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Béziers : la suppression du menu de substitution au porc à la cantine crée la polémique.

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
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il y a 32 minutes, Irisbleu a dit :

C'est une blague je suppose ? Si on demande à certains de payer 10 € un repas à la cantine publique, les parents concernés vont s'entendre avec le petit restaurateur du coin pour qu'il reçoive les enfants tous les midis avec ses bons petits plats, ils s'organisent entre eux pour l'aller-retour des mômes.

ça s'est déjà fait dans une commune française, ce n'est pas bien vieux, reportage tv.

Et que les autres se dem.., voilà tout.

La réaction des parents est logique.

A trop tirer sur la corde, à trop réclamer, à trop geindre et se victimiser, on se retrouve Gros Jean comme devant.

Bonjour Irisbleu,  bisous

Il est hors de question de payer pour certaines populations, le racket actuel c'est déjà de trop.

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 2 heures, soisig a dit :

......

C'est triste de vivre en enfer. Dans mon monde à moi, les enfants sont heureux.

.....

C'est l'éternel problème entre l'espérance, le rêve et la réalité. Tu as raison, faut qu'ils soient heureux, le seront ils, une déferlante dans 10 ou 15 ans de 500 millions de réfugiés climatique, risque d'autre épidémie bien plus grave suffit d'aller voir OMS, un effondrement économique, la crise des engrais, occasionnant une famine mondiale, avec guerre, plus assez d'eau potable, dérèglement climatique, catastrophe en tout genre. C'est évident que pour eux ce sera le rêve du bonheur.

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, dede 2b a dit :

Et qui finance tes producteurs du coin, car ce n'est pas ce que coute les repas aux parents qui permettent à ces restaurateurs de vivre, même si les charges sont pas les mêmes!

Oui y a deux mondes et pas qu'en France, les prolos et les bourgeois! 

Mes producteurs du coin se financent eux-mêmes...nous ne sommes pas en Corse...

La cantine des enfants et des retraités, en plus des "chez eux" et du centre d'accueil/maison de retraite est gérée par l'Association chargée de la gestion de la cantine de l'EP primaire mixte Association loi 1901!

Ma commune est petite et riche...l'endettement par habitant est quasi inexistant!

Il y a 3 heures, dede 2b a dit :

Et qui finance tes producteurs du coin, car ce n'est pas ce que coute les repas aux parents qui permettent à ces restaurateurs de vivre, même si les charges sont pas les mêmes!

Oui y a deux mondes et pas qu'en France, les prolos et les bourgeois! 

Il existe des "bourgeois" pauvres et des "prolos" riches...

Ca ne veut plus rien dire depuis belle lurette ces luttes des classes!

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, zorba a dit :

et vous donnez combien pour le téléthon?

Je laisse aux bourgeois l'occasion de faire la charité médiatisée!:miam:

Il y a 3 heures, zorba a dit :

pas sur,cet été j ai passé un col  ds le Cantal,il vendait du fromtoc direct ,la ferme était à 500 m,et bien c était 2 fois le prix plus cher que ds la vallée;c est que depuis 1982,les prix sont libres,avant c était fixé en conseil d état

Je parle de la cantine, pas du fromage!

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, zorba a dit :

meme si

meme si j ecrivais un livre,tu trouverais à  le critiquer,qu il ne s est écrit avec intelligence mais par l opération du st esprit!!

il ne vendait pas d orange ou des bananes ds ce temps là!!

A quoi  servaient les colonies alors?

Depuis 1950, des chercheurs mesurent le contenu nutritionnel de l’alimentation. À côté des glucides, protides et autres lipides, la présence de micro-nutriments – vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras et acides aminés – est indispensable à notre santé. Or dans les années 1950, manger une banane, une orange et une pêche, suffisait à pourvoir les « apports journaliers recommandés » (AJR) d’une personne en vitamine A. Aujourd’hui, vu les teneurs en nutriment, il faudrait 5 bananes, 10 oranges, et 26 pêches pour avoir sa dose de vitamine A ! C’est ce que révèle une étude menée au Canada en 2002 et publiée par le premier quotidien du pays, The Globe and Mail, et la chaîne de télévision CTV News. Cette étude compare les tableaux de nutriments publiés à différentes époques, avec les taux de vitamines et minéraux contenus dans 25 fruits et légumes.

