Les mots ont le pouvoir de détruire et de soigner, l'orsqu'ils sont justes et généreux ils peuvent changer le monde.

La musique commence oû s'arrêtte le pouvoir des mots.

Le pouvoir des mots est la force de l'humanité.

Les mots ils sont légers, aériens, posés d'un trait sur du papier. Ils sont nos pensées, notre ressenti, ils ont toute l'importance à ce monde. Les mots sont millions de milliards dispersés dans des livres et ici. Les mots sont la liberté. Les mots s'envolent de nos claviers pour dire ce qui va et ne va pas. Les mots sont farandoles de nos phrases. Les mots sont l'humain. Les mots sont des humanistes en puissance biens utilisés.

      A vos petites mimines    Soyez créatifs

"... Faiblesse

Dans le "langage des oiseaux", c'est un mot qui pourrait énoncer le "fait" d'être "blessé", c'est en effet un mot qui peut avoir plusieurs sens et qui devient délicat à traiter...

On identifie souvent ce mot à de la fragilité et c'est très exactement ainsi que l'on peut se sentir, lorsqu'on laisse nos émotions faire surface...

Beaucoup d'hommes et de femmes, mais c'est surtout vrai pour les hommes, ont bien du mal à laisser paraître leurs émotions dites "négatives", comme la tristesse, pensant que pleurer est une faiblesse...

Est-ce vraiment le cas ?

Sommes-nous fragiles parce que nous laissons couler quelques larmes ?...

Sommes-nous donc contraint d'être, ou plutôt de paraître, constamment dur afin de démontrer notre solidité, face aux divers difficultés et tracas du quotidien ?

Certes, nous ne devons pas baisser les bras devant les adversités, quelles qu'elles soient mais finalement, n'est-ce pas aussi une part de notre humanité que de pleurer ?...

N'est-ce pas plus sain d'envelopper notre douleur, notre peine, de quelques gouttes d'eau qu'on peut évacuer lentement de notre corps, plutôt que de tout garder en nous et de se laisser déborder un jour, au point d'exploser, lors d'une situation anodine ?

La faiblesse serait donc plutôt de ne pas être capable d'accepter que nos émotions paraissent, hors ce sont bien nos émotions qui définissent notre nature...

Alors plutôt que de toujours vouloir "paraître", transformons ce que l'on considère, à tort, comme de la faiblesse, en une force, celle qui nous permet d'être enfin nous-même...

Laissons parler nos émotions, puisque ce sont elles qui nous invitent à devenir l'être que nous sommes vraiment...

Et rassurez-vous, laisser couler vos larmes ne rendra pas vos épaules moins solides pour autant, cela démontrera simplement que vous êtes bien vivant et qu'il est des moments où, vous aussi, vous pouvez avoir besoin d'une oreille attentive... ce qui laissera une place importante à vos côtés pour qui saura vous écouter... et vous saurez que vous n'êtes pas seul(e)...

Et c'est toujours agréable de savoir que l'on peut être présent, juste pour vous !... "

©Ghislain Sanchez

Les Petits Mots d'un Pirate

" Avec le temps, j'ai arrêté de dialoguer avec ceux qui ne m'écoutaient pas et avec ceux qui voulaient toujours avoir raison.

J'ai aussi arrêté de chercher les gens qui ne me cherchaient jamais, de penser à ceux qui ne pensaient jamais à moi.

J 'ai commencé à faire ce qui me fait du bien, sans excès mais avec passion.

J 'ai commencé à faire confiance à mon intuition pour tout, pour chaque choix, pour chaque personne.

J'ai commencé à éviter les gens négatifs et j'ai commencé à fréquenter les rares personnes positives.

Parce que j'ai appris à me respecter et j'ai commencé à me mettre en premier.

Parce que je pense que je le mérite. "

- Meryl Streep -

Il faudrait dire à Monsieur Orsot que quatre-vingts ans prends un s. Écrire des livres (en l’occurrence "Reprendre sa vie en main") c'est bien surtout quand on sait écrire.

à l’instant, Frank_N a dit :

Il faudrait dire à Monsieur Orsot que quatre-vingts ans prends un s. Écrire des livres (en l’occurrence "Reprendre sa vie en main") c'est bien surtout quand on sait écrire.

