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Le monde d'après n'aura pas lieu en France du moins.....


erwinvandendaeledele

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ouest35 Membre 25 764 messages
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Il y a toujours un monde après ... il y a toujours un lendemain ... il sera ce qu'on en fait et prépare aujourd'hui .....

"2020. L'archipel de la gauche. Comment retrouver la gauche perdue?

En cet été 2020, on est à moins de 2 ans de la présidentielle. La gauche qui aurait dû changer de logiciel après le bigbang de 2017, a poursuivi  dans les mêmes travers. Ils se sont même aggravés au fil des consultations. Aucun ensemble cohérent avec des propositions percutantes, n'est venu troubler une dégradation qui fait ressembler le paysage politique à gauche à celui de 1958. Il n'y avait plus que boutiques et boutiquiers. On a pu dire pour l'époque "qu'en dehors du PC et des gaullistes il n'y avait rien". Et aujourd'hui en dehors de M Le Pen et de Macron qu'y a-t-il?. Le titre de l'excellent ouvrage de Jérôme Fourqet "L'archipel français" pourrait être repris pour caractériser la gauche.

L'archipel de la gauche pourrait-on dire pour ajouter aussitôt, que faire, comment faire pour retrouver la gauche perdue?

 

L'archipel de la gauche. La gauche n'est plus qu'un ensemble indéfinissable de chapelles, sans liens entr'elles, chacune jalouse de son identité.

Les grandes forces traditionnelles sont divisées, épuisées. Le PC n'en finit plus de son déclin depuis les années 1980. Le PS, ombre de lui même, suit le même chemin en accéléré et en est réduit au soutien d'une candidature écologiste en 2022. Les nouveaux partis ne font qu'illusion. La France insoumise  a perdu toute crédibilité et sa radicalité empêche tout rassemblement. Les écologistes, s'ils ont réussi en milieu urbain aux municipales, sont en échec ailleurs et tellement divisés eux mêmes

Ce n'est pas mieux pour le mouvement syndical. Il n'y a aucun axe revendicatif partagé. Tout cela s'est amplifié depuis 2017. On ne voit plus de revendications portées par un mouvement unitaire. Pire, on est pas loin de traiter les concurrents de traitres, et on est allé jusqu'à voir des locaux syndicaux attaqués, signe d'un climat général délétère. 
La crise sanitaire, le révèle encore davantage..

 

Quels sont les grands points de désaccords sur le fond, à gauche?. Ils sont nombreux.
Il existe une tradition de divergences profondes qui viennent de loin et qu'il est impératif de résoudre, et vite, si l'on espère une gauche crédible. Je vois 5 thématique qui font problème aujourd'hui

- Décroissance et productivisme. L'écologie dont l'importance est maintenant partagée, reste pour des questions de tempo, de méthodes, un motif de clivage profond. Punitive pour les uns, très progressive pour les autres; décroissance indispensable pour les uns productivisme aménagé pour les autres. L'enjeu est de réconcilier les classes populaires avec l'écologie.

- L' Europe. Les clivages sur l'Europe ont atteint leur paroxysme au moment du référendum de 2005. A cette occasion on avait même vu les militants socialistes opter pour le oui et une fronde signée Fabius ne pas respecter la démocratie militante et prôner le "non". La crise actuelle rend évidente l'idée d'une Europe puissance, comme les idées de souveraineté nationale perdue. Un compromis sera  difficile
- Le communautarisme, la laïcité. Les désaccords sont profonds. (Voir Article la gauche ne sait plus où elle habite). Ils ont été exprimés par H Peña-Ruiz affirmant au congrès de la France insoumise un "droit d’être islamophobe". On observe parfois un "clientélisme anti Républicain" problématique dans certaines zones. En revenir à l'essentiel: c'est la loi qui fait nation, qui fait le vivre ensemble, et non la foi.

- La sécurité. Le tournant opéré par Ségolène Royal en 2007 se réappropriant la thématique de la sécurité avec son orientation sur "l'ordre juste “n’a pas été partagé et ne l'est pas encore aujourd'hui. La droite fait de la sécurité son fond de commerce et relance outrancièrement cette thématique. Où sont les réponses à gauche?.
- La décentralisation véritable. La gauche reste embourbée dans une posture jacobine qui lui vient de loin. Elle a organisé, élargit le mille feuille territorial en faisant des Communautés de communes un nouvel échelon. Une vraie décentralisation couplée à une véritable démocratie locale devrait donner corps aux bassins d'emploi, aux bassins de vie.

