Dissertation sur la résilience

Bonjour, j'aurais besoin d'aide pour trouver quelques idées sur ce sujet de dissertation. J'ai pensé à parler du fait que la résilience ne mène pas forcément au bonheur mais je suis pas sûre que cela colle avec l'énoncé.

Merci d'avance

 « Le malheur n’est jamais pur, non plus que le bonheur. Un mot permet d’organiser notre manière de comprendre le mystère de ceux qui s’en sont sortis. C’est celui de résilience qui désigne la capacité à réussir, à vivre, à se développer en dépit de l’adversité » écrit Boris Cyrulnik dans Un merveilleux malheur. (2002). Vous examinerez de manière ordonnée ce que suggère cet énoncé en vous référant aux trois œuvres du programme.

il y a une heure, l.rvl a dit :

en vous référant aux trois œuvres du programme.

A ta place les idées je les chercherais d'abord dans les bouquins du programme, puisque c'est ce qu'on te demande, en les discutant ça te donnera l'occasion d'exprimer ta propre pensée

Je te conseillerai d'aller sur you tube et de lire les citations  de Churchill sur le succès.

il y a 6 minutes, querida13 a dit :

Je te conseillerai d'aller sur you tube et de lire les citations  de Churchill sur le succès.

Super, merci beaucoup

Il y a 2 heures, hybridex a dit :

A ta place les idées je les chercherais d'abord dans les bouquins du programme, puisque c'est ce qu'on te demande, en les discutant ça te donnera l'occasion d'exprimer ta propre pensée

J'ai essayé, mais dans le Gai Savoir de Nietzsche, le rapport n'est pas très évident

Et puis, le titre des deux autres?

il y a 1 minute, querida13 a dit :

Et puis, le titre des deux autres?

Les comtemplations livre 4 et 5 de Victor Hugo (il raconte la mort de sa fille Léopoldine et se remet peu à peu de cde malheur) et la Supplication de Svetlana Alexievicth qui raconte des souvenirs de personnes ayant vécy Tchernobyl

Bon bref comment exercer sa capacité de résilience lorsqu'on perd ce qu'on a de plus cher au monde:  avec les deuils, avec les grandes catastrophes,  réponse dans Nietzsche l'homme doit chercher en toutes choses ce qu'il doit surmonter. Il est maître de son destin, de sa légende personnelle, à lui de s'inventer et de se réinventer sans cesse.

Si tu veux approfondir tu peux aussi parler du refoulement freudien.

il y a 23 minutes, l.rvl a dit :

Super, merci beaucoup

J'ai essayé, mais dans le Gai Savoir de Nietzsche, le rapport n'est pas très évident

Pourtant il y a de la matière

Citation

Colloque

Ce n’est que maintenant que je te crois guéri.
Car celui qui a oublié se porte bien.

SENTENCE DE L’HOMME FORT

Ne demande jamais ! À quoi bon gémir !
Prends, je t’en prie, prends toujours !

À CONSIDÉRER

Une double peine est plus facile à porter
Qu’une seule peine : veux-tu t’y hasarder ?

MÉDICAMENT POUR LE PESSIMISTE

Tu te plains de ne rien trouver à ton goût ?
.....
D’avaler un petit crapaud gras,
Vite, et sans y jeter un regard ! —
C’est souverain contre la dyspepsie !

 

Citation

 

L'adversité peut-être excitant. Celui qui marche le long du chemin se prend à écouter les oiseaux, à rêver. Puis il bute sur un obstacle. Voilà la marcheur aux aguets qui force sa marche pour atteindre le but. Ceux qui réussissent sans peine n'ont pas d'efforts à fournir. Leur seul souci est conserver leur place. Ceux qui ne réussissent pas doivent redoubler d'efforts pour progresser. Lequel va arriver, le statique ou le dynamique ?

il y a 25 minutes, querida13 a dit :

Bon bref comment exercer sa capacité de résilience lorsqu'on perd ce qu'on a de plus cher au monde:  avec les deuils, avec les grandes catastrophes,  réponse dans Nietzsche l'homme doit chercher en toutes choses ce qu'il doit surmonter. Il est maître de son destin, de sa légende personnelle, à lui de s'inventer et de se réinventer sans cesse.

Si tu veux approfondir tu peux aussi parler du refoulement freudien.

Merci pour les idées

Pour le petit père Hugo c'est une optique différente: il avait la foi, il croyait à la persistance de l'âme après la mort. Pour communiquer tout de même au delà de  l'obstacle de la mort, il pratiquait le spiritisme et faisait tourner les tables...

 J'aime beaucoup la poésie intitulée:

Demain, dès l'aube ...où il s'adresse à sa fille morte comme si elle était vivante.

Je remonte aussi celui là, des fois qu'il inspire de nouvelles réponses ... 

La résilience, par la précarité des sens . Le langage pris en otage, par les autorités du pouvoir mis en place, capturant l'énergie, au profit de la matière grise . La suffisance pernicieuse, car prononcer je, tu, nous, ils, elles, ça, etc, dans une logique antagoniste binaire des cinq sens, réduit considérablement l'humain en simple témoin, et prive l'humain des connaissances, c'est pourtant parfois l'alternance paradoxale, confondant le serpent, et la corde, parce le vivant n'est jamais figé . La capsule egotique, des impatiences du temps .