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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

La pensée s'inscrit nécessairement dans un rapport d'antériorité causale par rapport à toute discipline qu'elle engendre puisqu'il faut d'abord penser pour théoriser.

Une conséquence ne pouvant remplacer sa cause, les mathématiques ne sauraient donc aller au-delà d'elles mêmes pour expliquer ce de quoi elles sont issues: la vérité conceptuelle qui ne saurait être établie que par la pensée au-delà de ce qui est observable.

 

C'est vrai et c'est faux

C'est donc partiellement vrai mais davantage de faux que de vrai

Ayé, j'ai une pensée quantique 

Oui, la pensée humaine est à l'origine des théories mais aucune théorie ne devient effective (on ne dit jamais qu'une théorie est vraie...) sans vérification expérimentale 

Il y a donc eu énormément de théories refutées car il suffit de contre exemples aux prévisions d'une théorie dans les faits pour la remettre en cause.

Il ne suffit pas de penser intelligemment pour toucher la vérité ( votre définition) puisqu'à l'inverse sera considéré scientifique la théorie capable de prévoir un protocole de réfutation 

Une théorie est ... effective ... tant qu'elle n'est pas contredite par l'expérience ou tant qu'elle répond au mieux aux observations 

D'autre part...on est pas dans le big data avec la théorie...

Ça veut dire qu'on invente pas un modèle pour simplement coller au mieux aux observations mais pour définir un cadre de pensée 

Et, par exemple, certaines théories ont prédit des particules qu'on n'avait pas observées.

Une théorie dépasse la pensée initiale par des conséquences insoupçonnées et insoupçonnables que le concepteur de la théorie ne pensait pas trouver, conséquences parfois trouvées par d'autres chercheurs comme par exemple certaines solutions de la relativité générale 

La théorie est une forme de treuil ontologique en découvrant des entités physique par le calcul et est un outil de prolongation de la pensée par ses implications 

Vous faites également deux erreurs 

La première s'appelle le paradoxe de l'ancestralité puisque dans cette conception classique de causes et de conséquences que vous évoquez, la pensée serait fondamentale 

Or, nous savons que la terre est apparue bien avant la présence de l'homme, que le temps s'est écoulé alors que l'homme n'était pas apparu

Comment la pensée serait le fondement de toute chose si elle même est la conséquence de causes qui lui ont précédé 

Dans votre propre logique exit votre argumentation 

La seconde concerne la causalité elle même 

En réalité de plus en plus de phénomènes issus de l'analyse de la mécanique quantique suggèrent des phénomènes de retro causalité 

Le monde est ce qu'il est et ne s'adapte pas aux représentations de ce qu'on pense qu'il est...

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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L'expérimentation est, en effet, nécessaire pour prouver que le vrai est bien conforme à la vérité.

Et nous touchons aux limites de l'expérimentation lorsque l'existence, elle-même, devient l'expérience ultime que nous menons à notre insu conformément à notre propre vérité.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 2 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

L'expérimentation est, en effet, nécessaire pour prouver que le vrai est bien conforme à la vérité.

Et nous touchons aux limites de l'expérimentation lorsque l'existence, elle-même, devient l'expérience ultime que nous menons à notre insu conformément à notre propre vérité.

L'expérimentation pour la vérification que ... ce qui est théorisé... est bien corroboré par les faits, ce qui ne marque pas une vérité absolue mais maintient la théorie comme effective tant qu'une expérience contraire  n'invalide pas la théorie 

Tant que la mécanique de newton a été vérifiée par les faits, cette théorie a été le cadre de pensée effectif.

Mais les légers écarts constatés par exemple dans le calcul du perihelie de mercure ont par la suite été parfaitement expliqué par la relativité devenue alors la nouvelle théorie effective a la place de Newton

Avec malgré ces faibles écarts dans la physique de tous les jours et de notre quotidien...qui font que Newton reste appliqué dans beaucoup de situations où les effets relativistes sont marginaux, des conséquences extraordinaires dans notre compréhension de l'espace, du temps et de la gravité 

Bref...ce qui est le meilleur cadre de pensée de l'homme, est d'une part assez loin de ces premiers sentiments basés sur sa réalité sensible...et n'est...jamais...LA VERITE ABSOLUE en physique, ja...mais.

On considère qu'une théorie effective est ce qui est conceptualisé le plus efficacement pour notre compréhension du monde réel.

La relativité n'est même pas la théorie ultime puisqu'on ne parvient pas à quantifier la gravitation...

Tout celà m'apparaît très difficile à saisir quand on ne baigne pas dedans

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Si l'expérimentation ne vise pas à établir la conformité du vrai, c'est à dire de ce que l'on observe de manière effective, par rapport à l'hypothèse énoncée, alors l'expérimentation est vaine.

Et lorsque l'expérience est réussie, l'hypothèse énoncée acquiert indéniablement le statut de vérité, c'est à dire de ce qu'il est juste d'établir conceptuellement à propos d'une chose.

