La précarité tue, le capitalisme tue, le macronisme tue.

Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

À partir du moment où je paye mon eau je pense que je peux mettre mes besoins primaires dans ce qui est "marchandable". En outre ce que j'achète me permet aussi de gagner de la vie : du temps. Du temps gagné grâce à ma voiture, mon lave linge, mon robot cuisine, mon aspirateur sans fil...  

Donc on doit cautionner que l'état tue des gens s'ils ne peuvent pas payer, dans l'esprit des droits de l'homme en somme.

Enfin la version modernisée intitulée déclarations des droits du capital et de la banque. Ou plutôt déclaration des droits des objets inertes sur le vivant. C'est un meilleur titre. Tu pourrais même faire un pamphlet intitulé du droit de la mort sur la vie. Tu deviendrais le nouveau héros des gothiques, des émos et des vampires.

il y a 37 minutes, truebypass a dit :

LOL.

Le résultat surprend les commentateurs politiques¹, alors que les partisans du « oui » avaient bénéficié de 71 % des interventions dans les médias télévisés entre le 1^er janvier et le 31 mars².
En France, le président de la République, Jacques Chirac, après consultation des partis politiques, a choisi le référendum et décrété qu'il aurait lieu le 29 mai 2005. En effet, il lui semblait nécessaire que les citoyens français s'expriment directement sur cette question qui influencerait directement leur existence. L'ex-président Valéry Giscard d'Estaing y voit « une bonne idée » mais « à condition que la réponse soit oui »³.
Référendum : en direct avec le président le 14 avril 2005 opposant Jacques Chirac, président de la République en fonction, à un panel de 80 jeunes français, sans contradicteur politique favorable au « non ». L'émission était présentée par Patrick Poivre d'Arvor, Jean-Luc Delarue, Marc-Olivier Fogiel et Emmanuel Chain et diffusée sur TF1 ;

Certains partisans du « non » à gauche estimaient que les conditions fixées par le gouvernement pour participer à la campagne sont arbitraires : ainsi, à gauche, seul le PCF pouvait participer à la campagne officielle, tandis qu'à droite, trois partis pouvaient faire campagne pour le « non » (FN, MPF, RPF). La LCR, le MRC, pourtant très actifs pour la campagne pour le « non » n'auront pas eu droit à la parole dans la campagne officielle et n'ont pu bénéficier d'aucun remboursement des frais occasionnés par cette consultation.

source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Référendum_français_sur_le_traité_établissant_une_constitution_pour_l'Europe

 

Encore une fois tout le monde s'en branle de 2005... T'as vraiment rien de plus récent ? En plus ça fait louche de dire que le système de vote en France ne marche pas tout rappelant que ça a marché en 2005... Tu veux dire que le FN tire les ficelles depuis 2005 pour, 20 ans plus tard, devenir le 1er parti de France ? 

il y a 15 minutes, Mr_Fox a dit :

Donc on doit cautionner que l'état tue des gens s'ils ne peuvent pas payer, dans l'esprit des droits de l'homme en somme.

Enfin la version modernisée intitulée déclarations des droits du capital et de la banque. Ou plutôt déclaration des droits des objets inertes sur le vivant. C'est un meilleur titre. Tu pourrais même faire un pamphlet intitulé du droit de la mort sur la vie. Tu deviendrais le nouveau héros des gothiques, des émos et des vampires.

 

 

 

Mais bien entendu ! J'ai moi même été payé par l'état pour tuer Jeanne d'arc et Raymond Barre. C'est comme ça la vie en France aujourd'hui... Tu devais tuer qui toi ? 

Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

Il s'agit d'une conférence, pas d'un débat, vu que Lordon refuse à peu près systématiquement de participer à des débats contradictoires.
"A l’évidence, Frédéric Lordon aime en effet le débat, mais à la condition qu’il ne soit pas contradictoire. En bref, il aime surtout débattre… avec lui-même."
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mauduit/blog/080712/les-maladroites-imprecations-de-frederic-lordon

Lordon est un (médiatiquement brillant) militant de la gauche anticapitaliste "révolutionnaire".
"Il est hautement souhaitable d’annihiler l’État contemporain, policier et capitaliste, et de construire une nouvelle forme d’État de gauche.
Or, la poursuite d’un tel projet politique par le seul biais des urnes s’avèrerait infructueuse.
Il s’agirait pour l’État d’assumer l’entrée dans un régime d’affrontement ouvert contre les forces capitalistes."
(On notera au passage que Lordon considère que ce "projet" n'est possible qu'avec "la mobilisation durable des masses", dont on est factuellement TRES loin).

