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Invité Quasi-Modo

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Nouveau, 50ans Posté(e)
SooMoon Nouveau 1 message
Baby Forumeur‚ 50ans‚
Posté(e)

Philosopher, c'est pour moi développer un esprit critique pour se questionner sur soi et sur le monde qui nous entoure. Philosopher à partir de concepts que l'on peut en effet "remettre en cause" en les problématisant et viendra ,ensuite, les arguments qui étayeront l'idée avancée.  

La connaissance et la réflexion nous donnent un moyen de mieux penser afin de vivre mieux. Ou comme le résume très bien André Comte-Sponville : "La philosophie, c'est penser sa vie et vivre sa pensée". Il nous faut donc veiller à ce que notre vie soit en congruence avec ce que l'on pense.

Selon moi, la philosophie est la "science" du doute. Elle se doit d'être exigeante et de créer une nouvelle ouverture sur le monde. Une libre pensée que l'on confronte avec celle des autres. Le tout étant de le faire avec bienveillance et respect.

"Philosophia" ou l'amour de la sagesse.... le chemin vers la sagesse est propre à chacun. 

 

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Je ne sais pas pourquoi, mais quand je lis que la philosophie, c'est la recherche du bonheur, (ici et maintenant) je trouve ça... vulgaire !

Je me trompe sûrement...

Je dois mal placer l'intuition où le sentiment qui me disent ça...

Pour moi, la philosophie c'est essayer de comprendre. le monde, les autres, moi-même...

Être heureux... ce serait plutôt une affaire de complexion personnelle.

"Heureux les simples en esprit" me semble mal se marier avec la philosophie...

Je vois plus la philosophie comme une intelligence (même si j'en ai pas tant que ça !) que comme un "gna gna gna je me fais plaisir"!

Maintenant, qu'après m'être mieux compris, et le monde, je tente  de me travailler au corps afin de mieux y faire entrer le bonheur, c'est envisageable.

Mais tout ça vient bien après...

Comme un épiphénomène de la philosophie certes  non négligeable et même souhaitable...

Modifié par Blaquière
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 086 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 7 heures, Blaquière a dit :

Je ne sais pas pourquoi, mais quand je lis que la philosophie, c'est la recherche du bonheur, (ici et maintenant) je trouve ça... vulgaire !

Je me trompe sûrement...

Je dois mal placer l'intuition où le sentiment qui me disent ça...

Pour moi, la philosophie c'est essayer de comprendre. le monde, les autres, moi-même...

Être heureux... ce serait plutôt une affaire de complexion personnelle.

"Heureux les simples en esprit" me semble mal se marier avec la philosophie...

Je vois plus la philosophie comme une intelligence (même si j'en ai pas tant que ça !) que comme un "gna gna gna je me fais plaisir"!

Maintenant, qu'après m'être mieux compris, et le monde, je tente  de me travailler au corps afin de mieux y faire entrer le bonheur, c'est envisageable.

Mais tout ça vient bien après...

Comme un épiphénomène de la philosophie certes  non négligeable et même souhaitable...

Oui, je te rejoins.

Non pas que je trouve ça vulgaire mais le bonheur qui est un état ayant trait à une émotion interne ne m'apparaît pas directement connecté à l'intellect et à la raison même si cet exercice peut rendre certains individus heureux, surtout si ils en retirent une forme de reconnaissance.

Le bouddhisme souvent présenté à la frontière de la philosophie et de la spiritualité est davantage tourné vers ce voyage intérieur qui tente de nous cerner en tant que personne dans le monde et dont un des objectifs est l'arrêt de la souffrance, ce qui est déjà moins ambitieux.

L'ignorance en est une des composantes avec le désir et l'aversion et toutes tournent autour de l'ego.

Le bonheur m'a plutôt été associé à l'insouciance qui a tendance à disparaître avec les années 

D'ou une démarche plus active sans doute.

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Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
Posté(e)
Le 08/03/2020 à 22:51, zenalpha a dit :

Opinioner étant un néologisme, peut-être opiner a t'il été proposé par le correcteur orthographique.

Philosopher revient il à exprimer son opinion ?

Voilà comment j'ai compris le sujet puisqu'evidemment philosopher n'est pas opiner donc n'est pas dire oui.

Entre faire usage de son entendement, penser, raisonner donc....philosopher et exprimer son opinion, il y a pourtant des liens.

Je pense qu'opinioner va plus loin qu'exprimer son opinion mais entend de se refermer sur son opinion.

Et là...on a plus aucune capacité depuis ses a priori d'ouvrir son raisonnement, la défense de ses opinions devient presque pawlowien.