 

Sur toutes ces thématiques, aujourd'hui, il y a bien des "gauches irréconciliables”. Et, malheureusement, le seul recours possible au centre droit demeure l'extrême droite. La responsabilité des gauches est immense et le temps presse pour projet et porteur(euse) de projet

La mutation de la gauche de gouvernement, en opposition constructive ne s'est pas faite, car après 3 ans de Macronisme on en est toujours à trouver les meilleurs bons mots pour montrer que l'on est le meilleur opposant. Il faut faire Radical, plus radical que son voisin de gauche. Le PS n'échappe pas à cet engrenage  de la perte de crédibilité. Je partage l'éditorial de Caroline Fourest qui indique: " La seule gauche en position de détrôner le centre sera celle qui dira non, clairement, aux dérives extrémistes."

En outre une large partie de la gauche n'a pas compris que même un rassemblement d'appareils, un cartel c'est vraiment une soupe indigeste qui garantit la défaite.

Une présidentielle c'est une personnalité et un projet, concomitamment. Point de salut pour l'espérance si ceci n'est pas réalisé. C'est la seule façon de retrouver la gauche perdue.

Quand on observe le paysage, on est loin d'être rassuré. A cet égard la rentrée 2020 devra apporter une réponse, sinon la configuration de 2017 se répétera.
                                                                                                        Jean Claude Hiquet 11-08-2020

 
Perso je trouve son analyse digne d'intérêt !
 
"

Pourquoi la droite ne profite pas de la chute de la popularité de Macron

FIGAROVOX/TRIBUNE - Face au désintéressement grandissant des Français pour la politique, Maxime Tandonnet conseille aux partis de réinvestir le champ de l'intérêt général, au détriment des querelles politiciennes et des batailles d'ego.

https://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/09/17/31001-20180917ARTFIG00193-autour-du-bien-commun-reconcilier-les-francais-et-la-politique.php

....." La vie politique française

connaît, depuis quelques années, un véritable naufrage. Elle se résume à des successions de polémiques stériles, de scandales tonitruants et de lynchages médiatiques.

 

Le débat d'idées a été anéanti. Une idéologie unique fondée sur l'individu-roi s'impose largement sur les consciences. Les débats de société sur l'avenir de l'Europe, l'autorité de l'Etat, la Nation, la démocratie française, l'aide au développement, ont disparu.

Cette consultation et ce rapport vont à l'encontre de la tendance générale en montrant que la réflexion collective, préalable à l'action, est au coeur de la politique.

 

Les Républicains et la droite en générale doivent-ils davantage se consacrer aux idées et moins aux personnes?

Je le pense profondément.

Le culte de la personnalité, sous toutes ses formes, est une caractéristique de l'époque contemporaine. La vie politique et médiatique se focalise sur les personnes, soit pour les idolâtrer, soit pour les lyncher, ou les deux. Il faut voir dans ce phénomène une réaction destinée à combler le vide laissé par le débat démocratique. Il engendre une situation absurde.

Dans le monde moderne, infiniment complexe, un homme seul ne maîtrise presque rien. Toute forme de culte de la personnalité repose sur une illusion et une manipulation. L'un des enjeux de l'avenir, pour les Républicains, est de sortir de cet engrenage fatal. Avant de songer à se donner un chef, il est infiniment plus important de mener une réflexion de fond et de se forger une ligne politique.

Ne parlons pas encore de programme précis, mais d'un état d'esprit, d'un projet pour la France auquel il faut travailler. Il faudrait en revenir à une conception de la politique comme d'un travail d'équipe, certes autour d'un leader ou d'un coordonnateur, mais fondamentalement, un travail d'équipe.

Après l'élection de Macron, cela a-t-il encore un sens de vouloir refonder la droite? Le clivage droite/gauche est-il mort?

L'un des piliers de toute démocratie est la coexistence pacifique d'une majorité au pouvoir et d'une opposition prête à prendre la relève, dans un climat de respect, de dialogue et de consensus sur un socle de valeurs communes. A titre personnel, je n'ai jamais aimé la formule gauche/droite qui me semble trop manichéenne et trop connotée, en France depuis toujours, «forces du progrès» contre «forces du passé».

Pourtant, il est vital que face au pouvoir incarné aujourd'hui par LREM, la France dispose d'une opposition puissante, républicaine, protectrice des Français, favorable à la libération des énergies économiques, au progrès social et à la démocratie sous toutes ses formes.

