Événement : lancement de Crew-1, ce week-end, premier vol commercial de la Nasa avec SpaceX

Après une dernière revue, la Nasa a fixé à samedi 14 novembre le premier lancement opérationnel et habité de la capsule Crew Dragon de SpaceX, depuis Cape Canaveral, en Floride. Baptisée Crew-1, cette mission emportera quatre astronautes, dont une femme : pour la Nasa, les astronautes de la Nasa, Shannon Walker, Michael Hopkins, Victor Glover, et pour la Jaxa, le Japonais Soichi Noguchi. Il s'agira de la première rotation d'équipage effectuée sur un vaisseau commercial depuis le premier vol habité à destination de l'ISS, il y a déjà 20 ans !

https://www.futura-sciences.com/alternative/amp/actualite/84144/

Croisons les doigts.

il y a 2 minutes, unjour a dit :

Croisons les doigts.

 

Début des vols commerciaux.

Pour l'instant ça doit être hors de prix, mais nos arrières petits-enfants pourront peut-être en profiter.

Les dégâts de la science fiction...

Ca ne sert à rien si on est confiné à 1 kilomètre maxi!

il y a 42 minutes, new caravage a dit :

Ca ne sert à rien si on est confiné à 1 kilomètre maxi!

Eux vont être confinés pendant 6 mois.

Le 13/11/2020 à 20:06, Loufiat a dit :

Les dégâts de la science fiction...

Tu pourrais développer ?

Il y a 10 heures, new caravage a dit :

Ca ne sert à rien si on est confiné à 1 kilomètre maxi!

A la verticale peu de chances de trouver la maréchaussée Sur la route 

Il y a 20 heures, DroitDeRéponse a dit :

Tu pourrais développer ?

L'annonce de ces premiers vols commerciaux fait écho aux représentations que nous avons (pouvons avoir) d'un avenir fait de conquêtes spatiales. La fascination est maximale (c'est compréhensible, qui peut prétendre y échapper ? c'est fantastique, cette coopération internationale, ce rêve ancestral qui fait écho en nous, etc.). La réalité est toute autre. La limite de la coopération internationale est bien sur la guerre que se livrent en fait les grandes puissances pour la domination de ce caillou-là et d'aucun autre. Le reste à mon avis est de la poudre aux yeux.

Il y a 3 heures, Loufiat a dit :

L'annonce de ces premiers vols commerciaux fait écho aux représentations que nous avons (pouvons avoir) d'un avenir fait de conquêtes spatiales.
La fascination est maximale (c'est compréhensible, qui peut prétendre y échapper ? c'est fantastique, cette coopération internationale, ce rêve ancestral qui fait écho en nous, etc.).

La conquête spatiale et la coopération internationale ne sont pas synonymes.

Il y a 3 heures, Loufiat a dit :

La réalité est toute autre. La limite de la coopération internationale est bien sur la guerre que se livrent en fait les grandes puissances pour la domination de ce caillou-là et d'aucun autre.
 

Pourquoi donc ?

La domination tout court est aussi une possibilité 

Il y a 3 heures, Loufiat a dit :

Le reste à mon avis est de la poudre aux yeux.

Pourquoi donc ?

Il y a des ressources sur les autres cailloux 

Réussi.

Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

Pourquoi donc ?

La domination tout court est aussi une possibilité 

Les conditions pour des exploitations gazières viables ne serait-ce que sur la lune ne sont pas remplies. Pourtant c'est la porte à côté. Les investissements nécessaires pour se lancer dans de tels projets seront-ils encore possibles dans 10, 20 ou 30 ans ? Rien ne permet de l'assurer. Les techniques ne vont-elles pas arriver à des points de blocage ? Les sociétés ne vont-elles pas également arriver à des points de blocage ? Parce que mener à bien de telles entreprises, sous visage étatique (chinois) ou privé (US, mais "privé" est abusif compte tenu du rôle des banques centrales), suppose une servilité des corps sociaux, une plasticité des milieux économiques, une conjonction de conditions "internes" et "externes" (la faisabilité technique - qui ne se décrète pas -, au-delà de la lune, n'est pas certaine).

Nul n'en sait rien, ce n'est pas de l'ordre du prévisible, on est dans la croyance (ce n'est pas péjoratif : la croyance est ce dont on vit). Ce qu'on sait par contre c'est la fascination qu'exercent ces projections sur nos imaginaires, d'autant plus quand d'autre part la montée des risques sur notre petite planète pousse à imaginer que l'avenir se trouvera ailleurs. Ce qu'on sait aussi c'est que, dans le cas d'éventuelles exploitations lunaires, si certains y parviennent, et que ce soit rentable, ce sera générateur de rivalités et de compétitions très fortes, etc. C'est d'ailleurs dans ce contexte que la "guerre des étoiles" s'est mise en place. Mais déjà elle a accumulé des difficultés titanesques. Il ne s'agissait pourtant "que" de la compétition et de la domination ici-bas.

Il y a 13 heures, Loufiat a dit :

Les conditions pour des exploitations gazières viables ne serait-ce que sur la lune ne sont pas remplies. Pourtant c'est la porte à côté. Les investissements nécessaires pour se lancer dans de tels projets seront-ils encore possibles dans 10, 20 ou 30 ans ? Rien ne permet de l'assurer. Les techniques ne vont-elles pas arriver à des points de blocage ? Les sociétés ne vont-elles pas également arriver à des points de blocage ? Parce que mener à bien de telles entreprises, sous visage étatique (chinois) ou privé (US, mais "privé" est abusif compte tenu du rôle des banques centrales), suppose une servilité des corps sociaux, une plasticité des milieux économiques, une conjonction de conditions "internes" et "externes" (la faisabilité technique - qui ne se décrète pas -, au-delà de la lune, n'est pas certaine).

Nul n'en sait rien, ce n'est pas de l'ordre du prévisible, on est dans la croyance (ce n'est pas péjoratif : la croyance est ce dont on vit). Ce qu'on sait par contre c'est la fascination qu'exercent ces projections sur nos imaginaires, d'autant plus quand d'autre part la montée des risques sur notre petite planète pousse à imaginer que l'avenir se trouvera ailleurs. Ce qu'on sait aussi c'est que, dans le cas d'éventuelles exploitations lunaires, si certains y parviennent, et que ce soit rentable, ce sera générateur de rivalités et de compétitions très fortes, etc. C'est d'ailleurs dans ce contexte que la "guerre des étoiles" s'est mise en place. Mais déjà elle a accumulé des difficultés titanesques. Il ne s'agissait pourtant "que" de la compétition et de la domination ici-bas.

https://www.spacex.com/human-spaceflight/mars/

Sinon ayé on va multiplier par 10 le débit entre Mars et la terre . 
Quel sera le prochain Mayflower ?