La mort du "Moi" ?

Bonjour, merci d'avance à tous ceux qui auraient la patience de participer à mon questionnement.

Je découvre ce forum car trouve peu d'élément sur ce "thème".

Dans mon cas j'ai la sensation d'être au point zéro et d'y rester.

Le début est lié au moment où j'ai réalisé que je ne pouvais manquer de rien car la vie est parfaite.
Aujourd'hui je vis au plus près de l'état naturel, muée par l'apport de soins aux animaux et les gestes adaptés a la survie on va dire.

Et en ce moment c'est assez difficile de vivre le dilemme entre chercher sans cesse une idée qui me plaise, pour y investir de l'énergie et augmenter mes expériences.
Seulement même les idées qui m'emballent un peu finissent rapidement dans le domaine de l'inutile.
Pourquoi faire ? Comme si une phrase intérieure me disait " de toute façon ça changera rien, tu es déjà heureuse"
Un peu paradoxal, alors je vis le bonheur plat ?
Pourtant émerveillée par les sensations, les goûts, la beauté de la vie sous ces formes magiques, mais quand il s'agit d'ambition, de sociabilisation, de besoin de reconnaissance, pardon du terme mais je m'en branle.

Alors les termes de la mort du moi résonnent avec Nietzsche qui disaient que dieu est mort.
Ou comme s'il était si loin que je l'entends seulement hurler que ça pourrait être génial, je suis si ingénue que tout est possible, il suffit de faire un pas après l'autre et d'avancer. Mais j'en ai plus envie.
Pourtant pas déprimée, j'adore la vie dans le calme et apprendre à naviguer les émotions et aléas des évènements.
Abandonner l'idée de changer le monde, de le rendre plus juste avec la vie, de montrer ses talents, de prendre plaisir de plaire, la satisfaction de réussir. Oui c'est sûr youhou, mais non. j'hésite encore entre la peur de se mettre en danger ou l'atteinte d'un point stoïque et qui se suffit à lui même, fluide et pondéré avec l'espoir, reconnaissant pour absolument tout.

Le moi en fin de vie se sent un peu gêné de se déballer, mais je cherche encore comment vivre ce passage, ou l'accepter ?

Je me conforte dans le sens de l'acceptation de la mort de la course à l'ambition. Je ne vais plus prévoir l'avenir, seulement essayer de le permettre au mieux. (Merci Mr de Saint-Exupéry) Bien à vous, très sincèrement, je ne sais pas si beaucoup vivent réellement cet état, alors Merci encore par avance. Avancer sur cette idée, avec d'autres esprits, j'en serai bien heureuse.

Sarah, 27 ans

 

il y a 6 minutes, SarahM a dit :

Bonjour, merci d'avance à tous ceux qui auraient la patience de participer à mon questionnement.

Je découvre ce forum car trouve peu d'élément sur ce "thème".

Dans mon cas j'ai la sensation d'être au point zéro et d'y rester.

Le début est lié au moment où j'ai réalisé que je ne pouvais manquer de rien car la vie est parfaite.
Aujourd'hui je vis au plus près de l'état naturel, muée par l'apport de soins aux animaux et les gestes adaptés a la survie on va dire.

Et en ce moment c'est assez difficile de vivre le dilemme entre chercher sans cesse une idée qui me plaise, pour y investir de l'énergie et augmenter mes expériences.
Seulement même les idées qui m'emballent un peu finissent rapidement dans le domaine de l'inutile.
Pourquoi faire ? Comme si une phrase intérieure me disait " de toute façon ça changera rien, tu es déjà heureuse"
Un peu paradoxal, alors je vis le bonheur plat ?
Pourtant émerveillée par les sensations, les goûts, la beauté de la vie sous ces formes magiques, mais quand il s'agit d'ambition, de sociabilisation, de besoin de reconnaissance, pardon du terme mais je m'en branle.

Alors les termes de la mort du moi résonnent avec Nietzsche qui disaient que dieu est mort.
Ou comme s'il était si loin que je l'entends seulement hurler que ça pourrait être génial, je suis si ingénue que tout est possible, il suffit de faire un pas après l'autre et d'avancer. Mais j'en ai plus envie.
Pourtant pas déprimée, j'adore la vie dans le calme et apprendre à naviguer les émotions et aléas des évènements.
Abandonner l'idée de changer le monde, de le rendre plus juste avec la vie, de montrer ses talents, de prendre plaisir de plaire, la satisfaction de réussir. Oui c'est sûr youhou, mais non. j'hésite encore entre la peur de se mettre en danger ou l'atteinte d'un point stoïque et qui se suffit à lui même, fluide et pondéré avec l'espoir, reconnaissant pour absolument tout.