Bonjour Frank Te voila admit notre correcteur orthographique "sourire"

Il est des mots très doux ...

Et certains regards flous ...

Qui sont un avant goût ...

Des rêves les plus fous ...

Et ton âme trésaille ...

A travers la grisaille ..

Il s'y s'ouvre une faille ...

Juste un petit détail ...

Pour que ton cœur s'emballe ...

Sur un mot magistral ...

Le voilà qui s'installe ...

Attente sans escale ...

Le charme d'un regard ...

Peut à bien des égards ...

Devenir l'affûtoir ...

D'un tout nouveau départ ...

M

Parle-moi de tes silences, de ce que tu n'as jamais dit à personne.

Montre-moi des morceaux de ton âme que personne n'a jamais vu avant, des bouts de toi que tu caches, des souvenirs que tu gardes tout au fond de toi, des secrets dont tu as honte, des endroits que tu es le seul à connaître.

Parle-moi de cette personne qui t'as blessé au point que tu ne saches plus respirer, de celle qui t'as appris à vivre, et de celle qui t'as appris à aimer.

Parle-moi de ton premier amour, de ses yeux, de sa voix, de son rire.

Raconte-moi tes fous rires, tes larmes, tes cris, tes cicatrices qui font que tu es qui tu es.

Parle-moi de ta chanson préférée, de celle qui fait ressurgir de mauvais souvenirs, celle qui te motive et celle qui fait battre ton coeur plus vite.

Parle-moi, dis-moi tout sur toi, je veux tout savoir, je veux te connaître mieux que tout le monde, mieux que toi-même.

Sois avec moi la personne que tu es quand tu es seul dans ton lit le soir quand il n'y a personne pr te juger.: Stéph Gi -

Le monde va tellement mal que çà donne l'envie d'aller bien. Histoire de foutre la merde. Inconnu

Cet Alain Orsot n'aime pas et ne respecte pas l'orthographe. Il parle des mots sans les connaître.

Croire que l'on a un libre-arbitre, que l'on décide de l'endemain, est une illusion et une folle vanité.

La dame au chapeau.

Ce matin, elle se balade. Elle a pris son carnet et son crayon. Ce matin, c'est le mot "mot" qui a pris ses pensées. Elle pense à mettre des lettres dans son carnet. Elle voudrait avoir le temps de broder chacunes de ces lettres pour les coudre ensuite côte à côte. Elle aurait choisit les couleurs et les tons. Elle rêve qu'elle prendrait le temps pour embellir son ouvrage. Mais elle préfère le crayon. Elle pourrait dessiner aussi ses mots. Le A serait un lutin, le B serait un matin. et le C serait un crayon. Il lui faut un banc, pas trop de soleil et pas trop d'ombres, juste un banc confortable mi ombre mi lumière.  Elle trouve sa place. Il est vert et une place chaleureuse à côté d'un enfant est disponible. C'est imaginatif un enfant. Il suffit de l'écouter pour apprendre l'innocence de la jeunesse. Leurs mots sont magiques, feux d'artifices parfois. Alors, elle écoute, griffonne parfois efface. Elle cherche comment raconter les faits du jour du moment de l'instant. Son instinct lui fait penser qu'elle doit trouver mots et desseins dans son carnet. Alors, elle pense. "Je pourrais écrire comme cela, comme ceci." C'est pas facile de trouver les bons mots Le dessin c'est plus facile et le dessein n'en est que plus beau. Rentrée chez elle, elle remaniera ses écrits et ses croquis. Pour l'instant elle reste sur son banc. Elle observe, elle cogite. "Chez moi, bien installée à ma table je corrigerais, embellirais ce carnet sur lequel j'aime tant m'épancher. Je remiserais mon chapeau dans l'entrée jusqu'a ma prochaine balade" Le temps devient frais et puis ce nuage qui arrive ne lui dit rien de bon. Elle ne vit pas loin de là, elle sera vite chez elle. Elle regarde les mamans saisir la main de leurs enfants. il est temps de rentrer pour tout le monde. Quelques derniers mots, un croquis esquisé; elle paufinera à la maison. Zeyas

il y a 54 minutes, Talon 1 a dit :

Cet Alain Orsot n'aime pas et ne respecte pas l'orthographe. Il parle des mots sans les connaître.