Résultats ? En un demi-siècle, la pomme de terre a perdu plus de la moitié de sa vitamine C et de son fer, plus d’un quart de son calcium. Et 100 % de sa vitamine A, un nutriment indispensable au développement des cellules et au fonctionnement du système immunitaire ! Selon cette étude canadienne, quasiment 80 % des aliments testés ont vu leur teneur en calcium et en fer diminuer.

----------Même que des études sur les vitamines existaient déjà...y compris pour les oranges et les bananes...

Il y a 3 heures, dede 2b a dit :

Le producteur du coin fait le même prix que l'industriel ?  C'est de ce prix là que je parles, car le reste est financé par les collectivités locales!

Ma première orange je l'ai eu en 53, j'avais ....10 ans soit il y a 68 ans depuis ....ce matin 10heures. Merci !

Bon anniversaire...moi j'en ai mangé bien avant mes 10ans...

Le producteur du coin, ce sont des fermiers bio et des fermiers qui vendent en circuit court...

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, soisig a dit :

Tu vis dans quel pays ? En France, il n'y aucune pénurie de lait

Forcément, c'est un choix proposé, pas une obligation

Les cuisiniers . Moi je propose des menus de substitution aux enfants et aux adultes. Par contre, ce n'est pas au jour le jour, mais à l'année.

C'est triste de vivre en enfer. Dans mon monde à moi, les enfants sont heureux.

Ben si, tu choisis de gouter ou pas. Pour ma part, je conseille aux enfants de gouter, quand le plat ne les attire pas.

Sans doute à une époque où c'était une honte pour la femme de travailler à l'extérieur. Ma mère travaillait, c'était mal vu, mais nous mangions à la cantine, avec tous les autres enfants, dont les mamans ne travaillaient pas.

L'odeur peut être trompeuse. As tu déjà gouté aune tarte à la fleur d'aunis ? ça pue les pieds et pourtant, c'est délicieux.

Pas du tout, quand j'étais au collège, c'était un self et nous avions le choix entre deux pats.

Quand tu vas au restaurant, c'est ton choix. Si les menus proposés ne te conviennent pas, tu vas ailleurs.

Ben oui, je maintiens donc que la majorité de la population n'a pas connu les tickets de rationnement. Il y a plus de Français de - de 71 ans que de plus 71 ans

Dans mon restaurant scolaire, c'est 3,5€

Les femmes ont toujours travaillé peu ou prou...de quelle honte parlez vous?

Ma mère travaillait, mes grands-mères travaillaient, avant elle...je ne comprends pas, car ce n'est pas la première fois que vous l'écrivez...dans ma famille les femmes ont toujours travaillé...beaucoup avec leur mari d'ailleurs, différents commerces et production...agriculture, vignes, élevage...et les autres ne se tournaient pas les pouces...

Il y a 3 heures, zorba a dit :

je ne mange pas de porc ou de viande cause maltaitance sur etres vivants mais c est pas pour autant que je vais manger du fromage moisi ou odorifère

Tant que vous n'empêchez pas "les autres" de faire comme ils veulent et aiment...

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Membre, 42ans Posté(e)
zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)

