Que se passe t'il en France?

Comme une horde hurlante déferlant dans la ville
Suivie par des casseurs totalement débiles
Qui veulent en découdre avec la République
Et pour se faire entendre, saccagent les vitrines

Quand le vingt de chaque mois, le compte vire au rouge
Qu'on revoit à la baisse, le plus petit projet
Quand on voudrait y croire et qu'en fait rien ne bouge
Lorsque les plus fragiles aimeraient travailler

Pour payer le loyer et pouvoir se chauffer
El même si les grèves paraissent légitimes
C'est le " petit " qui trinque, le smicard retraité
Dont on ne parle pas, puisqu'il est invisible.

Syndicats tout puissants servant leurs intérêts
Promesses non tenues par le Gouvernement
De la réalité, vraiment déconnecté
Puisque seuls les nantis , pour eux, sont importants

L'argent appelle l'argent, exit les pauvres gens
Ces marchands de sommeil qui font tout un commerce
De la misère humaine.
Hôpitaux surpeuplés, soignants désabusés
Éducation tronquée, différences confirmées

Réchauffement climatique et toujours le profit
Revient en leit motiv
Une incompréhension des classes ouvrières
Voyant leurs fiches de paie qui restent au point mort
Que le pouvoir d'achat nous parle de galères
Heureusement pour nous, l'Espoir est le plus fort.
20 Janvier 2020
Copyright 2R6U1FA

On dit:

Quand le vin.de chaque moi vire au rouge.

Tu peux mettre une musique là dessus?

il y a 17 minutes, zeyas a dit :

Comme une horde hurlante déferlant dans la ville
Suivie par des casseurs totalement débiles
Qui veulent en découdre avec la République
Et pour se faire entendre, saccagent les vitrines

Quand le vingt de chaque mois, le compte vire au rouge
Qu'on revoit à la baisse, le plus petit projet
Quand on voudrait y croire et qu'en fait rien ne bouge
Lorsque les plus fragiles aimeraient travailler

Pour payer le loyer et pouvoir se chauffer
El même si les grèves paraissent légitimes
C'est le " petit " qui trinque, le smicard retraité
Dont on ne parle pas, puisqu'il est invisible.

Syndicats tout puissants servant leurs intérêts
Promesses non tenues par le Gouvernement
De la réalité, vraiment déconnecté
Puisque seuls les nantis , pour eux, sont importants

L'argent appelle l'argent, exit les pauvres gens
Ces marchands de sommeil qui font tout un commerce
De la misère humaine.
Hôpitaux surpeuplés, soignants désabusés
Éducation tronquée, différences confirmées

Réchauffement climatique et toujours le profit
Revient en leit motiv
Une incompréhension des classes ouvrières
Voyant leurs fiches de paie qui restent au point mort
Que le pouvoir d'achat nous parle de galères
Heureusement pour nous, l'Espoir est le plus fort.
20 Janvier 2020
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Donc à vous lire on cultive en soi un état d’esprit : l’espoir et on ne fait rien, puisqu’à vous lire tous ceux qui font quelque chose le font mal. 
Résumé  : espérons et ne faisons rien qui subvertisse l’ordre du monde. Mais alors cet espoir, c’est un espoir devant qui,  devant quoi ? En qui, en quoi ? Un Messie va venir ? 
Éclairez-moi que je puisse nourrir mon espoir  d’autre chose que de mots.

Il y a 1 heure, Annalevine a dit :

Donc à vous lire on cultive en soi un état d’esprit : l’espoir et on ne fait rien, puisqu’à vous lire tous ceux qui font quelque chose le font mal. 
Résumé  : espérons et ne faisons rien qui subvertisse l’ordre du monde. Mais alors cet espoir, c’est un espoir devant qui,  devant quoi ? En qui, en quoi ? Un Messie va venir ? 
Éclairez-moi que je puisse nourrir mon espoir  d’autre chose que de mots.

ce n'est pas moi qui est écrit ces meaux je me fait du soucis pour mes compatriotes 

il y a 54 minutes, zeyas a dit :

 

Il y a 2 heures, zeyas a dit :

Comme une horde hurlante déferlant dans la ville
Suivie par des casseurs totalement débiles
Qui veulent en découdre avec la République
Et pour se faire entendre, saccagent les vitrines

Quand le vingt de chaque mois, le compte vire au rouge
Qu'on revoit à la baisse, le plus petit projet
Quand on voudrait y croire et qu'en fait rien ne bouge
Lorsque les plus fragiles aimeraient travailler

Pour payer le loyer et pouvoir se chauffer
El même si les grèves paraissent légitimes
C'est le " petit " qui trinque, le smicard retraité
Dont on ne parle pas, puisqu'il est invisible.