Dans notre cas, l'unique chose, qui puisse jamais être par déduction logique, ne saurait être qu'une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même jusqu'à sa propre inconscience, si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Dès lors, il faut que l'état du sujet conscient soit avéré (l'être humain) dans le cadre d'une réalité constituée d'une succession d'instants recélant l'idée d'annihilation de ce qui est présent à soi et que nous mourrions pour tout annihiler jusqu'à nous-mêmes.

L'existence devient ainsi l'expérience ultime que nous menons à notre insu conformément à notre propre vérité.

 

 

 

 

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 1 minute, JOSEPH DELETRE a dit :

Si l'expérimentation ne vise pas à établir la conformité du vrai, c'est à dire de ce que l'on observe de manière effective, par rapport à l'hypothèse énoncée, alors l'expérimentation est vaine.

Et lorsque l'expérience est réussie, l'hypothèse énoncée acquiert indéniablement le statut de vérité, c'est à dire de ce qu'il est juste d'établir conceptuellement à propos d'une chose.

Dans notre cas, l'unique chose, qui puisse jamais être par déduction logique, ne saurait être qu'une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même jusqu'à sa propre inconscience, si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Dès lors, il faut que l'état du sujet conscient soit avéré (l'être humain) dans le cadre d'une réalité constituée d'une succession d'instants recélant l'idée d'annihilation de ce qui est présent à soi et que nous mourrions pour tout annihiler jusqu'à nous-mêmes.

L'existence devient ainsi l'expérience ultime que nous menons à notre insu conformément à notre propre vérité.

Si bien qu'en l'absence de preuve contraire, notre vérité soit à présent établie dès lors que l'existence lui est bien conforme. Sans quoi il faudrait nier l'existence et vouloir lui substituer l'imaginaire avec arbitraire.

 

 

 

 

 

"Viser à" ne signifie pas "atteindre"

Et l'expérimentation est nécessaire pour accumuler des expériences confirmatoires qui renforcent la théorie et donc parfois pour des expériences infirmatoires pour devoir les changer.

Pas mal de chercheurs par exemple au CERN a Genève rêvent littéralement d'expériences contraires aux prévisions de la théorie pour viser à améliorer le modèle standard 

Vous n'êtes pas exigeant avec la vérité 

Une seule expérience réussie et hop votre pensée devient la vérité 

Et encore, votre définition originelle ne réclamait pas cette étape mais juste un processus d'intellection clair et juste.

Un peu comme si de manière infuse votre pensée était connecté au monde éthéré des vérités 

C'est votre principal problème, une forme de laxisme dans une confiance totalement éperdue en ce que vous pensez.

Évidemment c'est la faillite pour l'alterité a la réalité.

Ceci dit je pense que notre échange était cordial et intéressant 

En guise de conclusion dernière video intéressante sur un aspect plus amical

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Imposer l'imaginaire avec arbitraire est la seule issue du nihilisme lorsqu'il se trouve confronté à ses propres contradictions.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Le 10/08/2021 à 19:34, JOSEPH DELETRE a dit :

Imposer l'imaginaire avec arbitraire est la seule issue du nihilisme lorsqu'il se trouve confronté à ses propres contradictions.

Bonjour Joseph

Ne te voyant pas alimenter ton fil, je m’inquiétais

Pour toi comme pour tous ceux qui se demande ce qu’EST Dieu, qui recherche la DÉFINITION ultime de Dieu, je voulais ce cadeau dans Ô Dieu car quoi de plus beau pour lui que de rendre JUSTICE à son EXISTENCE 

J’ai utilisé beaucoup de tes mots totems

Je te propose cette expérience pour comprendre Dieu lui-même 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Que dieu soit ou qu'il ne soit pas, il demeure sujet du verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini.

Par conséquent, il ne saurait y avoir d'autre concept plus fondamental qu'être sur le chemin menant à sa propre vérité.

C'est la raison pour laquelle, sans être, point d'être humain.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Que dieu soit ou qu'il ne soit pas, il demeure sujet du verbe substantif, être, sans lequel rien ne saurait être défini.

Par conséquent, il ne saurait y avoir d'autre concept plus fondamental qu'être sur le chemin menant à sa propre vérité.

C'est la raison pour laquelle, sans être, point d'être humain.

Ne pas le définir, être un non sens à le comprendre, ne pas en faire de la connaissance, juste faire l’expérience de quelque chose de beaucoup plus grand dans lequel nous nous dissolvons à une échelle totalement insignifiante 

Et si Dieu n’était pas, si son ’être était si complexe qu’aucun des critères de l’être tels que vous avez défini pour lui n’étaient justes ni de près ni de loin.

Vous l’avez defini comme le sujet d’un substantif pour une construction linguistique qui est votre construction en lui aposant des caractéristiques qu’il n’à probablement pas.

En tout cas, être dans cette expérience d’intellectualisation vous êtes

Dès lors tout se dualise tout mot tranche illusoirement dans la réalité pour se definir singulier hors de cette réalité 

La vie la mort le bien le mal

Ce que nous vivons, nous pourrions le definir comme ce que nous mourons

Nous mourrons à chaque seconde, la mort et la vie sont deux facettes de la même réalité du même être

Dieu se meurt il ?

