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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

S'il y a des définitions, alors il n'y a plus de définition

Dans ce cas, pourquoi avez vous rédigé votre propre définition ?

Son côté positif, c’est d’avoir distingué pensée et réalité empirique 

Mais la vérité comme le vrai se définissent par le rapport entre les deux, entre une proposition syntaxique bien formée produite par un langage et UNE  réalité objective mesurée ou vue ou écoutée... de la, réalité physique, ou sociale ou l’univers physique, mathématique dans le cadre défini ou est formulé la proposition....et non LA réalité absolue bref la vérité et le vrai concernent l’isomorphisme

En plaquant la vérité aux idées et la réalité au vrai, vous manquez ce rapport mais pointez les deux aspects 

Une idée fausse intelligemment construite aurait alors une dénomination de ”vérité” alors que sa réalisation concrète n’existant pas dans les faits et ce, malgré la profondeur de la pensée serait fausse.

Ce qui est qualifié de vérité ou de vrai, c’est ce jugement sur la réalité

Un arbre n’est pas vrai ou faux, il est réel ou pas

Dire que ce qu’on voit est un arbre sera vrai ou faux mais ce qui sera qualifié, ce ne sera pas l’arbre...mais le jugement qui est fait concernant la nature de ce qu’on a appelé arbre d’ailleurs dans le formalisme de la langue

Ceci est un arbre

No it’s à tree...

Beuh

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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La vérité est ce qui est juste en vertu du sentiment d'intellection claire que cela engendre.

Le vrai est ce qui est conforme à la vérité en réalité.

Une définition est ce qu'il est conforme d'écrire à propos de la vérité si bien que, dans tous les cas, il en faille une pour pouvoir définir.

Et l'essence est le point de départ de toute définition puisque définir revient jamais qu'à ajouter des mots complémentaires au verbe substantif, être, à propos d'une chose.

Le relativisme est donc jamais qu'une vaine tentative de détruire la vérité dès lors qu'il faille toujours commencer par être pour en parler même dans le cas d'une pluralité de définitions qui ne sauraient s'affranchir de l'essence comme première racine.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Une définition est ce qu'il est conforme d'écrire à propos de la vérité si bien que, dans tous les cas, il en faille une pour pouvoir définir.

Et l'essence est le point de départ de toute définition puisque définir revient jamais qu'à ajouter des mots complémentaires au verbe substantif à propos d'une chose.

Le relativisme n'est donc jamais qu'une vaine tentative de détruire la vérité dès lors qu'il faille toujours commencer par être pour en parler même dans le cas d'une pluralité de définitions qui ne sauraient s'affranchir de l'essence comme première racine.

S’il faut une définition, pourquoi la votre puisqu’elle n’est pas valide ?

Je ne suis pas relativiste

Votre définition est fausse donc est un cadre subjectif et erroné

Passons à l’essence. Qu’est pour vous l’essence ?

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

La vérité est ce qui est juste en vertu du sentiment d'intellection claire que cela engendre.

Le vrai est ce qui est conforme à la vérité en réalité.

Une définition est ce qu'il est conforme d'écrire à propos de la vérité si bien que, dans tous les cas, il en faille une pour pouvoir définir.

Et l'essence est le point de départ de toute définition puisque définir revient jamais qu'à ajouter des mots complémentaires au verbe substantif, être, à propos d'une chose.

Le relativisme est donc jamais qu'une vaine tentative de détruire la vérité dès lors qu'il faille toujours commencer par être pour en parler même dans le cas d'une pluralité de définitions qui ne sauraient s'affranchir de l'essence comme première racine.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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En Chine, ...., par exemple, la pensée de l’être n’existe même pas, le verbe n’existe pas sans adjectif 

On peut dire Zenalpha est grand mais impossible de dire Zenalpha est

La "vraie vie” est la réalité et non cette illusion de courir après des formes abstraites fixes, sans réalité 

Puisque cette essence serait votre racine, à quelle essence roulez vous concrètement ? 

Et d’où vient elle ?

En quoi est elle fondamentale, en quoi s’affranchit elle des relations à l’environnement pour..”être cette substantifique et primordiale essence ?”

Pour le Tao, celui qui se place au dehors de l’expérience et qui répond à des questions specieuses ne verra ni l’univers autour de lui ni la grande source en lui

C’est ce que je déplore chez Heidegger, son abandon de ... ce qui est réellement ... de ce qui s’experimente... de ce qui est relation aux étants, à la curiosité expérimentale scientifique et à la vie pour son abstraction d’être plus axée sur la reconnaissance de son esprit condescendant de l’humble connaissance tirée des erreurs de l’expérience 

Le juste milieu, théoriser sans experimenter ou l’inverse, c’est sautiller sur une jambe et piétiner sa marche

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Alors l'être est tacite.

