Est-ce que vous cuisinez ?

Le 02/10/2019 à 10:23, Vilaine a dit :

Oui. C’est plus joyeux de mourir à 30 ans, clairement. 

   Comme les gentils sauvages d' Amazonie (ou d' ailleurs) qu' il faut surtout laisser à l' état sauvage . 

Le 03/10/2019 à 15:37, sirielle a dit :

Je m'abstiens pour ma part de prendre radicalement position concernant le véganisme des enfants car je ne me suis que trop peu intéressée au sujet pour ça. (Je m'intéresse plus particulièrement à l'une des multiples formes du véganisme.) D'après mes informations une telle alimentation est théoriquement possible à condition de veiller très scrupuleusement aux différents apports nutritionnels (y compris par supplémentation) et leur assimilabilité. Les éventuelles carences pouvant avoir des conséquences catastrophiques, voire être mortifères. Quoi qu'il en soit un très jeune enfant a besoin entre autres de lait maternel de préférence issu de sa propre mère (elle-même non-carencée), ou d'un lait infantile scientifiquement correct. D'autres part il semble que les développement et perfectionnement techniques du véganisme permettraient de plus facilement répondre à l'ensemble des besoins nutritionnels individuels à l'avenir, en cultivant et produisant davantage en fonction de ces besoins.

Le simili-viande a entre autres pour principes de faciliter la découverte ou l'usage de différents produits à travers des aspects, voire également des goûts, des concentrés protéiques, des textures, des pratiques, couramment familiers, ou encore contextuellement conviviaux par la discrétion différentielle entre les choix alimentaires des uns et des autres. Il représente aussi simplement certaines références culinaires pratiques. (De la même façon par exemple que le simili-cuir ou le maquillage végan inspiré du non-végan n'ont pas forcément vocation à être trompeurs, illusoires, mais parfois seulement à répondre à certains critères esthétiques et pratiques différemment obtenables.)

Personnellement je ne consomme pas de plats préparés issus de l'industrie alimentaire végane. Je cuisine moi-même (et ne cautionne que certains produits végans parmi tant d'autres). Il m'est arrivé parfois de faire des gâteaux ou sorbets végans.

Ce n'est pas bien grave, les professionnels de la santé s'en sont chargés : le régime vegan est effectivement néfaste pour les enfants et c'est limite criminel de leur imposer. Les nourrissons bien évidemment, tout comme les enfants mais aussi les adolescents. L'adulte peut bien faire ce qu'il veut de sa santé. Nos convictions ne regardent ensuite que nous. 

L'humain est définitivement omnivore et il faudrait que des générations et des générations de vegans engendrent des générations et des générations vegans pour que le corps humain s'adapte tout à fait correctement au véganisme... quoi qu'encore nous n'en sommes tout à fait sûrs. 

L'appellation "steak" a été retirée, il me semble, à ces assemblages de légumineuses (et c'est heureux). J'ai goûté tout de même par curiosité, ce qui permet d'en parler. Cela n'a réellement aucun intérêt "gustativement" parlant, pour ne pas écrire que c'est vraiment mauvais, et sur le plan nutritionnel je ne suis pas sûre que ce soit si bon. J'entends bien que la cuisine végétalienne maison est meilleure que les plats cuisinés... la cuisine "maison", l'est, très en général et au moins nous savons ce que nous y mettons. Les restaurants proposant l'alternative des plats végétaliens, calqués sur des recettes classiques ou traditionnellement à base de protéines, poussent, à mon sens, à ne pas assumer ce régime, en plus d'enterrer définitivement la créativité. C'est dommage. 

Qu'est-ce que vous appelez sorbet végan ? Un sorbet en principe ne demande ni oeuf ni produits laitiers, sinon c'est une crème glacée.

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Ce n'est pas bien grave, les professionnels de la santé s'en sont chargés : le régime vegan est effectivement néfaste pour les enfants et c'est limite criminel de leur imposer. Les nourrissons bien évidemment, tout comme les enfants mais aussi les adolescents. L'adulte peut bien faire ce qu'il veut de sa santé. Nos convictions ne regardent ensuite que nous. 