Syndicats tout puissants servant leurs intérêts
Promesses non tenues par le Gouvernement
De la réalité, vraiment déconnecté
Puisque seuls les nantis , pour eux, sont importants

L'argent appelle l'argent, exit les pauvres gens
Ces marchands de sommeil qui font tout un commerce
De la misère humaine.
Hôpitaux surpeuplés, soignants désabusés
Éducation tronquée, différences confirmées

Réchauffement climatique et toujours le profit
Revient en leit motiv
Une incompréhension des classes ouvrières
Voyant leurs fiches de paie qui restent au point mort
Que le pouvoir d'achat nous parle de galères
Heureusement pour nous, l'Espoir est le plus fort.
20 Janvier 2020
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Les classes ouvrières ne sont pas dans la rue . Et le pouvoir d’achat n’est pas en baisse . Par ailleurs évoquer pêle-mêle le climat et le pouvoir d’achat , peut on sourire ?

S’il fait plus chaud , plus de galère pour se chauffer !

Il y a 3 heures, zeyas a dit :

Comme une horde hurlante déferlant dans la ville
Suivie par des casseurs totalement débiles
Qui veulent en découdre avec la République
Et pour se faire entendre, saccagent les vitrines

Bonjour zeyas,

Il se passe en France exactement ce qui se passe au niveau international dans tous les pays, avec un petit plus chez nous français. (Il faut bien se distinguer des autres n’est-ce pas ?)

• L’émergence des réseaux sociaux ou chacun s’imagine à tort, mais reste intimement convaincu et persuadé, être un expert dans tous les domaines.
• La multiplicité des « fakes news » et la possibilité de trafiquer des images slogan, favorisant crescendo les insultes et les caricatures de plus en plus gore, pour dénoncer l’ignominie supposée, des personnes exposées à la vindicte populaire, celui ou celle que l’on aime pas.
• L’affaissement du pouvoir politique des états, sous les coups de boutoirs de certaines activités de ventes et de service sur internet, qui déclarent leurs bénéfices ailleurs, dans des paradis fiscaux, affectant une partie non négligeable d’une ressource de l’impôt pour chacun des états.
• L’effondrement des idéologies, ou chacun affûte ses principes de vie en commun, à l’aune de sa petite personne, pas celle de l’intérêt de la collectivité nationale dans laquelle il vit, mais celle d’un communautarisme renouvelé, qui présage des lendemains qui ne chanteront pas nécessairement.

Le petit plus chez les français, ils sont tous orphelins d’une croyance et d’un mythe en un pouvoir politique fort et puissant qui coupe et qui tranche, séquelle et fantasme spécifique du souvenir des révolutionnaires de 1789.  (C’est une croyance d’ordre culturelle)

Voilà en quelques phrases, ma perception et ma compréhension du bouleversement que nous vivons en ce moment, dans notre rapport crispé les uns aux autres.

C’est incontestablement le signe d’un malaise politique et social généralisé sur la planète, qui ne se résoudra pas seulement par des YAKA, des FOQUE, des YZONKA.

il y a 19 minutes, Enchantant a dit :

Bonjour zeyas,

Il se passe en France exactement ce qui se passe au niveau international dans tous les pays, avec un petit plus chez nous français. (Il faut bien se distinguer des autres n’est-ce pas ?)

• L’émergence des réseaux sociaux ou chacun s’imagine à tort, mais reste intimement convaincu et persuadé, être un expert dans tous les domaines.
• La multiplicité des « fakes news » et la possibilité de trafiquer des images slogan, favorisant crescendo les insultes et les caricatures de plus en plus gore, pour dénoncer l’ignominie supposée, des personnes exposées à la vindicte populaire, celui ou celle que l’on aime pas.
• L’affaissement du pouvoir politique des états, sous les coups de boutoirs de certaines activités de ventes et de service sur internet, qui déclarent leurs bénéfices ailleurs, dans des paradis fiscaux, affectant une partie non négligeable d’une ressource de l’impôt pour chacun des états.
• L’effondrement des idéologies, ou chacun affûte ses principes de vie en commun, à l’aune de sa petite personne, pas celle de l’intérêt de la collectivité nationale dans laquelle il vit, mais celle d’un communautarisme renouvelé, qui présage des lendemains qui ne chanteront pas nécessairement.