C'est à dire qu'il est pensé à partir du sentiment d'être par soi.

Mais non dit.

Puisque sans être, point d'être humain.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 4 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Alors l'être est tacite.

C'est à dire qu'il est pensé à partir du sentiment d'être par soi.

Mais non dit.

Puisque sans être, point d'être humain.

L’anatman élimine le concept du soi en tant qu’’ego, nous ne sommes qu’une simple agrégation de phénomènes mentaux impermanentes même si, parmi les bouddhistes, beaucoup considèrent le moi-empirique comme un principe vital qui conditionne leur pratique 

Oui, le corps, les sensations, les perceptions, les fabrications mentales et la conscience sont des agrégats d’attachement au soi ego, la correspondance à l’être tel que tu le conçois

C’est ce qui s’appelle le namarupa, nama pour le nom et l’esprit, rupa pour la forme et la corporeité 

Le namarupa est une illusion, la quatrième des douze nidanas dans la chaîne de la souffrance 

Si il était fondamental, tu en aurais le contrôle nageant dans le bonheur, maîtrisant la maladie comme la mort

Ton attachement a ton ego en tant qu’identité indépendante conduit à ta souffrance sous l’emprise illusoire de cette appartenance d’une identité permanente à cette manifestation qu’est le sentiment pratique d’être toi

L’ être est un épiphénomène contingent dont l’essence fondamentale est de n’être plus

Le salut, le karma, l’âme, l’être, l’existence sont les soubresauts de la foi et de la raison de l’attachement qu’on a pour soi

En pratique, dans ce temps négligeable, la seule règle du jeu sera de cultiver la règle du je et le salut de ”salvare”, sauver, sauvez moi.

Oui, mais non

être et ne plus être à l’échelle cosmique c’est équivalent à ne jamais avoir été vraiment monsieur Shakespeare 

Une potentialité manifestée qui manifeste 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Une élimination du soi est une annihilation du soi, à notre insu, en vertu de notre propre nature.

Puisqu'être conscient, c'est être présent à soi du fait de se connaître.

Sur le chemin menant de l'inconscience à la compréhension de notre propre condition, nous nous égarons donc pour nous annihiler, étant présents à nous-mêmes, lorsque l'unique chose à juger: c'est la mort qui nous fait face.

Et pour cela, il faut préserver l'intégrité de la vie et celle du soi, sans quoi nous ne ferions que passer, sans raison, dans tous les sens du termes, ce qui consacrerait l'inanité de nos existences.

Sans être, point d'être humain. Une élimination du soi ne saurait donc être qu'une régression vers l'inconscient, une préférence de la mort envers la vie dans une quête du néant absolu, non assumée, derrière l'absence de vérité.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 10 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Une élimination du soi est une annihilation du soi, à notre insu, en vertu de notre propre nature.

Puisqu'être conscient, c'est être présent à soi du fait de se connaître.

Sur le chemin menant de l'inconscience à la compréhension de notre propre condition, nous nous égarons donc pour nous annihiler, étant présents à nous-mêmes, lorsque l'unique chose à juger: c'est la mort qui nous fait face.

Et pour cela, il faut préserver l'intégrité de la vie et celle du soi, sans quoi nous ne ferions que passer, sans raison, dans tous les sens du termes, ce qui consacrerait l'inanité de nos existences.

Sans être, point d'être humain. Une élimination du soi ne saurait donc être qu'une régression vers l'inconscient, une préférence de la mort envers la vie dans une quête du néant absolu derrière l'absence de vérité.

 

La vacuité est une élimination du "soi" en tant qu'êtres indépendants, au niveau fondamental bien sûr puisque je veux bien admettre que vous et moi sommes "manifestement" en train d'échanger.

Interdépendance serait le terme approprié, interdépendance qui élimine du même coup ET le concept de "néant", pure production illusoire de l'imagination trompée ET le concept d'être "pur" en tant qu'êtres auto-suffisants, irréductibles, definis par une "essence" inaltérable 

Prenez n'importe quel objet et n'importe quel être humain qu'il est le produit de combinaisons issus de mécanismes sur lesquels l'être considéré n'a aucune emprise 

Si nous sommes poussières d'étoiles, quelle "essence" accorder aux lois physique et à l'évolution du cosmos qui nous a constitué

Sommes nous un phénomène brutalement arraché du cosmos par une essence divine ?

Bien sûr reste ce "libre arbitre" quoi que celui-ci pose question, un sentiment de libre arbitre pour le moins.

C'est justement la voie du juste milieu d'user de cette manifestation de notre pensée totalement construite à partir du cosmos et de notre interaction au cosmos.

Rien n'existe en soi.