L'humain est définitivement omnivore et il faudrait que des générations et des générations de vegans engendrent des générations et des générations vegans pour que le corps humain s'adapte tout à fait correctement au véganisme... quoi qu'encore nous n'en sommes tout à fait sûrs. 

L'appellation "steak" a été retirée, il me semble, à ces assemblages de légumineuses (et c'est heureux). J'ai goûté tout de même par curiosité, ce qui permet d'en parler. Cela n'a réellement aucun intérêt "gustativement" parlant, pour ne pas écrire que c'est vraiment mauvais, et sur le plan nutritionnel je ne suis pas sûre que ce soit si bon. J'entends bien que la cuisine végétalienne maison est meilleure que les plats cuisinés... la cuisine "maison", l'est, très en général et au moins nous savons ce que nous y mettons. Les restaurants proposant l'alternative des plats végétaliens, calqués sur des recettes classiques ou traditionnellement à base de protéines, poussent, à mon sens, à ne pas assumer ce régime, en plus d'enterrer définitivement la créativité. C'est dommage. 

Qu'est-ce que vous appelez sorbet végan ? Un sorbet en principe ne demande ni oeuf ni produits laitiers, sinon c'est une crème glacée.

 

Les professionnels de santé, dont les avis diffèrent plus ou moins, sont un peu plus mesurés sur le sujet mais quoi qu'il en soit là n'est en effet pas la question pour ce qui me concerne, moi qui suis une adulte.

Je suis moi-même végane et y suis profondément attachée, ce qui contribue à mes yeux à mon bien-être. Mais tout comme un omnivore ne consommera pas forcément tout style de produit compatible à une alimentation omnivore, un végan ne consommera pas forcément tout style de produit compatible à une alimentation végane. Quant à ce qui est proposé dans l'industrie alimentaire ou les différents restaurants, encore une fois c'est selon moi plutôt à juger au cas par cas car il s'agit de produits très divers.

J'ai cuisiné des sorbets uniquement composés de fruits (sans sucre ajouté) issus de l'agriculture biologique entre autres. Bien sûr il n'est pas forcément nécessaire de préciser végan pour un sorbet, si ce n'est par exemple par rapport au mode de culture.

Le 04/10/2019 à 18:15, sirielle a dit :

Les professionnels de santé, dont les avis diffèrent plus ou moins, sont un peu plus mesurés sur le sujet mais quoi qu'il en soit là n'est en effet pas la question pour ce qui me concerne, moi qui suis une adulte.

Je suis moi-même végane et y suis profondément attachée, ce qui contribue à mes yeux à mon bien-être. Mais tout comme un omnivore ne consommera pas forcément tout style de produit compatible à une alimentation omnivore, un végan ne consommera pas forcément tout style de produit compatible à une alimentation végane. Quant à ce qui est proposé dans l'industrie alimentaire ou les différents restaurants, encore une fois c'est selon moi plutôt à juger au cas par cas car il s'agit de produits très divers.

J'ai cuisiné des sorbets uniquement composés de fruits (sans sucre ajouté) issus de l'agriculture biologique entre autres. Bien sûr il n'est pas forcément nécessaire de préciser végan pour un sorbet, si ce n'est par exemple par rapport au mode de culture.

Les professionnels de la santé validés par un diplôme d'État (médecins, scientifiques...) sont unanimes et honnêtes quant au sujet. Il ne s'agit pas de faire référence aux charlatans divers (naturopathes, médecins autoproclamés holistiques ou autres gourous de secte), sinon je n'aurais pas employé le terme "professionnels". Par ailleurs, d'anciens végans repentis viennent de plus en plus communiquer sur la toile. 