Le petit plus chez les français, ils sont tous orphelins d’une croyance et d’un mythe en un pouvoir politique fort et puissant qui coupe et qui tranche, séquelle et fantasme spécifique du souvenir des révolutionnaires de 1789.  (C’est une croyance d’ordre culturelle)

Voilà en quelques phrases, ma perception et ma compréhension du bouleversement que nous vivons en ce moment, dans notre rapport crispé les uns aux autres.

C’est incontestablement le signe d’un malaise politique et social généralisé sur la planète, qui ne se résoudra pas seulement par des YAKA, des FOQUE, des YZONKA.

Comment vois tu les choses pour changer ce bilan?  ON a jeté Sarkozy va t'on aussi jeté Macron ?  Le pen fille brigue le poste de Présidente 

Le fn et trump duo  dangereux?  Trump pourrait etre desttué ce soir.....

il y a 18 minutes, zeyas a dit :

Comment vois tu les choses pour changer ce bilan?  ON a jeté Sarkozy va t'on aussi jeté Macron ?  Le pen fille brigue le poste de Présidente 

Les populistes, de gauche comme de droite, ont le vent en poupe.

Il suffit d’observer les USA, l’Angleterre, La Hongrie, l’Autriche, l’Italie pour s’en convaincre.

Ce qui limite la connerie de la pression populiste dans certains pays démocratiques, c’est la constitution et le Sénat.

En Italie il y avait Renzi ou existe beaucoup d’analogie avec la France, heureusement (pour le moment) que nous avons la constitution de Charles De Gaulle, qui nous protège encore d’une déconsidération encore plus affirmée qu’elle ne l’est déjà du monde politique, notamment avec le scrutin proportionnel qui donne encore un avantage à l’exécutif sur le législatif.

Mais si les populiste accédaient au pouvoir en France, cet avantage politique deviendrait sans doute un handicap plus prononcé que chez nos voisins et amis italiens.

Bref, je ne suis pas madame Irma, tout est possible, mais le pire n’est pas certain… 

il y a 2 minutes, Enchantant a dit :

Les populistes, de gauche comme de droite, ont le vent en poupe.

Il suffit d’observer les USA, l’Angleterre, La Hongrie, l’Autriche, l’Italie pour s’en convaincre.

Ce qui limite la connerie de la pression populiste dans certains pays démocratiques, c’est la constitution et le Sénat.

En Italie il y avait Renzi ou existe beaucoup d’analogie avec la France, heureusement (pour le moment) que nous avons la constitution de Charles De Gaulle, qui nous protège encore d’une déconsidération encore plus affirmée qu’elle ne l’est déjà du monde politique, notamment avec le scrutin proportionnel qui donne encore un avantage à l’exécutif sur le législatif.

Mais si les populiste accédaient au pouvoir en France, cet avantage politique deviendrait sans doute un handicap plus prononcé que chez nos voisins et amis italiens.

Bref, je ne suis pas madame Irma, tout est possible, mais le pire n’est pas certain… 

mERCI POUR TON AVIS  EN ESPÉRANT QUE LE PIRE N'EST PAS CERTAIN;;;;;;;;

Dans son acception générale actuelle le mot populisme désigne une approche politique qui a tendance à opposer le peuple aux élites politiques, économiques ou médiatiques.

Le sentiment d'exclusion du pouvoir, même élu démocratiquement, est à la base de cette attitude qui touche aussi bien des sensibilités politiques de droite que de gauche. Le populisme se réfère à un peuple qu'on estime exclu du pouvoir et non écouté par la démocratie représentative jugée coupée des réalités.

Exploité parfois par des partis activistes, ce courant de pensée politique peut prendre des aspects démagogiques en préconisant et/ou soutenant des solutions simplistes à divers problèmes sociaux, économiques et politiques. Le mot populisme est fréquemment utilisé dans un sens péjoratif, notamment pour discréditer les adversaires politiques en effectuant un rapprochement avec la naissance des fascismes dans les années 1920.

Si le populisme a pris des formes variées depuis le xix^e siècle, sa présence semble s’affirmer depuis la fin du xx^e siècle dans le monde occidental, dans un contexte de mondialisation et de déplacements de populations. Aussi, on retrouve souvent des thèmes communs au populisme et au nationalisme, ce qui amène la notion de national-populisme.

L'expression « national-populisme » a été introduite en politologie dans les années 1970 par le sociologue argentin Gino Germani pour désigner les régimes de type nationaliste et populiste de l'Amérique latine des années 1930-1950¹, par exemple le péronisme. Par la suite, l'expression a été reprise et popularisée par le politologue et historien des idées français Pierre-André Taguieff pour décrire la forme de populisme xénophobe représentée par le Front national^2,3. Le poujadisme passerait pour une forme de national-populisme^{[réf. souhaitée]}.