L'idée d'une vaste coalition centrale couvrant le centre gauche et le centre droit et absorbant tous les courants modérés, serait, en France suicidaire. Elle aurait pour effet un renforcement considérable de l'extrême gauche comme de l'extrême droite et de plonger, à terme, le pays dans la paralysie politique voire un chaos sans nom.

70 % des adhérents refusent le principe de primaires ouvertes. Qu'en pensez-vous?

Toute forme de primaires est à rejeter. L'élection présidentielle est la rencontre d'un homme ou femme et d'un peuple. Elle n'a pas besoin du filtre des primaires.

Ils ont profondément raison. Les primaires ouvertes sont une absurdité. Elles trahissent l'esprit de la Constitution et de la République française.

En fractionnant le corps électoral en deux camps, les primaires nient l'indivisibilité de la République et l'unité du peuple français. Elles favorisent des positions extrémistes et utopistes, à l'image du déroulement de la primaire de gauche en janvier dernier. Elles aggravent le sectarisme de la politique française en figeant la bataille de deux camps idéologiques. Elles ouvrent la voie à toutes sortes de trucages comme la participation des électeurs d'un camp à la primaire de l'autre camp. Elles accroissent dangereusement la personnalisation de la politique, à travers le foisonnement de petits champions et de leur écurie de supporters, au détriment du collectif et du débat d'idées.

Toute forme de primaires est à rejeter. L'élection présidentielle est la rencontre d'un homme ou femme et d'un peuple. Elle n'a pas besoin du filtre des primaires.

Selon les adhérents, la droite doit être avant tout « réformatrice » (49 %), libérale (36 %) et gaulliste (33 %). Peut-on vraiment en tirer un enseignement d'autant qu'on peut donner un sens très différents à ces mots?

En effet, ces mots veulent tout dire et ne veulent rien dire. Quelle force politique renoncerait à être réformatrice si elle arrive au pouvoir, libérale, c'est-à-dire respectueuse des libertés, et gaulliste, se reconnaissant dans l'oeuvre du Général?

Macron est libéral et réformateur et il se revendique même du gaullisme dans son incarnation du pouvoir. L'opposition ne doit-elle pas se distinguer avec une ligne clairement différente?

Le rôle fondamental de l'opposition républicaine devrait être de dire la vérité sur ce qu'il est possible de faire et ce qui ne l'est pas et d'agir en conséquence

Il me semble que l'opposition des Républicains ne peut pas se contenter d'apporter des nuances à la politique telle qu'elle est conçue aujourd'hui et menée par le pouvoir. Il faut aller au-delà. La décomposition de la politique française n'est sans doute pas achevée et réserve encore des surprises.

Elle est partie du rejet viscéral, dans l'opinion publique, du mode de fonctionnement de la politique. 88% des Français ont l'impression que les responsables politiques ne tiennent aucun compte de ce que «pensent les gens comme eux» (Cevipof). La fracture démocratique reste toujours aussi profonde aujourd'hui. La vie politique glisse de décennie en décennie, toujours un peu plus dans la posture, la communication, les psychodrames, les annonces stériles, les manipulations.

Le rôle fondamental de l'opposition républicaine devrait être de réconcilier la politique avec le monde réel, de restaurer la notion de bien commun, de direction collective du pays dans un climat de modestie, de désintéressement de culte de l'action et des résultats. Il devrait être de dire la vérité sur ce qu'il est possible de faire et ce qui ne l'est pas et d'agir en conséquence.

Les centristes européens et les conservateurs souverainistes peuvent-il continuer à cohabiter dans le même parti. Ne faut-il pas renouer avec le RPR?

Le clivage est-il si marqué entre deux courants des Républicains? Les adhérents ou les sympathisants, dans leur immense majorité, ne sont ni fédéralistes, au sens de la création d'un Etat européen supplantant les Etats nationaux, ni favorables à la sortie de l'Union européenne.

Il doit donc exister un terrain d'entente autour de l'idée d'une Europe moins bureaucratique et plus respectueuse des démocraties nationales.

Se déchirer encore davantage serait se condamner à l'opposition éternelle. Il me semble préférable et plus intelligent, pour l'opposition républicaine, de s'engager résolument dans le défi de la réforme en profondeur de l'Europe ce qui est plus difficile que les slogans autour de l'Europe fédérale ou du frexit.

Le mot de «protection» n'apparaît pas. Pourtant confronté à l'insécurité physique, économique et culturelle, beaucoup de Français semblent y aspirer. La droite peut-elle protéger?

