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Du côté des Ehpad

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Invité Barbara lebol

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Membre, 58ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, jacky29 a dit :

la sédation profonde est utilisée pour éviter aux malades de la souffrance et pas des moindres, tu dis n'importe quoi! en repensant à feue ma mère, j'aimerais te baffer que c'est peu de le dire! 

La sédation profonde et continue jusqu'au décès est un nouveau droit du patient, reconnu par la loi du 2 février 2016. Les professionnels de santé doivent mettre en œuvre tous les moyens à leur disposition pour que ce droit soit respecté.

https://www.parlons-fin-de-vie.fr/je-minteresse-a-la-fin-de-vie/la-sedation-profonde-et-continue-jusquau-deces/

Je dis n'importe quoi... Non. La preuve ci-dessus !

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)
il y a 44 minutes, jacky29 a dit :

pila, les chiffres que j'ai donné sont les chiffres officiels émis par l'OMS et comprennent les décennies 80 à 2010, les premiers cas furent enregistrés comme pneumonie atypique et comme "cancer des gays" en 1981... et pour les mêmes décennies, nous avons dans les 23 millions de morts de paludisme.  

https://fr.wikipedia.org/wiki/Épidémiologie_du_sida

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 943 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Abu nuwas a dit :

Bjr Morfou, 

 

Vous savez la pub dans ce domaine, ont la fuit. Moi même, mon épouse me l'a dit que la semaine dernière que la grippe dont elle m'avait cadeau en 2017 avait tué 17 résidents en 2 mois. Elle me le dit aujourd'hui bien sur parce que cette pandémie est sur toute les lèvres. Mais hier, c'est à dire en 2017, elle ne m'en a pas parlé, p'etre parce que sévèrement atteint elle n'a pas voulu m'inquiéter. Bref en règle générale ce n'est pas notre sujet de discussion, car je sais qu'elle est régulièrement confronté à la mort, donc j'évite le sujet. Cepandant et vue la situation je lui ai quand même posé la question, et donc dans son établissement ils en sont à 3 décès, les symptômes du Covid-19 était là, mais aucune preuve puisque les 3 résidents décédé n'ont pas été testé. Le problème étant qu'à partir du moment où il n'y a aucune réponse, bin certaine soignante se sont mise à l'arrêt, à un moment où le manque d'effectif est cruciale. Mais je ne leur jette pas la pierre, bien au contraire je les comprends. Mon épouse y va mais avec la trouille au ventre, ce n'est pas wonder woman, mais elle a une culture qui prend le dessus, ou on ne peut pas laisser les aînés à l'abandon. 

 

a+

Quand décès avec suspicion de covid, ils sont sensés faire des tests sur le reste des résidents et les personnels...

Ont-ils été demandés?

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 943 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Francelibre a dit :

La sédation profonde est utilisé pour les accompagnements de fin de vie....

En acceptant la sédation profonde dans les EPAHD, ce décret prouve que nos gouvernants ont choisi de laisser mourir nos anciens plutôt que de les soigner... 

laisser mourir par manque de soin, ce n'est pas si différent que ça de l'euthanasie...

S'ils sont en fin de vie ils doivent faire quoi?

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 62 943 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Francelibre a dit :

La sédation profonde et continue jusqu'au décès est un nouveau droit du patient, reconnu par la loi du 2 février 2016. Les professionnels de santé doivent mettre en œuvre tous les moyens à leur disposition pour que ce droit soit respecté.

https://www.parlons-fin-de-vie.fr/je-minteresse-a-la-fin-de-vie/la-sedation-profonde-et-continue-jusquau-deces/

Je dis n'importe quoi... Non. La preuve ci-dessus !

Je ne comprends pas très bien ce que vous voulez exprimer entre vos dires et le lien?

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Membre, Posté(e)
Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Morfou a dit :

Quand décès avec suspicion de covid, ils sont sensés faire des tests sur le reste des résidents et les personnels...

Ont-ils été demandés?

Bsr Morfou, 

 

Là vous prechez un convaincu, je suis parfaitement d'accord avec vous. Sauf que la demande doit être faite par la direction à sa hiérarchie. Étant donné comme je vous l'ai dit que je débas très peu avec ma moitié sur le sujet, parce que c'est déjà assez dure pour elle, et que certaine soignantes se sont mise à l'arrêt, j'en déduis alors que le personnel ou la direction n'en sait pas plus que moi. Pourtant elle bosse dans la ville où Louis Giscard d'étain est le maire. En faite quand je regarde on abandonne un personnel soignant qui lui même s'occupe des aînés abandonné par la société. Ça fait beaucoup, abandon sur abandon. D'autant plus que ce personnel ne s'occupe pas de patient, mais de résidents, avec qui il a créé des liens, aussi bien avec le résident qu'avec la famille de ce dernier. Par conséquence quand il y a un décès, le personnel est vraiment touché, mais à l'abandon. 