Le moi en fin de vie se sent un peu gêné de se déballer, mais je cherche encore comment vivre ce passage, ou l'accepter ?

Je me conforte dans le sens de l'acceptation de la mort de la course à l'ambition. Je ne vais plus prévoir l'avenir, seulement essayer de le permettre au mieux. (Merci Mr de Saint-Exupéry) Bien à vous, très sincèrement, je ne sais pas si beaucoup vivent réellement cet état, alors Merci encore par avance. Avancer sur cette idée, avec d'autres esprits, j'en serai bien heureuse.

Sarah, 27 ans

 

en court tu es dans la réflexion de Siddhartha (le bouddha) avec le coup de la corde de musique ... trop tendu elle casse pas assez tendu elle fait pas de musique et faut le juste équilibre (propre a chacun) pour vibrer et faire de la musique

ça c'est l'image ...plus terre a terre ...nous sommes des être d’émotions qui donc doivent vivre des émotions (plus c'est fort mieux c'est) mais les émotions fortes sont crée 9 fois sur 10 dans le quotidien par des drames ou variantes (grosse disputes situation de crise ou de paradoxe frisson film d'horreur et j'en passe) ... et 1 fois sur 10 genre saut a l’élastique et variantes (être amoureux au début faire de super découverte ce genre de truc) ... donc faut trouver l’équilibre ...

et surtout faut concilier tes sentiment (affection émotions) avec tes désirs (excitation fantasme) et ton éthique (ta morale ta zone de confort) si tu abandonne un ou plusieurs de ces trois pole tu brisera ton couple a cause de ce que tu abandonne

et l'humanité cherche depuis la nuit des temps a résoudre ces deux équations de vie ... bienvenue chez les humain

A défaut d'un besoin de reconnaissance on trouve un besoin d'appartenance... Avec d'autres esprits... Olà, t'emballes pas je suis pris   Reste que je me pose la question de l'hyper-contrôle: C'est ce genre de truc, si on élimine toute forme de chaos ou de surprise de notre vie, qui peut nous tuer lentement. Faire les choses sans aucun autre but que de faire les choses peut être un bon premier pas. A quoi bon? Oui à quoi bon... quoi que tu fasses la planète sera détruite avec tout notre système solaire dans 4.5 milliards d'année puisque le soleil aura cramé son hydrogène. Alors t'emmerde pas avec un sens à la vie, fais les choses. 

Merci à vous deux

J'aime beaucoup l'idée de la corde qui doit être même accordée pour atteindre la beauté invisible du son.
Le parralèle avec le corps qui doit suivre l'esprit pour vibrer peut-être, harmonieusement si équilibrer..

Et du coup concillier les sentiments, les désirs et l'éthique.

J'ai déja abandonné les désirs... niveau sentiments peut-être que je n'ose plus en avoir alors...

et l'éthique par contre j'y fonce de plus en plus car vivre en camion, en dehors de l'obéissance civile et des obligations futiles de la consommation forcée ! Ce côté me nourrit de cette joie sereine de savoir qu'au fond tout ira bien, à mon échelle humaine individuelle, et pour ce sur quoi je pourrai agir si nécessaire.

Et la deuxième réponse me reste sur le fait de pouvoir mourrir d'avoir éliminer toute formes de surprise... J'en ai peur, je crois ?

C'est vraiment désagréable de ne pas être convaincue d'être heureuse (j'identifie l'ego jamais satisfait) et puis un autre côté assez puissant qui me dit chut, ferme la et respire tu verras ça ira mieux.

Bref... Je me soule un peu pardon !

Alors vous, vous sentez l'ambition se manifester ? Est-ce assez naturel ?

il y a 1 minute, SarahM a dit :

éliminer toute formes de surprise

comment est-ce possible ?

il y a 1 minute, SarahM a dit :

Merci à vous deux

J'aime beaucoup l'idée de la corde qui doit être même accordée pour atteindre la beauté invisible du son.
Le parralèle avec le corps qui doit suivre l'esprit pour vibrer peut-être, harmonieusement si équilibrer..

Et du coup concillier les sentiments, les désirs et l'éthique.

J'ai déja abandonné les désirs... niveau sentiments peut-être que je n'ose plus en avoir alors...

et l'éthique par contre j'y fonce de plus en plus car vivre en camion, en dehors de l'obéissance civile et des obligations futiles de la consommation forcée ! Ce côté me nourrit de cette joie sereine de savoir qu'au fond tout ira bien, à mon échelle humaine individuelle, et pour ce sur quoi je pourrai agir si nécessaire.