C'est bien évidemment totalement son droit (et le vôtre), comme est notre droit de ne pas partager ses convictions idéologiques.

On pourra par contre regretter que Lordon, comme beaucoup d'idéologues radicaux, sombre dans un binarisme aussi sectaire que caricatural et considère quiconque ne partageant pas totalement ses convictions (y compris à gauche - Sapir, Piketty, Rosanvallon, Plenel, Mauduit, etc.) est soit un pourri, soit un imbécile.
Ce qui est, au passage, est une vision assez étrange de la démocratie ...

Frédéric Lordon, l’intransigeant colérique
https://www.liberation.fr/debats/2016/02/29/frederic-lordon-l-intransigeant-colerique_1436557

Donc aucun intérêt...

il y a 10 minutes, Crabe_fantome a dit :

Encore une fois tout le monde s'en branle de 2005... T'as vraiment rien de plus récent ? En plus ça fait louche de dire que le système de vote en France ne marche pas tout rappelant que ça a marché en 2005... Tu veux dire que le FN tire les ficelles depuis 2005 pour, 20 ans plus tard, devenir le 1er parti de France ? 

Tu n'es pas sans savoir que le mode de scrutin d'un référendum est particulier: un seul tour.
Ici, pas de candidats, pas de triangulaires, pas de promesses de campagne: un texte et un choix entre oui et non.

L'exemple utilisé ici était pour démontrer que nous ne sommes pas libres de nos choix. On a voté "non" en 2005, le traité de Lisbonne a servi à transformer le "non" en "oui" deux ans plus tard. Sans référendum, cette fois ci. Merci La République.

https://reporterre.net/Le-traite-de-Lisbonne-est-une-trahison-de-la-democratie

Il y a 7 heures, frunobulax a dit :

Il s'agit d'une conférence, pas d'un débat, vu que Lordon refuse à peu près systématiquement de participer à des débats contradictoires.
"A l’évidence, Frédéric Lordon aime en effet le débat, mais à la condition qu’il ne soit pas contradictoire. En bref, il aime surtout débattre… avec lui-même."
https://blogs.mediapart.fr/laurent-mauduit/blog/080712/les-maladroites-imprecations-de-frederic-lordon

Lordon est un (médiatiquement brillant) militant de la gauche anticapitaliste "révolutionnaire".
"Il est hautement souhaitable d’annihiler l’État contemporain, policier et capitaliste, et de construire une nouvelle forme d’État de gauche.
Or, la poursuite d’un tel projet politique par le seul biais des urnes s’avèrerait infructueuse.
Il s’agirait pour l’État d’assumer l’entrée dans un régime d’affrontement ouvert contre les forces capitalistes."
(On notera au passage que Lordon considère que ce "projet" n'est possible qu'avec "la mobilisation durable des masses", dont on est factuellement TRES loin).

C'est bien évidemment totalement son droit (et le vôtre), comme est notre droit de ne pas partager ses convictions idéologiques.

On pourra par contre regretter que Lordon, comme beaucoup d'idéologues radicaux, sombre dans un binarisme aussi sectaire que caricatural et considère quiconque ne partageant pas totalement ses convictions (y compris à gauche - Sapir, Piketty, Rosanvallon, Plenel, Mauduit, etc.) est soit un pourri, soit un imbécile.
Ce qui est, au passage, est une vision assez étrange de la démocratie ...

Frédéric Lordon, l’intransigeant colérique
https://www.liberation.fr/debats/2016/02/29/frederic-lordon-l-intransigeant-colerique_1436557

J'ai bien signifié qu'il s'agissait d'une conférence même si elle rentre dans le cadre des "débats HEC", ici on a une suite de questions à partir desquelles l'auteur développe.

Lordon en effet ne souhaite pas adopter le format "débat" dans le sens médiatique auquel cette formule renvoie aujourd'hui et de puis longtemps, un débat de ce type c'est 80% de déchets parasites et 20% d'éventuellles possibilités de développer une thèse.