Qui sait ?

 

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Si la pensée est incompétente, alors toute réflexion est vaine.

A commencer par celle qui établirait son incompétence.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Si la pensée est incompétente, alors toute réflexion est vaine.

A commencer par celle qui établirait son incompétence.

Comme tout système, elle est compétente dans un cadre donné 

Si tu as le cancer, ne te vient pas l’idée de te soigner chez le coiffeur par exemple 

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Il n'y a qu'un seul cadre : celui de la vérité.

Car même le nihilisme doit être justement défini.

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zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 34 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Il n'y a qu'un seul cadre : celui de la vérité.

Car même le nihilisme doit être justement défini.

Absolument

Et toute vérité est incontournable et toute vérité ne peut qu’être établie dans un cadre donné

A un point extérieur à une droite ne passe qu’une droite en géométrie euclidienne 

Mais la géométrie euclidienne est une des géométries dans d’autres formes de géométries dans lesquelles cette vérité incontournable en géométrie euclidienne... n’est plus vérifiée

Pareil nous concernant 

Vous voyez bien que lorsque je prétends que ce que vous dites est faux, ce n’est pas du relativisme, vous captez certains bribes de vérité dans certains cadres limités et parfois, vous vous plantez simplement au regard de la logique 

Je suis plus attaché que vous à la vérité, beaucoup plus.

Pour vous ce n’est qu’un mot

Qui plus est, dont la définition est fausse....

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Invité JOSEPH DELETRE
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Si la vérité dépend du cadre, alors il n'y a plus de vérité.

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zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Si la vérité dépend du cadre, alors il n'y a plus de vérité.

Plus le cadre est défini,  moins il est complexe, plus la vérité est forte et plus elle est demontrable

Sans cadre, c’est la vérité elle-même qui disparaît 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Dès lors qu'il n'y ait d'autre concept plus fondamental qu'être, alors l'essence est la racine première de toute vérité.

Par conséquent, établir ce qui est conceptuellement juste à propos de l'existence ne saurait donc s'affranchir d'une compréhension de ce qui est comme unique cadre.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 8 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Dès lors qu'il n'y ait d'autre concept plus fondamental qu'être, alors l'essence est la racine première de toute vérité.

Par conséquent, établir ce qui est conceptuellement juste à propos de l'existence ne saurait donc s'affranchir d'une compréhension de ce qui est comme unique cadre.

Nous l'avons vu...aucune définition ne peut cerner l'absolu de l'être puisqu'une définition est figée et limitée quand l'absolu est infini et dynamique 

Votre définition de l'être qui tient en 3 lettres est un absolu pour votre définition 

C'est aussi une erreur fondamentale, l'absolu n'etant ni l'être ni le néant mais leur interdépendance.

C'est d'ailleurs amusant que vous vous fatiguiez à définir le néant si l'être etait le fondement 

Ceci dit, nous avons déjà souvent échangé sur ces notions.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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S'il y a des définitions, il n'y a plus de définition.

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zenalpha Membre 22 512 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 2 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

S'il y a des définitions, il n'y a plus de définition.

S’il y a DES définitions, c’est que la vérité absolue n’est pas atteignable

C’est d’ailleurs pourquoi il y a DES définitions concernant dieu et DES philosophies de l’être et de l’existence

La plus grosse erreur en philosophie est de penser cerner la vérité 

En fait la philosophie donne du sens

Le mot sens à lui même trois acceptions, trois définitions principales

Les sens comme les sensations, les 5 sens selon Aristote

La direction où aller où ne pas aller : le sens interdit du code de la route

La signification, ce processus d’intellection qui nous rend compréhensible le concept

Nous avons 3 définitions et celle qui nous intéresse est la signification en philosophie 

Mais pour philosopher, quel est le point commun des 3 acceptions de sens ?

Un seul mot pour 3 définitions différentes sors tu un point commun ?

A chaque fois...le mot sens est extatique, je te laisse approfondir cette définition mais en gros, le mot sens renvoie toujours à autre chose qu’à lui-même 

Essaie de toucher ton toucher que ce n’est pas possible, ça n’à pas de sens, ça réclame une extériorité, si tu veux voir ta vue, il faux un miroir pour capter ton regard 

Pareil pour la direction, Paris Nice ne fait sens que le Temps du trajet, le sens nous dit où l’on va et non ou l’on EST. Une fois à Nice la direction n’à plus aucun sens...le chemin compte davantage que la destination si je dois te donner une direction à suivre...

Enfin concernant la signification...le sens d’une table est dans la table pour sa fonction à celui qui se sert de cet objet de bois ou de plastique et le sens n’est pas dans le mot lui même, une signification n’à de sens qu’en extériorité dans le signifiant et le signifié..

Ce que je veux te dire, c’est que la conséquence est lourde

Le sens de ton travail n’est pas dans le travail mais dans ta vie en relation au travail

Le sens d’être...n’est pas dans être ni dans le mot être mais dans ta vie en relation à l’être..

C’est ton vrai nom @JOSEPH DELETRE Joseph ? 

Je te laisse méditer

Modifié par zenalpha
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