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Une année et sept mois sans gouvernement belge


erwinvandendaeledele

Messages recommandés

Membre, 69ans Posté(e)
Baby Forumeur‚ 69ans‚
Posté(e)

Une année et 7 mois sans gouvernement en Belgique !

Formateurs , préformateurs , conciliateurs et j'en passe , ou le ridicule ne tue pas , vers de nouvelles élections ?

Et pour quoi faire ? La lassitude des citoyens belges est marquante , qui s'intéresse encore à la politique en Belgique ?

Cela en devient risible , et quel est le fond du problème , la bulle des 5 actuelle ne possède pas la majorité pour former un nouveau gouvernement ,

les essais avec les écolos ont capotés , pourquoi ? Car les notes fournies par la NVA sont imbuvables (scission des compétences aux régions et autonomie à peine déguisée de la Flandre , maintenant on revient chez les libéraux mais leur porte-parole agace au nord par son arrogance , alors que le Mr représente un nombre insignifiant d'électeurs (les riches) .

 

  • En Belgique, l’absence de gouvernement  ne pénalise pas l’activité,

le royaume est toujours privé d’un gouvernement de plein exercice. L’économie a étonnamment résisté au ralentissement de l’Allemagne, aux incertitudes du Brexit, et à la guerre commerciale américaine.

Après la chute du gouvernement de coalition que dirigeait le libéral Charles Michel – aujourd’hui président du Conseil européen –, après les élections législatives de mai 2019, la Belgique est toujours privée d’un gouvernement de plein exercice. Panique à bord ? « Même quand il n’y a pas de pilote, l’avion vole », répondait, mardi 21 janvier, Bernard Gilliot, président de la Fédération des entreprises de Belgique. Le patron des patrons confiait cependant au quotidien L’Echo que « même si l’absence de gouvernement ne pèse pas sur l’économie, il y a clairement urgence ».

Si l’on scrute les seuls chiffres, la situation s’aggrave mais n’est pas désespérée, confirme Etienne de Callataÿ, économiste chez Orcadia Asset Management. « L’économie continue de fonctionner et les marchés permettent au pays de se financer avec un écart de taux minime par rapport à celui de l’Allemagne. Ce qui ne signifie pas que l’on puisse se passer d’un gouvernement qui prenne de bonnes mesures… »

Le royaume redoute peu les sanctions de la Commission

A politique inchangée – ce qui sera le cas tant qu’une nouvelle coalition n’aura pas vu le jour –, la situation des finances publiques continuera de se détériorer et le déficit pourrait atteindre 14 milliards d’euros en 2022 (2,8 % du PIB, pour 2,2 % prévus cette année). Loin du programme affiché par M. Michel et celle qui lui a succédé à la tête du gouvernement d’affaires courantes, Sophie Wilmès, ex-ministre du budget : la promesse faite à la Commission européenne était de revenir à l’équilibre dans deux ans, conformément au programme de stabilité.

De plus l'impact du coronavirus et l'effondrement de l'économie et le changement radical de comportement des citoyens belges ( e-commerce ) voit le budget belge s'effondrer par manque de recettes et la nouvelle crise économique mondiale qui s'annonce encore plus grave qu'en 2007.

Les promesses faites par l'ex Premier Ministre parti à l'Europe sont du vent et celles du Ps de ne jamais se joindre à la Nva , un mensonge de plus et in fine les dernières élections ont amenées des vainqueurs élus qui refusent de prendre leurs responsabilités car incapables à part de l'esbrouffe et du clientélisme ceci côté francophone ( ptb communiste) , par contre côté flamand le vlaamse belang se tient en embuscade derrière la nva . A suivre .....

Erwin Professeur Honoraire universitaire en sciences politiques et économiques 

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Membre, Ursidé bien léché, 74ans Posté(e)
l'ours 5785 Membre 5 101 messages
74ans‚ Ursidé bien léché,
Posté(e)

Rappelez moi, la Belgique sans gouvernement est a feu et a sang, est définitivement ruinée?

Pas au dernières nouvelles, ils se porteraient même plutôt bien. On devraient peut être prendre exemple sur eux et renvoyer tous ces trouducs du gouvernement et même ceux qui sont passés avant eux, quel que soit leurs partis, dans leurs chaumières. Cela nous feraient de sacrées économies. :D

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Membre, Talon 1, 80ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 375 messages
80ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Mais qui contrôle la cuisson des frites ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, erwinvandendaeledele a dit :

Une année et 7 mois sans gouvernement en Belgique !

Formateurs , préformateurs , conciliateurs et j'en passe , ou le ridicule ne tue pas , vers de nouvelles élections ?

Et pour quoi faire ? La lassitude des citoyens belges est marquante , qui s'intéresse encore à la politique en Belgique ?