C'était aussi la position de Pierre Bourdieu.

il y a une heure, truebypass a dit :

 

 

Tu n'es pas sans savoir que le mode de scrutin d'un référendum est particulier: un seul tour.
Ici, pas de candidats, pas de triangulaires, pas de promesses de campagne: un texte et un choix entre oui et non.

L'exemple utilisé ici était pour démontrer que nous ne sommes pas libres de nos choix. On a voté "non" en 2005, le traité de Lisbonne a servi à transformer le "non" en "oui" deux ans plus tard. Sans référendum, cette fois ci. Merci La République.

https://reporterre.net/Le-traite-de-Lisbonne-est-une-trahison-de-la-democratie

 

OK, admettons que le traité de Lisbonne soit une trahison de la démocratie... Pourquoi n'y a-t-il aucun refendum en France pour sortir de l'Europe ? À part parce que le seul parti europhobe des dernières élections c'est 1% de la population et que le traité de Lisbonne convient encore aux peuples européens...

Il y a 17 heures, DroitDeRéponse a dit :

comprendre comment un gars intelligent en arrive à un titre de café du commerce

Un "titre" de "café du commerce" ne vaut-il pas un "titre" de "café de l'Assemblée (nationale)", ou de je ne sais quel "cercle" supérieur au "café du commerce"? Et si oui, je veux dire: s'ils ne se valent pas, comment expliquez-vous la différence?

il y a 5 minutes, Crabe_fantome a dit :

OK, admettons que le traité de Lisbonne soit une trahison de la démocratie...Pourquoi n'y a-t-il aucun refendum en France pour sortir de l'Europe ? À part parce que le seul parti europhobe des dernières élections c'est 1% de la population et que le traité de Lisbonne convient encore aux peuples européens...

 

Oui, pourquoi ???

Mais un référendum qui ne cachera rien.... c'est à dire "verrouillage des frontières, institution d'un Nationalisme sans concessions, abandon de l'euro, repli total socio-économique, militaire et, tant qu'on y est, auto suffisance énergétique"

On me répondra que l' UE actuelle peut avantageusement se remplacer par une guillerette "Europe des Nations".... sauf que cette farce ne durera pas bien longtemps, et que l' Europe retombera vite fait dans ses travers et replongera ses populations dans les horreurs et les bains de sang des guerres inter-européennes cycliques...

Le 27/12/2019 à 10:23, soloandsolo a dit :

Sous ce titre "hard-sociétal" à partir d'un article de Frédéric Lordon, extrait :

"En réalité, dans le sociopathe, l’inconscient heureux et la brute sont indistinguables. Nous sommes sous le règne des brutes. À ces politiques publiques qui tuent pour avoir méthodiquement créé, et obstinément approfondi, les conditions de l’accident chimique, ou celles du harcèlement en entreprise, ou celles du désespoir par la misère, ou celles des accidents du travail sans surveillance, ou celles de l’épuisement « flexible », ou celles bientôt (déjà) de la mort en couloir d’hôpital, ou celles de l’accouchement en bord de route, il faudrait pouvoir donner enfin leur qualification adéquate : ce sont des politiques criminelles. Pour ne rien dire de la sauvagerie policière, brutes parmi les brutes, auxquelles tout le gouvernement des brutes est désormais suspendu."

https://blog.mondediplo.net/la-precarite-tue-le-capitalisme-tue-le-macronisme

Jusqu'à une certaine époque, quand le capitalisme tuait, c'était flagrant : des patrons sans scrupule faisaient même trimer des enfants, les conditions de travail étaient épouvantables, les gens bossaient toute la journée pour rien, les ouvriers vivaient dans une misère effroyable, ils mouraient jeunes et d'épuisement, ou bien d'un accident sur leur lieu de travail, ou d'une maladie dû à ce travail, ou encore ils se faisaient buter pendant la grève. Ce qu'il y a de vicieux dans le capitalisme actuel, c'est qu'il continue à tuer mais à si petit feu que ça passe inaperçu. Pour ceux qui ont lu Pinocchio de Collodi, le capitalisme actuel, c'est le pays des jouets : au départ ça fait envie, tellement qu'il n'y a plus trop de place pour les questions, alors tout le monde y court, tout le monde trouve ça super, tout le monde rivalise dans son gavage individuel de glaces, de bonbons, de tours de manège, etc. jusqu'à devenir de bons gros ânes qu'on mène à la carotte et au bâton, et dont les maîtres n'attendent que labeur et gains.