10/01/2021 Municipales : les maires doivent-ils rendre la cantine gratuite à l'école  Plusieurs candidats aux municipales proposent de rendre la cantine gratuite pour les enfants issus de familles défavorisées. Coûteuse et égalitariste, cette mesure est loin de faire l'unanimité. LE BRIEF Savez-vous combien d’écoliers mangent à la cantine en France ? Sur les 6.700.000 élèves du primaire, seulement 63% des enfants de primaire se rendent au réfectoire au moins une fois par semaine, selon les chiffres de l'Agence nationale de sécurité sanitaire.  Si on regarde les chiffres de plus près, on voit que 40% des enfants de familles défavorisées ne mangent pas à la cantine tous les midis contre 17% seulement pour ceux issus des catégories supérieures. Les élections municipales ont lieu les 15 et 22 mars et plusieurs candidats proposent la gratuité des cantines dans leur programme. Rendre la cantine gratuite est-il vraiment la solution miracle dans ce domaine ? Le Brief d'Europe 1 a mené sa petite enquête à l'occasion du scrutin. Le tarif unique majoritaire Un maire a trois options pour xer le prix des repas de la cantine : le tarif unique pour tous, la gratuité totale ou la tarication progressive. Selon une étude du Centre national des études des systèmes scolaires (Cnesco) en 2017, le tarif unique concerne 55% des établissements. Le principe est simple : tout le monde paye pareil, riches ou pauvres. "D'un point de vue des inégalités d'accès à la cantine, le tarif unique n'est pas favorable car il est assez moyen. Il n'y a pas une demande très forte adressée aux plus favorisées, et il est évidemment discriminant pour les moins favorisées", explique Nathalie Mons, directrice du Cnesco. Autrement dit, on pourrait demander plus aux parents les plus riches, alors que c’est déjà trop pour les plus pauvres. "Le fait que les jeunes défavorisés fréquentent beaucoup moins la cantine s'explique par des raisons économiques. Le coût du repas s'établit en moyenne autour de 3,30 euros, ce qui est beaucoup moins que le coût réel. Pouvoir dépenser une telle somme par jour et par enfant représente un sacré budget à la n du mois." L'enjeu de la gratuité totale La deuxième option dont dispose le maire revient à aller vers la gratuité totale et inconditionnelle, une manière d'assurer l'égalité de tous les enfants devant leur plateau. "Comme l'école est gratuite, on peut décider que la nourriture que l'on fournit à l'école est gratuite", avance Louis Maurin, directeur de l'Observatoire des inégalités. C'est d'ailleurs ce qui existe en Suède et en Finlande. Les députés de La France insoumise ont déposé une proposition de loi bientôt débattue pour faire de la restauration scolaire un service public gratuit. "Il faut remettre au cœur cet enjeu de la gratuité?un temps très important pour la santé de nos enfants, pour la mise en collectivité et pour que les parents puissent travailler tranquillement", défend Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint Denis. Mais là aussi, il y a des bémols : "La gratuité totale veut dire qu'il y aurait des familles très favorisées qui en proteraient", souligne Nathalie Mons. "Aller vers une gratuité totale de la cantine ne se justie pas car ça ferait exploser les coûts." Deux logiques s'opposent : la première selon laquelle la charge de bien nourrir les enfants revient aux parents, et la seconde pour qui cette tâche revient à la société tout entière. 10 tarifs à Paris La troisième solution est une sorte de voie intermédiaire entre le tarif unique et la gratuité totale pour tout le monde : la progressivité du prix du repas, avec un tarif qui croit en fonction du revenu des parents. Souvent, cette progressivité est établie selon le quotient familial de la famille de l'enfant scolarisé. Par exemple, à Paris, il y a 10 tranches tarifaires, de 13 centimes pour le quotient familial le plus faible à 6 euros pour les familles les plus aisées Seulement 45% des établissements scolaires français pratiquent des tarifs modulés en fonction des revenus. "L'idéal est de pouvoir avoir une progressivité de façon à ce qu'il y ait des prix élevés payés par les familles les plus favorisées pour aider à réduire les coûts des familles défavorisées", défend Nathalie Mons. Une solution proche de celle-ci revient à pratiquer des tarifs progressifs, avec un échelon gratuit pour les familles les plus modestes. " On ne peut pas du tout laisser le choix aux communes parce qu'elles n'ont pas les reins solides " Il reste un dernier débat : et si nalement, toute cette histoire ne devait plus être du ressort des maires ? C'est précisément ce que proposent les Insoumis : "On ne peut pas du tout laisser le choix aux communes parce qu'elles n'ont pas les reins solides. Soit c'est l'État qui le décide, soit c'est très compliqué pour les collectivités", affirme Clémentine Autain. Une vision à laquelle s'oppose assez logiquement l'Association des maires de France. Quoi qu'il en soit, c'est une décision importante et un instrument majeur de la politique sociale des communes, dont les futurs maires seront élus dans quelques jours. C'est un véritable débat de société qu'il faudrait avoir sur cette question : "La France est un pays riche et a les moyens de faire manger gratuitement ses enfants dans les cantines. C'est un problème de choix politique", observe Louis Maurin. 

L ECOLE EST GRATUITE PARCE QUE OBLIGATOIRE DONC TOUT EST GRATUIT CAR OBLIGATOIRE

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, dede 2b a dit :

Bien sur, mais c'est tout de même le consommateur qui crée l'offre, si personne ne mange plus de viande Hippopotamus peut fermer boutique ou se recycler!

Question: Dans les école religieuses, genre catho, on sert de la viande le vendredi saint? Et dans les musulmanes de la charcuterie chaque jour! ?

Le vendredi saint c'est une fois l'an...le porc c'est une fois par semaine! et de moins en moins dans certaines cantines...si ça continue il va disparaitre des menus...

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Membre, 42ans Posté(e)
zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Morfou a dit :

Les femmes ont toujours travaillé peu ou prou...de quelle honte parlez vous?