C'est d'ailleurs notable que Gödel, dans son second théorème d'incomplétude marque le fait qu'aucun système complexe ne peut auto démontrer sa propre cohérence 

L'essence de l'être, irréductible, permanente, propre à l'objet en soi est un concept laïque consolatoire.

Elle a philosophiquement un côté rassurant paternaliste 

Nous avons besoin de nous raccrocher à des certitudes 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il faut distinguer être et exister.

Être, c'est ressentir et se déterminer de manière plus ou moins consciente, de l'instinct naturel à la volonté de l'homme.

Exister, c'est avoir une extension spatiale.

Etant donné que toute chose existante est sujet du verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il ne saurait y avoir de concept plus fondamental qu'être, ce que traduit la récursivité de l'essence de ce qui est.

Il faut donc être d'abord pour pouvoir exister.

C'est la raison pour laquelle, sans être, point d'être humain.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut distinguer être et exister.

Être, c'est ressentir et se déterminer de manière plus ou moins consciente, de l'instinct naturel à la volonté de l'homme.

Exister, c'est avoir une extension spatiale.

Etant donné que toute chose existante est sujet du verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il ne saurait y avoir de concept plus fondamental qu'être, ce que traduit la récursivité de l'essence de ce qui est.

Il faut donc être d'abord pour pouvoir exister.

C'est la raison pour laquelle, sans être, point d'être humain.

Si on accepte que l’être soit... totalement ... dépendant de son environnement de l’air qu’il respire à l’eau qu’il boit à la nourriture qu’il mange, si on accepte que sa volonté se limite à des contraintes qui s’imposent à lui telles que les lois de la physique ou sa condition biologique depuis l’adn qui lui est transmis et depuis sa culture notamment par le formatage du cadre de sa pensée par le langage, si on accepte l’interdépendance totale qui en définit ”l’essence” d’être humain sans usage de sa volonté propre lors de ce processus pour le différencier du monde animal ou végétal, alors on tient le fondement....de l’être et parmi l’être celle de l’être humain. 

C’est la raison pour laquelle sans vacuité, point d’être ni d’être humain :)

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il faut distinguer ce qui relève de l'être: connaître de manière sensible et se déterminer librement.

De ce qui relève d'exister: avoir une extension spatiale.

A titre d'illustration, le sentiment ne peut être spatialisé. Il est.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 10 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut distinguer ce qui relève de l'être: connaître de manière sensible et se déterminer librement.

De ce qui relève d'exister: avoir une extension spatiale.

A titre d'illustration, le sentiment ne peut être spatialisé. Il est.

On peut convenir de tout et définir n'importe quoi.

Remplaçons être par totoche et exister par tutuche qu'on peut définir vos ressentis par totoche et votre extension spatiale par tutuche.

Une fois qu'on a fait ça, on a et l'homme et l'espace pour un petit pas pour l'homme 

Est ce un grand pas pour l'humanité fondamentalement ?

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il est toujours possible de réécrire le langage.

Mais il n'en reste pas moins que l'essence demeurerait la racine première de toute définition.

Dès lors que définir revienne jamais qu'à ajouter des mots complémentaires au verbe substantif: être.

Si bien qu'il n'y ait d'autre concept plus fondamental qu'être.

Comprendre sa propre condition revient donc à comprendre la nature de ce qui est.

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Peut-être 

Voici deux cadeaux si vraiment vous y portez attention. Cela demande un peu de temps mais j’invite à le prendre

"Qu’est-ce que le « sentiment de vide » ?" sur https://www.franceculture.fr/emissions/la-conversation-scientifique/quest-ce-que-le-sentiment-de-vide via @radiofrance

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)

Il est donc nécessaire de connaître de manière sensible, pour pouvoir penser ensuite.

Faisant ainsi du ressenti, une matière première à penser.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il est donc nécessaire de connaître de manière sensible, pour pouvoir penser ensuite.

Faisant ainsi du ressenti, une matière première à penser.

Chez l'homme c'est certain 

Peut on penser une machine à penser nourrie de données ?

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Point de machine, sans homme.

Et point d'être humain, sans être.

Il faut donc en revenir aux concepts premiers pour comprendre notre propre condition sans diverger pour s'aliéner.

Ce qui revient à s'interroger en dernier lieu sur ce qui est en l'absence de concept plus fondamental qu'être.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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La vacuité, l’interdépendance.

Car rien n’est dans l’absolu sans condition extérieure lui permettant d’être.

Dieu paraît-il 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Que dieu soit ou qu'il ne soit pas, il demeure assujetti au verbe substantif, être, par affirmation ou négation, faisant ainsi de ce qui est, un concept nécessairement plus fondamental que le divin.

 

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