Je ne suis moi-même pas une grande fana de viande et ai davantage un faible pour les produits de la mer (à l'exception de quelques uns : tout ce qui est fort comme le maquereau, la sardine, la lisette et cie, précisément) et les oeufs (c'est tout de même meilleur pour la pâtisserie mais aussi pour les brunch). Il ne m'est pas possible de manger de toutes les viandes : l'idée, le fumet et parfois juste la vue, m'en dissuadent. C'est peut-être aussi pour cela que la cuisine du terroir très riche en viandes et en graillon, ne trouve pas mon suffrage (en plus de la présentation brouillon). 

Goûter, quand j'y étais obligée, par politesse, n'a fait que confirmer mes craintes. En ce qui concerne l'agneau, le veau, le goût est vraiment douceâtre, c'est écoeurant. Le cheval, le lapin, ce n'est même pas possible en rêve et savoir qu'ils sont présents sur les étals, m'attriste. Quant au mouton et à la chèvre, brebis (fromage compris), je n'arrive même pas à concevoir que des individus puissent trouver cela vraiment bon.

Malgré cela, quand il m'arrive d'en cuisiner pour mes invités, par exemple pour une préparation à base de fromage de chèvre ou de brebis (mes goûts ne sont pas les leurs et je l'entends bien), la présence d'un goûteur m'est absolument indispensable. L'assaisonnement (trop ou pas assez) reste déterminant. Il me faut viser également des quantités justes, afin de ne pas avoir à conserver les produits longtemps dans le réfrigérateur même quand il s'agit d'un réfrigérateur secondaire (c'est une infection olfactive également). J'évite en sus de croiser l'haleine fétide de qui s'en est rassasié. Sincèrement, je pourrais vomir. 

Autant le régime végan n'est pas bon pour l'humain, qu'un régime trop ou essentiellement carné, ne l'est pas non plus. 

Il y a 3 heures, Léna-Postrof a dit :

Les professionnels de la santé validés par un diplôme d'État (médecins, scientifiques...) sont unanimes et honnêtes quant au sujet. Il ne s'agit pas de faire référence aux charlatans divers (naturopathes, médecins autoproclamés holistiques ou autres gourous de secte), sinon je n'aurais pas employé le terme "professionnels". Par ailleurs, d'anciens végans repentis viennent de plus en plus communiquer sur la toile. 

Je ne suis moi-même pas une grande fana de viande et ai davantage un faible pour les produits de la mer (à l'exception de quelques uns : tout ce qui est fort comme le maquereau, la sardine, la lisette et cie, précisément) et les oeufs (c'est tout de même meilleur pour la pâtisserie mais aussi pour les brunch). Il ne m'est pas possible de manger de toutes les viandes : l'idée, le fumet et parfois juste la vue, m'en dissuadent. C'est peut-être aussi pour cela que la cuisine du terroir très riche en viandes et en graillon, ne trouve pas mon suffrage (en plus de la présentation brouillon). 

Goûter, quand j'y étais obligée, par politesse, n'a fait que confirmer mes craintes. En ce qui concerne l'agneau, le veau, le goût est vraiment douceâtre, c'est écoeurant. Le cheval, le lapin, ce n'est même pas possible en rêve et savoir qu'ils sont présents sur les étals, m'attriste. Quant au mouton et à la chèvre, brebis (fromage compris), je n'arrive même pas à concevoir que des individus puissent trouver cela vraiment bon.

Malgré cela, quand il m'arrive d'en cuisiner pour mes invités, par exemple pour une préparation à base de fromage de chèvre ou de brebis (mes goûts ne sont pas les leurs et je l'entends bien), la présence d'un goûteur m'est absolument indispensable. L'assaisonnement (trop ou pas assez) reste déterminant. Il me faut viser également des quantités justes, afin de ne pas avoir à conserver les produits longtemps dans le réfrigérateur même quand il s'agit d'un réfrigérateur secondaire (c'est une infection olfactive également). J'évite en sus de croiser l'haleine fétide de qui s'en est rassasié. Sincèrement, je pourrais vomir. 