Ma mère travaillait, mes grands-mères travaillaient, avant elle...je ne comprends pas, car ce n'est pas la première fois que vous l'écrivez...dans ma famille les femmes ont toujours travaillé...beaucoup avec leur mari d'ailleurs, différents commerces et production...agriculture, vignes, élevage...et les autres ne se tournaient pas les pouces...

Tant que vous n'empêchez pas "les autres" de faire comme ils veulent et aiment...

pourquoi alors des aliments sont interdits ,une boisson l absinthe,le lait non pasteurisé etc..

il y a 10 minutes, Morfou a dit :

Les femmes ont toujours travaillé peu ou prou...de quelle honte parlez vous

les filles mères,les prostituées

il y a 33 minutes, Morfou a dit :

Je laisse aux bourgeois l'occasion de faire la charité médiatisée!:miam:

si les riches donne pour téléthon ,alors peuvent donner pour tous les enfants de la cantine

 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, dede 2b a dit :

Argot des troupes indochinoises (Dech1918) / Nha-cué : paysan en langue vietnamienne (1969. Perdus dans le djebel)

 
Un nom devenu une insulte pour certains...
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Membre, 42ans Posté(e)
zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, soisig a dit :

absolument pas ! les enfants choisissent leur entrée et leur dessert, parmi un choix que JE propose, mais de même gamme. Par exemple, si ce sont des crudités, ils auront le choix entre des carottes râpées, des concombres ou une salade composée. Et ils peuvent panacher dans leur ramequin, vu que c'est eux qui se servent directement dans les plats. 

c est un peu dictatorial comme choix de proposition;je préfère la collégialité..après si c est une école privée,c est sur que marx est tabou

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, soisig a dit :

Ce sont les restaurant qui s'installent et créent les modes. Personne n'a réclamé aux fast food de s'installer en France. Ils se sont installés et les clients sont venus.

Les écoles catholiques sont sous contrat avec l'état? Je travaille dans l'une d'elles et le poisson, ce n'est pas forcément le vendredi, ça dépend des semaines. Nous avons des enfants qui ne mangent au collège que le vendredi, ce serait bête qu'il leur soit systématiquement proposé du poisson.

Dans mon collège, il n'y a pas de tarifs préférentiels, tous les enfants payent le même prix. C'est une école privée, la restauration n'est pas prise en charge pour l'Etat. Seuls les maternelles payent moins cher, car ils mangent moins. 

Ecole privée...je connais, j'ai payé...

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Membre, 42ans Posté(e)
zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)
il y a une heure, soisig a dit :

 il se fait allumer. Prends ce que tu veux mais mange ce que tu prends. ça concerne tous les plats et le pain. Notons d'ailleurs que le pain, la salade et les fruits sont en libre service dans la salle. Les enfants se servent autant qu'ils le souhaitent, mais interdiction de se servir et de jeter. Il y a même un espace réservé dans l'armoire réfrigérée, ou l'enfant peut remettre son dessert ou son yaourt, non consommés, à disposition des autres enfants. Enfin, nous disposons deux deux containers pour faire du compost et une fois par semaine, un agriculteur vient chercher les restes (gratuitement) pour nourrir ses cochons. La gaspillage n'est pas une fatalité, il y a plein de moyens de l'éviter, le premier étant le dialogue avec les enfants. 

se faire allumer: tu veux dire quoi,des punitions et des brimades:martinet, au coin,bonnet d ane

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 59 minutes, Promethee_Hades a dit :

C'est l'éternel problème entre l'espérance, le rêve et la réalité. Tu as raison, faut qu'ils soient heureux, le seront ils, une déferlante dans 10 ou 15 ans de 500 millions de réfugiés climatique, risque d'autre épidémie bien plus grave suffit d'aller voir OMS, un effondrement économique, la crise des engrais, occasionnant une famine mondiale, avec guerre, plus assez d'eau potable, dérèglement climatique, catastrophe en tout genre. C'est évident que pour eux ce sera le rêve du bonheur.

Chaque siècle a ses problèmes...le 20ème n'a pas été piqué des verts il me semble...

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 698 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, zorba a dit :

pourquoi alors des aliments sont interdits ,une boisson l absinthe,le lait non pasteurisé etc..

les filles mères,les prostituées

 

Le lait frais serait donc interdit? l'absinthe est une saloperie...question de santé...

Les filles mères, les prostituées? mais encore...

il y a 15 minutes, zorba a dit :

c est un peu dictatorial comme choix de proposition;je préfère la collégialité..après si c est une école privée,c est sur que marx est tabou

Marx le pique-assiette?

il y a 9 minutes, zorba a dit :

se faire allumer: tu veux dire quoi,des punitions et des brimades:martinet, au coin,bonnet d ane

Leçon de morale...ça manque dans le public...