Croire que l'on a un libre-arbitre, que l'on décide de l'endemain, est une illusion et une folle vanité.

N'attend rien des autres Donne de ta foi de tes mains et de ton coeur tu n'aura pas à dire merci.

Je pense que les mots sont infini en plus

il y a 1 minute, Mak Marceau a dit :

Je pense que les mots sont infini en plus

Infinis et colorés, c'est un mélange infinis de lettres et de possibles. Comme une recette de cuisine. "sourire"

Avec un "A", je ris :

Ha ! Ha! Ha !

Flûte j'ai mis un "H" !

Et me H "Manu" !

Avec un "A", un "B",

Je suis abbé !

Avec un "C" me voilà A.B.C !

(C- O)

Pitié : avec le "D"?

Mais je suis DCD !

Et j'en reste BABA :

Je joue plus au DADA.

Le BB de l'AB DCD

A lu trop de BD :

Il échoue à son BAC,

En reste bouche "B"

Sans CABA

Au soleil D'ACABA

Il est dans le CACA !

En a marre et il dit : C.A.C !

" Ce matin-là... je me suis parlé... "

Moi aussi... tu sais...

il m'est arrivé un beau matin...

de devoir repenser ma vie...

J'en avais gaspillé plus de la moitié...

dans l'oubli...

à ne penser qu'aux autres... "

Tout comme toi... peut-être...

Ce ne fut pas facile... au début...

de revoir ces images de ma vie...

en lambeaux...

mais je voulais les regarder...

j'avais laissé... tellement de gens...

jouer avec mon cœur...

tellement de gens... détruire mon âme...

et me blesser... "

J'avais du regret... pour le mal...

que je me suis laissé faire par eux... et...

Ce matin-là...

Là... j'ai beaucoup pleuré...

et... j'ai osé pour la première fois...

me regarder... et m'écouter...

J'ai vu alors...

la femme que j'étais vraiment...

et... je me suis pardonnée... "

Pardonnée... de m'être oubliée... "

Toute ma vie...

je me suis sentie... fragile et démunie...

c'est pour ça d'ailleurs... que j'écris... "

Je suis une rêveuse... une solitaire...

une petite femme éphémère...

avec un cœur grand comme l'océan...

qui a aimé... jusqu'au bout de son sang... "

Il y a toujours des larmes dans mes yeux...

Ça... c'est pour toutes les fois...

où... je n'ai pas voulu baisser les armes...

J'aurais pourtant dû comprendre...

bien avant...

qu'entre deux pays...

il y a un océan... "

J'ai passé... plus de la moitié de ma vie...

dans le rêve... maintenant...

je n'ai plus besoin d'anesthésie...

je veux vraiment parler...

à la femme que je suis... "

Ce matin-là... j'ai effacé de ma vie...

tous les souvenirs amers...

les mauvais rêves...

et tout ce qui m'avait fait souffrir...

Je n'ai gardé que le merveilleux...

et c'est là... que les larmes...

sont revenues dans mes yeux... ''

Là, j'ai souri... et j'ai compris...

que je ne serais plus jamais seule...

pour pleurer...

Je venais à peine de me rencontrer... "

Inconnu

Quand on y pense, les belles choses ne font pas de bruit.

Une guerre fait du bruit, une dispute fait du bruit.

Mais les câlins et les regards ne font pas de bruit.

Même le bonheur, éphémère ou constant, aime le calme.

Celui qui se crée dans l’âme quand nous voulons bercer et protéger nos précieux moments.

C’est tout un mouvement de cœurs et de respirations, mais il n’y a pas de bruit.

Et une fleur... une fleur s’épanouit en silence.

Nadia Crisci

J’ai soif

J’ai soif de gens vivants, de gens simples et aimants.

J’ai soif de gens amoureux, doux et tendres.

J’ai soif de gens qui ne jugent pas, qui aident et qui évoluent.

J’ai soif de gens qui pardonnent et qui rient.

J’ai soif de gens authentiques et qui s’en fichent du paraître.

J’ai soif d’esprits attentifs et profonds.

J’ai soif de gens qui s’aiment vraiment…

Jenny Trolliet