 

a+

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Invité Poseidon99
Invités, Posté(e)
Invité Poseidon99
Invité Poseidon99 Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 8 heures, new caravage a dit :

La meilleure amie d'enfance de ma partenaire de danse hispaniques est décédée cette nuit dans une maison de retraite et quasi personne ne pourra aller à ses obsèques !!

             On peur débattre de tout ce qu'on veut mais c'est la catastrophe à tout les niveaux!

Non mais t'inquiète   certains ici trouvent ca normal et tout va très bien madame la marquise ..:)

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 9 heures, Morfou a dit :

Le décret existe bien, c'est l'interprétation que vous en faites qui est "erronée"...

Le decret est appliqué,  et qu'on le veuille ou non, quelque soit le nom qu'on lui donne, on administre bien une fin de vie en injectant ce produit dans le cas du Covid19.

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 8 heures, cheuwing a dit :

Euthanasie different de sedation 

Non je pointe le fait que tu des informés et que c'est récurrent 

Ici c'est bien toi qui racontes n'importe quoi en disant que l euthanasie est pratiquée, donc ça m intéresse 

La sédation  est appliquée dans le cadre du Covid19 et est bien destinée selon le décret  à administrer une fin de vie. 

Vous racontez toujours la même chose la "désinformation "  blablabla ; donc on a compris votre message, il faut arrêter d'être en boucle et d'ergoter. 

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 9 heures, Francelibre a dit :

La sédation profonde est utilisé pour les accompagnements de fin de vie....

En acceptant la sédation profonde dans les EPAHD, ce décret prouve que nos gouvernants ont choisi de laisser mourir nos anciens plutôt que de les soigner... 

laisser mourir par manque de soin, ce n'est pas si différent que ça de l'euthanasie...

Tout a fait. Ce décret est applicable entre 2 dates précises et correspond  à une période d'épidémie du Covid19 ; il a été fait et est utile pour cela. 

Vous répondez à cheuwing mais il ressasse sans cesse le même propos en jouant sur les mots,  polémiquer et sans apporter quoi que ce soit de nouveau à son propre discours.

Modifié par Barbara lebol
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 761 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 9 heures, Francelibre a dit :

La sédation profonde est utilisé pour les accompagnements de fin de vie....

En acceptant la sédation profonde dans les EPAHD, ce décret prouve que nos gouvernants ont choisi de laisser mourir nos anciens plutôt que de les soigner... 

laisser mourir par manque de soin, ce n'est pas si différent que ça de l'euthanasie...

https://www.francebleu.fr/amp/infos/societe/les-medecins-generalistes-basques-approuvent-l-acces-a-un-sedatif-pour-mourir-chez-soi-1581351259

Le midazolam, un puissant sédatif jusqu'ici réservé à un usage hospitalier, sera bientôt disponible pour les médecins généralistes, annonce ce lundi le ministère de la Santé. Une très bonne nouvelle pour les médecins du Pays basque.

Les médecins généralistes pourront bientôt endormir leurs patients en fin de vie à leur domicile. Le midazolam, un puissant sédatif, était jusqu'ici réservé aux hôpitaux, mais il sera disponible d'ici quatre mois dans les pharmacies, annonce ce lundi le ministère de la Santé. 

 


 

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)

"Signe par Edouard Philippe et Olivier Véran, publié au « Journal officiel » le 29 mars, ce décret élargit donc temporairement le périmètre d’utilisation du Rivotril sous sa forme injectable. La mesure est valable jusqu’au 15 avril, ce qui correspond à la « vague » attendue de la pandémie.

Cette mesure d’exception devrait aider les soignants qui font face à la « détresse respiratoire » des patients, selon la formule médicalement consacrée, et soustraire ceux qui sont atteints par la forme la plus grave du Covid-19 à une mort par étouffement."

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
il y a 13 minutes, DroitDeRéponse a dit :

https://www.francebleu.fr/amp/infos/societe/les-medecins-generalistes-basques-approuvent-l-acces-a-un-sedatif-pour-mourir-chez-soi-1581351259

Le midazolam, un puissant sédatif jusqu'ici réservé à un usage hospitalier, sera bientôt disponible pour les médecins généralistes, annonce ce lundi le ministère de la Santé. Une très bonne nouvelle pour les médecins du Pays basque.