Et la deuxième réponse me reste sur le fait de pouvoir mourrir d'avoir éliminer toute formes de surprise... J'en ai peur, je crois ?

C'est vraiment désagréable de ne pas être convaincue d'être heureuse (j'identifie l'ego jamais satisfait) et puis un autre côté assez puissant qui me dit chut, ferme la et respire tu verras ça ira mieux.

Bref... Je me soule un peu pardon !

Alors vous, vous sentez l'ambition se manifester ? Est-ce assez naturel ?

l'ambition est un autre problème (les humains sont complexe)

soit tu  regrette ce que tu as pas et c'est pour cela que tu es en souffrance et cela crée l'ambition qui en théorie te permet d'avoir ce qui te manque (en théorie) avec des efforts eux aussi source de souffrance

soit tu apprécie ce que tu as et la tu es dans la joie des petites choses mais c'est mort pour l'ambition

et bien sur c'est un axe et tu es quelque part entre les deux ... aucun est mauvais mais a nouveau c'est trouver ton équilibre perso ou tu te sens vivre vraiment sans trop souffrir

En étant en observation de se qui se passe. En croyant que cela vient d'une logique "parfaite" qui nous dépasse (je n'ai aucune connaissance religieuse mais on peut y voir la Nature avec ses belles fractales si c'est pas trop perché)

Et que tout passe...

il y a 2 minutes, fidel castor a dit :

l'ambition est un autre problème (les humains sont complexe)

soit tu  regrette ce que tu as pas et c'est pour cela que tu es en souffrance et cela crée l'ambition qui en théorie te permet d'avoir ce qui te manque (en théorie) avec des efforts eux aussi source de souffrance

soit tu apprécie ce que tu as et la tu es dans la joie des petites choses mais c'est mort pour l'ambition

et bien sur c'est un axe et tu es quelque part entre les deux ... aucun est mauvais mais a nouveau c'est trouver ton équilibre perso ou tu te sens vivre vraiment sans trop souffrir

Ah bien vu. Ca regroupe bien l'idée des efforts et de la mise en danger.

Surement la souffrance d'un manque de joie plus intense lié à des projets plus extravaguants, mais ce côté protecteur d'aimer la situation actuelle on dirait bien que c'est carrément le coté pantouflard qui s'exprime en kiffant..

Mais quand même j'ai la sensation d'une boucle du temps et des émotions qui fait que de toute façon n'en reviendrai au même point. Et je me trouve naïve de croire que je ne pourrai plus rien apprendre qui me bouscule.

Du coup je suis persuadée qu'un coup de pied moralisateur pourrait me remettre à aller à fond dans un projet ambitieux, de l'évoquer je ressens le frémillement des idées qui me semblent bonnes...

Et ensuite cette phrase qui me dit "Ce que l'on possède finit par nous posséder !"

Et franchement désolée j'écris très directement et trop a mon goût de moi moi moi, pour un tel titre c'est la blague du soir

Mais encore merci, cet échange me parait précieux !

il y a 4 minutes, SarahM a dit :

Et que tout passe...

certes tout passe , comme une vague sur laquelle nous surfons pour autant que nous laissons cette vague nous porter ici et là ? 

à l’instant, g.champion a dit :

certes tout passe , comme une vague sur laquelle nous surfons pour autant que nous laissons cette vague nous porter ici et là ? 

Exactement, si la surface est atteinte en ayant consience de la chance d'en être là, tout en fluidité, en respect de ce que nous ne pouvons pas controler, alors on peut être quasiment inaltérable, car on accepte même le pire si c'est lui qui se présente...

il y a 4 minutes, SarahM a dit :

Ah bien vu. Ca regroupe bien l'idée des efforts et de la mise en danger.

Surement la souffrance d'un manque de joie plus intense lié à des projets plus extravaguants, mais ce côté protecteur d'aimer la situation actuelle on dirait bien que c'est carrément le coté pantouflard qui s'exprime en kiffant..

Mais quand même j'ai la sensation d'une boucle du temps et des émotions qui fait que de toute façon n'en reviendrai au même point. Et je me trouve naïve de croire que je ne pourrai plus rien apprendre qui me bouscule.

Du coup je suis persuadée qu'un coup de pied moralisateur pourrait me remettre à aller à fond dans un projet ambitieux, de l'évoquer je ressens le frémillement des idées qui me semblent bonnes...

Et ensuite cette phrase qui me dit "Ce que l'on possède finit par nous posséder !"