Le phénomène se répand dans le monde au cours des années 2010 : Jacques Rupnik évoque « une vague nationale-populiste planétaire qui, de l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche à celle de Narendra Modi en Inde, ébranle les démocraties »⁴.

D'après Christophe Jaffrelot, directeur de recherches au CERI Sciences Po et au CNRS, la défense des hindous face aux minorités intérieures et aux puissances étrangères, rejet des élites et concentration du pouvoir sont les principales expressions du « national-populisme » exercé par le premier ministre indien Narendra Modi⁵.

Pour Vincent Coussedière, le rapprochement fréquent du mot « populisme » avec les termes « extrême droite » et « nationalisme » serait peu précis et non dénué d'ambiguïtés⁶. Il réfute « l'extrémisation à tout va de mouvements qui n'ont rien d'extrême » et met en doute le caractère seulement « protestataire » que l'on se plait à appliquer à ces mouvements et que les médias opposent de manière factice à des « partis de gouvernement » alors même que ces mouvements peuvent se trouver au pouvoir dans certains pays⁶.

il y a 20 minutes, zeyas a dit :

Pour Vincent Coussedière, le rapprochement fréquent du mot « populisme » avec les termes « extrême droite » et « nationalisme » serait peu précis et non dénué d'ambiguïtés^6. Il réfute « l'extrémisation à tout va de mouvements qui n'ont rien d'extrême » et met en doute le caractère seulement « protestataire » que l'on se plait à appliquer à ces mouvements et que les médias opposent de manière factice à des « partis de gouvernement » alors même que ces mouvements peuvent se trouver au pouvoir dans certains pays⁶.

Je partage complètement la définition qui est mentionné du populisme.

Quant à Vincent Coussedière, il tortille du popotin en niant la clarté  limpide et évidente de cette définition, au prétexte que certains pouvoir extrêmes sont effectivement aux manettes.

C’est le jeu démocratique, il y ceux qui affirment que s’ils étaient aux responsabilités, ils laveraient plus blanc que blanc demain, et ceux qui se tortille, en prétendant que ce n’est pas exactement cela qu’ils voulaient dire…

En fait rien de nouveau sous le soleil…  

il y a 12 minutes, Enchantant a dit :

Je partage complètement la définition qui est mentionné du populisme.

Quant à Vincent Coussedière, il tortille du popotin en niant la clarté  limpide et évidente de cette définition, au prétexte que certains pouvoir extrêmes sont effectivement aux manettes.

C’est le jeu démocratique, il y ceux qui affirment que s’ils étaient aux responsabilités, ils laveraient plus blanc que blanc demain, et ceux qui se tortille, en prétendant que ce n’est pas exactement cela qu’ils voulaient dire…

En fait rien de nouveau sous le soleil…  

Vois tu enchantant je vis sans télévision et les événements me défrissent quand j'écoute la radio Beaucoup de blabla pour ne rien dire le plus souvent  J'aimerais commprendes les événements en France.  Nous avons affaire au populisme et c'est de pire en pire chez vous 

J'ai de la famille qui n'est pas épargnée par ce phénoméne La pensée populiste

il y a 20 minutes, zeyas a dit :

Vois tu enchantant je vis sans télévision et les événements me défrissent quand j'écoute la radio Beaucoup de blabla pour ne rien dire le plus souvent  J'aimerais commprendes les événements en France.  Nous avons affaire au populisme et c'est de pire en pire chez vous 

J'ai de la famille qui n'est pas épargnée par ce phénoméne La pensée populiste

Pour dédramatiser nos propos, ma fille m’a offert pour Noël un petit bouquin dont le titre est :

Que faire des cons ? de Maxime Rovere (je ne l’ai pas encore lu complètement)

(Pour ne pas en rester un soi-même, écrit en sous-titre)

Sur la présentation du bouquin on lit :

Votre vie est encombrée d’une ou plusieurs créatures malfaisantes ?

Vous désirez surmonter cette odieuse expérience et savoir comment vous en défaire ?

Avec humour, bienveillance et sagesse, ce livre propose une nouvelle éthique pour penser et soigner ce fléau de notre temps, maladie du collectif et poison de nos vies individuelles.

Et ma fille d’ajouter, je ne l’ai pas lu, mais rien que le titre, j’ai su que cela allait te plaire.

Autrefois, me dit-elle en riant, on ne savait pas trop ce que les cons pensaient, maintenant qu’ils s’expriment sur les réseaux sociaux, on à une idée plus précise de la connerie ambiante.