Autant le régime végan n'est pas bon pour l'humain, qu'un régime trop ou essentiellement carné, ne l'est pas non plus. 

Concernant l'avis de professionnels de santé à propos d'un éventuel véganisme des enfants puisque vous évoquez le sujet (Le véganisme implique une alimentation végétalienne.):

Citation

Pour résumer, si le végétalisme ne doit pas être stigmatisé, il requiert tout de même de prendre de grandes précautions, difficilement tenables. Tous les apports doivent être calculés rigoureusement et les enfants suivis de près par un nutritionniste. (Allodocteurs.fr)

 Existe aussi le végétarisme. Les alimentations omnivore, carnivore, végétarienne et végétalienne incluant d'autres part différentes sous-catégories.

Nos points de vue sont partiellement opposés à propos des régimes végan et omnivore, mais souvent les points de vue diffèrent au moins un peu concernant les choix respectifs et ce qui convient ou pas culinairement, y compris parmi les professionnels de la restauration entre autres, d'autant plus que les besoins/accessibilités alimentaires peuvent varier aussi en fonction de chacun ainsi que de ses moyens. Et comme vous pouvez le savoir aucun des produits que vous citez ici n'est à mon goût, quelles qu'en soient les quantités. La modération est d'ailleurs un critère parfois plus ou moins subjectif et discutable parmi d'autres, bien d'autres critères complémentaires sont utiles pour cibler clairement les ingrédients nécessaires et écarter les autres. Quoi qu'il en soit à chacun son libre-arbitre.

Pour ma part j'ai une relativement longue expérience du véganisme, mon choix est donc scrupuleusement réfléchi et mesuré. De plus j'ai travaillé un moment dans un restaurant réputé, où j'ai acquis quelques connaissances nutritionnelles et commerciales.

Bien sûr je peux quand-même occasionnellement partager la table d'omnivores ou autres, voire leur être particulièrement liée. Et je crois aussi que l'alimentation doit de préférence servir à une condition et une agréabilité, physiques entre autres, optimales.

Le 02/10/2019 à 17:05, Léna-Postrof a dit :

Je suis en parfait désaccord : quand c'est moche, cela manque souvent, en plus, d'assaisonnement et de créativité. Tout ce qui est laid peut toujours être amélioré. Il suffit de prendre le temps, de se donner la peine, de se documenter aussi. Par exemple, en ce qui concerne les plats en sauce, vous pouvez faire un cordon dans l'assiette (un léger cordon), et mettre le reste, à côté de l'assiette dans un saucier (ou sur l'assiette, selon le format de la vaisselle) ; au lieu de tout laisser patauger dans l'assiette. Une purée peut se dresser en virgule, ou avec une poche à douille, vous pouvez aussi reproduire des veinures en y apposant un plat etc... 

 

Bien bien, c'est très raffiné, on dîne chez Madame de Pompadour !?  

Préparer le dîner c'est pas toujours un plaisir  parfois c'est même une corvée après le travail alors après 12 h d'amplitude horaire franchement faire des chichis frou-frou pas trop quoi et pourtant j'aime cuisiner.

Le 06/10/2019 à 14:07, sirielle a dit :

 

Concernant l'avis de professionnels de santé à propos d'un éventuel véganisme des enfants puisque vous évoquez le sujet (Le véganisme implique une alimentation végétalienne.):

 Existe aussi le végétarisme. Les alimentations omnivore, carnivore, végétarienne et végétalienne incluant d'autres part différentes sous-catégories.

Nos points de vue sont partiellement opposés à propos des régimes végan et omnivore, mais souvent les points de vue diffèrent au moins un peu concernant les choix respectifs et ce qui convient ou pas culinairement, y compris parmi les professionnels de la restauration entre autres, d'autant plus que les besoins/accessibilités alimentaires peuvent varier aussi en fonction de chacun ainsi que de ses moyens. Et comme vous pouvez le savoir aucun des produits que vous citez ici n'est à mon goût, quelles qu'en soient les quantités. La modération est d'ailleurs un critère parfois plus ou moins subjectif et discutable parmi d'autres, bien d'autres critères complémentaires sont utiles pour cibler clairement les ingrédients nécessaires et écarter les autres. Quoi qu'il en soit à chacun son libre-arbitre.