On ne peut qu'opiner sur ce mécanisme....

Je pense que beaucoup de philosophes opinionnent pour que nous opinions sous couverture de philosophie...

Faire usage de son entendement reste le chemin le plus sûr si on sait qu'il est honnête, agile, cohérent, perfectible 

Moi j ai compris "opiner" comme "acquiescer"

C est à dire prendre tout comme argent comptant.

Chacun à sa propre philosophie à se faire ..c est idiot de partir de la philosophie des autres.(ce n est pas une science!!!). Et d ailleurs pour moi ce serait également valable pour les sciences.

S en inspirer comme première pensée pourquoi pas, mais pas reprendre pour siennes les pensées toutes faites des autres.. 

Sinon ça dénature l âme même de ce qu est la philosophie.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 848 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Il y a 14 heures, Dompteur de mots a dit :

En logique, une proposition normative est une proposition qui dit ce qui devrait être, qui édicte une norme. Par exemple, la proposition "les animaux ne doivent pas être maltraités" est une proposition normative, elle exprime une norme d'action.

Par suite, comme tu le sais, un mot est à même d'exprimer plusieurs concepts différents. C'est le cas du mot norme, qui peut vouloir dire ce que je viens d'expliquer, ou encore une pratique sociale collective admise et qui fait plus ou moins consensus. On dira par exemple que se promener dans la rue habillé constitue une norme. Mais en l'occurrence, la proposition "les gens se promènent usuellement dans la rue habillés" est une proposition énonciative: elle livre un état de fait, elle dit ce qui est.

 

Comprends-bien que le point sur lequel j'avais tiqué, était pris indépendamment du reste de ton message, je ne cherche aucunement à savoir quelles peuvent bien être les implications sur le reste de ton discours, seul le passage sus-cité en lui-même avait heurté mon intuition, sans autre considération donc, pour ta réponse à Quasi-modo.

 

Ceci étant dit, tu sembles ne faire que confirmer ce que j'ai dit précédemment, à savoir qu'un énoncé ou un proposition normative, comme le signifiant le laisse entendre, est en rapport d'une norme, norme qui pré-existe à l'injonction, qu'elle soit législative, sociétale ou technique. Si tel n'était pas le cas, ce ne serait plus une proposition normative, mais certainement une proposition anti-normative à proprement parler, si elle va à l'encontre de ce qui se pratique déjà/couramment. Et c'était je pense le fond de ta pensée lorsque tu as écrit:

Je prends la question qui est la plus à même d'englober ou de synthétiser l'ensemble du travail philosophique: à savoir en quoi consiste une vie bonne. Or, il s'agit d'une question qui est fondamentale[ment] normative, en ce sens que l'être qui se la pose veut établir comment sa vie devrait être. Seulement, une question normative est une question à laquelle on ne peut répondre qu'en faisant intervenir ses forces intuitives.

 

Ce qu'est ou devrait être une vie bonne, fait bien sûr référence à un cadre, une référence, à se qui se pratique, à ce qui est convenu comme étant une telle vie.

En revanche, savoir ce que devrait-être notre vie, peut soit aller dans cette interprétation normative précédente, ou alors aller contre elle, dans une autre direction, qui a de fortes chances d'y être en conflit, en opposition, si tel est le cas, une seule personne ne peut pas par sa seule pensée, établir une norme - qui est une construction collective - mais uniquement des prescriptions pour elle-même, qui n'engagent qu'elle dans un premier temps, toujours dans une perspective philosophique.

Il y aurait sinon un contre-sens malheureux à faire d'une unique position une norme. On peut en revanche souhaiter que d'autres personnes nous emboitent le pas, que l'idée se répande, et qu'elle finisse par devenir une norme concurrente/alternative à l'autre, et ainsi de pouvoir y faire appel pour un devoir-être chez autrui, dans le cas contraire, ce ne serait qu'un simple ordre émanant d'une autorité perçue illégitime ou sans fondement autre qu'arbitraire, voire un accès de folie.

