Sauver l'école, coûte que coûte, le défi majeur de Blanquer.

Sauver l'école, coûte que coûte, le défi majeur de Blanquer.

Outre la menace sanitaire, le ministre Jean-Michel Blanquer doit achever la mue de l'Education nationale avec le « Grenelle » prévu début février. Le bon élève de la Macronie doit aussi relever le défi électoral lancé par le président pour les régionales. Avant de voir plus loin en politique.

A l'issue d'une journée-marathon comme seul un agenda de ministre sait les produire, Jean-Michel Blanquer paraît épuisé. Entre des rendez-vous avec les leaders syndicaux Laurent Es-cure (Unsa) et Laurent Berger (CFDT), ses vœux à tout ce que l'Education nationale compte de hiérarques locaux (recteurs, directeurs départementaux, inspecteurs…) et des réunions avec la Direction des sports et l'Agence du service civique (son ministère a avalé la Jeunesse et les Sports), le ministre n'a pas soufflé. Et un peu tourné de l'œil… Mais, bonne nouvelle ce 7 janvier au soir : il n'accompagne pas le Premier ministre à la conférence de presse qui doit étendre le couvre-feu. " C'est bon signe ", souffle-t-il alors, la mine réjouie. Les écoles restent ouvertes. Pour le moment… Une petite victoire au début d'une année 2021 chargée en défis personnels pour le ministre de l'Education nationale. Outre la menace sanitaire, Jean-Michel Blanquer doit achever la mue amorcée du " mammouth " de la rue de Grenelle.

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qu'est ce qu'il ne faut pas entendre.

il me fait plus penser à un pompier pyromane.

juste déjà pour en savoir quelque chose car j'ai grandi avec un père syndicaliste, l'UNSA et la CFDT sont des syndicat pro patron et j'ai même vu de mon propre chef des entreprises qui plaçaient des cadres à la tête de collège ouvrier alors que normalement  il y à un collège cadre et un collège ouvrier. on pourrait parler de conflit d'intérêt.

je ne parle même pas des achetés (dis des vendus dans le milieu).(ça se comprend, le riche essaie toujours d'acheter le pauvre et le pauvre par nécessité se laisse acheter.)

au delà de ça , quand ils disent coute que coute, c'est de la dette et on en à par dessus la tête. ça rime, mais ce n'est pas si drôle.

Blanquer et sauver l'école dans la même phrase... J'ai une pensée pour tous les membres forumfr qui travaillent pour l'éducation nationale en tombant là-dessus : PLS

La seule chose qu'il veut sauver, c'est la capacité de travail des personnes qui ont des enfants.