L'Etat a pour vocation première de protéger les citoyens. Sans vouloir jouer les prophètes de malheur, il est vraisemblable que nous allons vers des temps troublés.

Le risque de déstabilisation planétaire demeure considérable. Le Moyen-Orient reste une poudrière. La croissance de la population mondiale qui devrait atteindre les 12 milliards à la fin du siècle, soulève des questions aujourd'hui insolubles, en matière de ressources alimentaires et d'environnement, de développement économique et social et de régulation des flux migratoires. Les tensions nationalistes, idéologiques, économiques, communautaires peuvent dégénérer à tout moment dans le monde et provoquer des bains de sang. Le terrorisme islamiste menace nos démocraties.

L'une des priorités absolue de l'opposition républicaine doit aller au renforcement de l'autorité et l'efficacité de l'Etat face à ces dangers. C'est bien ce que les citoyens attendent de lui en tout cas.

Peut-elle également s'adresser aux classes populaires qui se sont majoritairement abstenues ou ont voté Le Pen?

La priorité absolue de l'opposition républicaine doit être de tendre la main à cette France qui se sent délaissée, celle des banlieues, du monde rural,avec respect, volontarisme et sans démagogie.

Oui, c'est à ces classes populaires qu'elle doit s'adresser avant tout. La fracture démocratique s'est traduite par une abstention de plus de 50% aux élections législatives. Cet événement, sans aucun précédent historique, a un sens profond: il montre qu'une majorité des Français a cessé de croire en la démocratie. Les images des magazines, de la télévision, les commentaires d'experts à la radio n'ont strictement aucun rapport avec le ressenti de la France populaire, la majorité silencieuse, face à la France supposée «d'en haut».

Il y a une France qui n'arrive pas à se faire soigner, ni à boucler les fins de mois, confrontée au mépris, au chômage, à la crise de l'école et à la violence, à l'enfer de certains transports. La priorité absolue de l'opposition républicaine doit être de tendre la main à cette France qui se sent délaissée, celle des banlieues, du monde rural, des 5 à 6 millions de personnes privées d'emploi, des 8 à 9 millions de pauvres, 3,6 millions de mal logés, avec respect, volontarisme et sans démagogie.

Certains dirigeants des Républicains commettent une faute lourde quand ils donnent le sentiment de s'en prendre aux chômeurs à pôle emploi ou aux soi-disant «assistés».

Comment le faire sans renoncer à l'électorat des grandes villes qui pour l'heure semble déjà avoir choisi Macron?

A-t-il vraiment choisi? Il me semble que le climat général du pays reste à l'incertitude et à l'attentisme. Cet électorat attend, lui aussi, autre chose de la politique. Il faut bien dire qu'aujourd'hui, aucune alternative ne lui est encore offerte.

Il me semble qu'une autre politique pourrait avoir un certain succès, celle qui consisterait à prendre les Français au sérieux, leur tenir un discours adulte, sans effets d'annonce, sans posture, sans démagogie, en les regardant droit dans les yeux, d'égal à égal, en leur rappelant qu'ils sont les seuls maîtres, que la politique est à leur service, et non l'inverse, en leur donnant des gages de sincérité dans le dévouement à la chose publique et de désintéressement personnel.

Il me semble que le pays ressent une véritable allergie à certains comportements comme le carriérisme ou l'ambition narcissique. Il attend et attendra de plus en plus de la part des hommes publics qu'ils se consacrent à l'intérêt général et non à leurs satisfactions de vanité......"

https://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/11/10/31001-20171110ARTFIG00261-maxime-tandonnet-avant-de-se-donner-un-chef-la-droite-doit-se-forger-une-ligne-politique.php....

Une voix de droite ex-conseiller de Sarkozy

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Membre, 79ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 826 messages
Mentor‚ 79ans‚
Posté(e)
Le 20/08/2020 à 06:53, jacky29 a dit :

t'as pas tort, Tolan! on peut rajouter aussi qu'une femme sur trois mourrait en couche, que les épidémies faisaient des ravages aussi bien dans le monde animal (donc le nôtre!) que le monde végétal, que tout accident pouvait s'avérer devenir mortel, même une blessure bénigne pouvait entrainer une gangrène et tuer... que la variole tuait dans les 400 000 personnes bon an mal an en Europe, que la diphtérie s'ébattait gentiment, idem pour l'anthrax, les grippes tuaient largement avec les complications cardio-respiratoires... qu'une simple appendicite évoluait en général vers une possible péritonite qui amenait à la fin de vie et de façon atroce... bref, il est de bon ton de cracher sur l'évolution de nos sociétés si mercantiles! 