Et franchement désolée j'écris très directement et trop a mon goût de moi moi moi, pour un tel titre c'est la blague du soir

Mais encore merci, cet échange me parait précieux !

il y a aussi et c'est très important le fait que c'est facile de contenter un chien (sa bouffe sa promenade deux câlins et il est le plus heureux au monde) tandis que les hommes changent tout le temps d’intérêt de vie ... ce que tu voulez il y a un mois n'est plus d'actualité le mois d’après (je le sais car je suis suivi par une psy que je vois chaque mois et du coup elle est toujours en décalage avec moi sur ou j'en suis)

C'est vrai que les rapports animaux sont excellents à vivre. Et en même il y a ce petit pincement de les"obliger" à rester avec nous pour la vie, ce n'est pas eux qui font ce choix chaque jour comme pourrai le faire un être humain.

Les quatres accords toltèques m'accompagne quand il s'agit de notre espèce !

1 avoir une parole impeccable

2 ne rien prendre personnellement car chacun vit sa vie sans forcément vouloir nous atteindre nous spécifiquement et puis chacun à ses convictions/ expériences

3 ne pas faire de suppositions (en couple ça doit aider)

4 faire de son mieux

Les humains marchent à l'interet je pense, sans que ce soit un mal. On a tout intérêt à partager, échanger, se compléter, se soutenir...

En tout cas dans notre société je préfère attendre de peut-être rencontrer quelqu'un capable de construire un dialogue aussi poussé que maintenant par exemple... Car c'est plus souvent des discussions très banales, a se sentir obligée de se mettre au même rythme et d'attendre qu'ils s'en aille...

il y a 9 minutes, fidel castor a dit :

il y a aussi et c'est très important le fait que c'est facile de contenter un chien (sa bouffe sa promenade deux câlins et il est le plus heureux au monde) tandis que les hommes changent tout le temps d’intérêt de vie ... ce que tu voulez il y a un mois n'est plus d'actualité le mois d’après (je le sais car je suis suivi par une psy que je vois chaque mois et du coup elle est toujours en décalage avec moi sur ou j'en suis)

Le fait de changer d'interêt est peut-etre une étape pour trouver ton état favoris, "naturel"

il y a 28 minutes, SarahM a dit :

C'est vrai que les rapports animaux sont excellents à vivre. Et en même il y a ce petit pincement de les"obliger" à rester avec nous pour la vie, ce n'est pas eux qui font ce choix chaque jour comme pourrai le faire un être humain.

Les quatres accords toltèques m'accompagne quand il s'agit de notre espèce !

1 avoir une parole impeccable

2 ne rien prendre personnellement car chacun vit sa vie sans forcément vouloir nous atteindre nous spécifiquement et puis chacun à ses convictions/ expériences

3 ne pas faire de suppositions (en couple ça doit aider)

4 faire de son mieux

 

Les humains marchent à l'interet je pense, sans que ce soit un mal. On a tout intérêt à partager, échanger, se compléter, se soutenir...

En tout cas dans notre société je préfère attendre de peut-être rencontrer quelqu'un capable de construire un dialogue aussi poussé que maintenant par exemple... Car c'est plus souvent des discussions très banales, a se sentir obligée de se mettre au même rythme et d'attendre qu'ils s'en aille...

 

 

Le fait de changer d'interêt est peut-etre une étape pour trouver ton état favoris, "naturel"

petit truc en couple ... nous avons de mémoire 10 a 20 paramètres de communications en gros perso j'en utile que 3 et ça change la vie

le genre ... en cas de stress les mecs c'est fuir ou combattre les nanas c'est protéger ses proches et fraterniser avec l'ennemi ... c'est aussi différent que être introverti ou extraverti (mon deuxieme paramètre) et enfin il y a les spécifique et les globaux (les deuxième te disent cash ce qu'ils pense et rectifie si tu as pas compris et on tendance a couper la parole des qu'ils croient avoir compris ce que tu parle les premiers te donne tout les clef avant de te dire ce qu'ils ont a te dire )

en pratique en gros ça donne cela

coupe pas la paroles écoute l'autre jusqu’au bout (je suis un global de nature)

exprime toi comme tu es que tu sois spécifique ou globale sachent juste qu'il faut que tu précise si tu es version courte ou longue a ton vis a vis

pour les mecs quand il y a dispute c'est le stress je combat et quand il t’évite c'est le stress fuite ...oubli ton sujet ... dé stress le en riant ou fessant des compliments et ensuite quand il rit avec toi la tu revient sur le sujet (version cool hein sinon re stress)