Les médecins généralistes pourront bientôt endormir leurs patients en fin de vie à leur domicile. Le midazolam, un puissant sédatif, était jusqu'ici réservé aux hôpitaux, mais il sera disponible d'ici quatre mois dans les pharmacies, annonce ce lundi le ministère de la Santé. 

 


 

C'est un genre d'autorisation à administrer une fin de vie, donc à légaliser l'euthanasie... mais uniquement au Pays Basque !

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Membre, 58ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 50 minutes, Barbara lebol a dit :

Tout a fait. Ce décret est applicable entre 2 dates précises et correspond  à une période d'épidémie du Covid19 ; il a été fait et est utile pour cela. 

Vous répondez à cheuwing mais il ressasse sans cesse le même propos en jouant sur les mots,  polémiquer et sans apporter quoi que ce soit de nouveau à son propre discours.

Qui plus est, cette histoire de date en dit long...

Quand à chewing, il n'a jamais supporté que l'on remette en cause "Jupiter" et sa politique !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, Barbara lebol a dit :

C'est un genre d'autorisation à administrer une fin de vie, donc à légaliser l'euthanasie... mais uniquement au Pays Basque !

Drôle de raccourci. Nulle part il n’est indiqué que ce serait réservé seulement au Pays Basque,  Ce n’est pas parce que .France Bleu Aquitaine parle des médecins du pays basque qu’ils ont interviewés, qu'il faut aussitôt que tu en face une déduction pareille.
 

D’ailleurs une simple recherche suffit pour trouver l’info de l’annonce de Buzin sur la prochaine autorisation de sortie de ce produit des hôpitaux, qui sera disponible en pharmacie. Et cela suite à la recommandation rendue le 10 février de cette année par la Haute Aurorité de Santé.Autorisation qui aurait dû être effective en juin. Décision qui n’a rien à voir avec l’épidémie, mais fait suite à la polémique sur l’accompagnement de fin de vie. Et surtout valable au niveau national. D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement. 
 

Je te laisse taper : autorisation midazolam  sur ton moteur de recherche et tu auras les liens nécessaires, que je ne peux pas poster, suite à un bug de copié collé sur le forum.

Voir les deux premiers liens, La croix, et les pharmaciens de france. 

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Fin-vie-Haute-Autorite-sante-veut-faciliter-lacces-midazolam-2020-02-10-1201077425https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Fin-vie-Haute-Autorite-sante-veut-faciliter-lacces-midazolam-2020-02-10-1201077425les deux premiers liens, La croix, et les pharmaciens de .france. 

 

 

e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à «e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs p

e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à «10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.

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Invité Barbara lebol
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il y a 3 minutes, Ines Presso a dit :

Drôle de raccourci. Nulle part il n’est indiqué que ce serait réservé seulement au Pays Basque,  Ce n’est pas parce que .France Bleu Aquitaine parle des médecins du pays basque qu’ils ont interviewés, qu'il faut aussitôt que tu en face une déduction pareille.
 

D’ailleurs une simple recherche suffit pour trouver l’info de l’annonce de Buzin sur la prochaine autorisation de sortie de ce produit des hôpitaux, qui sera disponible en pharmacie. Et cela suite à la recommandation rendue le 10 février de cette année par la Haute Aurorité de Santé.Autorisation qui aurait dû être effective en juin. Décision qui n’a rien à voir avec l’épidémie, mais fait suite à la polémique sur l’accompagnement de fin de vie. Et surtout valable au niveau national. D’ailleurs comment pourrait-il en être autrement. 
 

Je te laisse taper : autorisation midazolam  sur ton moteur de recherche et tu auras les liens nécessaires, que je ne peux pas poster, suite à un bug de copié collé sur le forum.

Voir les deux premiers liens, La croix, et les pharmaciens de france. 

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Fin-vie-Haute-Autorite-sante-veut-faciliter-lacces-midazolam-2020-02-10-1201077425https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/Fin-vie-Haute-Autorite-sante-veut-faciliter-lacces-midazolam-2020-02-10-1201077425les deux premiers liens, La croix, et les pharmaciens de .france. 

e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à «e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs p

e 10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à «10 février, la Haute Autorité de santé (HAS) a publié une recommandation sur les modalités d’utilisation des médicaments de sédation dans l’accompagnement des patients en fin de vie. D’après ces bonnes pratiques, le midazolam injectable est recommandé en première intention pour ce type de sédation. La chlorpromazine (Largactil) et la lévomépromazine (Nozinan) le sont en seconde intention. Or, le midazolam injectable n'est actuellement disponible qu'en pharmacie hospitalière : un problème que pointent les experts auteurs de ce document de référence lorsqu'ils appellent les pouvoirs publics à

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.