il y a 7 minutes, Doïna a dit :

Jusqu'à une certaine époque, quand le capitalisme tuait, c'était flagrant : des patrons sans scrupule faisaient même trimer des enfants, les conditions de travail étaient épouvantables, les gens bossaient toute la journée pour rien, les ouvriers vivaient dans une misère effroyable, ils mouraient jeunes et d'épuisement, ou bien d'un accident sur leur lieu de travail, ou d'une maladie dû à ce travail, ou encore ils se faisaient buter pendant la grève. Ce qu'il y a de vicieux dans le capitalisme actuel, c'est qu'il continue à tuer mais à si petit feu que ça passe inaperçu. Pour ceux qui ont lu Pinocchio de Collodi, le capitalisme actuel, c'est le pays des jouets : au départ ça fait envie, tellement qu'il n'y a plus trop de place pour les questions, alors tout le monde y court, tout le monde trouve ça super, tout le monde rivalise dans son gavage individuel de glaces, de bonbons, de tours de manège, etc. jusqu'à devenir de bons gros ânes qu'on mène à la carotte et au bâton, et dont les maîtres n'attendent que labeur et gains.

J'étais entrain d'ouvrir quelques huitres avant qu'elle arrive, avec un verre de pinot gris d'alsace, je t'en offre pour ce post bien composé et la couleur rafraîchissante de Pinocchio en plein milieu, celui de Comencini a fini mon enfance et débuté mon adolescence.

Le sociopathe parle dans 15 mn pour une année où il y a toutes les chances que nous nous mettions tous sur la gueule et pas au figuré, alors je vais même jusqu'à offrir un verre à toutes et tous.

Bon réveillon, demain va être dur.

il y a 4 minutes, soloandsolo a dit :

J'étais entrain d'ouvrir quelques huitres avant qu'elle arrive, avec un verre de pinot gris d'alsace, je t'en offre pour ce post bien composé et la couleur rafraîchissante de Pinocchio en plein milieu, celui de Comencini a fini mon enfance et débuté mon adolescence.

Le sociopathe parle dans 15 mn pour une année où il y a toutes les chances que nous nous mettions tous sur la gueule et pas au figuré, alors je vais même jusqu'à offrir un verre à toutes et tous.

Bon réveillon, demain va être dur.

Eh bien à ta santé, soloandsolo ! 

Il y a 20 heures, Crabe_fantome a dit :

Encore une fois tout le monde s'en branle de 2005... T'as vraiment rien de plus récent ? En plus ça fait louche de dire que le système de vote en France ne marche pas tout rappelant que ça a marché en 2005... Tu veux dire que le FN tire les ficelles depuis 2005 pour, 20 ans plus tard, devenir le 1er parti de France ? 

La fin du contrat social en France tout le monde ne s'en fout pas non. En fait tous ceux qui croyaient à la démocratie ont cessé d'y croire à cette date là, ils ont compris que le système les avait fait cocu et peu à peu ont appris qu'il n'y avait plus rien à en attendre. Depuis 2007 plus personne ne croit à rien en France, ils sont comme des citoyens soviétiques qui attendent résignés que le système crève faute d'oxygène. Certains s'efforcent de lui envoyer du CO2 dans les poumons pour abréger ses souffrances, d'autres l'enjoignent de faire ce pour quoi il existe. Mais le système reste hermétique à tout, se croyant légitime par lui-même et découplé de la population qu'il exploite, c'est pourquoi rien ne peut le sauver.

Il y a 20 heures, Crabe_fantome a dit :

Mais bien entendu ! J'ai moi même été payé par l'état pour tuer Jeanne d'arc et Raymond Barre. C'est comme ça la vie en France aujourd'hui... Tu devais tuer qui toi ?  

Comme stipulé dans le titre, les pauvres, les mendiants, les handicapés, les retraités ... ceux qui sont un coût pour la société. Les bouches inutiles. Les improductifs.

Tu connais le point commun entre un tsariste, un staliniste, un nazi et toi ? Votre corpus idéologique qui se résume à "la classe dominante à tous les droits sur les serfs".