pour les nanas lors du moment de la dispute elle est un mode fraternisation avec l'ennemi ... donc stress tu dé stress et lui fessant comprendre que tu la comprends (c'est la la différence) tu lui dit ce que tu crois avoir compris tu lui dis que on vas pas 'entretuer pour le sujet de son stress tu ris un peu avec elle tu lui donne des moment de silence pour qu'elle clarifie sa pensée etc etc

la force des introverti c'est qu'il parle a peu de personne (en générale une seule) mais qu'ils écoutent vraiment et comprennent aussi super bien ... isole toi avec eux quand tu leur parle et fait comme eux ...écoute les vraiment comprends les vraiment

la force des extraverti c'est le contraire ... ils sont joviale et agréable bref sociable et dans ces moment la valorise les ...par contre faut s'attendre avec eux au quiproquo et autre raccourci de pensée mais c'est pas par méchanté c'est juste savent pas écouté donc tu stress pas tu souligne juste dans le calme ou mieux dans l'humour la ou ils ont dérapé sur la compréhension de ce que tu leur dit

désolé du pavé mais je pense que cela vas t'aider (ça aide tout ceux que je connais)

Super oui !

Je vais le relire pour m'en imprégner mais je comprends le côté écoute et essayer de mieux "prendre" les réactions selon le stress en cours.. Ca peut aider énormément, des conflits du passé me sont revenus en mémoire et j'aurai adoré réagir en conscience de ces conseils.

Premier mode d'emploi tant espéré ;p !

Je ne comprends pas trop l'aspect spécifique ou global et version courte ou longue ?

Il y a 1 heure, SarahM a dit :

très sincèrement, je ne sais pas si beaucoup vivent réellement cet état,

Oui, enfin si j'ai bien compris les phrases que t'as brodé, t'as parlé de quoi déjà? ah oui...bonheur plat et toutes ces conneries, oui, oui bien sur, mais nous on a l'age de vivre ça, on est vieux, donc pour nous, c'est normal c'est  la vieillesse quoi, mais toi t'as 27 ans, on ne vieillit pas à 27 ans à ma connaissance.
 

Je veux bien te répondre mais tu ne me donnes aucune matière.. A part un jugement qui semble assez méprisant.. rien ne t'obligeait a lire, et si me descendre t'apporte quoi que ce soit alors j'espère que tu dormiras mieux

C'est juste être heureux sans désir. Si tu te sens vieux c'est un autre sujet il me semble ?

Ok, je vais dormir, bonne nuit tout le monde.

Il y a 5 heures, SarahM a dit :

Super oui !

Je vais le relire pour m'en imprégner mais je comprends le côté écoute et essayer de mieux "prendre" les réactions selon le stress en cours.. Ca peut aider énormément, des conflits du passé me sont revenus en mémoire et j'aurai adoré réagir en conscience de ces conseils.

Premier mode d'emploi tant espéré ;p !

Je ne comprends pas trop l'aspect spécifique ou global et version courte ou longue ?

Bienvenue à Ixtlan Sarah, laisse faire, le vaisseau va s'amarrer tout seul, le chemin s'ouvre. Confiance au coeur.

Etre comme cela a 27 ans, je pense que cela provient d'un manque de tempérament, mais c'est peut etre comme prendre un raccourci.

On peut avoir beaucoup de tempérament, être tourmenté par toutes sortes de désirs, de frustration, de déception, avoir une vie intérieure intense ( le chaudron bouillonne), une empathie douloureuse...Et cela peut finir par aboutir a quelque chose comme une plus grande compréhension de la réalité (c'était plutot le cas du bouddha shakyamuni ).

Mais peut etre que certaines personnes peuvent zapper toute cette phase douloureuse.

Il y a 7 heures, SarahM a dit :

Super oui !

Je vais le relire pour m'en imprégner mais je comprends le côté écoute et essayer de mieux "prendre" les réactions selon le stress en cours.. Ca peut aider énormément, des conflits du passé me sont revenus en mémoire et j'aurai adoré réagir en conscience de ces conseils.

Premier mode d'emploi tant espéré ;p !

Je ne comprends pas trop l'aspect spécifique ou global et version courte ou longue ?

en fait un global vas a l'essentiel quand il parle au risque de pas se faire comprendre et donc de devoir rectifier par la suite ... en défaut il coupe la parole des autres qui pour exprimer une idée prennent plus de temps ... en gros il est dans l'efficacité

un spécifique vas te décrire la situation avant de te dire ce qu'il veut te dire pour bien que tu comprenne son sujet au risque d’être trop long ... il est dans l'empathie en gros