 

Le domaine du devoir-être est celui de la société, un système réglant le comportement des êtres humains dans leurs relations réciproques.

http://www.observatoiredesreligions.fr/spip.php?article169&artsuite=1

 

Selon la logique déontique, l’énoncé normatif formalise les rapports qui existent entre les quatre alternatives d’une loi : l'obligation, l'interdiction, la permission et le facultatif : la loi a pour vocation d'énoncer des règles et doit par suite être revêtue d'une portée normative.

https://www.linguistiquefrancaise.org/articles/cmlf/abs/2010/01/cmlf2010_000152/cmlf2010_000152.html

 

Il est possible d’identifier un grand nombre de critères de distinction entre le normatif et l’axiologique qui n’ont rien à voir avec le supposé caractère universel des normes et le supposé caractère relatif des valeurs. Ils suffisent me semble-t-il à établir une séparation nette des normes et des valeurs. Je n’en retiendrai qu’un pour cette présentation générale, celui qui me paraît le plus important. Les énoncés normatifs s’appliquent aux actions humaines intentionnelles exclusivement. Pour être complet, un énoncé normatif doit faire référence à un agent, spécifier un type d’action obligatoire, permise ou interdite et des circonstances. L’action ne doit être ni nécessaire ni impossible. Les énoncés évaluatifs s’appliquent aux actions mais aussi aux croyances, aux émotions, au caractère, à certains objets ou événements naturels, bref, à toutes sortes de choses dont il ne dépend pas de nous qu’elles soient ou pas.

https://www.cairn.info/revue-les-sciences-de-l-education-pour-l-ere-nouvelle-2012-1-page-17.htm

 

1646383989_propositionnormative.thumb.jpeg.29893a6929993358f0b36dccd5e03d85.jpeg

 

https://books.google.fr/books?id=VulQSvb_3nUC&pg=PA206&lpg=PA206&dq=proposition+normative+devoir-être&source=bl&ots=sonIvIydJ3&sig=ACfU3U282xbdKUWMJUH6FUTpBvMv4gp6kg&hl=en&sa=X&ved=2ahUKEwjNp8qo-5LoAhUQdxoKHZX8B3M4ChDoATABegQIChAB#v=onepage&q=proposition normative devoir-être&f=false

Dans ce dernier document, il est donc distingué trois types de propositions, celle axiologiques, celles normatives et enfin celles impératives. Ne penses-tu pas que pour un - vrai - philosophe, il soit plus question de la première sorte, que de la seconde ?

Modifié par deja-utilise
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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Comme quoi opiner ou pas c'est aussi pinailler !

(Je dis ça avec toute ma sympathie !)

C'est Heidegger qui disait je crois que penser c'était penser l'essentiel (j'ai lu ça qq part récemment). Non, c'est philosopher aller vers l'essentiel. Penser c'est aussi des "ajustements fins".

Comme un entraînement :

Après tout peut-on être rompu aux grands mystères avant de l'avoir été aux petits ?!

:)

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Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 842 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)
Le 12/03/2020 à 03:03, deja-utilise a dit :

savoir ce que devrait-être notre vie, peut soit aller dans cette interprétation normative précédente, ou alors aller contre elle, dans une autre direction, qui a de fortes chances d'y être en conflit, en opposition, si tel est le cas, une seule personne ne peut pas par sa seule pensée, établir une norme - qui est une construction collective - mais uniquement des prescriptions pour elle-même, qui n'engagent qu'elle dans un premier temps, toujours dans une perspective philosophique.

Je te confirme que dans mon lexique, une proposition normative n'est pas forcément relative aux mœurs collectives. À partir du moment où j'énonce ce qui devrait être, il s'agit d'une proposition normative. Par nature, la proposition normative cherche à s'établir comme norme, ne serait-ce que comme norme d'une situation spécifique, en l'occurrence une norme que je souhaite appliquer à ma propre vie, de moi à moi.

Le 12/03/2020 à 03:03, deja-utilise a dit :

1646383989_propositionnormative.thumb.jpeg.29893a6929993358f0b36dccd5e03d85.jpeg

Ce qui est ici appelé "proposition estimative" n'est jamais qu'une proposition énonciative portant sur le sentiment d'un individu. Ex.: "je trouve que cela est laid": cette proposition énonce ce qui est et non ce qui devrait être; elle vise à informer quant à ce que je ressens. Évidemment, dépendamment du ton sur lequel cette proposition est exprimée, elle pourra ou non acquérir un contenu normatif. Si par exemple je le dis sur un ton de dégoût et que je cherche manifestement à influencer, à rallier, alors on dira qu'un contenu normatif se profile en sous-texte, par exemple: "une chose aussi laide devrait être détruite". Cela signifie par extension que toute proposition énonciative est susceptible d'acquérir un contenu normatif.

Quant à la proposition impérative, ce n'est jamais qu'une autre façon d'exprimer une norme. En effet, une injonction telle que "fais cela !" ne signifie jamais que "tu dois faire cela !" ou même "il faut faire cela."