Pour ma part j'ai une relativement longue expérience du véganisme, mon choix est donc scrupuleusement réfléchi et mesuré. De plus j'ai travaillé un moment dans un restaurant réputé, où j'ai acquis quelques connaissances nutritionnelles et commerciales.

Bien sûr je peux quand-même occasionnellement partager la table d'omnivores ou autres, voire leur être particulièrement liée. Et je crois aussi que l'alimentation doit de préférence servir à une condition et une agréabilité, physiques entre autres, optimales.

Vous ne citez qu'un passage choisi de l'article, il est pourtant intéressant dans sa globalité. Les professionnels de la santé n'encouragent pas le régime végan, ils ne peuvent le contenir, donc conseillent afin de limiter les dégâts. Ils attirent aussi l'attention sur sa dangerosité et d'ailleurs :

Dans la pratique, les vegans restent bien souvent carencés… Si l'on en croit une étude publiée en 2013, 65% des femmes enceintes végétaliennes sont carencées en vitamine B12, et entre 25 et 86% des enfants.

Les carences peuvent avoir des conséquences parfois graves chez l'enfant, comme la malnutrition, un affaiblissement général, des retards de croissance ou une perte de la densité osseuse et dentaire. Par ailleurs, les carences alimentaires frappent directement le système immunitaire, exposant à des risques d'infections, voir de décès.

https://www.francetvinfo.fr/sante/enfant-ado/le-regime-vegan-est-il-dangereux-pour-les-enfants_1593679.html

Sans parler des carences en zinc, calcium et en fer... 

Les femmes enceintes présentent déjà des carences puisque soumises à un régime particulier (bannissement des produits de la mer, la viande rouge doit être très cuite afin de ne pas risquer la toxoplasmose, certains types de laitage sont fortement déconseillés etc...). La différence, avec le reste, est que ce régime ne dure que quelques mois.  

Le régime végan n'est pas adapté aux enfants et il faut être honnête, il ne l'est déjà pas à l'adulte. Le véganisme tient aussi de l'idéologie et à l'instar de la religion par exemple, dans l'idéal, nous devrions laisser les enfants bien en dehors de cela. Tant que les adultes ne soumettent pas les enfants au véganisme, ne sont pas prosélytes et militants hystériques, j'ai envie de vous écrire qu'ils ne me dérangent pas. 

Les produits sus-mentionnés auraient pu être à votre goût, vous auriez pu y renoncer simplement par idéologie, comme bien d'autres. Le régime vegan est un régime du genre radical, certains s'en sortent un peu mieux que d'autres, ce qui ne veut pas dire pour autant, qu'ils ne sont pas également carencés.

Sans vouloir vous dégoûter plus avant, il m'est arrivé de devoir à dîner avec un mangeur de tête de veau et une dévoreuse d'oreilles de cochon...Dans ces cas-là, on fait le focus sur la nature morte, au fond de la salle. 

Il y a 20 heures, Paul hochon a dit :

Bien bien, c'est très raffiné, on dîne chez Madame de Pompadour !?  

Préparer le dîner c'est pas toujours un plaisir  parfois c'est même une corvée après le travail alors après 12 h d'amplitude horaire franchement faire des chichis frou-frou pas trop quoi et pourtant j'aime cuisiner.

 

 

Madame de Pompadour vous salue.

Dresser une table joliment et présenter une belle assiette ne demandent souvent pas beaucoup plus de temps. C'est simplement une habitude à prendre et au fil du temps les gestes se précisent, deviennent plus sûrs et rapides. Dîners en extérieur peut également être source d'inspiration et bien des chefs ont la gentillesse d'échanger quelques mots en fin de service. C'est enrichissant. 