La réaction du ministère de la Santé ne s’est pas fait attendre : le jour même, Agnès Buzyn a annoncé la prochaine modification de l’autorisation de mise sur le marché (AMM) du midazolam injectable, avec pour objectif sa mise à disposition dans le circuit de ville d’ici à quatre mois, soit au début de l'été 2020. Selon le ministère, « la dispensation en ville permettra aux professionnels de santé de répondre à la demande des patients et de leurs familles de pouvoir choisir de finir leurs jours à domicile ». En parallèle de cette modification de l’AMM, les modalités exactes de délivrance et de suivi du midazolam seront formalisées dans un « parcours sécurisé prévoyant notamment, pour les situations nécessitant une démarche collégiale, l’obligation pour le prescripteur de passer une convention avec une équipe mobile ou un service hospitalier de soins palliatifs afin de garantir la collégialité de la décision ainsi que l’accompagnement et le suivi des patients ». Pour l'heure, un guide intitulé « Comment mettre en œuvre une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès ? » est à la disposition des professionnels de santé sur le site de la HAS.

Vous êtes trop bonne !

Je cherchais justement un remède pour vaincre mon insomnie !

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il y a 26 minutes, Barbara lebol a dit :

Vous êtes trop bonne !

Je cherchais justement un remède pour vaincre mon insomnie !

Le midazolam pour ton insomnie ? Ce serait un peu radical non ? Mais bon, tu fais ce que tu veux. :D

Modifié par Ines Presso
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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 032 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
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Il y a 7 heures, Barbara lebol a dit :

Le decret est appliqué,  et qu'on le veuille ou non, quelque soit le nom qu'on lui donne, on administre bien une fin de vie en injectant ce produit dans le cas du Covid19.

faux encore une fois, ce sont des sédatifs pour éviter qu'ils ne souffrent trop , et non pour accélérer leur fin de vie

Il y a 5 heures, Francelibre a dit :

 

Quand à chewing, il n'a jamais supporté que l'on remette en cause "Jupiter" et sa politique !

mais putin tu es vraiment un mongol, toi tu balances tout ce qui te passe par la tête quitte à raconter n'importe quoi

euthanasié ça veut dire accélérer la fin de vie de quelqu'un,  ici c'est éviter qu'ils ne souffrent

Il y a 6 heures, Barbara lebol a dit :

La sédation  est appliquée dans le cadre du Covid19 et est bien destinée selon le décret  à administrer une fin de vie. 

faux à alléger les souffrances et non abréger , ce sont 2 mots différents c'est pour ça qu'il y a des définitions

Il y a 6 heures, Barbara lebol a dit :

Vous racontez toujours la même chose la "désinformation "  blablabla ; donc on a compris votre message, il faut arrêter d'être en boucle et d'ergoter. 

c'est un fait, tu es dans la désinformation, tu ne fais pas la différence entre sédation et euthnasie

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Membre, 41ans Posté(e)
cheuwing Membre 17 032 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Francelibre a dit :

La sédation profonde est utilisé pour les accompagnements de fin de vie....

donc pas une euthanasie qui accélère

Il y a 15 heures, Francelibre a dit :

En acceptant la sédation profonde dans les EPAHD, ce décret prouve que nos gouvernants ont choisi de laisser mourir nos anciens plutôt que de les soigner... 

laisser mourir par manque de soin, ce n'est pas si différent que ça de l'euthanasie...

ben si parce qu'il y a des personnes comme ici @coucou travaillant en EPHAD qui peuvent empêcher que des gens souffrent grâce à ce produit

alors que si c'est une euthanasie serait plus lourd et dur pour eux

que l'on reproche le manque de soin dû à cette situation, je rappel au passage que des hôpitaux ont choisi de prioriser certains malades par manque de place en réanimation , mais le terme euthanasie et la pratique est lourd de sens , où l'on pourrait éviter de galvauder ce mot, par respect pour le personnel administrant ce sédatif

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Membre, 58ans Posté(e)
Francelibre Membre 8 773 messages
Forumeur accro‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, cheuwing a dit :

faux encore une fois, ce sont des sédatifs pour éviter qu'ils ne souffrent trop , et non pour accélérer leur fin de vie

mais putin tu es vraiment un mongol, toi tu balances tout ce qui te passe par la tête quitte à raconter n'importe quoi

euthanasié ça veut dire accélérer la fin de vie de quelqu'un,  ici c'est éviter qu'ils ne souffrent

faux à alléger les souffrances et non abréger , ce sont 2 mots différents c'est pour ça qu'il y a des définitions

c'est un fait, tu es dans la désinformation, tu ne fais pas la différence entre sédation et euthnasie

Encore une fois,cette sédation a pour but de remplacer les soins...

PS : mongol toi-même !

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