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Membre, 42ans Posté(e)
zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
Posté(e)

A l école privée catholique ,elle donne l exempe sur l amour du prochain et le don désintéressé Dans le christianisme, une vertu théologale  Le mot « charité » est la francisation du latin caritas, -atis, signifiant d'abord « cherté », puis « amour » (et dont le mot anglais care, qui signifie le « soin » au sens le plus large, est l'un des dérivés). Cicéron, par exemple, prônait la « caritas generis humani », ce qu'on peut traduire par « amour du genre humain » . C'est par caritas que saint Jérôme, dans sa traduction latine (dite Vulgate) de la Bible, rend le mot grec agapé du Nouveau Testament. Le terme hébreu correspondant peut être hessed (חסד (qui signifie « générosité, bonté, bienveillance, grâce, miséricorde, etc. », selon le Nouveau dictionnaire international de théologie et d’exégèse de l’Ancien Testament et que le dictionnaire Brown-Driver-Briggs traduit par « amour ». Le concept de hessed (charité, bonté, amour de Dieu et du prochain) apparaît 246 fois dans la Torah. Pour autant, le hessed s'inscrit dans le principe juif plus large de Tsedaka qui signifie « justice » et « droiture », et qui est une mitsva (c'est-à-dire un Commandement et une bonne action) que le Juif doit accomplir tout au long de sa vie . Il relève de l'ensemble des Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed) qui constituent les « actes de bienfaisance » dont le Juif doit s'acquitter. Dès le commencement de la prière du matin, l'homme juif dit : « Voici les devoirs (à accomplir ), qui n'ont pas de limites (fixées par la Torah) : L'abandon de l'angle du champ aux nécessiteux lors de la moisson (Lév, XIX, 9-10;22 ) ; l'offrande des Prémices et le sacrifice, lors des visites au Temple à l'occasion des fêtes de pèlerinage ; les actes de charité et l'étude de la Torah ». Et puis : « Voici les devoirs qui donnent à l'homme une jouissance dans ce monde (ici-bas), mais dont le fonds lui en reste conservé (afin d'en jouir) dans le monde futur : la piété envers père et mère, la pratique de la charité, la fréquentation de la Maison d'Étude, matin et soir, l'hospitalité, la visite des malades, l'assistance au mariage (des indigents), la conduite du mort (à sa sépulture), le recueillement dans la prière, la médiation de la paix entre un homme et son prochain (et entre les époux) mais l'étude de la Torah équivaut à tous (les autres devoirs ci-devant énoncés) » . Le principe général de charité s'inscrit dans les Gemilut Hassadim (de gamol « accomplir, payer » et de hessed « générosité, bonté, grâce... »), littéralement « bonté de cœur » qu'on pourrait traduire par « actes de bienfaisance » incrits à travers les mitzvot. Selon le philosophe et théologien Maïmonide, « il existe huit niveaux de « charité », chacun supérieur au suivant : Le niveau le plus élevé, au-dessus duquel il n'y a pas de niveau supérieur, est de soutenir un ami juif en lui offrant un cadeau ou un prêt, en formant un partenariat avec lui ou en trouvant du travail pour lui... Un niveau de charité inférieur à celui-ci qui est celui de donner aux pauvres sans savoir à qui l'on donne et sans que le destinataire sache de qui il a reçu le don ; de cette manière une Mitzvah (Commandement, bonne action) est exécutée exclusivement « pour le bien du Ciel ». C'est comme le « fonds anonyme » qui se trouvait dans le Temple sacré, où [aussi] les Tzadikim (hommes justes) ont donné en secret et les pauvres en ont profité de manière discrète. Faire un don à un fonds de bienfaisance est similaire à ce mode de bienfaisance, bien que vous ne devriez pas contribuer à un fonds de bienfaisance si vous ne savez pas si la personne qui définit le sort du fonds peut faire confiance ou non et donc sage et un administrateur « de norme »,   Le judaïsme a plutôt tendance à écarter le terme de « charité » avec sa connotation hiérarchique peut être condescendante car il ne s'agit pas d'un acte de générosité : le possesseur de biens n'en est en réalité que le dépositaire par la bienveillance et grâce divine, et s'il est juste et droit (et non pas charitable ou généreux), il doit faire acte de justice en les redistribuant à autrui car cette part de richesse ne lui appartient pas . Il ne s'agit pas d'un acte arbitraire mais d'un devoir naturel et d'une obligation philosophique appliquée de justice, légale, sociale, morale, un acte méritoire pour le Juif qui reconnaît son devoir en tant qu'homme et en tant que juif et l'accomplit : il rend et paie ce qui est légitimement dû à autrui. De cette façon, il aide à corriger les inégalités dues à la pauvreté et réalise une partie du tikoun olam, la réparation du monde , à travers des actes récurrents de justice (dits de « générosité » ou « charité ») . Dans cette perspective, même le pauvre qui vit de la tsedakah (donc de l'aumône, de la « charité » d'autrui) doit être lui-même juste et accomplir la mitsva (Commandement) de redistribuer une partie de ce qu'il a obtenu . Ainsi, riches ou pauvres, tous les hommes ont l'opportunité de devenir « partenaires de Dieu » dans la nourriture du monde et dans la création, en constituant une chaîne qui suit le Commandement divin . En accomplissant ce devoir de justice, chacun permet donc à autrui d'y participer car ainsi, le pauvre aide le riche en cela qu'il permet également au riche d'accomplir sa mitzvah. Ainsi va la parole du Sage : « Bien plus que le riche fait pour le pauvre, le pauvre accomplit pour le riche » . La charité est la vertu reine des vertus : l'amour de Dieu et du prochain. Dans une perspective chrétienne, elle est la vertu théologale par laquelle on aime Dieu par-dessus toute chose pour lui-même, et son prochain comme soi-même pour l’amour de Dieu. Elle assure et purifie la puissance humaine d’aimer et l’élève à la perfection surnaturelle de l’amour divin. Paul de Tarse en a donné une définition dans la Première épître aux Corinthiens au chapitre 13 : « La charité prend patience, la charité rend service, elle ne jalouse pas, elle ne plastronne pas, elle ne s’enfle pas d’orgueil, elle ne fait rien de laid, elle ne cherche pas son intérêt, elle ne s’irrite pas, elle n’entretient pas de rancune, elle ne se réjouit pas de l’injustice, mais elle trouve sa joie dans la vérité. Elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle endure tout. [...] Les trois demeurent : la foi, l’espérance et la charité. Mais la charité est la plus grande. » (I Co 13, 1-7. 13). Supérieure à ces deux vertus, elle constitue le « lien de la perfection » . Saint Thomas d'Aquin ira jusqu'à dire qu'elle est la forme suprême de toutes les vertus théologales, commentant un verset de saint Paul ; la foi et l'espérance seraient rendues caduques par le retour de Dieu parmi les hommes, ne laissant de place qu’à l'exercice de la charité : « Maintenant donc demeurent foi, espérance, charité, ces trois choses, mais la plus grande d’entre elles, c’est la charité ». Dès le e siècle, dans un monde confronté à l’urbanisation, la charité s’organise en même temps qu’émerge la réalité sociale des pauvres ; l’on distingue dès lors plusieurs catégories de pauvreté. Du point de vue théologique se généralise la notion de pauvreté volontaire (paupertas spontanea), adoptée par les moines dans un souci d’humilité et de vie apostolique. Cette pauvreté volontaire s’inscrit dans une démarche plus large d’imitation du Christ qui entraîne le développement de l’assistance pour une double raison : l’imitation des actes du Christ et la révérence des pauvres considérés comme des reflets de l’image de Jésus . Ainsi, la charité constitue l’une des questions philosophiques centrales dès le e siècle, puisque Bernard de Clairvaux, Aelred de Riévaulx, Guillaume de Saint-Thierry, Richard de Saint-Victor ou encore Pierre de Blois y consacrent d’amples réflexions. Cette réflexion théorique aboutit à une classification des œuvres de miséricorde, codifiées au e siècle comme suit : nourrir les affamés, désaltérer les assoiffés, vêtir les démunis, soigner les malades, visiter les prisonniers, enterrer les morts, selon ce que préconise l’Évangile . Ces six formes de don charitable représentent un devoir pour chaque chrétien, cependant le Moyen Âge voit les ordres religieux s’en emparer jusqu’à s’en faire une règle pour certains. Ainsi, les Antonins, les Trinitaires, les frères du Saint Esprit et bien entendu les Hospitaliers pratiquent cette charité et la transforment en une pratique d’assistance collective dès le e siècle. Le mot « charité », dans son sens religieux initial, est associé à l'idée de transcendance , alors que le sens du mot « amour » est plus général. Dans la tradition iconographique chrétienne, l'allégorie de la Charité est souvent celle d'une jeune femme allaitant des nourrissons. Les peintres italiens de la Renaissance représentent également la Charité sous les traits d'une jeune femme donnant le sein à un vieillard décharné, ce qui correspond au thème de la Charité romaine. Pour Cesare Ripa, la Charité tient à la main un cœur embrasé et des flammes, symbole de l'ardeur de son zèle, sortent de sa chevelure ; des enfants se pressent autour d'elle . Dans Le Triomphe de la chasteté de Piero della Francesca, le pélican nourrissant ses petits est également un attribut de la charité . Le mot Caritas est inscrit dans l'image du Sacré-Cœur révélée à sainte Marguerite-Marie Alacoque. Le Sacré-Cœur est par conséquent devenu dans la religion catholique le symbole de la charité chrétienne issue de Dieu. 