Si ma mémoire ne me joue pas des tours, je vous ai déjà vu présenter une assiette de lentilles aux framboises, très convenablement. 

N.B : Je ne suis pas chichiteuse, davantage passionnée. 

il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Vous ne citez qu'un passage choisi de l'article, il est pourtant intéressant dans sa globalité. Les professionnels de la santé n'encouragent pas le régime végan, ils ne peuvent le contenir, donc conseillent afin de limiter les dégâts. Ils attirent aussi l'attention sur sa dangerosité (…)

Sans vouloir vous dégoûter plus avant, il m'est arrivé de devoir à dîner avec un mangeur de tête de veau et une dévoreuse d'oreilles de cochon…Dans ces cas-là on fait le focus sur la nature morte, au fond de la salle.

J'avais évoqué dans de précédents messages les risques liés à d'éventuelles carences, ainsi qu'une supplémentation associable à une telle alimentation, c'est pourquoi j'ai cité la conclusion médicale concernée, celle-ci n'étant pas totalement radicale mais en effet circonspecte. 

Quoi qu'il en soit je suis ravie pour vous si votre alimentation vous convient telle qu'elle est. La mienne me convient et je suis heureuse d'avoir le temps actuellement de pouvoir cuisiner quotidiennement ce que j'aime vraiment. Nous avons d'ailleurs quelles que soient nos préférences respectives le point en commun d'aimer cuisiner.

il y a 31 minutes, sirielle a dit :

J'avais évoqué dans de précédents messages les risques liés à d'éventuelles carences, ainsi qu'une supplémentation associable à une telle alimentation, c'est pourquoi j'ai cité la conclusion médicale concernée, celle-ci n'étant pas totalement radicale mais en effet circonspecte. 

Quoi qu'il en soit je suis ravie pour vous si votre alimentation vous convient telle qu'elle est. La mienne me convient et je suis heureuse d'avoir le temps actuellement de pouvoir cuisiner quotidiennement ce que j'aime vraiment. Nous avons d'ailleurs quelles que soient nos préférences respectives le point en commun d'aimer cuisiner.

Il s'agissait d'évoquer l'avis de professionnels.

La gastronomie française fait partie de notre patrimoine culturel (et est classée depuis 2010 par l'UNESCO, c'est un peu tardif ceci dit), il serait dommage de ne pas en profiter et ne pas cuisiner. 

Ce matin, j''ai acheté des patates douces, j'en ai jamais cuisiné et la seule fois ou j'en ai mangé c'était en purée.

Pour la première (ce soir) je vais faire simple surtout pour les enfants j'hésite entre deux recettes de marmiton.

Soit ;

-Patates au four, badigeonnées à l'huile d'olive, piment d’Espelette et herbes de Provence (1h au four)

- Frites de patates douces, même ingrédients mais un peu de paprika en plus (35 min au four)

Vous avez des recettes simples et faciles ?

Le 09/10/2019 à 12:54, Paul hochon a dit :

Ce matin, j''ai acheté des patates douces, j'en ai jamais cuisiné et la seule fois ou j'en ai mangé c'était en purée.

Pour la première (ce soir) je vais faire simple surtout pour les enfants j'hésite entre deux recettes de marmiton.

Soit ;

-Patates au four, badigeonnées à l'huile d'olive, piment d’Espelette et herbes de Provence (1h au four)

- Frites de patates douces, même ingrédients mais un peu de paprika en plus (35 min au four)

 

 

Vous avez des recettes simples et faciles ?

 

Hello Paul,

Alors vous avez opté pour quelle recette finalement ? 

Il y a 3 heures, Léna-Postrof a dit :

Hello Paul,

Alors vous avez opté pour quelle recette finalement ? 

Yop Lena,

Bof...ouais sans plus !

Je pensais avoir plus de succès avec mes enfants mais non.