Bobigny : un homme devant les assises pour viol "punitif" d'une lesbienne

il y a 3 minutes, titenath a dit :

Non parce que ton sujet est d'entrée de jeu un parti pris qui affirme, sans même le savoir, que parce que c'est une femme elle ne prendra que des TIG.

Fait donc un sujet qui laisse la discussion ouverte et on en reparlera.

Ce n'est pas un parti pris ...une constatation concernant des cas jugés(avec un lien donné)...et une volonté d'ouvrir le débat concernant la prévention de ces fausses dénonciations et de leurs dangers...mais jolie pirouette(pour éviter que le sujet soit abordé par d'autres), bravo! Jolie performance !!!Et très constructif...

Il y a 7 heures, MarcThor a dit :

Ce n'est pas un parti pris ...une constatation concernant des cas jugés(avec un lien donné)...et une volonté d'ouvrir le débat concernant la prévention de ces fausses dénonciations et de leurs dangers...mais jolie pirouette(pour éviter que le sujet soit abordé par d'autres), bravo! Jolie performance !!!Et très constructif...

Je vais être la combien....3e ou 4e à te demander pourquoi tu n'ouvres pas ton propre sujet ? Il y a matière, faut pas avoir peur. À moins que ton but ne soit que de pourrir celui-ci, auquel cas tes posts vont vite sauter. 

Tout ne semble pas très clair dans cette histoire, une lesbienne qui emmène un homme chez elle, commence un rapport sexuel, puis veut arrêter c'est déjà pas courant...en plus visiblement une bonne dose d'alcool..

Bien évidemment, le type aurait du arrêter immédiatement au moment du" stop" de la femme, et rien, absolument rien ne justifie la moindre violence, ou représailles.

Quand à la circonstance aggravante, pour moi elle n'est pas justifiée...une femme qui couche avec des femmes et des hommes est bisexuelle...et pas lesbienne...

Il y a 6 heures, libredeparler a dit :

Quand à la circonstance aggravante, pour moi elle n'est pas justifiée...une femme qui couche avec des femmes et des hommes est bisexuelle...et pas lesbienne...

En fait ce n'est pas tant l'orientation sexuelle de la femme qui pose problème, mais les propos qu'il aurait prononcés : " Selon son témoignage, il la traite alors de «petite conne» et lui lance : «Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer». "

Si c'est avéré, la circonstance aggravante en découle de fait et est justifiée. Maintenant nous sommes d'accord qu'il ne s'agit que des propos qu'elle a rapportés et qui peuvent difficilement être vérifiables.

Il y a 17 heures, Promethee_Hades a dit :

L'alcool révèle ce qu'il y a de pire dans un humain.

L'alcool fait tomber les masques. 

Il y a 17 heures, Plouj a dit :

C'est une évidence, même si les choses s'arrangent un peu !

Tu inverses les rôles, non ?

Jeanne 30 ans, boit une bière avec une amie Après une soirée arrosée en boîte de nuit. ils poursuivent la soirée à quatre et s'installent dans un parc, où ils continuent à boire.

Apparemment !

 

Et l'amie ? Elle n'a pas un témoignage à donner, où est-elle ?

Les forces de l'Ordre sont mieux formées, plus à l'écoute. Je ne sais pas si cela suffit. Reste encore le regard de la société.

Quels rôles ? 

L'article laisse entendre qu'ils ont tous absorbés une certaine quantité d'alcool.

L'amie est très certainement entendue par la Justice. 

Il y a 14 heures, jécoute a dit :

«Séduite», Jeanne, qui n'a pas eu d'histoire avec une homme depuis près de dix ans, finit par rentrer chez elle, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) vers 6H30, accompagnée du jeune homme. Alors qu'ils entament un rapport sexuel, Jeanne change d'avis et lui demande d'arrêter. Selon son témoignage, il la traite alors de «petite conne» et lui lance : «Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer».

C'est clair, qu'en pleine besogne  la nana dit "stop" ... ben ça "coupe" l'envie et proportionnellement le sang se retirant du pénis augmente le taux de testostérone...

Ce qui invalide le "viol" (car le rapport sexuel était consenti) et certes, ensuite ça se gâte... dans tout les cas par ailleurs, et heureusement que la très grande majorité des hommes à qui c'est arrivé ne réagisse pas par la violence ..... ne parlons même pas du vol de CB et autres biens.