Cela en devient risible , et quel est le fond du problème , la bulle des 5 actuelle ne possède pas la majorité pour former un nouveau gouvernement ,

les essais avec les écolos ont capotés , pourquoi ? Car les notes fournies par la NVA sont imbuvables (scission des compétences aux régions et autonomie à peine déguisée de la Flandre , maintenant on revient chez les libéraux mais leur porte-parole agace au nord par son arrogance , alors que le Mr représente un nombre insignifiant d'électeurs (les riches) .

 

  • En Belgique, l’absence de gouvernement  ne pénalise pas l’activité,

le royaume est toujours privé d’un gouvernement de plein exercice. L’économie a étonnamment résisté au ralentissement de l’Allemagne, aux incertitudes du Brexit, et à la guerre commerciale américaine.

Après la chute du gouvernement de coalition que dirigeait le libéral Charles Michel – aujourd’hui président du Conseil européen –, après les élections législatives de mai 2019, la Belgique est toujours privée d’un gouvernement de plein exercice. Panique à bord ? « Même quand il n’y a pas de pilote, l’avion vole », répondait, mardi 21 janvier, Bernard Gilliot, président de la Fédération des entreprises de Belgique. Le patron des patrons confiait cependant au quotidien L’Echo que « même si l’absence de gouvernement ne pèse pas sur l’économie, il y a clairement urgence ».

Si l’on scrute les seuls chiffres, la situation s’aggrave mais n’est pas désespérée, confirme Etienne de Callataÿ, économiste chez Orcadia Asset Management. « L’économie continue de fonctionner et les marchés permettent au pays de se financer avec un écart de taux minime par rapport à celui de l’Allemagne. Ce qui ne signifie pas que l’on puisse se passer d’un gouvernement qui prenne de bonnes mesures… »

Le royaume redoute peu les sanctions de la Commission

A politique inchangée – ce qui sera le cas tant qu’une nouvelle coalition n’aura pas vu le jour –, la situation des finances publiques continuera de se détériorer et le déficit pourrait atteindre 14 milliards d’euros en 2022 (2,8 % du PIB, pour 2,2 % prévus cette année). Loin du programme affiché par M. Michel et celle qui lui a succédé à la tête du gouvernement d’affaires courantes, Sophie Wilmès, ex-ministre du budget : la promesse faite à la Commission européenne était de revenir à l’équilibre dans deux ans, conformément au programme de stabilité.

De plus l'impact du coronavirus et l'effondrement de l'économie et le changement radical de comportement des citoyens belges ( e-commerce ) voit le budget belge s'effondrer par manque de recettes et la nouvelle crise économique mondiale qui s'annonce encore plus grave qu'en 2007.

Les promesses faites par l'ex Premier Ministre parti à l'Europe sont du vent et celles du Ps de ne jamais se joindre à la Nva , un mensonge de plus et in fine les dernières élections ont amenées des vainqueurs élus qui refusent de prendre leurs responsabilités car incapables à part de l'esbrouffe et du clientélisme ceci côté francophone ( ptb communiste) , par contre côté flamand le vlaamse belang se tient en embuscade derrière la nva . A suivre .....

Erwin Professeur Honoraire universitaire en sciences politiques et économiques 

Au moins tu n' as pas des lois pourries qui passent.

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 12 512 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Et si une Constitution inspirée du G 1000 était la solution ?

"G 1000

« Lancée en juin 2011 en Belgique, l’initiative du G1000 a permis de donner la parole aux citoyens sur la base d’un dialogue approfondi.

L’idée du G1000 est née dans une impasse institutionnelle. En juin 2011, une année après avoir voté aux élections fédérales, les Belges attendent toujours la formation d’un gouvernement, et s’impatientent. Le système paraît grippé, et l’écrivain David Van Reybrouck formule une proposition pour remettre de la fluidité dans les rouages de la politique. Il lance un appel en vue de « développer de nouveaux outils de délibération ».

Partant des limites de la démocratie représentative traditionnelle, qui « n’organise la participation civile que par le biais d’élections », il propose de la revivifier à travers la voix de ses citoyens. Avec un groupe de bénévoles, il imagine le G1000 – appellation calquée sur les sommets de chefs d’État du type G7 ou G20. Ensemble, ils concoctent un processus « en entonnoir » autour de trois étapes. D’abord, une large consultation en ligne, pour connaître les sujets de préoccupation majeurs ; puis les discussions se sont resserrées autour de tables rondes lors d’un sommet, à Bruxelles en novembre 2011, réunissant des citoyens tirés au sort ; enfin, un groupe restreint affine des propositions concrètes d’un panel de citoyens à l’issue de trois week-ends de discussion. » (Extrait du journal La Croix mai 2017)"

 

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