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Membre, Posté(e)
voileux Membre 7 613 messages
Mentor‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, dede 2b a dit :

Et qu'est-ce qu'il y a dans ces deux pains ronds ?

Oui en Français hamburger = pain rond et c'est d'origine....allemande!

Alors il y met ce qu'il veux dans son ham machin, y compris du porc! Ceci dit nos futurs auront des grandes bouche à défaut d'intelligence! ;)

Pour avoir construit les hangars mac do à sainte geneviève des bois, d'une part je n'ai jamais vu de porc, mais exclusivement du congelé, et rien que la couleur me faisait gerber

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zorba Membre 1 060 messages
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!!se faire allumer veut dire :etre vivement critiqué ,voire recevoir une correction;vos leçons de morale s inscrivent ds une pédagogie douteuse

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zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
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10/01/2021 Punitions et sanctions : jusqu'où peut-aller l'école ? - Quelles sont les règles à l'école en matière de discipline ? Alors qu'un ancien directeur de centre de loisirs vient d'être condamné dans l'Oise pour avoir attaché les mains d'un enfant de 4 ans avec du ruban adhésif, Valérie Piau, avocate spécialiste en droit de l’éducation, nous éclaire. - Virginie FAUROUX Un directeur de centre de loisirs peut-il perdre ses nerfs et attacher les mains d'un enfant de quatre ans avec du ruban adhésif ? Clairement non... L'ancien directeur d'un centre aéré de l'Oise vient d'être condamné pour ces faits par le tribunal correctionnel de Beauvais à trois mois de prison  "Une décision logique" pour l'avocate Valérie Piau, spécialiste en droit de l'éducation, et auteure du "Guide Piau, les droits des élèves et des parents d’élèves" (L’Etudiant Editions). "C'est clairement une violation du droit de l'enfant" , nous dit-elle, ajoutant qu'au niveau de la loi, il existe un principe de base, quel que soit l'âge de l'enfant : "toute punition donnée à l'école doit respecter sa dignité, son intégrité, ne doit pas être contraire à son intérêt, et ne pas présenter une forme de violence, qu'elle soit physique ou morale, comme le stipule la Convention des droits de l'enfant que la France a ratifiée. D'ailleurs, on peut rappeler que la France avait été épinglée en 2015 par le Conseil de l'Europe, sur la base de cette Convention, pour les châtiments corporels" , comme la fessée qu'elle n'interdisait alors pas, précise-telle. Une fois ce cadre posé, il y a ensuite un code de l'éducation, comme il existe un code du travail, qui réglemente les sanctions et les punitions que l'école a le droit d'infliger. LIRE AUSSI Oise : un ex-directeur de centre aéré condamné à du sursis pour avoir scotché les mains d'un enfant L'Assemblée se prononce contre les châtiments corporels envers les enfants . Punition, sanction... Ce n'est pas tout à fait la même chose "Pour les collégiens et les lycéens, les punitions sont des réponses immédiates aux faits d'indiscipline et sont prononcées directement par le professeur, le personnel de direction, d'éducation ou de surveillance. Elles doivent impérativement figurer dans le règlement intérieur, que les parents sont censés signer au début de l'année, et concernent des manquements mineurs ou des perturbations ponctuelles de la vie de la classe ou de l'établissement" , explique Valérie Piau. Il peut par exemple s'agir d'heures de colle. Les sanctions (un avertissement, un blâme, voire une exclusion définitive avec un conseil de discipline), elles, ne peuvent être données que par le chef d'établissement car elles se rapportent à "des manquements graves ou répétés et à des atteintes aux personnes ou aux biens" , comme le précise notre spécialiste, qui indique que les enfants d'école élémentaire ou maternelle en sont exclus. "Ils sont en effet beaucoup trop jeunes. Aucune exclusion n'est donc possible. On peut juste les priver éventuellement d'une partie de la récréation" , souligne-t-elle. Dans tous les cas, la sanction ou la punition doivent  s inscrire dans une perspective éducative et tenir compte de