Il y a 19 heures, Crabe_fantome a dit :

OK, admettons que le traité de Lisbonne soit une trahison de la démocratie... Pourquoi n'y a-t-il aucun refendum en France pour sortir de l'Europe ? À part parce que le seul parti europhobe des dernières élections c'est 1% de la population et que le traité de Lisbonne convient encore aux peuples européens...

Parce que c'est le gouvernement qui propose les referendums, et justement il ne désire pas aller dans cette direction. S'il proposait un referendum ce serait plutôt pour dissoudre la France et en faire un protectorat allemand même si on a une armée et eux non.

Il y a 19 heures, versys a dit :

Oui, pourquoi ???

Mais un référendum qui ne cachera rien.... c'est à dire "verrouillage des frontières, institution d'un Nationalisme sans concessions, abandon de l'euro, repli total socio-économique, militaire et, tant qu'on y est, auto suffisance énergétique"

On me répondra que l' UE actuelle peut avantageusement se remplacer par une guillerette "Europe des Nations".... sauf que cette farce ne durera pas bien longtemps, et que l' Europe retombera vite fait dans ses travers et replongera ses populations dans les horreurs et les bains de sang des guerres inter-européennes cycliques... 

Ton referendum sur l'autarcie implique vraisemblablement l'adoption d'une constitution. Personne ne propose ça et personne ne l'a jamais proposé, c'est un fantasme libéral pour discréditer leurs adversaires en refusant de leur répondre autrement que par l'insulte.

Ce qui nous prouve juste que les libéraux sont incapables de justifier leurs options politiques.

On te répondra que les années 90 dans ce pays sont un leurre, qu'elles n'ont jamais existé et sont rigoureusement impossibles car de toute éternité l'UE a été la seule chose qui a permis le commerce.

Mec tu vis dans 1984, c'est obligé. Nier le passé et le présent comme justification de vos options politiques actuelles ça montre juste que vous êtes sectaires. La Suisse ne pourrait pas exister ... bah elle existe au présent. La scandinavie ne pourrait pas exister, ni le RU ... qui existent aussi. Votre aveuglement idéologique est celui des intégristes.

il y a 39 minutes, Mr_Fox a dit :

La fin du contrat social en France tout le monde ne s'en fout pas non. En fait tous ceux qui croyaient à la démocratie ont cessé d'y croire à cette date là, ils ont compris que le système les avait fait cocu et peu à peu ont appris qu'il n'y avait plus rien à en attendre. Depuis 2007 plus personne ne croit à rien en France, ils sont comme des citoyens soviétiques qui attendent résignés que le système crève faute d'oxygène. Certains s'efforcent de lui envoyer du CO2 dans les poumons pour abréger ses souffrances, d'autres l'enjoignent de faire ce pour quoi il existe. Mais le système reste hermétique à tout, se croyant légitime par lui-même et découplé de la population qu'il exploite, c'est pourquoi rien ne peut le sauver.

Comme stipulé dans le titre, les pauvres, les mendiants, les handicapés, les retraités ... ceux qui sont un coût pour la société. Les bouches inutiles. Les improductifs.

Tu connais le point commun entre un tsariste, un staliniste, un nazi et toi ? Votre corpus idéologique qui se résume à "la classe dominante à tous les droits sur les serfs".

Parce que c'est le gouvernement qui propose les referendums, et justement il ne désire pas aller dans cette direction. S'il proposait un referendum ce serait plutôt pour dissoudre la France et en faire un protectorat allemand même si on a une armée et eux non.

Déjà tous ceux qui ne croient plus en la démocratie à cause du référendum de la constitution européenne de 2005, franchement, si vous êtes 8 en France c'est le bout du monde. Surtout que personne ne l'avait lue ou comprise et que les gens ont voté contre chirac à ce moment là. Si les gens étaient contre l'Europe l'upr serait le 1er parti de France... Aujourd'hui il est dernier.

Il y a 19 heures, Crabe_fantome a dit :

Déjà tous ceux qui ne croient plus en la démocratie à cause du référendum de la constitution européenne de 2005, franchement, si vous êtes 8 en France c'est le bout du monde. Surtout que personne ne l'avait lue ou comprise et que les gens ont voté contre chirac à ce moment là. Si les gens étaient contre l'Europe l'upr serait le 1er parti de France... Aujourd'hui il est dernier.

Comment s'assoir sur un vote, leçon en deux coups de cuillère à pot.

il y a 57 minutes, soloandsolo a dit :

Comment s'assoir sur un vote, leçon en deux coups de cuillère à pot.