Bref encore une histoire toute pourave d'alcoolisme et de racaille qui "séduit" 

"Ça coupe", c'est ce qui s'appelle une débandade. C'est une réaction (psychologique et physiologique) qui semble être répandue. Des individus ne débandent cependant pas, ils insistent même (ça excite aussi les malades), commettant le viol. Pas convaincue du tout quant à "l'invalidation" du viol. Trop simple. Consentir à un rapport sexuel, n'autorise pas à tout y faire. Violer, par exemple, c'est hors de question. 

Il faut être deux pour faire l'amour, cela me semble logique aussi. Sinon, il existe des "vaginettes", ou "des poupées gonflables" pour se faire du bien. 

C'est une "histoire toute pourave", d'une grande violence, qui aura fait une victime.  

Il y a 14 heures, LAKLAS a dit :

Heuuuu.. Entamer un rapport sexuel avec un mec et lui demander d'arrêter.... c'est un peu comme balader une entrecôte sous le nez d'un lion en lui demandant de ne pas la bouffer non ?? Sans déc.. il n' y a que moi qui a vu cette phrase ???

À partir du moment où c'est non, et là ça a bien été verbalisé semble t-il, il convient de ranger tout l'attirail et de ne pas insister. Même si on mort de faim. Des hommes (et des femmes) arrivent bien à le faire. 

Il y a 14 heures, MarcThor a dit :

Je pense être dans le sujet...celui des violences...de plus,je viens de créer un sujet concernant les questions de déclaration de viol...ne serait-il pas plus intéressant que tu répondes à ce sujet plutôt que de me suggérer de "vous laisser la place"?

Bah non.

Je vais aller voir votre sujet. 

Il y a 5 heures, libredeparler a dit :

Tout ne semble pas très clair dans cette histoire, une lesbienne qui emmène un homme chez elle, commence un rapport sexuel, puis veut arrêter c'est déjà pas courant...en plus visiblement une bonne dose d'alcool..

Bien évidemment, le type aurait du arrêter immédiatement au moment du" stop" de la femme, et rien, absolument rien ne justifie la moindre violence, ou représailles.

Quand à la circonstance aggravante, pour moi elle n'est pas justifiée...une femme qui couche avec des femmes et des hommes est bisexuelle...et pas lesbienne...

Personnellement, cela me semble clair. Pas courant, mais clair. 

Tout à fait d'accord avec le passage passé en gras. 

Quant à la circonstance aggravante, ce sont des dires. Il faut déjà que le crime soit reconnu, avant la circonstance aggravante, et cela ça ne semble pas gagné non plus. 

il y a 9 minutes, Léna-Postrof a dit :

Reste encore le regard de la société.

Si dans le mot société on y inclut les religions (masculines), bon courage !

il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

L'article laisse entendre qu'ils ont tous absorbés une certaine quantité d'alcool.

Des témoignages de personnes beurrées sont-ils recevables ?

il y a 13 minutes, Léna-Postrof a dit :

C'est une "histoire toute pourave",

Tout court !

il y a 15 minutes, Léna-Postrof a dit :

Quant à la circonstance aggravante, ce sont des dires. Il faut déjà que le crime soit reconnu, avant la circonstance aggravante, et cela ça ne semble pas gagné non plus. 

De toute façon c'est un récidiviste des violences..il sera condamné !

il y a 41 minutes, Plouj a dit :

Si dans le mot société on y inclut les religions (masculines), bon courage !

C'est la société que je vais laisser à ma nièce, entre autres. Si nous sommes acteurs de cette société, alors nous pouvons la faire évoluer. 

il y a 41 minutes, Plouj a dit :

Des témoignages de personnes beurrées sont-ils recevables ?

Est-ce que l'alcool efface la mémoire ? Toujours ? 

il y a 41 minutes, Plouj a dit :

Tout court !

Non, je refuse de faire comme si l'absorption d'alcool balayait du revers la souffrance de cette femme. 

il y a 41 minutes, Plouj a dit :

De toute façon c'est un récidiviste des violences..il sera condamné !

Il sera sûrement condamné pour vol et violences physiques, d'autant qu'elles ont été bien attestées par le médecin. Mais pour le viol, voir l'homophobie, rien n'est moins sûr. 

il y a 6 minutes, Léna-Postrof a dit :

C'est la société que je vais laisser à ma nièce, entre autres. Si nous sommes acteurs de cette société, alors nous pouvons la faire évoluer. 

Chaque génération a fait de son mieux avec ses moyens !

il y a 6 minutes, Léna-Postrof a dit :

il y a 52 minutes, Plouj a dit :

Des témoignages de personnes beurrées sont-ils recevables ?