Ça s'appelle le progrès, rien à voir avec le capitalisme 

Le 21/08/2020 à 09:10, Anatole1949 a dit :

Tous les systèmes ont leurs défaut et si je parle de communisme c'est parce que c'est récent et c'était soi-disant la solution miracle à tous les problèmes, des centaines de millions de personnes sont mortes à cause de ce fameux "idéal" et d'autres ont vécu un enfer toute leur vie.

Faut être réaliste, tu n'imagines quand même pas que tous les pays du monde vont subitement se mettre d'accord pour un plan écologique et ainsi réduire leurs consommations et raser chez eux tout ce qui est susceptible de polluer.

 

L'alternative au capitalisme ce n'est pas le communisme mais l'écologie politique. Aucune personne n'est encore morte à cause de ce mouvement (contrairement au capitalisme). Arrêtez d'agiter ces idéologies du passé, il existe d'autres alternatives

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 830 messages
74ans‚ Debout les morts...,
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il y a 15 minutes, bibifricotin a dit :

Ça s'appelle le progrès, rien à voir avec le capitalisme 

L'alternative au capitalisme ce n'est pas le communisme mais l'écologie politique. Aucune personne n'est encore morte à cause de ce mouvement (contrairement au capitalisme). Arrêtez d'agiter ces idéologies du passé, il existe d'autres alternatives

Je suis pour une écologie réaliste et donc progressive, mais trop souvent l'écologie vire à l'extrémisme et ne tient pas compte des réalités.

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)
il y a 35 minutes, bibifricotin a dit :

Ça s'appelle le progrès, rien à voir avec le capitalisme 

L'alternative au capitalisme ce n'est pas le communisme mais l'écologie politique. Aucune personne n'est encore morte à cause de ce mouvement (contrairement au capitalisme). Arrêtez d'agiter ces idéologies du passé, il existe d'autres alternatives

exact ,sauf lorsque l'écologie se transforme en parti politique et se fait courtiser par Mélenchon ...l'écologie passe au second plan après les tentatives d'union de la gauche ...

Yannick Jadot avait juré la main sur le cœur avant les municipales que son parti ne serait qu'écologiste et se démarquerait de la politique .... ça donnait envie de voter pour lui... s'il continue son envie de participer à l'union de la gauche les verts ne représenteront plus que ce qu'ils représentaient avant 2 ou 3%

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/la-rentree-delicate-de-jean-luc-melenchon-1233816

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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
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Il y a 2 heures, stvi a dit :

exact ,sauf lorsque l'écologie se transforme en parti politique et se fait courtiser par Mélenchon ...l'écologie passe au second plan après les tentatives d'union de la gauche ...

Yannick Jadot avait juré la main sur le cœur avant les municipales que son parti ne serait qu'écologiste et se démarquerait de la politique .... ça donnait envie de voter pour lui... s'il continue son envie de participer à l'union de la gauche les verts ne représenteront plus que ce qu'ils représentaient avant 2 ou 3%

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/la-rentree-delicate-de-jean-luc-melenchon-1233816

Juste, les allemands ont un véritable Parti Vert ! (voir plusieurs) .... et participent au pouvoir !

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Membre, 79ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 826 messages
Mentor‚ 79ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, stvi a dit :

exact ,sauf lorsque l'écologie se transforme en parti politique et se fait courtiser par Mélenchon ...l'écologie passe au second plan après les tentatives d'union de la gauche ...

Yannick Jadot avait juré la main sur le cœur avant les municipales que son parti ne serait qu'écologiste et se démarquerait de la politique .... ça donnait envie de voter pour lui... s'il continue son envie de participer à l'union de la gauche les verts ne représenteront plus que ce qu'ils représentaient avant 2 ou 3%

https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/la-rentree-delicate-de-jean-luc-melenchon-1233816

Décidément, elle vous fait peur cette union des gauches. Je ne peux pas vous rassurer, car elle se fera inexorablement.

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 099 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
Il y a 20 heures, bibifricotin a dit :

Ça s'appelle le progrès, rien à voir avec le capitalisme 

L'alternative au capitalisme ce n'est pas le communisme mais l'écologie politique. Aucune personne n'est encore morte à cause de ce mouvement (contrairement au capitalisme). Arrêtez d'agiter ces idéologies du passé, il existe d'autres alternatives

je suis bien d'accord avec toi, bibi, cela se nomme le progrès comme tu dis, progrès en médecine, en biologie, en chimie organique etc... l'écologie et excuse-moi de te l'écrire n'est pas une politique, mais une science humaine... c'est simplement l'étude des corrélations entre le vivant et l'inerte. 