l'intérêt supérieur de l'enfant. Et les parents doivent systématiquement être informés par écrit de chaque punition donnée à leur enfant. LIRE AUSSI Institutrice suspendue pour avoir scotché ses élèves à leur chaise : jusqu'où la punition peut-elle aller à l'école ? Des punitions autorisées... "La loi n'a pas dressé une liste exhaustive des punitions autorisées, contrairement aux sanctions qui sont énumérées par l'article R. 511-13 du Code de l'éducation. L'Éducation nationale donne donc une liste indicative des punitions dans la circulaire n° 2014-059 du 27 mai 2014" , avance Valérie Piau. Cette liste indicative, qui sert de base à l'élaboration des règlements intérieurs des établissements, mentionne : • Le mot porté sur le carnet de correspondance ou sur un document qui doit être signé par les parents • L'excuse publique orale ou écrite. "Mais attention, dans ce cas-là, il faut que la dignité de l'enfant soit respectée, intervient l'avocate. J'avais ainsi entendu un cas où on avait fait mettre à un enfant un gilet jaune et on lui avait  demandé de balayer la cour, là clairement il y a un côté humiliant qui est inadmissible" , prévient-elle. • Le devoir supplémentaire (assorti ou non d'une retenue) qui devra être corrigé par celui qui l'a prescrit. Les devoirs supplémentaires effectués dans l'établissement doivent être rédigés sous surveillance • La retenue pour faire un devoir ou un exercice non fait. D'autres punitions peuvent éventuellement être prononcées. ... Et des punitions interdites • Mettre un zéro à un élève pour des motifs exclusivement disciplinaires, comme le bavardage, par exemple. Ou baisser la note de l'élève pour sanctionner son comportement. • Les punitions collectives : "Si les faits sont commis en groupe, il convient d'établir les degrés de responsabilité de chacun afin d'individualiser la sanction, ce qui n'exclut pas qu'elle soit identique pour plusieurs élèves" , précise la juriste. • L'exclusion de cours d'un élève laissé seul dans le couloir sans surveillance ni prise en charge par le service de la vie scolaire (surveillants, conseillers d'éducation...) : si, dans  des cas très exceptionnels, l'enseignant décide d'exclure un élève de cours, cette punition doit obligatoirement s'accompagner d'une prise en charge de l'élève par le service de la vie scolaire. En cas d'exclusion, “l'enseignant [doit demander] notamment à l'élève de lui remettre un travail en lien avec la matière enseignée” comme le rappelle la circulaire du 27 mai 2014. • Les punitions contraires à la dignité des élèves : la France, en adoptant la Convention des droits de l'enfant, a souhaité que "la discipline scolaire soit appliquée d'une manière compatible avec la dignité de l'enfant en tant qu'être humain". La Cour européenne des droits de l'homme, en condamnant le Royaume-Uni dont les collèges recouraient à des méthodes brutales et dégradantes, a contribué à faire disparaître de telles pratiques. Sont proscrites en conséquence toutes les formes de violence physique ou verbale, toute attitude humiliante, vexatoire ou dégradante à l'égard des élèves". • Demander à un élève de faire des lignes à copier, du type "Vous me copierez cent fois : 'Je ne dois pas porter de casquette en classe'". "La circulaire de l'Education nationale 2000-105 du 11 juillet 2000, indique en effet que la punition est censée avoir    UN Caractère Pédagogique,             ce qui n'est pas le cas ici", conclut Valérie 

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zorba Membre 1 060 messages
Forumeur alchimiste ‚ 42ans‚
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il y a 24 minutes, Morfou a dit :

Le

Les filles mères, les prostituées,mais encore

les domestiques;aujourd hui aussi,si tu ne veux pas qu on te pique ta place,tonjob ,tu fais gaffe de pas etre suivi  ou te faire remarquer quand tu vas au taf.C est pas de la honte,c est de la prudence

il y a 20 minutes, voileux a dit :

Pour avoir construit les hangars mac do à sainte geneviève des bois, d'une part je n'ai jamais vu de porc, mais exclusivement du congelé, et rien que la couleur me faisait gerber

mac do va avoir du mal de faire du pain qui a ta couleur

  • Confus 1
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