Remarquons enfin que sous une proposition normative, il y a toujours 2 proposition énonciatives qui se profilent: l'une portant sur mon sentiment, puisque par exemple "tu dois faire cela" implique que "je pense qu'il faut faire cela"; et l'autre portant sur un raisonnement éventuel, peu importe sa solidité, puisque "tu dois faire cela" implique que "il est préférable, dans une telle situation, de faire cela à cause de telle raison".

Ce qui nous rappelle une chose, à savoir qu'une division entre propositions énonciatives et normatives n'est jamais que théorique, et que la réalité expressive de l'homme ne saurait s'y réduire.

Le 12/03/2020 à 03:03, deja-utilise a dit :

https://books.google.fr/books?id=VulQSvb_3nUC&pg=PA206&lpg=PA206&dq=proposition+normative+devoir-être&source=bl&ots=sonIvIydJ3&sig=ACfU3U282xbdKUWMJUH6FUTpBvMv4gp6kg&hl=en&sa=X&ved=2ahUKEwjNp8qo-5LoAhUQdxoKHZX8B3M4ChDoATABegQIChAB#v=onepage&q=proposition normative devoir-être&f=false

Dans ce dernier document, il est donc distingué trois types de propositions, celle axiologiques, celles normatives et enfin celles impératives. Ne penses-tu pas que pour un - vrai - philosophe, il soit plus question de la première sorte, que de la seconde ?

Si nous nous ramenons dans la division bipartite que je préconise, je pense que la philosophie relève d'un monde normatif. Le philosophe s'attache aux faits, à comment l'homme et le monde sont, mais c'est toujours au final dans le but de prescrire ce que devrait être une vie bonne. Seule la science est strictement attachée à un monde énonciatif.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 848 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Le 17/03/2020 à 18:04, Dompteur de mots a dit :

Je te confirme que dans mon lexique, une proposition normative n'est pas forcément relative aux mœurs collectives. À partir du moment où j'énonce ce qui devrait être, il s'agit d'une proposition normative. Par nature, la proposition normative cherche à s'établir comme norme, ne serait-ce que comme norme d'une situation spécifique, en l'occurrence une norme que je souhaite appliquer à ma propre vie, de moi à moi.

[...]

Si nous nous ramenons dans la division bipartite que je préconise, je pense que la philosophie relève d'un monde normatif. Le philosophe s'attache aux faits, à comment l'homme et le monde sont, mais c'est toujours au final dans le but de prescrire ce que devrait être une vie bonne. Seule la science est strictement attachée à un monde énonciatif.

Je pense que c'est un problème de vocable et non de points de vue, je suis, je crois, depuis le début d'accord avec ce que tu cherches à signifier, là où je suis intervenu, c'est sur les " signifiants " employés pour y parvenir.

Effectivement, suivant " ton " monde d'acceptations " binaires ": si un énoncé n'est pas descriptif alors il est nécessairement normatif, je ne peux être que consentant, en revanche dans une perspective lexicale plus riche dirais-je, ça ressemble à un contre-sens regrettable !

Et je pense que ce qui suit, illustre assez bien, comment je vois les choses:

 

Cette distinction peut être affinée. Parmi les deux grands ensembles que représentent les jugements de fait et les jugements de valeur, on peut encore distinguer :
 
 

Jugements de fait
 

Énoncés descriptifs, explicatifs, prédictifs
 

Jugements de valeur
 

Énoncés évaluatifs, normatifs, prescriptifs
 

 
 

 

:

Exemples:

 

Descriptif : décrire la réalité. Ex : « Le Brabant wallon affiche un taux moyen de logements publics de 3,69 %. »
 

Explicatif : expliquer le fonctionnement d’une réalité. Ex : « Le prix du foncier est un frein à la construction de logements sociaux. »

 

Prédictif : prédire comment la réalité pourrait évoluer. Ex : «Les prix des appartements proposés à la vente dans le secteur privé ne correspondent pas à la demande qui se manifestera dans les prochaines années. »
 

Évaluatif : exprimer un jugement de valeur, esthétique ou moral. Ex : « Les grands ensembles, les barres et les tours sont moches. » (Valeur esthétique du beau/laid). Ou « Les modalités d’attributions des logements sociaux sont injustes. » (Valeur morale/éthique du juste/injuste).
 

Normatif : exprimer une norme, une obligation morale. « Ceux qui se sont enrichis grâce à la manière dont est organisée la société ont l’obligation de se montrer solidaires avec les plus malchanceux. »
 

Prescriptif : prescrire une action ou une croyance. « Il faut promouvoir la mixité sociale dans les écoles. »

 

https://www.enseignerlethique.be/content/méta-éthique

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