Tu devrais partir aux Canaries avec un pote. Tu as appris que ton pote avait galoché ta nana il y a 3 mois. Tu choisis de ne pas partir aux Canaries avec ton pote... 

Ça ne veut pas dire que tu es contre les Canaries, ça veut dire que tu étais contre y aller avec ton pote : les gens étaient contre chirac en 2005. Pas contre l'Europe. Encore une fois sinon les partis anti européens seraient numéro 1 en France : même le FN a décidé de devenir pro européen pour aller dans le sens populaire. 

il y a 1 minute, Crabe_fantome a dit :

Tu devrais partir aux Canaries avec un pote. Tu as appris que ton pote avait galoché ta nana il y a 3 mois. Tu choisis de ne pas partir aux Canaries avec ton pote... 

Ça ne veut pas dire que tu es contre les Canaries, ça veut dire que tu étais contre y aller avec ton pote : les gens étaient contre chirac en 2005. Pas contre l'Europe. Encore une fois sinon les partis anti européens seraient numéro 1 en France : même le FN a décidé de devenir pro européen pour aller dans le sens populaire. 

A mon avis tu devrais prendre de sérieuses vacances aux Canaries justement, quelques bouquins, un peu de repos, juste pour sortir de la dimension parabolique extravagante.

Sinon tu peux me parler comme une grande personne, je peux t'assurer que j'ai toutes les capacités intellectuelles pour comprendre un vrai raisonnement.

Il y a 22 heures, Crabe_fantome a dit :

Déjà tous ceux qui ne croient plus en la démocratie à cause du référendum de la constitution européenne de 2005, franchement, si vous êtes 8 en France c'est le bout du monde. Surtout que personne ne l'avait lue ou comprise et que les gens ont voté contre chirac à ce moment là. Si les gens étaient contre l'Europe l'upr serait le 1er parti de France... Aujourd'hui il est dernier. 

Ouais voila. Les gens sont des cons, des beaufs et de toutes façons ils ne fallait pas les faire voter car après tout l'avis des troufions n'a guère d'intérêt en démocratie.

Ta conception de la démocratie n'a de cesse de ne pas nous surprendre.

Il y a 2 heures, soloandsolo a dit :

A mon avis tu devrais prendre de sérieuses vacances aux Canaries justement, quelques bouquins, un peu de repos, juste pour sortir de la dimension parabolique extravagante.

Sinon tu peux me parler comme une grande personne, je peux t'assurer que j'ai toutes les capacités intellectuelles pour comprendre un vrai raisonnement.

C'est ce que j'ai fait en disant que c'était un vote contre chirac.

il y a 51 minutes, Mr_Fox a dit :

Ouais voila. Les gens sont des cons, des beaufs et de toutes façons ils ne fallait pas les faire voter car après tout l'avis des troufions n'a guère d'intérêt en démocratie.

Ta conception de la démocratie n'a de cesse de ne pas nous surprendre.

 

Je ne sais pas comment le dire autrement, c'était un vote contre chirac. En outre même moi qui suis pro européen je n'ai pas réussi à lire 2 pages de la constitution proposée parce que c'est ni mon domaine ni mon vocabulaire. 

il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je ne sais pas comment le dire autrement, c'était un vote contre chirac.

A part des éditocrates aux ordres du pouvoir je n'ai jamais rencontré quelqu'un qui pensait ça. La totalité de mes connaissances ont potassé le sujet sérieusement.

il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

En outre même moi qui suis pro européen je n'ai pas réussi à lire 2 pages de la constitution proposée parce que c'est ni mon domaine ni mon vocabulaire.  

Ou parce que ça t'a été déposé dans ta boite aux lettres moins de 8 jours avant de manière a s'assurer que tu n'aurais pas l'occasion de le faire. Moi j'en avais lu dans les 50 pages et le premier constat évident qui s'impose est qu'en la matière les partisans du non de gauche avaient raison : une constitution doit être compréhensible du peuple qui l'adopte.

Sinon c'est que la constitution est l'outil de l'asservissement du peuple. Une excellent raison de voter non, sans doute même la meilleure et la plus juste. Moi j'avais voté oui, je suis l'adversaire de l'UE depuis qu'on s'est fait doubler et que la démocratie a pris fin par le traité de Lisbonne.