait des personnes ayant commencé à participer aux forums de discussions, alors qu'elles avaient moins de dix ans, la question devient alors nauséabonde, d'où l'assertion  hiérarchisée, parce que intéressée, annihilant ainsi le genre, comme si la sexualité était quelque chose de répréhensible, tout en étant au centre de toutes les attentions, je comprends ici que le genre, n'a d'intérêt que s'il s'agit de répondre aux attentes des hommes, offrant réellement un monde sans femme, sinon par des arrêts sur image, je peux donc prendre le risque de m'poser en exemple, quand il s'agit de faire marcher la concurrence, mais seulement pour l'hypocrisie, pourtant complètement stérile, illustrations de postures plus que douteuses, quant aux attitudes adoptées ici dans ce forum, la sagesse étant toujours disposée à répondre aux névroses, on tombe alors irrémédiablement dans le manichéisme, deux clans, les tarés du c*l d'un côté, les jésuites de l'autre, lancé comme un défi, au péril du simple fait de son existence, car l'on oublie que sans la relation sexuelle entre un homme et une femme, c'est également jeter l'eau du bain et le bébé avec, ironique, au vu de ceux passant leur temps à écrire des tartines sur le dos de leur gosses sur le forum, un adulte est un être sexué, même lorsque la personne est dans l'abnégation, souvent au profit de son investissement religieux, lancé alors comme un défi, le vinyl de France Gall tournant en boucle, ça change du schéma habituel, comme pour conjurer le sort, du fait que tous les hommes, ont une b*te à la place du cerveau, mais la véritable cause du problème, c'est que les femmes, sont juste là pour le leur rappeler, seulement toujours dans l'hypocrisie, parce qu'aucune ici, n'a pensé à mettre son apparence réelle, encore moins celle de Madame Bellefeuille, laquelle serait plus adéquat, au vu de leur gourmandise, paix à son âme, d'ailleurs, et l'on en vient au terrible constat, que l'appétence, c'est simplement une illusion du cerveau, et que l'on évoque le désir, juste pour se différencier des animaux, rendant ainsi le sujet encore plus scabreux, voire oiseux, l'idée me traversant, les intérêts personnels, passent souvent avant l'intelligence, c'est à mon sens cela, la paresse intellectuelle, la libido comme compensation, et prouver que l'on est déterminé à évoluer, dans l'échelle du pouvoir, cela impacte la thématique, du prêt à consommer, un peu à l'image des pornos, puisqu'apparemment ici, le genre, se résume en cela, la prédation, la sapiosexualité, à défaut de preuves concrètes, avant tout pour la beauté du geste, les hommes dégénérés en femmes, les femmes dégénérées en hommes, parce que l'homme est un animal politique, et comme on dit, derrière chaque grand homme, il y a toujours unœud grande femme, mais ça, c'était avant, l'innommable, un truc, un bidule, un machin, aux apparences d'un objet animé, déguisé selon son gré, de quoi, de qui, rhabillé, selon son gré, par quoi, par qui, pour le deviner, achetez le dictionnaire de la psychanalyse, vous gagnerez peut-être à être connu, un débat par lequel, l'on est résolu à établir des associations scabreuses, le challenge à la hauteur de la prétention à son génie, sans jamais vraiment identifier ce que c'est, le truc, le bidule, le machin, ne ressemblant plus à rien, avec un peu d'chance, dans un siècle, l'on aura on oublié comment l'on fait les bébés, après avoir saccagé la planète Terre, pour s'occuper l'esprit, faute de mieux, les animaux seront rayés des cartes, les trucs, les bidules, les machins, apprendront à lire, et partiront ainsi conquérir l'espace, oups ... 

Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une femme est-elle un homme comme un autre?

Si oui, pourquoi?

Une femme ou la femme ?

je vais répondre comme si c'était "la femme".

Si la femme était comme un homme, il n'y aurait ni femme ni homme.

il y a 3 minutes, Don Juan a dit :

Une femme ou la femme ?

je vais répondre comme si c'était "la femme".

Si la femme était comme un homme, il n'y aurait ni femme ni homme.

En effet, amalgamer deux définitions, c'est les détruire de sorte qu'il n'y en ait plus.

Mais alors pourquoi?

il y a 2 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

En effet, amalgamer deux définitions, c'est les détruire de sorte qu'il n'y en ait plus.

Mais alors pourquoi?

Le pouvoir, les intérêts, sont toujours une question de pouvoir ... 

il y a une heure, Annalevine a dit :

J’ai l’impression que vous me cherchez. Mais je ne sais pas si j’ai la générosité de vous laisser me trouver.

@QuatreEtCinqvous fait sans doute du charme en déployant son verbe.

:-)