Est-ce que l'alcool efface la mémoire ? Toujours ? 

Ça ne répond pas à ma question. Ou alors l'alcool n'aurait pas le même effet gommant sur les femmes comme sur les hommes.

il y a 9 minutes, Léna-Postrof a dit :

Non, je refuse de faire comme si l'absorption d'alcool balayait du revers la souffrance de cette femme. 

Je ne parle pas de souffrance mais de pouvoir décisionnaire. j'veux, j'veux plus, oui, oui, pi non !!!

il y a 11 minutes, Léna-Postrof a dit :

Il sera sûrement condamné pour vol et violences physiques, d'autant qu'elles ont été bien attestées par le médecin. Mais pour le viol, voir l'homophobie, rien n'est moins sûr. 

A suivre

L'avocat : C'est un malentendu, il a cru à la promise cuitée.

il y a 35 minutes, Condorcet a dit :

L'avocat : C'est un malentendu, il a cru à la promise cuitée.

Ouais, promise bourrée ça marche pas.

il y a 6 minutes, soloandsolo a dit :

Ouais, promise bourrée ça marche pas.

Nan, ça c'est après... 

il y a 8 minutes, Condorcet a dit :

Nan, ça c'est après... 

Coluche n'aurait pas dit mieux.

il y a 55 minutes, Plouj a dit :

j'veux, j'veux plus, oui, oui, pi non !!!

 

Mais ça peut très bien se finir en jeu de société, le "j'veux, j'veux pu, j'veux".

il y a 12 minutes, soloandsolo a dit :

Coluche n'aurait pas dit mieux.

En fait c'est l'auteur de promise cuitée. 

il y a 4 minutes, Condorcet a dit :

En fait c'est l'auteur de promise cuitée. 

L'ancien combattant commence par promise bourrée, puis ça lui revient "promise cuitée"...

il y a 9 minutes, Condorcet a dit :

En fait c'est l'auteur de promise cuitée. 

Oui...ou son "con promis,chose due"...

il y a 2 minutes, MarcThor a dit :

Oui...ou son "con promis,chose due"...

En matière de sexualité le con et la chose sont deux occurrences très différentes, je tiens à le signaler.

Il y a 22 heures, Léna-Postrof a dit :

Bref, tout individu alcoolisé n’en vient pas à agresser sexuellement, violer, rouer de coups et faire subir des sévices. On surévalue souvent les effets de l’alcool. Il peut être désinhibiteur, il ne change pas un individu. 

Ce n’est pas désintéressant. C’est une horreur, effectivement.

Par contre, ce n’est vraiment pas le sujet. 

J'ai suivi votre conseil...le sujet est disponible...

Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Chaque génération a fait de son mieux avec ses moyens !

Et nous avons les moyens de faire quelque chose. 

Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Ça ne répond pas à ma question. Ou alors l'alcool n'aurait pas le même effet gommant sur les femmes comme sur les hommes.

Ni aux miennes. 

Il y a 2 heures, Plouj a dit :

Je ne parle pas de souffrance mais de pouvoir décisionnaire. j'veux, j'veux plus, oui, oui, pi non !!!

C'est son droit de ne plus vouloir. Il m'est arrivé de ne plus vouloir (ou d'avoir mal et de ne plus vouloir), nous avons stoppé. 

Il y a 2 heures, Plouj a dit :

A suivre

Je checkerai dans les jours à venir si je vois quelque chose. 

Il y a 7 heures, titenath a dit :

En fait ce n'est pas tant l'orientation sexuelle de la femme qui pose problème, mais les propos qu'il aurait prononcés : " Selon son témoignage, il la traite alors de «petite conne» et lui lance : «Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer». "

Si c'est avéré, la circonstance aggravante en découle de fait et est justifiée. Maintenant nous sommes d'accord qu'il ne s'agit que des propos qu'elle a rapportés et qui peuvent difficilement être vérifiables.

 

...si c'est ainsi au niveau de la justice c'est dramatique..... suffit-il d'affirmer qu'une personne vous a traité de "pédé" ou de "gouine" pour que celle-ci soit punie plus sévèrement.... cela devient du n'importe quoi..

 et si l'on rajoute juif ? nazi ? etc... les peines deviennent-elles exponentielles ?

il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Il m'est arrivé de ne plus vouloir (ou d'avoir mal et de ne plus vouloir), nous avons stoppé. 

Dans les mêmes conditions ? Alcoolisée avec un inconnu la première fois ?? Tu me surprends mais pourquoi pas après tout !