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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)

"Le terme écologie -- qui nous vient du grec oikos signifiant maison et logos signifiant science -- a été inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel.

Il désigne la science qui étudie la dynamique des populations et des peuplements (animaux, végétaux ou microbes) et le fonctionnement des écosystèmes et des paysages (cycle de matière, flux d'énergie). C'est la science qui s'intéresse aux relations des êtres vivants entre eux et avec leur environnement.

Ainsi l'écologie s'appuie sur des disciplines telles que la génétique, l'éthologie, la géologie ou encore la climatologie.

Car l'écologie est une science holistique qui se soucie non seulement des interactions entre les éléments d'un système, mais encore de l'évolution de ces interactions en fonction des modifications apportées à leur environnement. L'objectif des écologues -- encore appelés écologistes, même si le terme est devenu ambigu -- est donc de déchiffrer la complexité des écosystèmes naturels.

L’écologie étudie les écosystèmes à tous les niveaux, de celui des populations — au sein d’une même espèce — à celui de la biosphère.

L’écologie devient politique

Dès la moitié du XIXe siècle, avec l'avènement de l'ère industrielle, pointe aussi le bout de son nez, une écologie plus politique. Une écologie qui s'inquiète des impacts des sociétés humaines et de leurs activités économiques et industrielles sur leur environnement.

À partir des années 1970, cette écologie se donne pour objectif de protéger les écosystèmes et la biodiversité. L'environnement en général afin de permettre à nos sociétés de vivre de manière durable.

Aujourd'hui, c'est dans un contexte de crise écologique globale que cohabitent les deux déclinaisons du terme écologie. Le réchauffement climatique est l'une des manifestations les plus connues de cette crise. Mais il n'est pas le seul. Il faut lui ajouter l'extinction de la biodiversité, la pollution des sols et des eaux, la surexploitation des ressources naturelles, etc.

Et l'écologie politique s'alimente des travaux de l'écologie scientifique pour imaginer la transformation des modèles de développement, que ce soit à court, moyen ou plus long terme."...

" Dans sa théorie de l’évolution, Darwin propose que le moteur la sélection naturelle soit la lutte pour la survie (struggle for life). Dans un environnement changeant, l’Homme, comme les autres espèces, est soumis à ces lois de l’évolution.  "

https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/developpement-durable-ecologie-133/

 

Jusqu'à preuve du contraire l'espèce animale "Homme" est la seule connue à ce  jour a être conscient de ces changements et à pouvoir l'exprimer .... et surtout a avoir accélérer le processus par ses "âneries" ... dont la déforestation, (mais il fallait se loger, se chauffer etc dit-on ... et l'homme a su faire... ensuite il a été tellement orgueilleux qu'il a même utiliser des ressources naturelles (l'uranium) pour envoyer des bombes sur le Japon ... tuer des civils : aujourd'hui il focalise sur Mr Pognon l' Ephémère  qui permet de saccager la nature, l'air, et l'homme lui-même !

Etre Ecologue et Econome tout en progressant vaste programme .... c'est pourtant la seule issue pour continuer a admirer des forêts, des rivières, des sables et des déserts ... et rencontrer nos frères les animaux et sourire a cousin poireau et sa soeur carotte et le bel abricot  !

Mais on y arrivera les hommes sont essouflés, tout va trop vite ... ils trouveront bien le chemin de l'oasis comme ils ont sut se fourvoyer dans les entreprises de destruction massive en tout genre .... dont la guerre seule chose qu'ils ont cru nécessaire pour rétablir la paix (les imbéciles) ! :rolle:

 

 

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 099 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
Le 21 août 2020 à 13:00, erwinvandendaeledele a dit :

Petite personne , c'est à voir qui l'est , l'agressivité démontre la faiblesse de la personne qui agresse l'autre et aussi quand on a rien à dire il vaut mieux se taire plutôt que d'être pitoyable.....

Erwin Professeur Honoraire universitaire en sciences économiques et politiques

Membre du boerenbond et cdnv 

Ceinture noire première dan shudokan ( Karaté)

un peu moins d'ego étalé avec complaisance ne peut nuire à ta personne! pour le reste de ton texte, tu peux poster ce que tu veux, personne ne peut vérifier si c'est réel ou si c'est fantasmé. passe une belle journée. 

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